This dissertation proposes a phenomenological investigation into value and feeling in classical and "neo-" Confucianism, particularly in the works of Mencius and Wang Yangming, in light of the German phenomenologist Max Scheler's clarification of human experience and theory of value. The phenomenological method and attitude, which seek essence by resorting to concrete personal and interpersonal experience rather than relying on the presuppositions of conceptual systems, offers a fresh and insightful perspective from which to examine the experiential pattern of morals in Confucian tradition. In order to illustrate how moral feelings and values establish each other, I examine the feeling-value correlations of love, sympathy and ren, shame and righteousness, respect and ritual propriety, and approval and wisdom, developed from Mencius' discussion on four initial moral emotions. This work not only clarifies the optimal experience of moral feelings, but also points out the concrete contents of what Wang Yangming calls the pure knowing of Heavenly principle. This phenomenological presentation of Confucian values, especially as mediated by Wang with some clarification through Scheler's thought, opposes both the dogmatic and relativist conceptions of principle (li) and the abstract interpretations of "pure knowing" (liang zhi) as having no concrete content, and thus it is relevantly applicable in directing our moral lives. The clarification of experience in different traditions is significant for research in both phenomenology and Chinese philosophy, and the experiential analysis made possible by this approach offers greater possibilities for mutual understanding among various cultures in the world.

Made available in DSpace on 2013-08-07T18:56:17Z (GMT). No. of bitstreams: 1 000379952-Texto+Completo-0.pdf: 684873 bytes, checksum: b6fdcf954c514edb97b9c27d3393e988 (MD5) Previous issue date: 2006 / Este trabalho traz o resultado de uma investigação sobre a fundamentação gnosiológica e antropológica da ética material dos valores de Max Scheler, enfocando sobretudo a percepção dos valores na sua chamada fase fenomenológica, cuja obra mais marcante é “O formalismo na ética e a ética material dos valores” (1913-1916). Na dimensão gnosiológica, a percepção dos valores tem caráter ‘sentimental’ ou ‘emocional’, ou ainda dito ‘afetivo’. Isto significa que o espírito tem atos de intuição que não se limitam aos atos da consciência intelectiva. Os atos de perceber sentimental são atos intencionais pelos quais o valor se dá de modo imediato para o espírito. A consciência intelectiva somente tem acesso ao valor de modo mediado. O saber emocional ou afetivo é anterior ao conhecer intelectivo. É o que dá a este seus objetos. Isto se apóia em novas perspectivas antropológicas. A antropologia de Max Scheler sepulta de vez o puro idealismo racionalista. O ser conhecedor é um ser vivente. Trata-se de uma visão de homem que mantém o pé na matéria mesma da vida, nos impulsos da natureza, nas várias esferas de ser que o constituem, sem ser naturalista: a esfera do ser vivente em geral, a esfera animal, a esfera da comunidade, e a esfera do espírito, o diferencial pelo qual o homem se constitui como pessoa. A pessoa é centro espiritual de atos ligado à dimensão do vivente, ser livre que pode e deve transitar entre as suas esferas constituintes, às quais estão relacionados os valores. Voltando assim à ética, da mesma forma que na antropologia a idéia de esferas hierárquicas aponta para uma superioridade dos valores menos relativos ao que é contingente, superando assim tanto a ética idealista quanto a empirista, e fazendo sobressair o valor absoluto da pessoa. O ato bom é o que vai além da boa intenção, e realiza concretamente um bem no mundo. O bem maior é a realização da pessoa.

En este artículo, presentaremos la concepción de fundamentación fenomenológicaa partir del diálogo entre Scheler y Ricoeur. Para ambos autores, al igual que para Husserl, la fundamentación constituye la labor primordial de la fenomenología, si bien, para Scheler, la fenomenología es una actitud y, para Ricoeur, es un método. Así pues, en primer lugar, mostramos de qué modo sus concepciones de fenomenología, si bien son distintas, son ambas correlativas al concepto de fundamentación en el sentido de “hacer evidente”, por medio de una reducción que apunta a una experiencia originaria, vivida siempre en primera persona. En segundo lugar, abordaremos en qué sentido la labor de fundamentación para ambos autores no puede comprenderse sin una labor de explicitación que forma parte de la fundamentación, lo cual justifica el que podamos hablar de un diálogo entre ambos y nos permite resaltar el aporte de este diálogo para el debate filosófico contemporáneo.

What is a human being? In the early 20th century, the "philosophical anthropologists" Max Scheler, Helmuth Plessner, and Arnold Gehlen approached this question through a comparison between human and non-human organisms' species-typical interaction with environments and an account of the conditions of the emergence of "higher" cognitive and agentive functions on this basis. In this text I offer a critical review of the central arguments of Scheler, Plessner, and Gehlen on these issues, as well as of their debates with figures such as Jakob von Uexküll, Martin Heidegger, and G. H. Mead. I take note of the consequences of various answers to this question for the interpretation of human beings' dually biological and cultural status and for the theory of the human self or person. I argue that the approaches of Plessner and Gehlen, despite objections raised by Hans Joas and others, have important advantages over those of Scheler, Uexküll, Heidegger, and Mead, as well as over recent suggestions by Korsgaard and Tomasello. I conclude by outlining a reconstructed philosophical anthropology that supports a new perspective on the question of human distinctiveness and on a number of related questions in the context of contemporary debates. / Philosophy

Ce travail de recherche a pour but de faire une synthèse interprétative du concept de la sympathie dans l'œuvre de Max Scheler. Nous ne prétendons pas y parvenir avec grand succès pour les 3 raisons suivantes: premièrement, plusieurs thèmes riches et complexes s'entrecoupent au moment de présenter des définitions exactes. Par exemple, nous avons rencontrée de grandes difficultés au premier chapitre à spécifier ce que sont les états psychiques parce que de tels concepts exigent la participation de plusieurs autres notions. Scheler lui-même, à l'intérieur de son œuvre, n'arrive pas à expliciter avec clarté et concision ces thèmes qui l'ont préoccupés pour la quasi totalité de sa vie. Deuxièmement, la quantité de concepts faisant objet de confusion, comparables aux états psychiques, n’est pas moindre. Le temps consacré aux tentatives de descriptions nous obligeait parfois à laisser de côté la méthode de synthèse, utilisant uniquement les voies de l'analyse. Troisièmement, le souci de rigueur a fait en sorte que nous nous sommes référée à maintes reprises à l'original du texte. Là encore, des subtilités aussi primordiales que la distinction entre Einfühlung et Einfühlung avaient été laissées pour compte dans la traduction de M. Lefebvre, transformant ainsi l'idée initiale de l'auteur de Essence et formes de la sympathie et nous obligeant à assurer notre propre traduction. On peut ainsi, avec raison, objecter le manque de rigueur, l'absence de clarté, le passage trop rapide d'une explication à une autre. Toutefois, nous considérons comme un privilège d'avoir pu côtoyer pendant quelques années ces grandes idées. Et c'est avec gratitude que nous tenons ici à remercier notre directeur de thèse, M. Jaromir Danek. pour avoir su, pour avoir compris, pour avoir senti que les fondements de cette thèse ne reposaient pas toujours sur un terrain propice à la rigueur scientifique, mais qui pourtant ouvrira, et nous le disons avec conviction, sur un intérêt marqué à ?replonger" dans de telles profondeurs, en apportant alors davantage de précisions et de cohérence. Donc, que le lecteur ne nous blâme pas d'avoir eu l'audace d'aller à la rencontre d'un des plus grands penseurs de notre temps, au détriment, nous le répétons, d'une certaine perfection dans l'engagement d'effectuer une synthèse; mais qu'il garde cependant comme pensée-de-fond lors de sa lecture que cette thèse est, en quelque sorte, le reflet d'une problématique de tout temps: la présence d'émotions dans la tentative de communiquer avec l'Autre et dans la compréhension du monde qui l'entoure.

La thèse que nous proposons aboutit à une interprétation de l’ouvrage philosophique de Karol Wojtyla qu’est Osoba i czyn ou enfrançais Personne et acte. Dans sa préface, l’auteur présente cet essai non seulement issu de ses travaux concernant Max Scheler,mais également né d’une interrogation jaillie « dans l’esprit de celui qui » le rédigeant « étudia alors saint Thomas ». La présenteétude de ce texte phénoménologique tâche de comprendre un tant soit peu le lecteur de Thomas d’Aquin qui élabore cet ouvrage.Les écrits qui sont les témoins de l’histoire philosophique de Wojtyla et concernent tant Jean de la Croix ou Max Scheler queThomas d’Aquin, aident à comprendre l’auteur de Personne et acte. Leur examen ainsi que celui de ce dernier essai conduisent àrendre compte de l’importance de l’amour qui est seulement évoqué au terme du texte. Pour Wojtyla, la mystique de Jean de laCroix, dans laquelle l’amour joue un rôle primordial, est radicalement conforme à la doctrine thomasienne. Cette dernière se trouvealors enrichie par une prise en compte de la réalité en tant qu’elle est vécue par le sujet. Dans la phénoménologie schelerienne, quitend à manifester la personne dans l’amour, Wojtyla apprécie à nouveau cette considération de l’expérience qui manquait àThomas d’Aquin. Mais il remarque que l’émotionnalisme de Scheler conduit à une erreur résultant « de la radicale séparation del’opérativité de la personne d’avec son amour ». Dans Personne et acte, la pensée thomasienne permet à Wojtyla de corriger lapensée schelerienne en s’appuyant sur la conception de l’actus humanus. Le thomisme carmélitain de l’ouvrage implique uncertain « antithomisme » méthodologique étonnamment adéquat à la pensée thomasienne. A l’instar de la mystique, Personne etacte peut donc être interprété comme la description d’un exercice pratique de connaissance de la personne dans son acte : unexercice qui est une voie d’amour et plus précisément une voie d’extase nocturne où l’amour même est connaissance. / Our Doctoral Thesis is an interpretation of Karol Wojtyla’s philosophical work “Osoba i czyn” (in English Person and Act). In hispreface the author describes his work as emanating not only from his research on Max Scheler, but also as originating from aquestion that arose “from the mind of the one whom”, while writing on St. Thomas, “was at the same time studying him.” Thepresent study of this phenomenological text tries to arrive at a better understanding of the reader of St. Thomas as he develops hiswork. Wojtyla’s philosophical influences include John of the Cross and Max Scheler, as well as Thomas Aquinas. These allcontribute to an understanding of the author of Person and Act. The examination of these works, along with Person and Act, leadsto the revelation of the importance of love, which is however only mentioned at the end of the latter text. For Wojtyla, the mysticismof John of the Cross, in which love has a central role, is completely in accordance with Thomistic doctrine. This doctrine is thenenriched by taking into account the reality as experienced by the subject. In Schelerian phenomenology, where the person revealshimself in the act of love, Wojtyla found here what he thought was precisely lacking in St. Thomas. But he noted that Scheler’semotionalism leads to an error arising from “the radical separation between the person’s actions and his love.” In Person and Act,Wojtyla, by applying the Thomistic doctrine of actus humanus, is able to correct the weakness inherent in Schelerian thought. Thework’s Carmelitan Thomism suggests a certain anti-Thomistic methodology which is paradoxically consistent with Thomisticdoctrine. Like the mystic himself, Person and Act can thus be interpreted as the description of a practical exercise of knowledge ofthe person in action: an exercise which is a way of love, or, more precisely, a way of dark ecstasy where love itself is knowledge.

Made available in DSpace on 2015-04-14T13:54:58Z (GMT). No. of bitstreams: 1 379952.pdf: 684873 bytes, checksum: b6fdcf954c514edb97b9c27d3393e988 (MD5) Previous issue date: 2006-07-10 / Este trabalho traz o resultado de uma investiga??o sobre a fundamenta??o gnosiol?gica e antropol?gica da ?tica material dos valores de Max Scheler, enfocando sobretudo a percep??o dos valores na sua chamada fase fenomenol?gica, cuja obra mais marcante ? O formalismo na ?tica e a ?tica material dos valores (1913-1916). Na dimens?o gnosiol?gica, a percep??o dos valores tem car?ter sentimental ou emocional, ou ainda dito afetivo. Isto significa que o esp?rito tem atos de intui??o que n?o se limitam aos atos da consci?ncia intelectiva. Os atos de perceber sentimental s?o atos intencionais pelos quais o valor se d? de modo imediato para o esp?rito. A consci?ncia intelectiva somente tem acesso ao valor de modo mediado. O saber emocional ou afetivo ? anterior ao conhecer intelectivo. ? o que d? a este seus objetos. Isto se ap?ia em novas perspectivas antropol?gicas. A antropologia de Max Scheler sepulta de vez o puro idealismo racionalista. O ser conhecedor ? um ser vivente. Trata-se de uma vis?o de homem que mant?m o p? na mat?ria mesma da vida, nos impulsos da natureza, nas v?rias esferas de ser que o constituem, sem ser naturalista: a esfera do ser vivente em geral, a esfera animal, a esfera da comunidade, e a esfera do esp?rito, o diferencial pelo qual o homem se constitui como pessoa. A pessoa ? centro espiritual de atos ligado ? dimens?o do vivente, ser livre que pode e deve transitar entre as suas esferas constituintes, ?s quais est?o relacionados os valores. Voltando assim ? ?tica, da mesma forma que na antropologia a id?ia de esferas hier?rquicas aponta para uma superioridade dos valores menos relativos ao que ? contingente, superando assim tanto a ?tica idealista quanto a empirista, e fazendo sobressair o valor absoluto da pessoa. O ato bom ? o que vai al?m da boa inten??o, e realiza concretamente um bem no mundo. O bem maior ? a realiza??o da pessoa.

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Thesis (Ph.D.)--Duquesne University, 2005. / Title from document title page. Abstract included in electronic submission form. Includes bibliographical references (p. 225-235) and index.