• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 15
  • 4
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 23
  • 23
  • 16
  • 14
  • 10
  • 10
  • 9
  • 6
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La cohérence de la philosophie politique de Marsile de Padoue dans le Defensor pacis

Marcotte, Étienne January 2005 (has links)
No description available.
2

Nicola Cusano a colonia : la dottrina dell'intelletto di nicola cusano nel contesto delle sue possibili fonti albertine e renane / Nicolas de Cues à Cologne : la doctrine de l’intellect chez Nicolas de Cues par rapport à ses possibles sources albertines et rhénanes / Nicholas of Cusa at Cologne : the theory of intellect by Nicholas of Cusa in the context of his possibles albertis and rhenans sources

Fiamma, Andrea 21 April 2016 (has links)
Par la présente recherche, nous cherchons à soutenir que dans l'éducation philosophique du jeune Nicolas de Cues (entre 1424 et 1431), la tradition albertine de Cologne, diffusée par Heymeric de Campo, a joué un rôle important. Nous pensons aussi que les traces de cette influence de l'albertinisme colonien émergent en particulier dans les écrits épistémologiques du Cusain, en particulier dans le De coniecturis et dans la collection « Idiota ». Nous montrerons que Nicolas de Cues, qui a personnellement connu Heymeric, a eu grâce à lui connaissance des doctrines néo-platoniciennes qui émergent dans le De docta ignorantia et dans les œuvres cusaniennes des années 1440. Contrairement à la perspective historiographique, qui a soutenu une origine byzantine du néoplatonisme de Nicolas de Cues, nous voulons ici montrer une origine colonienne. Nous sommes également convaincus que cette approche méthodologique permet de saisir efficacement la pensée de Nicolas de Cues dans son contexte historique, « 1430-1464 », et topographique, « entre Cologne et Rome ». Elle fournit aussi une clé pour éclairer le rapport entre la philosophie de Nicolas de Cues et certains penseurs modernes : la Cusanus-Renaissance de la première moitié du XXe siècle avait attribué à Nicolas de Cues le titre de « premier philosophe moderne » parce que, contrairement à la tradition scolastique, il aurait placé au centre de ses œuvres le problème de la connaissance humaine, ouvrant ainsi la voie à la révolution subjectiviste de la modernité. Une telle attention pour la connaissance humaine se retrouve également dans la tradition albertine, décrite comme un « illuminisme » au Moyen Age / In this research, we present the hypothesis that the Albertist tradition in Cologne played a significant role in how young Cusanus acquired his philosophical education, in the years from 1424 to 1431, and that the mediator was Heymericus de Campo. We claim that some traces of this albertist influence can be seen above all in Cusanus' gnoseological works, particularly in De coniecturis and in the Idiota collection. Contrary to the historiographical perspective that maintained the hypothesis that Cusanus’ neo-Platonism derived from Byzantine thought, we should like to sustain here that it originated in the school of Cologne and Rhenish philosophy. We are further convinced that this methodological approach provides an efficient tool for interpreting and capturing Cusanus’ thought within its contexts, both historical ( from “1430 to 1464”) and geographical (“from Cologne to Rome”). Moreover, finding traces of Albertism in Cusanus’s education and works offers a new key to interpreting and clarifying his relationship with modern philosophy. The Cusanus-Renaissance in the first half of the twentieth century saw in Cusanus the first modern philosopher because, unlike those of the Scholastic tradition, he was thought to have placed human knowledge at the core of his works, thus paving the way for the modern, subjectivist revolution. From this standpoint, Albert the Great and his “school” seem be be forerunners of the modern tradition, so much so that it was described as “Enlightenment in the Middle Ages
3

Forma dat esse : les mutations de la forme au Moyen Age (ca. 1250-1350) / Forma dat esse : mutations of form in the Middle Ages (ca. 1250-1350)

Roudaut, Sylvain 04 December 2017 (has links)
Ce travail porte sur les évolutions du concept de forme au Moyen Age, plus précisément entre le XIIIème et le XIVème siècle. Il retrace ces évolutions à travers l'étude de problématiques intriquées qui dominent la métaphysique et la philosophie naturelle du Moyen Age tardif: le problème de l'universel, la controverse de la pluralité des formes, la question de l'intensio formarum, le rapport du fluxus formae au mouvement. / This work deals with the evolution of the concept of form during the late Middle Ages (ca. 1250-1350). It tells the story of this evolution through the study of intricated problems typical of late medieval metaphysics and natural philosophy: the problem of universals, the controversy about the plurality of forms, the intensio formarum debates, the problem of fluxus formae related to motion.
4

Les garanties de la foi chez les penseurs franciscains du XIIIème siècle et du début du XIVème siècle / The warrants of faith for Franciscan thinkers in the 13th century and the beginning of the 14th century

Faucher, Nicolas 01 December 2015 (has links)
Notre travail porte sur la théorisation de la nature et du mécanisme de la foi en milieu franciscain, de 1230 à 1330. Le corpus comprend des questions disputées issues d’œuvres théologiques écrites par plusieurs auteurs franciscains et ceux qui les ont influencés. Nous avons cherché à comprendre quelles instances psychologiques sont mises en jeu pour assurer la fermeté de l’assentiment de la foi et de quelle façon nos auteurs justifient le fait même d’avoir une foi, par opposition par exemple à une connaissance, et le fait d’avoir un assentiment de foi donné, catholique, par opposition à un autre. Selon nous, il existe deux courants historiques : celui qui mène d’Alexandre de Halès et Bonaventure à Olivi et celui qui mène d’Henri de Gand et Godefroid de Fontaines à Duns Scot. D’après nous, ces deux mouvements se caractérisent par la combinaison de deux tendances. La première consiste en une naturalisation de la foi : le rôle de l’action divine surnaturelle dans la production de l’habitus et de l’acte de foi se réduit. La seconde consiste en une « volontarisation » de la foi : la volonté joue un rôle de plus en plus crucial dans l’accomplissement de l’acte de foi et intervient d’une manière de plus en plus large dans la production des croyances humaines en général. Ces tendances se perpétuent au XIVème siècle, par exemple chez Ockham et Holkot. Les justifications de la foi suivent ces deux mouvements : les modèles volontaristes appellent des justifications pratiques plutôt que spéculatives et la naturalisation implique que rien dans le processus de production de la croyance ne puisse, pour le croyant, différencier l’assentiment propre à la foi catholique des autres. / We have chosen to study the theories of the nature and mechanism of religious belief put forward by Franciscan thinkers, from 1230 to 1330. Our corpus is comprised of disputed questions from a diversity of theological works written by Franciscans and those who influenced them. We tried to understand what psychological acts and faculties come into play to ensure the firmness of the assent of faith, and in what way our authors justify the very fact of having faith as opposed, for example, to knowledge, and the fact of having a given faith, the catholic one, as opposed to another. According to us, there exist two historical movements: the one which leads from Alexander of Hales to Bonaventure to Olivi and the one which leads from Henry of Ghent to Godfrey of Fontaines to Duns Scotus. We show that these two movements are characterized by the combination of two tendencies. The first one consists in a naturalization of faith: the role of supernatural divine action in the production of the habitus and act of faith is reduced. The second tendency consists in a “voluntarization” of faith: on the one hand, the will plays a more and more crucial role in the carrying out of the act of faith and, on the other hand, the scope of its intervention in the production of human beliefs in general is ever larger. These tendencies still exist in the 14th century, for example in Ockham and Holkot. The justifications of faith follow these two movements: voluntarist models demand practical rather than speculative justifications while the naturalization of faith entails that nothing in the process of production of belief can, for the believer, distinguish the assent of catholic faith from others.
5

L'âme, l'éternité et le temps dans les commentaires médiévaux du Livre des causes

Joly, Éric 13 April 2021 (has links)
Ouvrage anonyme arabe d’origine néoplatonicienne, ie Livre des Causes fut, jusqu’au commentaire de saint Thomas (en 1272), attribué à Aristote. Par son contenu et le prestige d’Aristote au XIIIe siècle, son influence fut considérable. Bien que sa source première soit les Eléments de théologie de Proclus, l’auteur nous présente un univers intelligible dont la structure dérive des hypostases plotiniennes : la Cause première, l’Intelligence et l'âme noble. Le but de notre thèse est d’étudier la réception de ces principes par le biais de commentaires médiévaux dont les auteurs (Roger Bacon et le pseudo-Hemri de Gand) considèrent le Livre des Causes comme authentiquement aristotélicien. Ces commentateurs nous offrent un précieux témoignage sur la rencontre entre F aristotélisme, le néoplatonisme et le christianisme. Notre travail se situant au croisement de plusieurs traditions philosophiques importantes, nous avons utilisé un angle historique en accordant autant d’importance au néoplatonisme, au Livre des Causes et aux commentateurs médiévaux. Compte tenu des nombreux points d’accord entre le De Cousis et les commentateurs médiévaux, sur la Cause première, nous avons focalisé notre attention sur l’Intelligence et l’âme noble qui sont des thèmes privilégiés de la confrontation entre ces différents auteurs. Ainsi, les caractéristiques de l’Intelligence (l’éternité, la simplicité, l’infinité et son rôle de médiatrice dans la création) sont fermement refusées par les commentateurs médiévaux. Par conséquent, l’Intelligence du Livre des Causes va être transformée en un intellect agent séparé de type avicennien. Seule sa fonction inteilective va être conservée. De son côté, l’âme noble possède des caractéristiques et accomplit des fonctions que l’on ne saurait attribuer à l’âme humaine (notamment la création du temps et du mouvement du Ciel). Pourtant nos commentateurs s’efforcent d’interpréter le Livre des Causes dans le cadre de leur psychologie aristotélicienne, qui n’admet pour l’âme que la fonction d’animation d’un vivant individuel. L’âme noble va ainsi être adaptée pour coïncider avec l’âme humaine. L’Intelligence et l’âme noble subissent donc une importante réduction de leurs fonctions et de leur place dans la hiérarchie. Par cela, nous pensons possible de conclure que les commentateurs accueillaient favorablement certaines thèses néoplatoniciennes, mais refusaient les principes de l’univers pîotinien.
6

Thomas d'Aquin et l'astrologie des corps

Côté, Olivier 11 1900 (has links)
Malgré l’acceptation théorique et pratique que l’astrologie médiévale rencontre au 13e siècle latin, son statut philosophique ambigu tient, au moins en partie, à son double partage en art mécanique et en science libérale. Plus mystérieux encore reste le fait qu’elle apparaisse en Occident sans devoir violenter les cadres philosophiques où elle s’inscrit, aussi chrétiens soient-ils. Du point de vue de l’histoire de la philosophie, ce que cette arrivée en douceur passe sous silence, c’est l’enracinement conceptuel toujours déjà préétabli du projet astrologique à l’intérieur d’un contexte philosophique plus global, dans et par lequel l’idée d’influence astrale valide sa raison d’être. En passant par la philosophie naturelle et la métaphysique de Thomas d’Aquin, ce travail veut montrer comment l’astrologie médiévale survient en terres chrétiennes à partir de la rencontre de la hiérarchie causale de l’être propre à l’arabo-aristotélisme néo-platonisant avec une théologie de la providence divine. D’aporie en aporie, la déconstruction de ce que toute astrologie présuppose prend place, de sorte qu’il devient possible de comprendre l’aspect rationnel et proprement philosophique de l’entreprise astrologique au Moyen Âge. / In spite of the theoretical and practical acceptation that medieval astrology is greeted with during the 13th century in the Latin world, its philosophically ambiguous nature is due, at least partly so, to the distinction made between mechanical arts and liberal sciences. Even more mysterious is the fact that it appears in Occident without having to violate the peripheries of Latin philosophy, as Christian as it could be. From a history of philosophy point of view, this rather smooth entrance seems to imply that the astrological project is always-already conceptually rooted in a philosophical context larger than itself, by which it validates its raison d’être. Through the study of Thomas Aquinas’ natural philosophy and metaphysics, this work demonstrates that medieval astrology could occur among the Christian world whenever the causal hierarchy of being brought forth by Arabic aristotelianism and Neo-Platonism walked hand in hand with the Christian theology of divine providence. From an aporia to another, the deconstruction of what any astrology presupposes therefore takes place, from which it becomes possible to properly understand both the rational and philosophical aspect of the astrological enterprise during the Middle Ages.
7

Le deuxième réalisme du XIIe siècle : Gauthier de Mortagne et la théorie de l’indiuiduum / Il secondo realismo del XII secolo : Gualtiero di Mortagne e la teoria dell’indiuiduum / 12th-century second realism : Walter of Mortagne and the indiuiduum-theory

Tarlazzi, Caterina 25 March 2013 (has links)
La recherche comporte deux aspects principaux. Premièrement, la thèse analyse une solution réaliste au problème des universaux datant du début du XIIe siècle et que l’on nomme ici ‘théorie de l’indiuiduum’ (= ThI; aussi connue sous les noms de ‘théorie de l’indifférence’, ‘théorie du status’, ‘deuxième théorie de la collectio’ etc.). Selon ThI, l’universel est l’individu lui-même dans l’un de ses status. ThI utilise en outre des éléments abélardiens pour une solution tout à fait opposée à celle d’Abélard. ThI est ici étudiée dans le cadre d’une analyse des solutions réalistes au problème des universaux présentées par cinq sources : la Logica ‘Ingredientibus’ d’Abélard, la Logica ‘Nostrorum’, le ‘De generibus et speciebus’ (qu’on cite à partir d’une transcription directe du ms. Orléans, BM, 266, pp. 154b-163a), le traité ‘Quoniam de generali’ et le commentaire inédit ‘P17’ à l’Isagoge du ms. Paris, BnF, lat. 3237, ff. 123ra–124va et 125ra–130rb. Cette recherche prend en compte non seulement ThI, mais aussi les autres théories réalistes (la théorie de l’essence matérielle, une variante de celle-ci, la théorie de la collectio et une troisième solution réaliste de la ‘Nostrorum’) qui sont décrites avec ThI, ainsi que les 78 arguments contre le réalisme cités par les textes, ici catalogués et analysés en détail. Deuxièmement, la thèse examine la question de l’attribution de ThI à Gauthier de Mortagne, qui fut maître à Reims et à Laon dans les premières décennies du siècle et dont la vie et les œuvres font ici l’objet d’une présentation. L’attribution se fonde sur le témoignage du Metalogicon (II, 17) de Jean de Salisbury qu’il convient de comparer aux données du Policraticus. / This research project has two main objectives. First, its aim is to study a realist solution to the problem of universals from the early 12th century. This is called the indiuiduum-theory (=IndT; previous denominations include: indifference-theory, status-theory, second collectio-theory, etc.). IndT claims the universal to be a thing (res); in fact, it claims the universal to be the individual thing itself in one of its states (status). It makes use of some key notions of Abelard’s philosophy to produce a remarkably non-Abelardian sort of solution. The thesis subjects IndT to scrutiny by taking into consideration five main sources (which either describe IndT in order to criticise it, or in order to support it): Abelard’s Logica ‘Ingredientibus’, Logica ‘Nostrorum’, ‘De generibus et speciebus’ (transcribed directly from ms. Orléans, BM, 266, pp. 154b-163a), ‘Quoniam de generali’ and the Isagoge Commentary ‘P17’ (from ms. Paris, BnF, lat. 3237, ff. 123ra–124va, 125ra–130rb). Not only IndT, but the whole description of realism found in these texts is investigated. This includes an analysis of other realist views (different versions of material essence realism; the collectio-theory; a third realist solution in the Logica ‘Nostrorum’) together with a catalogue and detailed analysis of the 78 arguments presented against such realist views to be found in the five sources. A second aim of this work is to investigate whether IndT can be attributed to Walter of Mortagne, who was a master in Reims and Laon in the first decades of the 12th century. The attribution, which is based on John of Salisbury’s testimony in Metalogicon II, 17, is to be compared with John’s Policraticus.
8

Thomas d'Aquin et l'astrologie des corps

Côté, Olivier 11 1900 (has links)
Malgré l’acceptation théorique et pratique que l’astrologie médiévale rencontre au 13e siècle latin, son statut philosophique ambigu tient, au moins en partie, à son double partage en art mécanique et en science libérale. Plus mystérieux encore reste le fait qu’elle apparaisse en Occident sans devoir violenter les cadres philosophiques où elle s’inscrit, aussi chrétiens soient-ils. Du point de vue de l’histoire de la philosophie, ce que cette arrivée en douceur passe sous silence, c’est l’enracinement conceptuel toujours déjà préétabli du projet astrologique à l’intérieur d’un contexte philosophique plus global, dans et par lequel l’idée d’influence astrale valide sa raison d’être. En passant par la philosophie naturelle et la métaphysique de Thomas d’Aquin, ce travail veut montrer comment l’astrologie médiévale survient en terres chrétiennes à partir de la rencontre de la hiérarchie causale de l’être propre à l’arabo-aristotélisme néo-platonisant avec une théologie de la providence divine. D’aporie en aporie, la déconstruction de ce que toute astrologie présuppose prend place, de sorte qu’il devient possible de comprendre l’aspect rationnel et proprement philosophique de l’entreprise astrologique au Moyen Âge. / In spite of the theoretical and practical acceptation that medieval astrology is greeted with during the 13th century in the Latin world, its philosophically ambiguous nature is due, at least partly so, to the distinction made between mechanical arts and liberal sciences. Even more mysterious is the fact that it appears in Occident without having to violate the peripheries of Latin philosophy, as Christian as it could be. From a history of philosophy point of view, this rather smooth entrance seems to imply that the astrological project is always-already conceptually rooted in a philosophical context larger than itself, by which it validates its raison d’être. Through the study of Thomas Aquinas’ natural philosophy and metaphysics, this work demonstrates that medieval astrology could occur among the Christian world whenever the causal hierarchy of being brought forth by Arabic aristotelianism and Neo-Platonism walked hand in hand with the Christian theology of divine providence. From an aporia to another, the deconstruction of what any astrology presupposes therefore takes place, from which it becomes possible to properly understand both the rational and philosophical aspect of the astrological enterprise during the Middle Ages.
9

Presença de Agostinho na tese de Tomás de Aquino sobre o conhecimento humano : a primeira parte da suma de teologia

Berger, André de Deus 10 December 2012 (has links)
Made available in DSpace on 2016-06-02T20:13:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 4835.pdf: 889257 bytes, checksum: 5569d9f292ee2ebe5456239a1116688c (MD5) Previous issue date: 2012-12-10 / Financiadora de Estudos e Projetos / On essaye ici d esquisser comment Thomas d Aquin propose interpréter la philosophie d Augustin pendant il présente sa théorie de la connaissance humaine dans la première partie de la Somme de théologie. La dispute de laquelle découle cette théorie thomasienne a son origine dans des diverses interprétations de la Physique et de la Métaphysique d Aristote introduites par des neufs traductions de ces textes qui ont été produites à partir du XIIème siècle chez l Europe. On se demandait alors sur la possibilité de la connaissance intellectuelle du sensible au même temps qu on poursuivait le problème de savoir s il est possible de soutenir l existence d une relation entre des choses qu existent de façons diverses, à savoir, l intellect de l homme, lequel est quelque chose d immatériel et prédisposé à la universalité, et les sensibles, lesquels sont appréhendés par les sens comme choses matérielles et singulières. Dans sa réponse, Thomas d Aquin offre la thèse selon laquelle c est possible pour l intellect de l homme, lequel, si bien que sans matière, est aussi uni avec un corps matériel et singulier, connaitre les natures (immatérielles et universelles) des choses sensibles (matérielles et singulières). Selon Thomas, la connaissance humaine a son début avec la réception des formes des choses matérielles, laquelle se déroule suivant deux étapes diverses selon lesquelles nous avons, en premier lieu, la appréhension du « sensible » et, puis, la appréhension du « intelligible ». C est la majeure ou la mineure proximité de la matière qui serait la plus important mesure de cette distinction : la connaissance sensible c est l appréhension des choses matérielles par moyen de la modification des organes du corps et travers laquelle la forme est appréhendée mélangée avec la matière. La connaissance intellectuelle, cependant, ne s utilise pas de aucun organe corporel et, par conséquence, est absolument immatérielle. Dans cette thèse on présuppose la nécessité de l existence d une relation entre la connaissance sensible et la connaissance intellectuelle pour que la connaissance intellectuelle de la chose matérielle soit devenue possible. C est ainsi que, selon Thomas, les sens produisent dans le sujet qui connait une similitude sensible qui représente la chose matérielle avant que la forme intellectuelle de la chose soit elle-même produite. Cette similitude sensible serait le point de début de la production intellectuelle d une seconde similitude, intellectuelle, décrite par Thomas comme ce par quoi la nature de la chose matérielle est connue. La première similitude, sensible, a été appelée « phantasme », l autre, intellectuelle, l « espèce intelligible », et le producteur de celle-ci, l « intellect agent ». Dans ce travail on propose déchiffrer la fonction de chacun de ces éléments qui composent cette théorie de Thomas aussi comme les relations que cette argumentation soutienne maintenir avec la philosophie d Augustin. Dans ce procès, on verra d une façon surprenante l évêque d Hippone être présenté par Thomas comme un partisan d Aristote contraire à des thèses attribuées, dans une formulation très générale, bien à Platon (auquel Avicenne est ajouté), bien aux philosophes présocratiques. / O objetivo deste trabalho é trazer à tona a presença de Agostinho na formulação da tese de Tomás de Aquino sobre o conhecimento intelectual humano apresentada na primeira parte de sua Suma de Teologia. O debate no qual a tese tomasiana se insere é suscitado por diferentes interpretações da física e metafisica de Aristóteles, em contraste com a tradição patrística, possibilitadas por traduções para o latim realizadas na Europa a partir do século XIII. A pergunta que se coloca é sobre a possibilidade de conhecimento intelectual daquilo que é sensível. O problema é a relação entre coisas cujo modo de existência é diverso: o intelecto humano é imaterial e se remete a algo universal, enquanto as coisas sensíveis são materiais e singulares. Tomás responde essa questão favoravelmente, apresentando a tese de que é possível ao intelecto humano imaterial, porém, unido a um corpo singular, conhecer as naturezas (imateriais e universais) das coisas sensíveis (materiais e singulares). De acordo com o autor, o conhecimento é oriundo de um processo de recepção de formas. No caso do homem, esse processo ocorre de dois modos diversos: sensível e inteligível. Esses modos de cognição se diferenciam conforme sua relação com a matéria: a cognição sensível é um modo de recepção das formas oriundas das coisas materiais que ocorre através de modificação de órgãos corporais, sendo portanto uma recepção material. A cognição inteligível é um modo de recepção que não utiliza órgão corpóreo algum, sendo portanto imaterial. A tese tomasiana afirma uma necessária relação interna entre a cognição sensível e a inteligível, que garante a possibilidade de ocorrência de conhecimento intelectual humano dos sensíveis. De acordo com Tomás os sentidos produzem no cognoscente uma semelhança sensível interna, representativa da coisa material, após a apreensão da forma da coisa. No caso do homem essa semelhança sensível serve ao intelecto para a produção de outra semelhança, em si mesmo. Essa outra semelhança, porém, é inteligível e afirmada como aquilo pelo que a natureza da coisa material é conhecida. A semelhança sensível é chamada phantasma , a semelhança inteligível é a espécie inteligível e o produtor da espécie inteligível é chamado intelecto agente . O itinerário a seguir apresentará o papel que cada um desses elementos ocupa na tese de Tomás, com o propósito de evidenciar como sua argumentação se fundamenta em interpretações sobre Agostinho. O bispo de Hipona é lido em concordância com Aristóteles e contra reconstruções de teses imputadas genericamente a Platão, de um lado (além de Avicena, associado por Tomás ao platonismo), e aos pré-socráticos, de outro.
10

L’activité philosophique comme condition nécessaire à l’établissement d’un État juste dans la pensée d’Averroès

Rebbache, Meriem 08 1900 (has links)
Ibn Rushd, mieux connu sous son nom latinisé, Averroès, incarne l’esprit de la pensée rationnelle en Islam médiéval comme contemporain. L’œuvre de celui qui a voulu éradiquer, il y a de cela plus de huit siècles, le dogmatisme et le fanatisme religieux en défendant plutôt un Islam éclairé, nécessitant, pour ce faire, d’accueillir à bras ouverts la pratique philosophique, n’a, en effet, aujourd’hui certainement pas perdu de son actualité. Le présent travail propose ainsi de s’intéresser à cette importante tentative de réformation religieuse encouragée par Averroès, en étudiant, dans le détail, l’articulation entre philosophie et religion qui caractérise surtout sa pensée politique. Averroès était un penseur musulman, ayant développé sa pensée dans un contexte politico-religieux bien précis, dont la première partie s’évertuera à établir les bases nécessaires permettant d’entreprendre notre recherche tout en reconnaissant son caractère moderne. La deuxième partie du travail consistera à exposer la manière dont Averroès fonde, en droit, l’obligation, en vertu de la Révélation, de la pratique philosophique, pour le musulman qui en est capable. La troisième et dernière partie présentera finalement les retombées pratiques de cette interdépendance entre religion et philosophie, précisément en ce qui a trait à l’établissement d’une Cité juste en Terre d’Islam. S’imposera alors de poser un regard critique sur la pensée d’Averroès duquel émergera plusieurs réflexions dont la pertinence aura su persister à travers les siècles. / Ibn Rushd, better known under his latinized name, Averroes, embodies the spirit of the rational thinking in medieval and contemporary Islam. Indeed, the work of him who wanted to eradicate, eight centuries ago, religious dogmatism and fanatism by defending an enlightened Islam, requiring, in doing so, to welcome philosophical practice with open arms, certainly did not lost its relevance. The present work thus proposes to take an interest in this important attempt to a religious reform, defended by Averroes, by studying, in detail, the articulation between philosophy and religion which particularly characterizes his political though. Averroes was a Muslim philosopher who developed his approach in a very specific political-religious context whose foundations will then be developed in the first part of this work in order to understand the necessary basis to undertake our research, while recognizing its modern character. The second part of this work will consist in exposing the way Averroes legitimizes the obligation of the philosophical practice, in virtue of the Revelation, for those who are capable of it. The third and last part will finally present the practical repercussions of the interdependence between religion and philosophy, precisely with regards to the establishment of a just City in the land of Islam. A critical look will then be taken on the thoughts of Averroes from which will emerge several reflections whose relevance has persisted throughout the centuries.

Page generated in 0.0743 seconds