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Contribution à l'étude des étalements dans les argiles sensibles de la mer de Champlain- Étude des étalements de Casselman (1971) et de Saint-Luc-de-Vincennes (1986)Durand, Alain 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire décrit, en premier lieu, l’analyse géotechnique et géomorphologique du glissement de 1971 à Casselman, Ontario. Les caractéristiques morphologiques identifiées à l’intérieur de la cicatrice confirment qu’il s’agit d’un étalement. Le sol impliqué est une argile sensible de la mer de Champlain, normalement à légèrement surconsolidée (OCR entre 1,0 et 1,2) dont les indices de liquidité varient entre 1,0 et 2,0. La résistance au cisaillement intacte mesurée au scissomètre de chantier varie entre 50 kPa et 87 kPa. L’argile adopte un comportement anti-écrouissage (perte de 40 % de la résistance en pic) lorsque soumise à des essais de cisaillement non-drainé. Une surface de rupture quasi-horizontale à deux niveaux principaux a été identifiée à partir des sondages au piézocône réalisés à l’intérieur de la cicatrice. Les coefficients de sécurité élevés obtenus à partir de méthodes à l’équilibre limite démontrent que la rétrogression ne peut être expliquée par des méthodes d’analyses conventionnelles. La deuxième partie du mémoire présente l’application numérique du principe de rupture progressive aux étalements de Casselman (1971) et de Saint-Luc-de-Vincennes (1986). Une étude paramétrique a été réalisée afin d’évaluer l’influence de la fragilité du comportement après la résistance en pic du sol, reliée dans l’étude à une épaisseur de bande de cisaillement, ainsi que de la résistance à grande déformation, sur l’initiation et la rétrogression résultant du processus de rupture progressive. Les résultats démontrent que la résistance à grande déformation a très peu d’influence sur l’initiation du processus de rupture progressive, qui est principalement influencé par la fragilité du comportement du sol. Il a aussi été observé que la rétrogression était majoritairement influencée par la résistance à grande déformation. / This M.Sc. thesis presents, in the first part, the geotechnical and geomorphological analysis of the 1971 landslide in Casselman, Ontario. The geomorphological characteristics identified inside the landslide scar confirmed it was a spread. The soil involved is a sensitive clay from the Champlain Sea, normally to slightly overconsolidated (OCR from 1.0 to 1.2) with liquidity index ranging from 1.0 to 2.0. The intact shear strength measured with the vane shear test range from 50 kPa to 87 kPa. The clay exhibits a strain-softening behaviour (a loss of about 40 % of its peak shear strength) during undrained shear tests. A quasi-horizontal failure surface with two main levels was identified by mean of the piezocone tests done inside the scar. The High safety factors obtained by the stability analysis performed with limit equilibrium methods show that the retrogression cannot be explained by conventional analysis methods. In the second part of this thesis, the numerical application of progressive failure was applies to the Casselman (1971) case and the Saint-Luc-de-Vincennes (1986) case. A parametric study was realized in order to assess the influence of the post-peak behaviour brittleness of the soil, related in this study to a shear band thickness, and the large deformation strength on the initiation and the retrogression of progressive failure process. The 1971 and 1986 cases were analysed with the finite element program BIFURC. The results demonstrated that the large deformation strength has a very low effect on the initiation of progressive failure process, and the initiation of the failure is mostly influenced by the brittleness behaviour of the soil. It was also observed that the retrogression of the failure is mostly controlled by the large deformation strength.
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Les peintures murales de Hosios Loukas : les chapelles occidentales /Chatzidakis-Bacharas, Théano. Grabar, André, January 1982 (has links)
Th. 3e cycle--Institut d'art et d'archéologie--Paris 1, 1971. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : 'Oi toihografies tou 'Osiou Louka : ta dutika parekklēsia / Theanō Hatzēdakē-Mpahara ; prol., André Grrabar. Notice translittérée du grec selon ISO R/843 (1968). Bibliogr. p. 189-199. Index.
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La dynastie Bonnart et les « bonnarts ». Étude d’une famille d’artistes et producteurs de « modes » / The Bonnart Dynasty and the « Bonnarts » : study of a Family of Artists and Fashion-MakersCugy, Pascale 02 July 2013 (has links)
Malgré la célébrité de certaines de ses estampes, consacrées à la mode et qui ont donné naissance à un genre appelé « bonnart », la dynastie Bonnart demeure peu connue. Ce travail vise à reconstruire l’histoire de cette famille parisienne et de ses deux boutiques de L’Aigle et du Coq, implantées rue Saint-Jacques. À l’étude de ses quatre générations succède l’analyse de la production de ses différents membres, qui furent imprimeurs, graveurs et marchands, mais aussi peintres et dessinateurs. Les Bonnart participèrent à des commandes royales et à la célébration du règne de Louis XIV tout en s’intéressant aux nouvelles tendances de l’art de leur temps. Notre catalogue comprend plus de 2 000 estampes, peintures et dessins ; il dessine un fonds qui dépasse largement les gravures de mode, résultant à la fois d’une activité de création et d’édition, comparable en bien des points à ceux de grandes familles contemporaines comme les Mariette ou les Poilly. Une grande partie de notre travail est ensuite consacrée à l’image de mode de la dynastie Bonnart, qui développe avec succès une formule influencée par les œuvres des Lepautre et de Jean Dieu de Saint-Jean. Ses membres profitent d’un intérêt général envers la mode, dont témoignent les articles du Mercure galant, et sont à l’origine de plusieurs innovations, en particulier celle du « portrait en mode ». Notre dernière partie revient quant à elle sur la réception et la fortune des Bonnart, depuis le XVIIe siècle jusqu’à aujourd’hui. Leurs images ont en effet largement été exploitées par les arts décoratifs, avant d’être considérées comme des documents historiques qui renseigneraient de manière fiable sur les mœurs de l’Ancien Régime et l’histoire du vêtement. / In spite of the fame of some of its engravings consecrated to fashion, which have given rise to a style called « bonnart », the Bonnart dynastie remains little known. This work aims to reconstruct the story of this Parisian dynasty and of its two boutiques « L’Aigle » and « Le Coq » established Rue Saint-Jacques. To the story of its four generations succeeds the analysis of the production of its different members that were printers, engravers and merchants, but also painters and designers. The Bonnart participated to royal orders and to the celebration of the reign of Louis XIV while interesting to the new tendencies of the art of their time. Our catalogue includes more than 2000 engravings, paintings and drawings ; it draws funds that pass widely beyond the « modes », resulting at once from an activity of creation and from an activity of edition, comparable in many aspects with those of great contemporaneous families such as those of the Mariette or of the Poilly families. A big part of our work, after that, is consecrated to the image of « mode » of the Bonnart dynasty that develops with success a formula influenced by the works of the Lepautre and of Jean Dieu de Saint-Jean. Its members profit by a general interest for fashion, shown in the articles of the « Mercure galant » ; they are at the origin of several innovations, in particular that of the « portrait en mode ». Our last part, as for it, come back to the reception and fortune of the Bonnart, from the 17th century until now. Their images have been, effectively, widely exploited by the decoratives arts, before being regarded as historical documents that would give valuable information about the customs of the Old Regime and the story of the clothing.
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Apelle, saint Luc et le singe : trois figures du peintre dans l'Espagne des XVIème et XVIIème siècles [fonctions littéraires, théoriques et artistiques]Hue, Cécile 09 December 2009 (has links) (PDF)
Dans l'Espagne des XVIe et XVIIe siècles, le peintre est un personnage en construction. Souvent défini par l'idéologie qui le commande et les œuvres qui lui survivent, son geste semble perdu à jamais, ou figé sous la forme d'archétypes et d'allégories. L'autoportrait, genre naissant, témoigne de cette main, mais il reste loin de toute objectivité : " Le peintre, peintre de lui-même, dans la dépendance de ce que l'histoire charrie et porte, n'aurait-il été qu'un singe savant et dressé qui rabâche ? ", se demande Pascal Bonafoux en conclusion de son étude sur Les peintres et l'autoportrait. Même dans le reflet direct que l'artiste offre de lui-même, les topiques s'immiscent : ils aident à son identification, au déchiffrage des chefs-d'œuvre et au balisage des chemins de la gloire. Cependant, ces figures ont une vie, et elles échappent parfois à l'évidence qu'on leur prête. À commencer par saint Luc, personnalité a priori idéale pour conduire les peintres vers la reconnaissance attendue dans l'élan contre-réformiste, mais qui doit compter avec Apelle, le maître grec dont l'excellence retentit depuis un sommet convoité. Ces légendes se diversifient et se ramifient dans le jeu métaphorique des mots, elles évoluent au gré de la revendication théorique et dévoilent leurs limites au moment de prendre corps. Leur fréquence, leur intensité et leurs croisements témoignent des voies empruntées afin de saisir le personnage du peintre, non pas sa psychologie, mais sa stature, libérale et noble. La focalisation sur la patte du peintre mythique, qui pousse dans l'ombre celle du singe imitateur, éclaire l'avancée de l'artiste dans le Siècle d'Or de la peinture espagnole.
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Apelle, saint Luc et le singe : trois figures du peintre dans l'Espagne des XVIème et XVIIème siècles [fonctions littéraires, théoriques et artistiques] / Apelles, Saint Luke and the monkey : three figures of the painter in the 16th and 17th centuries Spain [literary, theoric and artistic functions]Hue, Cécile 09 December 2009 (has links)
Dans l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles, le peintre est un personnage en construction. Souvent défini par l’idéologie qui le commande et les œuvres qui lui survivent, son geste semble perdu à jamais, ou figé sous la forme d’archétypes et d’allégories. L’autoportrait, genre naissant, témoigne de cette main, mais il reste loin de toute objectivité : « Le peintre, peintre de lui-même, dans la dépendance de ce que l’histoire charrie et porte, n’aurait-il été qu’un singe savant et dressé qui rabâche ? », se demande Pascal Bonafoux en conclusion de son étude sur Les peintres et l’autoportrait. Même dans le reflet direct que l’artiste offre de lui-même, les topiques s’immiscent : ils aident à son identification, au déchiffrage des chefs-d’œuvre et au balisage des chemins de la gloire. Cependant, ces figures ont une vie, et elles échappent parfois à l’évidence qu’on leur prête. À commencer par saint Luc, personnalité a priori idéale pour conduire les peintres vers la reconnaissance attendue dans l’élan contre-réformiste, mais qui doit compter avec Apelle, le maître grec dont l’excellence retentit depuis un sommet convoité. Ces légendes se diversifient et se ramifient dans le jeu métaphorique des mots, elles évoluent au gré de la revendication théorique et dévoilent leurs limites au moment de prendre corps. Leur fréquence, leur intensité et leurs croisements témoignent des voies empruntées afin de saisir le personnage du peintre, non pas sa psychologie, mais sa stature, libérale et noble. La focalisation sur la patte du peintre mythique, qui pousse dans l’ombre celle du singe imitateur, éclaire l’avancée de l’artiste dans le Siècle d’Or de la peinture espagnole. / In 16th and 17th century Spain, the figure of the painter is a work in progress. His gesture – often defined by the underlying ideology and by the pieces which will outlive it – seems lost forever or frozen into archetypes and allegories. The new genre of the self-portrait states the existence of the painter’s hand but without any objectivity: “Has the painter, painting himself, been nobody but a performing trained monkey rambling on?”, Pascal Bonafoux wonders in the conclusion of his study Les peintres et l’autoportrait. Topics creep in even in the direct reflection the painter offers when painting himself: they help identify him, decipher the masterpieces and mark out the way to glory. However, those topics live and sometimes escape the obviousness one tends to see in them. Starting with St Luke, who should be the ideal one to lead the painters towards the recognition expected in the wake of the anti-reformation movement, but who has to reckon with Apelles, the Greek master whose excellence resounds from a much-envied summit of fame. Those legends become diverse and ramified through the metaphoric game of language, evolve according to theoretical claims and show their limits when given substance. Their frequency, intensity and conjunctions bear witness to the ways one follows to grasp the figure of the painter – not his psychology but his stature, liberal and noble. The focus on the painter’s touch – which relegates the gesture of the copying monkey to the shadows – sheds a light on the artist’s progression in the Golden Age of Spanish Painting
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