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L'ordre à Louisbourg, mesures de contrôle dans une socíeté coloniale française, 1713-1758Johnston, A. J. B. January 1998 (has links) (PDF)
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Domination sociale et émancipation individuelle dans l’œuvre de Gide / Social domination and individual freedom in Andre’s worksAl-Goberi, Shaimaa Abedalkeder 28 April 2017 (has links)
La question de l’émancipation individuelle est présente dans l’œuvre de Gide dès ses débuts littéraires. Liée à la découverte de son cas particulier, qui fonde sa singularité, cette question est d’abord posée par Gide sur le plan moral. Progressivement, la critique morale débouche sur une critique sociale, l’œuvre gidienne esquissant une réflexion sur les formes et les enjeux de la domination sociale exercée aussi bien sur les corps étrangers dans la société que sur d’autres groupes sociaux. La thèse se focalise ainsi plus précisément sur la représentation des Arabes dans des œuvres comme L’Immoraliste ou, plus tard, Si le grain ne meurt ; la représentation des corps étrangers et de leur place dans la société ; la représentation de la femme, perçue finalement par Gide comme entravée dans son développement par les règles et les valeurs de la société bourgeoise / The question of the individual emancipation is present in the work of Gide as of its literary beginnings. Bound on a tour of its typical case, which founds its singularity, this question is initially asked by Gide on the moral level. Gradually, moral criticism leads to a social criticism, Gidian work outlining a reflection on the forms and the challenges of the social domination exerted as well on the foreign bodies in the company as on other social groups. The thesis is focused thus more precisely on the representation of the Arabs in works like the Immoralist one or, later, If the grain does not die; the representation of the foreign bodies and their place in the company; the representation of the woman, perceived finally by Gide as blocked in its development by the rules and the values of the middle-class company
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L'innaturale convivenza : antropologia e società nel penserio di Leopardi / L'innaturelle cohabitation : anthropologie et société dans la pensée de Leopardi / The unnatural cohabitation : anthropology and society in Leopardi's thoughtFeo, Nicola 05 December 2011 (has links)
L’argument de ma thèse correspond à la conception de la société de Leopardi. Dans la première partie, on a affronté la question au travers de l’analyse des régimes politiques qui se sont succédés dans l’histoire: monarchie primitive, république, despotisme. Dans la deuxième partie on a pris en considération la théorie générale de la société, en vérifiant comment elle se déroule dans différents contextes d’écriture: Zibaldone, Operette morali, Pensieri, Palinodia, La ginestra. / The argument of my thesis corresponds to the Leopardi’s conception of society. In the first part I have faced the problem through the analysis of the political systems that have followed each other in time: primitive monarchy, republic, despotism. In the second part I have considered the general theory of society, verifying the way it develops in different contexts of writing: Zibaldone, Operette morali, Pensieri, Palinodia, La ginestra.
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Le problème de l’idéologie dans la pensée politique de Paul Ricœur :Contribution aux sociétés africaines en quête de développementTulume Kasau Sakasimba, Justin 07 February 2017 (has links)
Notre thèse se préoccupe d’abord de comprendre de manière générale la notion d’idéologie, ensuite faire une analyse approfondie de l’œuvre de Ricœur dans sa dimension idéologique et situer Ricœur par rapport à d’autres penseurs ou courants qui ont abordé le problème idéologique, enfin montrer la contribution de la pensée de Ricœur au développement des sociétés africaines. <p></p>Dans cette dissertation, Ricœur nous présente quelques approches du phénomène idéologique selon les penseurs qu’il a pu étudier. D’après Desttut, l’idéologie désignait l’étude des sciences des idées. Avec Marx, l’idéologie représente les intérêts de la classe dominante. Elle est un phénomène imaginaire, une représentation, un renversement de la réalité et de ce fait, elle s’oppose à la réalité. Pour Mannheim, l’idéologie est un phénomène pour identifier un groupe, un concept paradoxal et non congruent. Chez Althusser, elle se révèle dans l’opposition à la science et lui assigne une fonction politique. Weber la considère comme un moyen de légitimer ou de justifier le pouvoir. Chez Arendt, le totalitarisme comme idéologie avait pour rôle à l’époque du nazisme de nier la liberté humaine et la pluralité d’opinion. Sans doute, pour Habermas, l’idéologie se trouve dans la distorsion qui affecte la praxis ou l’activité de l’individu et dans la médiation symbolique d’action. Geertz pour sa part, voit dans l’idéologie l’intégration sociale et la rhétorique de la communication. Donc, l’on constate que le problème de l’idéologie est manifeste dans les idées, la domination, le paradoxe et la non congruence, la politique, l’intégration, la distorsion, etc. <p></p>Mais Ricœur a étudié l’idéologie pour résoudre un problème philosophique de l’imagination, pour l’enseignement ou l’éducation du monde et pour le développement.Toutefois, il ne manque pas, des approches déroutantes au cours desquelles le phénomène idéologique peut être désaltéré. En effet, selon notre auteur, le mot idéologie vient des philosophes français héritiers de Condillac pour qui l’idéologie est l’étude des idées formées par l’esprit humain. Depuis sa création par Desttut, il signifiait la théorie des idées. Il est à la fois le nom d’une école de pensée et celui d’un domaine théorique. C’est Napoléon qui a attribué un sens négatif à ce concept parce que les idéologues critiquaient son pouvoir. C’est Marx qui a employé ce concept pour désigner les idées des philosophes jeunes hégéliens et de tout ce qui résulte de la défection du système hégélien. De ce fait, le concept est élargi à toutes les formes de productions non économiques, comme le droit, l’Etat, l’art, la religion, l’éthique, la philosophie, etc. Mais déjà il semble que le sens péjoratif de l’idéologie se trouve déjà chez E. La Boétie et B. Spinoza dans la servitude et la sujétion d’un peuple. De plus, avec Ricœur, l’idéologie est une forme de rhétorique, de symboles, de croyances, de représentations assurant l’identité d’un groupe. Elle est une grille, un code pour se donner une vue d’ensemble de l’histoire, du monde. Elle véhicule les idées et les opinions. Elle joue la fonction d’intégration sociale et le rôle de médiation dans la société. <p></p>Lorsque nous considérons l’approche ricoeurienne du phénomène idéologique par rapport à celles de ses prédécesseurs, il se dégage l’idée que d’un côté, il y a la complémentarité et de l’autre côté non. En effet, le problème de développement de l’Afrique continue à se poser jusqu’à ce jour malgré quelques solutions précaires envisagées par-ci et par-là, la question de développement demeure. A la base, l’Afrique traverse une crise idéologique grave qui la déstabilise, la paralyse sur tous les plans ;crise provoquée par le refus de certaines personnes d’adhérer aux idéologies prêchant la paix, l’amour, le pardon, la réconciliation, la cohabitation ou le vivre-ensemble, la solidarité, la fraternité, etc. qui explique bien entendu la prédominance en Afrique des idéologies des guerres ethniques et tribales, des idéologies des rébellions, des idéologies des terrorismes, des idéologies dictatoriales, des idéologies monopartistes, des idéologies des viols des femmes, des idéologies de la pauvreté et de l’endettement, des idéologies des pillages des richesses naturelles ;crise encouragée par les idéologies préconisant l’opposition, l’affrontement, la poursuite des conflits, la recherche des intérêts égoïstes au détriment du bien commun.<p></p> En conséquence, on assiste à des conflits multiformes. Ces conflits caractérisent aujourd’hui toute l’Afrique en général mais en particulier l’Afrique noire. Les presses africaines et étrangères en font écho. En outre, il y a le problème de l’analphabétisme, de chômage et de manque de l’énergie, auquel l’Afrique est confrontée. Mais c’est face à cette situation, que nous avons tenté à la lumière de sa pensée, proposer des jalons de nouvelles approches idéologiques positives capables de soutenir les actions politiques et de développement des sociétés africaines ;pour cela nous avons préconisé l’effondrement des idéologies négatives maintenant l’Afrique dans le sous-développement, de même, nous avons sensibilisé les Africains de prendre conscience de leur situation, en particulier de leurs libertés et droits fondamentaux comme facteurs de développement de l’Afrique mais aussi aidé les Etats africains à prendre en compte le rôle important de ces jalons de nouvelles approches idéologiques positives pour favoriser la paix et la concorde, le dialogue et la cohésion nationale, la réconciliation, le développement multiforme de l’Afrique ;encore faudrait-il la démocratie ou la bonne gouvernance, la cohabitation ou le vivre-ensemble qui privilégieraient un Etat de droit, stable, pacifique avec des institutions justes, gérées par des dirigeants élus démocratiquement et ont de compte à rendre à leur peuple.Ricœur assigne à l’idéologie une fonction positive, c’est pour cette raison qu’elle peut contribuer aux actions politiques et de développement de l’Afrique dans la mesure où l’idéologie a une mission de l’éducation dans le monde entier en raison de son caractère constitutif pour le développement ;elle a un rôle intégrateur ;elle est un concept neutre puisque le terme n’a pas de connotations négatives ;elle englobe les distorsions et les représentations ;elle ne se définit ni en fonction de classe dominante ni en celle de justification ;elle ne s’oppose pas à la réalité, car la réalité n’est autre que l’ensemble des hommes, des êtres matériels et immatériels qui constituent le monde; le soupçon idéologique est remplacé par l’entretien car par ce dernier, on reconnaît les valeurs d’un groupe en les acceptant positivement ;la science peut devenir une idéologie si on prend en compte le raisonnement d’Aristote de l’existence d’un pluralisme scientifique; elle a un caractère paradoxal qui demande l’auto-implication de celui qui parle de l’idéologie ;elle est au service du pouvoir politique. Voilà un peu l’essentiel de notre étude. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'unité économique et sociale / The social and economic unionCloître, Morgane 21 March 2013 (has links)
L’unité économique et sociale, communément appelée « UES » est une pure création jurisprudentielle. Elle est apparue au début des années 1970 afin de mettre fin à la fraude de certains employeurs qui entendaient scinder leur société en de petites sociétés pour éviter la mise en place des institutions représentatives du personnel. Ces petites structures étaient alors considérées par le juge comme formant une seule et même entreprise pour la représentation du personnel puisque la même personne dirigeait une communauté de travail laquelle travaillait autour de la même activité. Utilisée rapidement en dehors des seules hypothèses de fraude, l’UES s’est également émancipée du droit de la représentation salariale. Ce travail d’émancipation est essentiellement le fruit de la jurisprudence, le législateur ayant très peu légiféré sur l’UES. Les relations collectives de travail essentiellement et les relations individuelles de travail dans une moindre mesure sont ainsi devenues accessibles à l’UES. Jusqu’au début des années 2000, la doctrine était très enthousiaste sur la notion d’UES et estimait même que l’UES devait être considérée comme l’entreprise en droit du travail. Aujourd’hui, cet élan est quelque peu retombé. L’UES est constituée de plusieurs personnes juridiques, lesquelles gardent leurs caractéristiques propres malgré la reconnaissance de l’UES. L’application de l’UES dans l’ensemble des domaines du droit du travail apparaît alors aujourd’hui inenvisageable. Mais, pour autant, l’UES constitue l’un des périmètres sociaux de l’entreprise en droit du travail. Il s’agira alors de savoir quelle place doit être conférée à l’UES en droit du travail. / The social and economic union commonly called ‘SEU’ is a case law creation. This union appeared at the beginning of the 1970s to end the tax evasion of some employers who wanted to divide their firms into smaller ones in order to avoid the creation of work force representative unions. These small firms were then considered as one and only firm for labour representation by the judge because the same person leads a work force which deals with the same business. Quickly used over tax evasion hypotheses, the ‘SEU’ also became liberated from wage policies. This liberation is mostly the work of the jurisprudence, the legislator having hardly legislated on the ‘SEU’. The individual work force relations, and the collective ones in a greater part, opened to the ‘SEU’ that way. Until the beginning of the years 2000, the doctrine was very enthusiastic about the ‘SEU’, and even thought that it should be considered as the Labour law representation. Today this momentum has fallen off. The ‘SEU’ is made of several judicial persons who keep their own characteristics despite the ‘SEU’ recognition. The launching of the ‘SEU’ in the whole labour field seems now unconceivable, even if the ‘SEU’ is one of the firm’s social representation in Labour laws. What we want to know is the importance that should be given to the ‘SEU’ in Labour laws.
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Gérer l'ingérable : la surveillance comme nouveau paradigme du discours de la société américaine du risqueRobichaud, Lyne January 2013 (has links)
Cette thèse défend l’idée que, dans la lignée des événements qui ont suivi les attentats terroristes du 11 septembre 2001, le paradigme de la gestion du risque est devenu central dans les études de sécurité et dans les analyses de relations internationales. Dans le climat de risque engendré par les actes de terreur, le discours politique a mis en œuvre une biopolitique de la peur dans le but de normaliser les populations. Conséquemment, la surveillance est devenue une méthode de gouvernance de la société du risque, elle-même née d’une culture de la peur et du risque. Cette société du risque est construite politiquement et véhiculée par des récits précis qui ont pour but de gouverner un monde qui se gère de plus en plus difficilement, comme le montre l’ambiguïté des interprétations données aux attentats du 11 septembre 2001 et des différents langages pour les expliquer.
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Les rapports amoureux vécus par les femmes : une analyse du discours des hétérosexuelles, des lesbiennes et des religieusesSpielvogel, Myriam January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The education of foreigners in the federal republic of Germany : the case of the turkish adolescentsKroeh-Sommer, Helma January 1994 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The rise and fall of the reform movement in Iran : a systemic analysisHojati, Afshin January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les marchands, fondateurs de civilisation, une épopée oubliée, XVe - XIXe siècle : une histoire sociale et culturelle de l’économie / Merchants and civilization, 15th-19th century : a social and cultural history of economyNguyen Huu, Trung 22 June 2012 (has links)
La Civilisation devrait être vue comme une évolution des mentalités au cours du temps, en Art, en systèmes économiques, politiques et sociaux. Ce sont les marchands et entrepreneurs qui en sont à l’origine. Le grand apport des marchands est la mise en évidence de réalités économiques, sociales, politiques et artistiques, qu’il a fallu extraire de la masse d’idées reçues, dogmes ou traditions pour les faire comprendre par le profit commercial qui en fut tiré, à un certain nombre d’individus jusqu’à atteindre une certaine masse critique avant que ces réalités soient acceptées par la majorité de la population. Ce sont des marchands italiens qui ont financé et participé aux premières expéditions maritimes portugaises pour découvrir de nouvelles terres en Afrique, Amérique et en Asie. Ce sont les entrepreneurs néerlandais qui ont découvert la « valeur ajoutée » par exemple en débitant le bois en planches au lieu de vendre brut. Ce sont eux qui ont créé l’entreprise moderne en l’ouvrant à des associés extérieurs et à des actionnaires à la famille, les polices d’assurance, la pratique de la comptabilité, les journaux permettant aux marchands de connaître les événements qui peuvent influer sur les prix des produits. Ce sont aussi les marchands néerlandais qui ont fini par obtenir au 16e siècle l’autorisation légale de prendre des intérêts sur l’argent prêté, ce qui jusqu’alors était strictement interdit par l’Eglise. Ce sont les marchands d’art flamands qui, en exportant les oeuvres de Van Eyck, de Memling, de Van der Goes, en Italie qui ont donné aux artistes italiens un nouveau sens des couleurs et de l’espace. Comme ce sont les marchands de la Compagnie Néerlandaise des Indes Orientales, la VOC, qui ont initié les Japonais aux sciences et à l’art de l’Occident. Il n’est pas surprenant que ce soient ces derniers à être les premiers asiatiques à s’ouvrir à l’Occident. Ce sont également les marchands qui ont créé au 18e siècle la société de consommation, laquelle a favorisé plus durablement que toutes les révolutions la rencontre des classes sociales. Cette société de consommation a conduit à la Révolution Industrielle qui a amené à la reconnaissance des droits des travailleurs et à la prise des responsabilités sociales des patrons, comme l’assurance-Maladie, l’éducation primaire gratuite des enfants d’ouvriers, sans parler de l’évolution des concepts de marketing sans lesquels il n’y aurait pas d’économie moderne. Ce sont les Imprésarios ou marchands de spectacles qui ont favorisé la prise de conscience des femmes, des Noirs aux Etats-Unis, de leur identité sociale et culturelle, comme ce sont les créateurs du Cinéma (les Frères Pathé, Gaumont, les Juifs Américains) qui ont rendu possible la mondialisation quasi instantanée de tous les événements renforçant ainsi le pouvoir de l’Opinion Publique, garant de la Démocratie. / Civilization should be understood as the progress of mentalities in the course of time, whether in Art, Economic, Political and Social systems. merchants and entrepreneurs are at the origin of this evolution. The great contribution by merchants was to extract from received ideas, dogmas and traditions, realities in the economic, social, political and art fields, and to make them understood by a number of individuals thanks to the commercial profits obtained from respecting these realities. When these individuals finally reached a critical number, these realities were accepted and adopted by the majority of the population.It is Italian merchants who financed and were parts of the first Portuguese sea voyages launched to discover new lands in Africa, America and Asia. Dutch entrepreneurs discovered the concept of “added-Value” , for example by selling wood as planks ready to use. It was they who created the modern enterprise by accepting shareholders from outside the founder’s family. It was they who invented insurance policies, the practice of accounting for better management, newspapers reporting events which could have an impact of the prices of products. It is also the Dutch merchants who in the 16th century, finally obtained from the State authorities the legal right to charge interests when lending money: till then such practice was absolutely forbidden by the Church. It was the Flemish art merchants who, by exporting to Italy works by Van Eyck, Memling Van der Goes… gave to Italian artists a new understanding of colours and of space. It was the merchants from the East India Company of the Netherlands (VOC) who initiated the Japanese to the Western sciences and art. It is therefore not surprising if the Japanese were the first Asians to open up to the West. It is also merchants who, in the 18th century created the Consumers’ Society which made possible the meeting of social classes in a more long lasting way than any political revolution. This Consumers’ Society led to the Industrial Revolution which in turn led to the recognition of the workers’ rights and to the duties of business owners to assume their social responsibilities such as social security, free primary education of the workers’ children. It also led to new marketing concepts without which there would not have been modern economy. It is the impresarios or entertainers who helped women and Black people in the USA, to become conscious of their social and cultural identities. In the same way, the movie entrepreneurs (the Pathe Brothers, Gaumont and the Jews who migrated to the USA from Central Europe) made possible the instantaneous globalization of the awareness of events, thus making Public Opinion an even stronger political force, without which no Democracy would be possible.
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