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Socialistes français et nationalistes tunisiens : histoire d'une rencontre (1945-1956) /Chaïbi, Mohamed Lotfi, January 1997 (has links)
Th.--Tunis, 1989. / Bibliogr. p. 267-275. Index.
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Jean Longuet, 1876-1938 : un internationaliste à l'épreuve de l'histoire /Candar, Gilles, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Paris 8, 1995. / Bibliogr. p. 337-343. Index.
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La SFIO des années 1960 : une réforme impossible ? / The SFIO of the 1960s : an impossible reform?Dupin, Arnaud 29 November 2018 (has links)
La SFIO des années 1960 est un parti politique sur le déclin. Son incapacité à répondre aux défis politiques du temps, son inadaptation à la Vème République et la volonté inaltérable de Guy Mollet de garder le contrôle sur l’organisation empêchent toute évolution profonde de la « vieille maison ». La conduite par la SFIO des négociations préparatoires à la création du NPS ne permet pas de sauver le parti aux yeux de l’opinion. La « vieille maison » disparaît le 4 mai 1969 lors du congrès d’Alfortville. / The 1960s SFIO is a political party on the decline. Its inability to respond to the political challenges of the time, its unsuitability to the Fifth Republic and Guy Mollet's unalterable desire to maintain control over the organization prevent any profound evolution of the "vieille maison". The management by the SFIO of the preparatory negotiations for the creation of the NPS does not save the party in the opinion. The "vieille maison" disappears on May 4, 1969 at the Alfortville convention.
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Sozialisten und Radicaux, eine schwierige Allianz : Linksbündnisse in der Dritten Französischen Republik, 1919-1938 /Neri, Daniela, January 2005 (has links)
Texte abrégé de: Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Universität Regensburg, Wintersemester 2003/2004. / Bibliogr. p. 470-499.
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La SFIO et le MRP, partis réformistes de la IVe République (1944-1958) : acculturations républicaines / The SFIO and the MRP, reformist parties of the IVth French Republic (1944-1958) : republican acculturationsClavel, Isabelle 23 November 2015 (has links)
Un cycle réformiste et républicain est initié après les expériences de la guerre et de la Résistance. Le programme coordonné dès 1944 par le Conseil national de la Résistance (CNR) apparaît ici comme une réponse à la carence de démocratie politique créée par le gouvernement de Vichy et l’occupation allemande. Le moment de la reconstruction ne pourra se contenter d’être un simple retour à la situation d’avant-guerre. Les nationalisations, la mise en place d’une sécurité sociale, la liberté syndicale sont les jalons de ce programme réformiste auquel le MRP et la SFIO adhèrent pleinement. A partir de 1944, ils deviennent deux composantes majeures du paysage politique français et sont les pivots de tous les gouvernements de la IVe République jusqu’en 1951. Malgré des cultures politiques très différentes, ils collaborent à la refondation des institutions républicaines et posent le cadre de ce qui sera l’État providence. Les difficultés du « compromis républicain » n’en sont pas moins réelles. Elles se lisent entre autre au sein des commissions parlementaires, possibles lieux de réformes. Majorité gouvernementale fragile et instabilité ministérielle chronique paralysent le pouvoir. Les guerres de décolonisation condamnent finalement le régime en 1958. Dans cet intervalle relativement long, la SFIO et le MRP ont poursuivi et réalisé un programme ambitieux de réformes. Ils se sont aussi affrontés sur le terrain de la laïcité et de l’école. In fine, leurs actions communes, leurs accords, leurs divergences profondes et leurs contradictions interrogent sur la manière dont la IVe république a participé à la transformation du modèle républicain. / The experience of war and Resistance has initiated a “reformist” and republican cycle. The National Council of Resistance (CNR) has coordinated in 1944 a program as an answer to the lack of political democracy, which resulted of the government of Vichy and the German occupation. Going back to the pre-war situation would not be enough to rebuild. The MRP and the SFIO plainly joined the “reformist” program, based on nationalizations, the creation of a welfare insurance and trade union freedom. From 1944 to 1951, they both became a major part of the French political landscape, backbone of all major governments of the IVth Republic. Setting aside their entirely different political cultures, they worked together for a renewal of the republican institutions, making the welfare state a future reality. Thus, it still has been difficult to set this « republican agreement » on track. The study of the parliamentary committee as a place of reformism easily acknowledge that statement. Moreover, weak government majority, added to a chronical instability of the ministries, seemed to paralyse the decision making process. Eventually, in 1958, the wars of decolonization put an end to it. During this period, ambitious reforms were conceived and applied, leaded by the MRP and the SFIO together. They nonetheless had to face each other about subjects of dissension, such as secularism and school. As a consequence, the question of how the IVth Republic of France changed its republican model can be asked, given the joint actions, contradictions, agreements and disagreements of those two parties.
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"Strange Times:" The Language of Illness and Malaise in Interwar FranceFinnen, Patrick Joseph 30 April 2014 (has links)
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