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Tragédie historique ou Histoire en Tragédie ? : les sujets d’histoire moderne dans la tragédie française (1550-1715) / Historical Tragedy or Tragic History ? : modern Historical Subjects in French Tragedy (1550-1715)

Postert, Kirsten 18 December 2008 (has links)
Dès son apparition en 1550, la tragédie française trouve la plupart de ses sujets dans l’histoire. Si les auteurs dramatiques, suivant le goût du temps, semblent favoriser l’histoire antique ou mythologique, les sujets d’histoire moderne ou contemporaine n’en sont pas moins très présents dans la production théâtrale des années 1550-1715. Le présent ouvrage explicite les liens entre histoire et tragédie : il ne confronte pas seulement œuvres dramatiques et histoire véritable, il met aussi en lumière les rapports entre historiographie et écriture dramatique aux XVIe et XVIIe siècles. / From its apparition in 1550, French tragedy tends to draw most of its subjects from history. Though most dramatic authors, according to the taste of the times, tend to favour classical or mythological plots, subjects drawn from modern or contemporary history are nevertheless very present in the works produced between 1550 and 1715. The present work seeks to explain the links between history and tragedy. It compares not only the dramatic works with real historical events but also seeks to illuminate the relationship between historiography and dramatic writing in the 16th and 17th centuries.
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Approches de l'écriture de soi : les récits autobiographiques de soldats dans l'Espagne du XVIIe siècle / Approaches of writing about oneself : stories autobiografical from soldiers in Spain in the 17th century

Steinbach, Jacqueline 27 May 2016 (has links)
Cette étude analyse un ensemble de narrations à la première personne du singulier rédigées au XVIIe siècle, ainsi que leurs conditions d’écriture et de réception. Cinq récits de vie de soldats ont fait l’objet de ce travail : les récits de Diego Suárez Corvín, Jerónimo de Pasamonte, Diego Galán de Escobar, Alonso de Contreras et Domingo de Toral y Valdés. L’étude s’attache dans un premier temps à l’analyse du contexte historique et militaire, qui conditionne fortement ces écritures personnelles. L’analyse du cadre culturel et idéologique de l’écriture sur soi au Siècle d’Or démontre que l’émergence de ces récits de vie ne peut pas être dissociée d’un ensemble de circonstances (théories aristotéliciennes sur l’histoire et la poésie, apparition de la notion d’individu et des premiers récits de soi à la Renaissance, contexte de réception) qui ont permis l’ouverture d’un nouvel espace générique dans lequel s’inscrivent ces récits de vie. Enfin, cette étude s’attache aux enjeux et aux stratégies d’écriture de ces récits de soldats : ces aspects légitiment l’inclusion de ces textes dans le cadre théorique et générique de l’autobiographie, et font également apparaître la présence d’influences intertextuelles qui démontrent que ces auteurs ont écrit en fonction de matrices d’écriture et qui permettent, d’une certaine manière, le passage de la vie à la littérature. / This research analyses a corpus of five first-person narratives written in the 17th century as well as the context in which they were written and the way they were received. These five self-narratives are from soldiers named Diego Suárez Corvín, Jerónimo de Pasamonte, Diego Galán de Escobar, Alonso de Contreras and Domingo de Toral y Valdés.First of all, the study focuses on the historical and military context which strongly influenced the writing of these self-narratives. The analysis of the cultural and ideological contexts of autobiographical writing in the Golden Age shows that the emergence of these self-narratives is intermingled with a number of historical elements (the Aristotelian theories on history and poetry, the emergence of the notion of individual and of the first self-narratives, the context of their reception) which led to the creation of a new theoretical space to which these self-narratives belong. This research also deals with the issues and strategies at stake in these soldiers’ writings. These elements make it relevant to include these writings in the theoretical and generic genre of the autobiography. They also reveal inter textual references which are clear evidence that these writings were produced according to writing patterns, which enabled, in a way, the passage from life to literature.
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Folie et délits aux XVIe et XVIIe siècles en Espagne ˸ le cas des quatorze tribunaux inquisitoriaux (1537-1700) / Madness and crime in 16th and 17th century Spain ˸ the case of the fourteen inquisitorial tribunals (1537-1700)

Wekko, Stéphanie 13 April 2019 (has links)
Cette thèse porte sur le traitement de la folie à l’Époque Moderne étudiée à la lumière du Droit pénal et inquisitorial. Elle s’attache à analyser la façon dont la folie a été appréciée pour chaque type de délit. Le corpus est constitué de l’ensemble des relations de causes des quatorze tribunaux inquisitoriaux péninsulaires, à savoir Barcelone, Cuenca, Cordoue, Grenade, Llerena, Logroño, Madrid, Murcie, Santiago, Saragosse, Séville, Tolède, Valence et Valladolid, ainsi que de quelques procès et de la correspondance échangée entre le Tribunal de la Suprême et ces tribunaux au cours de la période allant de 1537 à 1700.Ces recherches, menées dans une perspective novatrice et interdisciplinaire qui convoque l’anthropologie, l’histoire du Droit et celle des mentalités, ont vocation à permettre d’étudier les relations complexes que l’Inquisition entretient avec la folie. / This dissertation deals with the treatment of madness in the early Modern period. In the light of criminal and inquisitorial law, it aims at analysing how madness was assessed for each type of crime. The corpus of this dissertation is based on the Relations of causes of the fourteen peninsular inquisitorial tribunals, i.e. Barcelona, Cuenca, Cordoba, Grenada, Llerena, Logroño, Madrid, Murcie, Santiago, Zaragoza, Seville, Toledo, Valencia and Valladolid, as well as on some lawsuits and the correspondence exchanged between the Tribunal of the Suprema and these tribunals from 1537 to 1700.This research, carried out in an innovative and interdisciplinary perspective which used anthropology, the history of Law and the history of mentalities, has allowed me to study the complex relations between Inquisition and madness.
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Apelle, saint Luc et le singe : trois figures du peintre dans l'Espagne des XVIème et XVIIème siècles [fonctions littéraires, théoriques et artistiques]

Hue, Cécile 09 December 2009 (has links) (PDF)
Dans l'Espagne des XVIe et XVIIe siècles, le peintre est un personnage en construction. Souvent défini par l'idéologie qui le commande et les œuvres qui lui survivent, son geste semble perdu à jamais, ou figé sous la forme d'archétypes et d'allégories. L'autoportrait, genre naissant, témoigne de cette main, mais il reste loin de toute objectivité : " Le peintre, peintre de lui-même, dans la dépendance de ce que l'histoire charrie et porte, n'aurait-il été qu'un singe savant et dressé qui rabâche ? ", se demande Pascal Bonafoux en conclusion de son étude sur Les peintres et l'autoportrait. Même dans le reflet direct que l'artiste offre de lui-même, les topiques s'immiscent : ils aident à son identification, au déchiffrage des chefs-d'œuvre et au balisage des chemins de la gloire. Cependant, ces figures ont une vie, et elles échappent parfois à l'évidence qu'on leur prête. À commencer par saint Luc, personnalité a priori idéale pour conduire les peintres vers la reconnaissance attendue dans l'élan contre-réformiste, mais qui doit compter avec Apelle, le maître grec dont l'excellence retentit depuis un sommet convoité. Ces légendes se diversifient et se ramifient dans le jeu métaphorique des mots, elles évoluent au gré de la revendication théorique et dévoilent leurs limites au moment de prendre corps. Leur fréquence, leur intensité et leurs croisements témoignent des voies empruntées afin de saisir le personnage du peintre, non pas sa psychologie, mais sa stature, libérale et noble. La focalisation sur la patte du peintre mythique, qui pousse dans l'ombre celle du singe imitateur, éclaire l'avancée de l'artiste dans le Siècle d'Or de la peinture espagnole.
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Apelle, saint Luc et le singe : trois figures du peintre dans l'Espagne des XVIème et XVIIème siècles [fonctions littéraires, théoriques et artistiques] / Apelles, Saint Luke and the monkey : three figures of the painter in the 16th and 17th centuries Spain [literary, theoric and artistic functions]

Hue, Cécile 09 December 2009 (has links)
Dans l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles, le peintre est un personnage en construction. Souvent défini par l’idéologie qui le commande et les œuvres qui lui survivent, son geste semble perdu à jamais, ou figé sous la forme d’archétypes et d’allégories. L’autoportrait, genre naissant, témoigne de cette main, mais il reste loin de toute objectivité : « Le peintre, peintre de lui-même, dans la dépendance de ce que l’histoire charrie et porte, n’aurait-il été qu’un singe savant et dressé qui rabâche ? », se demande Pascal Bonafoux en conclusion de son étude sur Les peintres et l’autoportrait. Même dans le reflet direct que l’artiste offre de lui-même, les topiques s’immiscent : ils aident à son identification, au déchiffrage des chefs-d’œuvre et au balisage des chemins de la gloire. Cependant, ces figures ont une vie, et elles échappent parfois à l’évidence qu’on leur prête. À commencer par saint Luc, personnalité a priori idéale pour conduire les peintres vers la reconnaissance attendue dans l’élan contre-réformiste, mais qui doit compter avec Apelle, le maître grec dont l’excellence retentit depuis un sommet convoité. Ces légendes se diversifient et se ramifient dans le jeu métaphorique des mots, elles évoluent au gré de la revendication théorique et dévoilent leurs limites au moment de prendre corps. Leur fréquence, leur intensité et leurs croisements témoignent des voies empruntées afin de saisir le personnage du peintre, non pas sa psychologie, mais sa stature, libérale et noble. La focalisation sur la patte du peintre mythique, qui pousse dans l’ombre celle du singe imitateur, éclaire l’avancée de l’artiste dans le Siècle d’Or de la peinture espagnole. / In 16th and 17th century Spain, the figure of the painter is a work in progress. His gesture – often defined by the underlying ideology and by the pieces which will outlive it – seems lost forever or frozen into archetypes and allegories. The new genre of the self-portrait states the existence of the painter’s hand but without any objectivity: “Has the painter, painting himself, been nobody but a performing trained monkey rambling on?”, Pascal Bonafoux wonders in the conclusion of his study Les peintres et l’autoportrait. Topics creep in even in the direct reflection the painter offers when painting himself: they help identify him, decipher the masterpieces and mark out the way to glory. However, those topics live and sometimes escape the obviousness one tends to see in them. Starting with St Luke, who should be the ideal one to lead the painters towards the recognition expected in the wake of the anti-reformation movement, but who has to reckon with Apelles, the Greek master whose excellence resounds from a much-envied summit of fame. Those legends become diverse and ramified through the metaphoric game of language, evolve according to theoretical claims and show their limits when given substance. Their frequency, intensity and conjunctions bear witness to the ways one follows to grasp the figure of the painter – not his psychology but his stature, liberal and noble. The focus on the painter’s touch – which relegates the gesture of the copying monkey to the shadows – sheds a light on the artist’s progression in the Golden Age of Spanish Painting
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La traduction fictive : motifs d’un topos romanesque (1496-1617) / Fictitious translations : patterns of a novelistic device, 1496-1617

Watier, Louis 09 December 2017 (has links)
Une traduction fictive (ou pseudo-traduction) est un texte qui, ayant été directement écrit dans une langue, se présente comme traduit d’une autre, réelle ou imaginaire. Peu étudié jusqu’à la fin du XXe siècle, le cas n’en est pas moins fréquent, illustré par un bon nombre de romans célèbres : Don Quichotte, les Lettres persanes, Le manuscrit trouvé à Saragosse, Le château d’Otrante, parmi d’autres. Pendant longtemps on a tenu pour négligeable la fiction de la traduction, la considérant comme un procédé inoffensif, un amusant artifice littéraire. Convention souvent assumée de manière explicite par les auteurs qui y recourent, le phénomène n’a encore été que peu envisagé dans sa dimension historique. C’est donc à retrouver les raisons de l’émergence d’un tel motif dans le genre romanesque et à décrire les moments de sa formalisation topique que l’on voudrait s’attacher. L’enquête, qui remonte aux premiers romans médiévaux pour aboutir à leur dernier retentissement dans l’œuvre de Cervantès, s’apparente ainsi à une généalogie, au sens rigoureux que lui donnait Nietzsche, puisqu’il s’agit de réinjecter l’histoire dans un lieu commun, de redynamiser ce que la tradition a figé en un canevas immédiatement reconnaissable. / A fictitious translation (or pseudo-translation) is a text written in a peculiar language but introduced as a real or imaginary translation in a foreign language. While such fictitious translations did not go through frequent studies until the end of the twentieth century, they are quite common and regularly illustrated by many famous works, among which Don Quijote, Le Manuscrit trouvé à Saragosse and The Castle of Otranto to name a few. For long translation as fiction has only been considered as literary device to entertain. Hence, this attitude towards the fictitious translation may partially explain why such literary phenomenon was never perceived within its historical context, notwithstanding it was explicitly used as a literary convention by many authors. Therefore, we should devote ourselves to discern the motivations that drove the emergence of pseudo-translation in the novel ’genre. Besides, it is also important to highlight the course it took to finally become known as topos. From this perspective, this research, which is a genealogical one as defined by Nietzsche, explores the role of translation from the first medieval novels to their last echo in Cervantes’s work; in an attempt to reinject a historical dynamic in a common place long unchanged.
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Normes et objets du savoir dans les premiers essais leibniziens / Norms and objects of knowledge in Leibniz’s early writings

Picon, Marina 11 December 2015 (has links)
La doctrine leibnizienne de la science repose-t-elle sur une théorie de la connaissance? Après avoir montré, dans des travaux préalables, qu’une telle dépendance ne se rencontre pas dans l’œuvre de la maturité, nous nous intéressons ici aux premiers écrits de Leibniz. La Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) dresse, suivant l’exemple de Bacon, un inventaire raisonné des disciplines que doit réunir la nouvelle encyclopédie. Comme dans les projets leibniziens ultérieurs, cet inventaire est précédé de la distinction entre types de savoir en fonction des critères logiques selon lesquels les propositions se répartissent entre histoires, observations et théorèmes. Nous nous attachons en particulier à la définition de ceux-ci comme propositions « démontrables ex terminis ». Cette norme de la science étant posée, quels fondements in re Leibniz entend-t-il donner au savoir démonstratif ? Prenant pour fil conducteur sa polémique avec l’humaniste Marius Nizolius, nous étudions sa tentative pour fonder la validité des propositions de vérité éternelle sur des universaux subsistant indépendamment de l’existence des individus. Ce n’est cependant que dans les premiers écrits parisiens (1672-1673) que se dégage sa réponse définitive à ce problème : apparue d’abord comme un autre nom de la signification qu’« exprime » une définition, la notion d’idée y prend consistance en tant qu’archétype subsistant en Dieu. Les principaux traits de la théorie leibnizienne de la science sont ainsi fixés, indépendamment de toute « doctrine de l’entendement ». / Does Leibniz’s doctrine of demonstrative knowledge rest upon a theory of cognition? Having shown in previous articles that such was not the case in his mature works, we now turn to his early writings. The Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) contains a reasoned inventory of the disciplines that should constitute the new encyclopaedia. As in later projects, Leibniz precedes this inventory with a classification of the types of knowledge based on the logical criteria according to which propositions are divided in histories, observations and theorems. Particular attention is given to the definition of the latter as propositions « demonstrable ex terminis ».This norm of scientific necessity once defined, what real (in re) foundation does Leibniz give to demonstrative knowledge? Following the various threads offered by his polemic against the Italian humanist Marius Nizolius, we study Leibniz’s attempt to ground the validity of propositions of eternal truth on universals subsisting independently of the existence of individuals. But one has to wait until the first Paris writings (1672-1673) to see the emergence of his mature answer to that problem: first conceived after the model of the significatio which a definition « expresses », the notion of idea reaches its latter ontological status as an archetype subsisting in God’s mind. The principal features of Leibniz’s theory of demonstrative knowledge are thus in place, prior to and independently of what he will later call his « doctrine of the understanding ».
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La justice dans les histoires tragiques de Pierre Boaistuau et François de Belleforest (1559-1582) / Justice in the tragic stories of Pierre Boaistuau and François de Belleforest (1559-1582)

Eudes-Feki, Maroua 15 December 2017 (has links)
Au XVIe siècle, nous assistons à deux types de récits criminels : dans la presse, les faits divers, produits sous la forme de « canards », et dans la littérature, les histoires tragiques, forme narrative brève essentiellement véridique et à tonalité pathétique. Lorsque Pierre Boaistuau, appelé aussi Launay, publie Les Histoires tragiques, il sélectionne six récits parmi les Novelle de Matteo Bandello. Le travail de Boaistuau ne se limite pas à la traduction de ces textes mais également à la fondation d’un genre qu’est l’histoire tragique. François de Belleforest, son ami, en poursuit la traduction et en varie les sources ; il publie entre 1559 et 1582 sept volumes d’histoires tragiques. Notre étude porte sur la justice, un thème clé pour comprendre les textes de ces deux auteurs. En effet, leurs récits révèlent un intérêt particulier pour les différentes formes de justice (humaine, naturelle et divine), pour le procès judiciaire et ses protagonistes. Nous analysons tous ces points ainsi que le thème de la transgression à travers différents crimes, principalement les crimes de paillardise (« macquerellage », rapt, viol et adultère). Notre réflexion porte également sur le châtiment et ses fonctions ainsi que sur le comportement du condamné au moment de son exécution. Enfin, nous nous intéressons aux stratégies discursives déployées par nos auteurs notamment à la rhétorique judiciaire et à la rhétorique délibérative. Les enjeux soulevés à travers l’étude du discours rhétorique permettent d’explorer les liens entre le discours judiciaire et le discours politique et donc entre justice et politique. Somme toute, la dernière partie de notre travail permet de cerner les rapports entre rhétorique, justice et politique. / In the sixteenth century, two types of criminal narratives predominate: short news items in the press, printed separately as canards, and brief narrative literary forms that constitute the tragic story genre, combining truth with a tone of pathos. When Pierre Boaistuau, also called Launay, publishes Les Histoires tragiques, he selects six stories from Matteo Bandello’s Novelle. Boaistuau's work is not limited to the translation of these texts but also establishes the tragic story genre. His friend François de Belleforest continues the translation and varies the sources; between 1559 and 1582 he published seven volumes of tragic stories. My thesis focuses on justice, a key theme for understanding the texts of these two authors. Indeed, their stories reveal a particular interest in the different forms of justice (human, natural and divine), in the judicial process and in its protagonists. I analyze all these points as well as the theme of transgression through an examination of various crimes, mainly crimes of debauchery ("macquerellage" –sex trafficking–, abduction, rape and adultery). I also consider the different functions of punishment as well as the behavior of the convicted person at the time of execution. Finally, I am interested in the discursive strategies deployed by these authors, including judicial rhetoric and deliberative rhetoric. The issues raised through the study of rhetoric make it possible to explore the links between judicial discourse and political discourse and therefore between justice and politics. The summative, final part of our work further elucidates the relationships between rhetoric, justice and politics.

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