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Forma dat esse : les mutations de la forme au Moyen Age (ca. 1250-1350) / Forma dat esse : mutations of form in the Middle Ages (ca. 1250-1350)

Roudaut, Sylvain 04 December 2017 (has links)
Ce travail porte sur les évolutions du concept de forme au Moyen Age, plus précisément entre le XIIIème et le XIVème siècle. Il retrace ces évolutions à travers l'étude de problématiques intriquées qui dominent la métaphysique et la philosophie naturelle du Moyen Age tardif: le problème de l'universel, la controverse de la pluralité des formes, la question de l'intensio formarum, le rapport du fluxus formae au mouvement. / This work deals with the evolution of the concept of form during the late Middle Ages (ca. 1250-1350). It tells the story of this evolution through the study of intricated problems typical of late medieval metaphysics and natural philosophy: the problem of universals, the controversy about the plurality of forms, the intensio formarum debates, the problem of fluxus formae related to motion.
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Presença de Agostinho na tese de Tomás de Aquino sobre o conhecimento humano : a primeira parte da suma de teologia

Berger, André de Deus 10 December 2012 (has links)
Made available in DSpace on 2016-06-02T20:13:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 4835.pdf: 889257 bytes, checksum: 5569d9f292ee2ebe5456239a1116688c (MD5) Previous issue date: 2012-12-10 / Financiadora de Estudos e Projetos / On essaye ici d esquisser comment Thomas d Aquin propose interpréter la philosophie d Augustin pendant il présente sa théorie de la connaissance humaine dans la première partie de la Somme de théologie. La dispute de laquelle découle cette théorie thomasienne a son origine dans des diverses interprétations de la Physique et de la Métaphysique d Aristote introduites par des neufs traductions de ces textes qui ont été produites à partir du XIIème siècle chez l Europe. On se demandait alors sur la possibilité de la connaissance intellectuelle du sensible au même temps qu on poursuivait le problème de savoir s il est possible de soutenir l existence d une relation entre des choses qu existent de façons diverses, à savoir, l intellect de l homme, lequel est quelque chose d immatériel et prédisposé à la universalité, et les sensibles, lesquels sont appréhendés par les sens comme choses matérielles et singulières. Dans sa réponse, Thomas d Aquin offre la thèse selon laquelle c est possible pour l intellect de l homme, lequel, si bien que sans matière, est aussi uni avec un corps matériel et singulier, connaitre les natures (immatérielles et universelles) des choses sensibles (matérielles et singulières). Selon Thomas, la connaissance humaine a son début avec la réception des formes des choses matérielles, laquelle se déroule suivant deux étapes diverses selon lesquelles nous avons, en premier lieu, la appréhension du « sensible » et, puis, la appréhension du « intelligible ». C est la majeure ou la mineure proximité de la matière qui serait la plus important mesure de cette distinction : la connaissance sensible c est l appréhension des choses matérielles par moyen de la modification des organes du corps et travers laquelle la forme est appréhendée mélangée avec la matière. La connaissance intellectuelle, cependant, ne s utilise pas de aucun organe corporel et, par conséquence, est absolument immatérielle. Dans cette thèse on présuppose la nécessité de l existence d une relation entre la connaissance sensible et la connaissance intellectuelle pour que la connaissance intellectuelle de la chose matérielle soit devenue possible. C est ainsi que, selon Thomas, les sens produisent dans le sujet qui connait une similitude sensible qui représente la chose matérielle avant que la forme intellectuelle de la chose soit elle-même produite. Cette similitude sensible serait le point de début de la production intellectuelle d une seconde similitude, intellectuelle, décrite par Thomas comme ce par quoi la nature de la chose matérielle est connue. La première similitude, sensible, a été appelée « phantasme », l autre, intellectuelle, l « espèce intelligible », et le producteur de celle-ci, l « intellect agent ». Dans ce travail on propose déchiffrer la fonction de chacun de ces éléments qui composent cette théorie de Thomas aussi comme les relations que cette argumentation soutienne maintenir avec la philosophie d Augustin. Dans ce procès, on verra d une façon surprenante l évêque d Hippone être présenté par Thomas comme un partisan d Aristote contraire à des thèses attribuées, dans une formulation très générale, bien à Platon (auquel Avicenne est ajouté), bien aux philosophes présocratiques. / O objetivo deste trabalho é trazer à tona a presença de Agostinho na formulação da tese de Tomás de Aquino sobre o conhecimento intelectual humano apresentada na primeira parte de sua Suma de Teologia. O debate no qual a tese tomasiana se insere é suscitado por diferentes interpretações da física e metafisica de Aristóteles, em contraste com a tradição patrística, possibilitadas por traduções para o latim realizadas na Europa a partir do século XIII. A pergunta que se coloca é sobre a possibilidade de conhecimento intelectual daquilo que é sensível. O problema é a relação entre coisas cujo modo de existência é diverso: o intelecto humano é imaterial e se remete a algo universal, enquanto as coisas sensíveis são materiais e singulares. Tomás responde essa questão favoravelmente, apresentando a tese de que é possível ao intelecto humano imaterial, porém, unido a um corpo singular, conhecer as naturezas (imateriais e universais) das coisas sensíveis (materiais e singulares). De acordo com o autor, o conhecimento é oriundo de um processo de recepção de formas. No caso do homem, esse processo ocorre de dois modos diversos: sensível e inteligível. Esses modos de cognição se diferenciam conforme sua relação com a matéria: a cognição sensível é um modo de recepção das formas oriundas das coisas materiais que ocorre através de modificação de órgãos corporais, sendo portanto uma recepção material. A cognição inteligível é um modo de recepção que não utiliza órgão corpóreo algum, sendo portanto imaterial. A tese tomasiana afirma uma necessária relação interna entre a cognição sensível e a inteligível, que garante a possibilidade de ocorrência de conhecimento intelectual humano dos sensíveis. De acordo com Tomás os sentidos produzem no cognoscente uma semelhança sensível interna, representativa da coisa material, após a apreensão da forma da coisa. No caso do homem essa semelhança sensível serve ao intelecto para a produção de outra semelhança, em si mesmo. Essa outra semelhança, porém, é inteligível e afirmada como aquilo pelo que a natureza da coisa material é conhecida. A semelhança sensível é chamada phantasma , a semelhança inteligível é a espécie inteligível e o produtor da espécie inteligível é chamado intelecto agente . O itinerário a seguir apresentará o papel que cada um desses elementos ocupa na tese de Tomás, com o propósito de evidenciar como sua argumentação se fundamenta em interpretações sobre Agostinho. O bispo de Hipona é lido em concordância com Aristóteles e contra reconstruções de teses imputadas genericamente a Platão, de um lado (além de Avicena, associado por Tomás ao platonismo), e aos pré-socráticos, de outro.
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L’activité philosophique comme condition nécessaire à l’établissement d’un État juste dans la pensée d’Averroès

Rebbache, Meriem 08 1900 (has links)
Ibn Rushd, mieux connu sous son nom latinisé, Averroès, incarne l’esprit de la pensée rationnelle en Islam médiéval comme contemporain. L’œuvre de celui qui a voulu éradiquer, il y a de cela plus de huit siècles, le dogmatisme et le fanatisme religieux en défendant plutôt un Islam éclairé, nécessitant, pour ce faire, d’accueillir à bras ouverts la pratique philosophique, n’a, en effet, aujourd’hui certainement pas perdu de son actualité. Le présent travail propose ainsi de s’intéresser à cette importante tentative de réformation religieuse encouragée par Averroès, en étudiant, dans le détail, l’articulation entre philosophie et religion qui caractérise surtout sa pensée politique. Averroès était un penseur musulman, ayant développé sa pensée dans un contexte politico-religieux bien précis, dont la première partie s’évertuera à établir les bases nécessaires permettant d’entreprendre notre recherche tout en reconnaissant son caractère moderne. La deuxième partie du travail consistera à exposer la manière dont Averroès fonde, en droit, l’obligation, en vertu de la Révélation, de la pratique philosophique, pour le musulman qui en est capable. La troisième et dernière partie présentera finalement les retombées pratiques de cette interdépendance entre religion et philosophie, précisément en ce qui a trait à l’établissement d’une Cité juste en Terre d’Islam. S’imposera alors de poser un regard critique sur la pensée d’Averroès duquel émergera plusieurs réflexions dont la pertinence aura su persister à travers les siècles. / Ibn Rushd, better known under his latinized name, Averroes, embodies the spirit of the rational thinking in medieval and contemporary Islam. Indeed, the work of him who wanted to eradicate, eight centuries ago, religious dogmatism and fanatism by defending an enlightened Islam, requiring, in doing so, to welcome philosophical practice with open arms, certainly did not lost its relevance. The present work thus proposes to take an interest in this important attempt to a religious reform, defended by Averroes, by studying, in detail, the articulation between philosophy and religion which particularly characterizes his political though. Averroes was a Muslim philosopher who developed his approach in a very specific political-religious context whose foundations will then be developed in the first part of this work in order to understand the necessary basis to undertake our research, while recognizing its modern character. The second part of this work will consist in exposing the way Averroes legitimizes the obligation of the philosophical practice, in virtue of the Revelation, for those who are capable of it. The third and last part will finally present the practical repercussions of the interdependence between religion and philosophy, precisely with regards to the establishment of a just City in the land of Islam. A critical look will then be taken on the thoughts of Averroes from which will emerge several reflections whose relevance has persisted throughout the centuries.
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Histoire d’un historien des philosophies médiévales : vie et oeuvre de François Picavet (1851-1921) / History of a historian of medieval philosophy : life and work of François Picavet (1851-1921)

Atucha, Iñigo 08 October 2015 (has links)
La biographie intellectuelle de François Picavet (1851-1921) fournit l’occasion d’explorer les débuts de l’histoire de la philosophie médiévale en tant que discipline institutionnalisée, en France, de 1880 à 1920. Figure oubliée du médiévisme philosophique, Picavet fut maître de conférence à l’EPHE (section des sciences religieuses) dès 1888, puis directeur d’études à partir de 1907, secrétaire du Collège de France en 1904 et chargé de cours en histoire des philosophies médiévales à la Faculté des lettres de la Sorbonne dès 1906.Le parcours académique de Picavet s’inscrit dans un contexte particulier, qui voit l’histoire de la philosophie médiévale s’implanter de façon structurée et stable dans l’enseignement supérieur français. De même que d’autres disciplines institutionnalisées, l’histoire de la philosophie médiévale tire profit de la nécessité d’une réforme profonde du système universitaire, articulée dans les sphères politiques et scientifiques dès les années 1860 puis prolongée sous l’impulsion de la IIIe République, et qui aboutit à l’émergence de nouvellesstructures institutionnelles dans l’enseignement supérieur français (fondation de l’EPHE en 1868, création de nouveaux enseignements à la Sorbonne, dont une charge de cours en histoire de la philosophie médiévale en 1906). L’historiographie originale de Picavet restreint la signification des questions philosophiques médiévales qui demeurent liées à leur contexte historique d’origine: chaque système philosophique est ainsi l’expression partielle d’une civilisation donnée, au même titre que les expressions scientifiques, artistiques et artisanales que celle-ci est en mesure de produire et qui la caractérisent. / The intellectual biography of François Picavet (1851-1921) is an opportunity to explore the early days of the history of mediaeval philosophy as an institutionalised discipline in France from 1880 to 1920. A forgotten figure of the study of mediaeval philosophy, Picavet was a lecturer at EPHE (Religious Sciences department) from 1888 and director of studies from 1907, secretary of the Collège de France in 1904 and lecturer in the history of mediaeval philosophy at the Arts Faculty of the Sorbonne from 1906 onwards. Picavet’s academic career took place within a particular context in which the history of mediaeval philosophy came to be established in a structured and stable manner in French higher education. Like other institutionalised disciplines, the history of mediaeval philosophy benefited from the need for deep-seated reform of the university system, which was expressed in political and scientific circles from around 1860 and continued under the Third Republic, resulting in the emergence of new institutional structures in French higher education (the foundation of EPHE in 1868 and the creation of new courses at the Sorbonne, including a history of mediaeval philosophy course in 1906). Picavet’s original historiography confines the significance of mediaeval philosophical questions, which remain bound to the historical context in which they originated: thus, every philosophical system is the partial expression of a given civilisation, just like the scientific, artistic and craft related expressions which it produces and which characterise it.

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