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Le rôle d'une radio culturelle publique : la chaîne culturelle de Radio-Canada, son mandat et son auditoireTremblay, Joanne January 2000 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'innovation technique comme action collective : conception de la Zone Éducation de la Société Radio-CanadaRoss, Philippe January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La promotion du livre à la télévision de la Société Radio-Canada : le cas du magazine littéraire Sous la couvertureChailler, Geneviève January 2014 (has links)
Si l’intégration du livre à la télévision a été l’objet de nombreuses analyses en France, là où l’importance et le succès des émissions littéraires constituent une exception culturelle, la situation est tout autre au Québec, où les rapports entre le livre et la télévision demeurent très peu étudiés. En ciblant des enjeux propres au Québec, l’objectif de ce mémoire consiste à développer une réflexion sur la manière de faire la promotion du livre dans le cadre d’une émission littéraire télédiffusée sur les ondes de la Société Radio-Canada.
Dans un premier temps, nous retraçons l’historique de la radiodiffusion et nous présentons un survol des différents concepts d’émissions culturelles et littéraires qui ont fait partie de la programmation télévisuelle de la Société Radio-Canada. Nous nous intéressons aussi aux éléments qui définissent le milieu culturel des années 1980 et influencent la promotion du livre.
Dans un deuxième temps, nous effectuons une étude de cas, celle du magazine littéraire Sous la couverture, télédiffusé sur les ondes de la Société Radio-Canada de 1993 à 1997. Nous étudions les caractéristiques spatiales, temporelles, substantielles, pragmatiques et fonctionnelles qui la définissent en portant une attention particulière aux fonctions respectives des participants de l’émission (animatrice et chroniqueurs). Nous nous penchons également sur le contenu de l’émission, soit les livres qui y sont présentés et les auteurs invités. L’analyse des différents paramètres de l’émission permet de constater que les choix opérés sont conditionnés par des impératifs télévisuels.
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Les conditions de production et de réception des téléromans diffusés à Radio-Canada (CBFT, Montréal) 1952-1977Eddie, Christine, Eddie, Christine 26 April 2024 (has links)
« Cette thèse porte donc sur les conditions de production et de réception de l'ensemble des téléromans diffusés par le réseau français de Radio-Canada, de 1952 à 1977. Entre La famille Plouffe et Du tac au tac il y a, certes, une révolution technique dans le monde de la télévision, une révolution tranquille dans la société québécoise et une évolution extrêmement rapide du rôle qu'a joué la télévision dans cette société. Ces mutations, plus ou moins liées, ont directement affecté nos téléromans en participant aux changements qui s'y sont opérés. Car, il ne faut pas s'y tromper: si le discours actuel, venant des intellectuels surtout, tend à propager qu'"on voit une émission, on les a vues toutes", une observation diachronique de ces vingt-cinq premières années prouverait plutôt que la réception et, dans une moindre mesure, la production de téléromans ont subi d'importantes transformations. Nous souhaitons, dans ce travail, rendre compte de cette évolution. L'expérience acquise par tous, auteurs et comédiens, réalisateurs et techniciens, la connaissance du média et de ses contraintes, les caprices de la censure, l'affinement des techniques et l'assouplissement des conditions de travail sont autant d'éléments qui furent prépondérants dans la fabrication du téléroman et qui modifièrent peut-être l'accueil que devaient faire les intellectuels à ces oeuvres. Le pivot central de cette thèse est donc la mise en parallèle de la production des téléromans, d'une part, et les réactions qu'ils ont suscitées, tant auprès du public que des critiques, d'autre part. Nous aurons constamment en tête le souci d'éclairer le cheminement de cet éloignement entre instances critiques et émissions populaires. La question que nous jugeons fondamentale et à laquelle nous voulons trouver une réponse est la suivante: comment et pourquoi, en vingt-cinq ans, la critique, qui est le principal témoin de la vitalité culturelle d'une société, passe-t-elle, pour le même type de programme, d'un jugement plutôt favorable à un discours essentiellement péjoratif? A partir de cette question, une multitude d'aspects seront abordés dans cette recherche, tous liés à l'histoire des téléromans et à l'histoire de la critique de télévision au Québec, avec, en filigrane, l'histoire des vingt-cinq premières années de Radio-Canada. Et, sous-jacente à cette question se posera toute celle de la culture savante et de la culture populaire. Malgré les difficultés que posent ces deux concepts et bien que les définitions qui en sont faites soient aussi variées que complexes, nous les utiliserons, au cours de cette recherche, dans leur sens le plus classique: culture savante et culture populaire seront entendues comme dichotomiques, la première pouvant être comprise comme étant une forme raffinée de la seconde ou, à l'inverse, la seconde, une forme détériorée de la première. Les rapports entre l'une et l'autre, le jeu d'opposition qui, toujours, les a définies, ressortiront inévitablement de notre analyse des téléromans et des critiques qui leur furent faites. »--Pages 3-4
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Le discours sur la culture et la démocratie à la télévision de Radio-Canada : histoire d'une confusionPaquette, Anne-Marie January 2008 (has links) (PDF)
La culture et la démocratie permettent d'entrer dans un rapport distancié au monde. C'est au moyen d'une réflexion mûrie et d'un recul critique que les individus peuvent comprendre, analyser et ultimement agir sur l'univers au sein duquel ils évoluent. Le paradigme économique actuel ne permet pas cette retraite dans la réflexion, l'efficacité et le profit étant les maîtres mots de ce modèle dominant. Les médias de masse -dans le cas précis qui nous interpelle, la télévision publique -s'intègrent sans trop de mal à cette logique marchande, délaissant au passage les idéaux démocratiques qui les ont vu naître. C'est d'ailleurs dans cette perspective que nous questionnons les sens donnés aux notions de culture et de démocratie par les dirigeants de la télévision publique de Radio-Canada. Notre problématique est la suivante: la confusion généralisée entourant ces termes, récupérée, entre autres, par la direction de la SRC, contribue à la dénaturation des émissions d'information et de culture en des produits largement divertissants qui encouragent une spectacularisation marquée de l'espace public. Notre approche se voulant largement théorique, nous avons questionné les conceptions de ce que sont la culture, la démocratie et la télévision publique en analysant les écrits de plusieurs auteurs en ce sens. L'évolution, voire le travestissement, des significations prêtées à ces termes s'est avérée frappante. Ce constat nous a d'ailleurs servi de base théorique dans l'étude plus spécifique du cas de la télévision de Radio-Canada. De manière à alimenter notre réflexion, nous avons entre autres étudié un corpus composé d'une vingtaine de lancements de programmation de la SRC et de nombreux articles de journaux découlant de ceux-ci. L'examen de tels documents nous a semblé le moyen le plus efficace pour jauger la pratique et, à la fois, le discours des dirigeants de Radio-Canada eu égard à la programmation télévisuelle. Notre analyse a révélé que l'évolution de la programmation de la SRC est le reflet d'une tendance plus générale à la spectacularisation de la parole publique. En misant sur le divertissement, sous prétexte de rendre accessible à tous une information parfois inextricable et, surtout, de rejoindre un maximum de téléspectateurs et par le fait même d'annonceurs, les médias de masse -la télévision de Radio-Canada y compris -contribuent à altérer l'espace public de réflexion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Culture, Démocratie, Télévision publique, Société Radio-Canada, Culture de masse, Divertissement, Information-spectacle.
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Le sport et la télévision québécoise de 1952 à 2004 : la programmation sportive de Radio-Canada déjouée par la privatisation du service public canadienLupien, Philippe-Antoine 04 1900 (has links) (PDF)
Au courant des cinquante premières années de la télévision québécoise, la Société Radio-Canada a été, de manière générale, le plus important télédiffuseur sportif francophone. En télédiffusant les images du sport dès ses toutes premières heures, elle a contribué à définir les modes et un savoir-faire québécois en matière de télédiffusion sportive, tout en prenant part à la popularisation de certains sports, de certaines équipes. Ce faisant, elle a participé à l'essor commercial des entreprises du secteur sportif, et de toutes celles ayant développé des intérêts dans le sport et sa médiatisation. Ce mémoire cherche à retracer le parcours du sport à la télévision québécoise, depuis 1952 jusqu'à 2004, année qui marque un jalon significatif pour Radio-Canada, alors qu'y prendront fin les deux plus anciennes émissions sportives de la télévision québécoise, La Soirée du hockey et les Nouvelles sportives. Le développement du sport au XXe siècle est indissociable de celui de sa médiatisation. Plus encore, la consécration de la forme spectaculaire commerciale qui constitue la formule attitrée des organisations sportives depuis près de trente ans est directement tributaire des liens qu'ont nouées les organisations sportives avec la télévision. Particulièrement féconde aux États-Unis, cette relation entre sport et télévision s'est d'abord articulée autour d'un pivot principal qui fera fructifier les termes de cette complémentarité, la publicité. À travers les ans, les différents acteurs impliqués dans la production du spectacle sportif télévisé ont ainsi configuré une chaîne de relations qui tend, depuis le début du XXIe siècle, vers la convergence de leurs intérêts économiques. Résolument commerciale aux États-Unis, la production du sport télévisé s'est cependant établie principalement avec le concours d'un organisme d'État au Canada. À plus forte raison, au Québec jusqu'au début des années 1980, où Radio-Canada a pratiquement fait cavalier seul en matière de télédiffusion sportive. Or, le jalon que marque 2004 indique que la télédiffusion du sport a adopté, au Québec, un nouveau modèle qui accorde une moindre place à la Société d'État. Le déplacement progressif des événements sportifs de la télévision généraliste publique vers la télévision spécialisée privée s'inscrit dans un contexte plus large ayant marqué les industries culturelles québécoises, voire canadiennes, qui implique une remise en cause de la place de Radio-Canada, du modèle traditionnel du télédiffuseur public. De fait, le désinvestissement de Radio-Canada en matière de sport, en 2004, annonçait les nouvelles configurations qui définiraient la télévision québécoise actuelle, tout du moins, la télévision sportive.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sport, Télévision, Service public, Histoire des communications, Industries culturelles
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Interprétation et implantation de l’innovation au sein de la Société Radio-CanadaLacoste, Karine January 2014 (has links)
Dans le cadre de cette thèse, nous nous sommes intéressés à la radiodiffusion publique canadienne dans un contexte où l’évolution technologique de même que des facteurs financiers obligent Radio-Canada à se réinventer par le biais de l’innovation. L’objectif de la recherche est de mieux comprendre comment s’implante l’innovation à Radio-Canada, et plus spécifiquement au sein d’une station régionale, puisque les conditions y sont plus précaires et que la polyvalence des employés y est grandement sollicitée. Les témoignages recueillis lors d’entrevues auprès de douze employés et trois cadres nous permettent de dresser un portrait détaillé de l’innovation à ICI Ottawa-Gatineau. Des stratégies de gestion adéquates apparaissent comme essentielles au succès de l’implantation d’innovations dans un contexte de convergence où les ressources sont limitées et les employés débordés. Nous présentons ainsi un aperçu de la radiodiffusion publique canadienne en région et nous analysons l’efficacité des stratégies et des choix qui en infléchissent son évolution.
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La défense de la télévision publique : une analyse de l'argumentaire radio-canadien sous la direction de Perrin Beatty et de Robert Rabinovitch (1995-2003)Wells, Karen 11 April 2018 (has links)
Depuis quelques années, les télévisions publiques sont en crise. Confrontées à la multiplication de l'offre télévisuelle, à la déréglementation et à une transformation des habitudes de consommation des médias, il leur devient de plus en plus difficile de jouer le rôle qui leur était traditionnellement confié, et leur utilité est remise en cause un peu partout dans le monde. Le Canada ne fait pas exception : la SRC/CBC est la cible d'attaques provenant aussi bien des diffuseurs privés que des politiques, qui dans certains cas, vont jusqu'à réclamer sa privatisation. Comment Radio-Canada répond-elle à ces attaques? Comment justifie-t-elle son maintien dans le système de radiodiffusion canadien? Alors que les arguments en faveur de la radiodiffusion publique répertoriés dans la littérature se basent principalement sur des principes démocratiques d'égalité et de participation de tous les citoyens, une analyse des documents et discours produits par Radio-Canada pendant les mandats de Perrin Beatty et Robert Rabinovitch (1995-2003) nous démontre que les arguments nationalistes occupent une place prépondérante dans l'argumentaire radio-canadien. Ces résultats ne sont pas étonnants puisque l'histoire témoigne de l'importance qu'ont eu les objectifs nationaux dans l'implantation et le développement du système de radiodiffusion canadien. Mais l'analyse révèle aussi le recours à des arguments généralement associés au secteur privé pour mettre en valeur Radio-Canada. Ces deux types d'arguments soulèvent de nombreuses questions quant à leur pertinence et leur efficacité pour défendre la télévision publique.
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Le retard de Montréal sur Toronto en matière de journalisme économiqueDesjardins, Stéphane 06 1900 (has links) (PDF)
Le présent mémoire porte sur le retard de Montréal sur Toronto en matière de journalisme économique. Dans un contexte démographique où les Québécois sont plus endettés que jamais, ont un niveau insuffisant d'épargne et de littératie financière, ne contrôlent pas les leviers importants de leur économie, alors que l'économie planétaire est en mutation, avec la montée en puissance des pays émergents, l'information économique et financière joue plus que jamais un rôle stratégique. Malheureusement, le Québec, et plus particulièrement la région de Montréal, où se concentre l'essentiel de la richesse, des emplois de haut niveau, du pouvoir économique, de l'économie du savoir, de la recherche scientifique et des sièges sociaux des grandes entreprises, des médias, des universités et de la culture, accuse un retard important dans la qualité, la pertinence, la profondeur et même l'influence de l'information économique. Pendant qu'à Toronto, on dispose d'une presse de classe mondiale, Montréal est desservie par une presse provinciale. Le retard s'explique par un décalage sociohistorique du Québec par rapport aux questions d'argent, qui remonte à la Conquête. Malgré un rattrapage certain depuis la Révolution tranquille, ce décalage persiste et se répercute aussi sur la culture des salles de rédaction. Les médias québécois se constituent depuis peu une culture journalistique économique, qui existe depuis plusieurs générations dans des journaux comme le Globe and Mail et le National Post. L'encadrement du travail journalistique, au sein de ces quotidiens, est plus rigoureux et davantage tourné vers une notion de qualité qui est basée sur des standards plus élevés qu'au Québec, dans une volonté manifeste d'influencer les cercles du pouvoir. L'information pratiquée au Québec, qui dessert avant tout un lectorat de classe moyenne, est basée principalement sur un journalisme de vulgarisation et de couverture primaire de l'actualité. Les médias québécois, moins riches que ceux de Toronto, où se concentre le pouvoir financier et économique du pays, doivent avant tout couvrir l'actualité locale, pour plaire à des lecteurs a priori ethnocentriques et portés avant tout sur l'actualité dite "triviale". Mais un rattrapage est commencé et il est possible de concurrencer les plus grands médias de la planète avec des moyens moins imposants, pourvu que les entreprises de presse québécoises prennent un virage qualité.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Journalisme, économie, littératie financière, histoire, Québec (Province), Montréal, Toronto, médias, La Presse, Radio-Canada, Globe and Mail, National Post, qualité du journalisme, Conquête, Révolution tranquille, The Economist.
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Les pratiques professionnelles genrées : le cas des journalistes sportifs québécoisSt-Pierre, Marilou 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / Le journalisme sportif représente un des derniers bastions masculins du champ journalistique. Que ce soit en Europe ou en Amérique du Nord, les femmes ne représentent qu'environ 10 % des effectifs des salles de rédaction sportives. De plus, le sport en lui-même apparait comme une institution hégémonique réactivant sans cesse les structures du système de genre. Dans un contexte où les femmes journalistes sont minoritaires et assurent la couverture d'un domaine dominé par le masculin, et tout cela à travers des entreprises médiatiques loin d'être gender neutral, le contenu qu'elles produisent est susceptible de différer de celui de leurs collègues masculins. Ainsi, dans le cas des Nouvelles du sport de Radio-Canada, nous avons constaté que les femmes couvraient proportionnellement plus de sport non professionnel que leurs confrères, en plus d'être complètement absentes des segments d'analyse. Le rapport aux sources varie également, tout comme certains traits associés au style de couverture (angle de traitement, recours à l'émotion, personnalisation de l'information). Les pratiques professionnelles genrées sont donc perceptibles à l'intérieur des contenus produits par les journalistes sportifs des Nouvelles du sport de Radio-Canada, et ce même s'il existe une politique d'équité à l'intérieur de l'entreprise.
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