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Marcel Schwob digital collection /Squires, Michele B. January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (M.A.)--Brigham Young University. Dept. of French and Italian, 2008. / Includes bibliographical references (p. 18-19).
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Marcel Schwob : 1867-1905 : conteur et critique littéraire.Goddard, Wesley. January 1950 (has links)
Th. univ.--Lett.--Paris, 1950.
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Marcel Schwob, « un journaliste de l’espèce rare » / Marcel SchwobDe Guido, Cédric 06 February 2014 (has links)
L’intégralité des textes de Marcel Schwob a d’abord paru en journaux. On se propose d’étudier l’influence de cette « matrice » journalistique, avec ses fortes contraintes, sur l’écriture de Marcel Schwob, et symétriquement l’influence de la publication ultérieure des mêmes textes en recueils sur leur réception par le lecteur.Les textes de Marcel Schwob, s’ils demeurent référentiels (descriptifs du réel, récits d’anecdotes ou de choses vues, réflexions sur des cas judiciaires) sont le lieu d’une fictionnalisation de la chronique, ce qui pose le problème des contraintes auxquelles Marcel Schwob souscrit et de celles (comme la contrainte de référence directe à l’actualité) dont il s’exonère. Mais cette fictionnalisation de l’écriture journalistique n’est pas originale à la fin du XIXe siècle, et il s’agira de la replacer dans une tradition. Il serait alors possible de considérer l’écriture journalistique chez Schwob comme une expérience déterminante des techniques d’insertion d’un savoir sur le passé ou sur le réel contemporain non seulement dans une chronique, mais aussi dans une fiction. On montrera d’ailleurs que la frontière entre écriture dite « journalistique » et écriture dite « littéraire » n’est pas pertinente pour Marcel Schwob, pas plus que pour les écrivains journalistes qui lui sont contemporains.L’érudition dont Marcel Schwob fait spectacle sert à cacher (puis, dans Mœurs des diurnales à exhiber) des références et allusions apparemment savantes mais fictives, en tout cas douteuses pour le lecteur, tant il est vrai qu’il serait impossible de tout vérifier, ce que démontre bien l’impossibilité d’une édition critique exhaustivement annotée des œuvres de Schwob. / The full texts of Marcel Schwob first appeared in newspapers. It is proposed to investigate the influence of this journalistic "matrix", with its strong constraints on writing Marcel Schwob, and symmetrically the influence of the subsequent publication of the same texts in collections on their reception by the reader.The texts of Marcel Schwob, they remain repositories (descriptive of reality, stories or anecdotes of things seen , reflections on court cases) are the site of a fictionalization of chronic, which poses the problem of constraints Marcel Schwob subscribed and those (such as duress direct reference to the news) he is exempt. But this fictionalization of journalistic writing is not original to the late nineteenth century, and it will be replacing it in a tradition. It would then be possible to consider journalistic writing in Schwob as a defining experience of insertion techniques of knowledge about the past or contemporary reality not only chronic but also in fiction. Moreover, we show that the boundary between writing called "journalistic" and write so-called "literary" is not relevant to Marcel Schwob, nor for writers-journalists who are her contemporaries.The erudition Marcel Schwob shows is used to hide (and, in Moeurs des diurnales to exhibit) references and scholarly but apparently fictitious allusions in any doubtful case to the reader, as it is true that it would be impossible to verify all, which demonstrates the impossibility of exhaustively annotated critical edition of the works of Schwob.
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Marcel Schwob Digital CollectionSquires, Michele B. 18 March 2008 (has links) (PDF)
This project outlines the discovery and digitization of previously unpublished correspondence composed by late 19th century author and literary critic, Marcel Schwob. Inspired by the inquiry of Bibliothèque Nationale Librarian Bernard Gauthier, Professor Daryl Lee alerted me to the presence of Marcel Schwob materials at BYU. I found that former BYU Professor John Green established a Marcel Schwob Memorial Collection and successfully published two books using the materials he gathered: Chroniques and Correspondance Inédite. After thoroughly researching the catalogued Schwob materials at BYU and comparing the contents to other Schwob publications, I found 72 previously unpublished letters. The majority of the letters (62) were written by Schwob to family members, and the remaining 9 letters were written to Schwob by colleagues. International interest in Marcel Schwob materials is one of many indicators representing renewed interest in the author, his work, and his influence. Recent publications also reflect growing Schwob interest. In Marcel Schwob, d'hier et d'aujourd'hui (2002), Christian Berg and Yves Vadé shed new light on Schwob through the observations of his contemporaries and modern-day essays on the importance of his contes. In addition, Jean Lorrain: Lettres à Marcel Schwob (2006) furthers the effort to better understand Schwob through a collection of correspondence. In light of this renewed interest, I determined that the previously unpublished correspondence would serve as a useful research tool for Schwob scholars. With the guidance and assistance of employees at the Harold B. Lee Library, I subsequently converted the correspondence into a digital publication. Creating a digital publication is a multifaceted undertaking requiring the involvement and expertise of different individuals and library departments. I successfully learned how to use both the hardware and software involved in the digitization process, thereby facilitating my completion of project deliverables, including: scanning and transcribing the letters; writing letter summaries (in both French and English), extracting names, and completing other metadata; uploading metadata using the Lee Library's external database; establishing authority control records; writing website content (in both French and English), and publicizing the project. This document contains the major deliverables found in the digital publication, specifically the website content, the letter transcriptions, and the metadata.
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Narrativité de l'essai : les arts de la mémoire dans Spicilège de Marcel SchwobLeduc, Simon January 2010 (has links) (PDF)
Le curieux et tragique destin de Marcel Schwob, provoqué par l'essoufflement prématuré de sa carrière littéraire et sa lente agonie d'une maladie énigmatique, a contribué à la propagation de diverses spéculations entourant sa fin abrupte. Alors que pour les uns, l'artiste aurait cherché dans la littérature un moyen de fuir l'âpreté du réel, pour d'autres, l'érudition de l'auteur aurait ruiné son élan créateur. D'un côté comme de l'autre, une relation antinomique semblait opposer la littérature à la réalité et à la science. À la marginalisation de son art, Schwob devait cependant répondre par le genre de l'essai. Au moment d'une crise disqualifiant le discours littéraire et le rejetant hors des sphères de la science, l'Université redéfinissant sa mission sous la IIIe République de manière à faire une plus grande place au positivisme au détriment des humanités traditionnelles, Marcel Schwob se donne en effet pour mission de rétablir la valeur de la littérature. En revendiquant leur différence d'avec les sciences sociales tout en refusant de s'isoler dans une préciosité esthétique, les essais de Spicilège rappellent les incertitudes et les ambiguïtés à la source de tout discours de vérité en renouant avec les opacités langagières que le positivisme voulait abolir. Ce mémoire s'attache, dans un premier temps, à identifier la situation à laquelle répond l'essai schwobien. Dans un contexte de rationalisation de la pensée, la défense de la littérature ne peut, pour Schwob, que passer par la littérature elle-même. Marginalisée, elle donne à rêver de ses marges. La dimension narrative de l'essai vise un rapport particulier à la sphère des connaissances où l'établissement des vérités empiriques se trouve doublé et subverti par un discours donnant accès à une réalité légendaire. Plus précisément, Schwob propose un art de la mémoire se développant dans un sentiment d'empathie à l'égard des figures négligées de l'histoire. Dans ce qui constitue le deuxième chapitre de ce mémoire, le rapport complexe que Spicilège entretient avec la matière du passé est analysé à la lumière des sociologies de la mémoire de Halbwachs et Assmann. La littérature s'assigne ici une tâche colossale visant à assurer la mémoire des humbles, des figures de second rang, ou de lieux perdus, grugés par le travail du temps. Mais conscient de l'ampleur démesurée d'un tel projet, Schwob agit avec le discernement d'un collectionneur, sélectionnant ses objets de manière à pouvoir y lire ou loger une histoire qui les déborde. Schwob fabrique des images marquantes où l'opération de savoir présente aussi la possibilité d'un enchantement. Le troisième chapitre propose une réflexion sur la performativité du récit dans l'essai schwobien. L'essai défamiliarise, il déplace le regard, suggère de multiples perspectives sur l'histoire et le présent. Reconnaissant dans la mise en récit de la vie une fabrique du regard débouchant sur une manière de sentir, une manière de représenter, une manière de s'identifier, la narrativité de l'essai donne naissance à des postures éthiques et fournit des repères permettant de s'orienter dans les sphères éthique et politique. Elle pose le point de départ à partir de quoi une action devient possible. Ainsi, loin de réduire la littérature à l'art pour l'art, l'essai tel que le pratique Schwob constitue un art de la mémoire profondément engagé dans son temps. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Marcel Schwob, Spicilège, Essai littéraire, Mémoire, Savoir, Défamiliarisation.
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Le roman symboliste : un art de l'"extrême conscience : Édouard Dujardin, André Gide, Rémy de Gourmont, Marcel Schwob /Michelet Jacquod, Valérie, January 2008 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Langue et littérature française--Caen, 2006. / Bibliogr. p. 475-493.
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Le roman symboliste : un art de l'extrême conscience : Edouard Dujardin, André Gide, Remy de Gourmont, Marcel Schwob /Michelet Jacquod, Valérie. January 2008 (has links)
En même temps: Thèse Neuchâtel, 2006. / Bibliogr. Index.
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La Géométrie de l’Angoisse : pour une (dé) construction de l’atmosphère, clef de lecture du fantastique : domaines anglophone, hispanophone et francophone de 1830 à 1945 / Geometry of anxiety : for a (de) construction of the atmosphere, key to reading the fantastic : english, spanish and french linguistic areas from 1830 to 1945Vergnol-Remont, Karen 13 December 2016 (has links)
Comme le montre l’analyse de dix auteurs appartenant à trois domaines linguistiques différents, anglophones, hispanophones et francophones : Pedro Antonio de Alarcon, Jorge Luis Borges, Ruben Dario, Henry James, Howard Phillips Lovecraft, Léopoldo Lugones, Guy de Maupassant, Edgar Allan Poe, Jean Ray, Marcel Schwob, la géométrie est présente partout dans les récits fantastiques du xixe au xxe siècle. Cercles, carrés ou pyramides s’inscrivent dans l’architecture ou dans le physique du personnage. Ces formes, qui permettent de faire naître l’angoisse, imposent peu à peu la circularité (cercles, courbes, sphères) comme une figure dominante. Les espaces où évolue le protagoniste s’arrondissent autour de lui jusqu’à venir l’étouffer. Le mécanisme de la peur qu’engendre ce processus peut alors être centrifuge ou centripète : soit il découle du lieu où se trouve le héros fantastique soit il est produit par le personnage lui-même. De cette géométrie angoissante découle un procédé fondamental : celui de l’atmosphère fantastique. Celle-ci — faite, comme l’étymologie le révèle, d’une forme de vapeur (atmos) enveloppant le monde ou le sujet à la manière d’un globe (sphaira) — témoigne de l’importance non seulement des courbes, mais encore des divers états de l’eau : glace, neige, élément liquide ou gazeux. L’atmosphère montre ainsi à quel point le fantastique est lié à la femme, support essentiel de l’Unheimliche, en ce que cette dernière est à la fois — pour le personnage masculin et pour les auteurs ici analysés — une figure de l’Autre (unheimlich) et une manifestation de la Mère (heimlich) / As shown in the analysis of ten authors from three different linguistic areas, English, Spanish and French: Alarcon, Borges, Dario, James, Lovecraft, Lugones, Maupassant, Poe, Ray and Schwob. The geometry is everywhere in the fantastic stories from the nineteenth to the twentieth century. Circles, squares or pyramids are part of architecture or the character's physical. These forms, which allows the birth of anxiety, gradually impose the circularity (circles, curves, spheres) as a dominant figure. The spaces where the protagonist is evolving, curving around him till he suffocates. The mechanism of the fear generated by this process could be centrifugal or centripetal: it follows either the place where the fantasy hero is located or it is produced by the character himself. From this agonizing geometry, a fundamental process is set up : the fantastic atmosphere. This one done, as the etymology reveals, from a vapor shape (atmos) enveloping the world or the character in the manner of a globe(sphaira) - testify the importance not only about the curves, but equally the various states of water : ice, snow, liquid or gaseous element. The atmosphere shows how much the fantastic is linked to the woman, Unheimliche's essential support, in that this last one is both - for the male character and the authors analyzed here - a figure of the Other (unheimlich) and a manifestation of the Mother (Heimlich)
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