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La défense de la télévision publique : une analyse de l'argumentaire radio-canadien sous la direction de Perrin Beatty et de Robert Rabinovitch (1995-2003)

Wells, Karen 11 April 2018 (has links)
Depuis quelques années, les télévisions publiques sont en crise. Confrontées à la multiplication de l'offre télévisuelle, à la déréglementation et à une transformation des habitudes de consommation des médias, il leur devient de plus en plus difficile de jouer le rôle qui leur était traditionnellement confié, et leur utilité est remise en cause un peu partout dans le monde. Le Canada ne fait pas exception : la SRC/CBC est la cible d'attaques provenant aussi bien des diffuseurs privés que des politiques, qui dans certains cas, vont jusqu'à réclamer sa privatisation. Comment Radio-Canada répond-elle à ces attaques? Comment justifie-t-elle son maintien dans le système de radiodiffusion canadien? Alors que les arguments en faveur de la radiodiffusion publique répertoriés dans la littérature se basent principalement sur des principes démocratiques d'égalité et de participation de tous les citoyens, une analyse des documents et discours produits par Radio-Canada pendant les mandats de Perrin Beatty et Robert Rabinovitch (1995-2003) nous démontre que les arguments nationalistes occupent une place prépondérante dans l'argumentaire radio-canadien. Ces résultats ne sont pas étonnants puisque l'histoire témoigne de l'importance qu'ont eu les objectifs nationaux dans l'implantation et le développement du système de radiodiffusion canadien. Mais l'analyse révèle aussi le recours à des arguments généralement associés au secteur privé pour mettre en valeur Radio-Canada. Ces deux types d'arguments soulèvent de nombreuses questions quant à leur pertinence et leur efficacité pour défendre la télévision publique.
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Le discours sur la culture et la démocratie à la télévision de Radio-Canada : histoire d'une confusion

Paquette, Anne-Marie January 2008 (has links) (PDF)
La culture et la démocratie permettent d'entrer dans un rapport distancié au monde. C'est au moyen d'une réflexion mûrie et d'un recul critique que les individus peuvent comprendre, analyser et ultimement agir sur l'univers au sein duquel ils évoluent. Le paradigme économique actuel ne permet pas cette retraite dans la réflexion, l'efficacité et le profit étant les maîtres mots de ce modèle dominant. Les médias de masse -dans le cas précis qui nous interpelle, la télévision publique -s'intègrent sans trop de mal à cette logique marchande, délaissant au passage les idéaux démocratiques qui les ont vu naître. C'est d'ailleurs dans cette perspective que nous questionnons les sens donnés aux notions de culture et de démocratie par les dirigeants de la télévision publique de Radio-Canada. Notre problématique est la suivante: la confusion généralisée entourant ces termes, récupérée, entre autres, par la direction de la SRC, contribue à la dénaturation des émissions d'information et de culture en des produits largement divertissants qui encouragent une spectacularisation marquée de l'espace public. Notre approche se voulant largement théorique, nous avons questionné les conceptions de ce que sont la culture, la démocratie et la télévision publique en analysant les écrits de plusieurs auteurs en ce sens. L'évolution, voire le travestissement, des significations prêtées à ces termes s'est avérée frappante. Ce constat nous a d'ailleurs servi de base théorique dans l'étude plus spécifique du cas de la télévision de Radio-Canada. De manière à alimenter notre réflexion, nous avons entre autres étudié un corpus composé d'une vingtaine de lancements de programmation de la SRC et de nombreux articles de journaux découlant de ceux-ci. L'examen de tels documents nous a semblé le moyen le plus efficace pour jauger la pratique et, à la fois, le discours des dirigeants de Radio-Canada eu égard à la programmation télévisuelle. Notre analyse a révélé que l'évolution de la programmation de la SRC est le reflet d'une tendance plus générale à la spectacularisation de la parole publique. En misant sur le divertissement, sous prétexte de rendre accessible à tous une information parfois inextricable et, surtout, de rejoindre un maximum de téléspectateurs et par le fait même d'annonceurs, les médias de masse -la télévision de Radio-Canada y compris -contribuent à altérer l'espace public de réflexion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Culture, Démocratie, Télévision publique, Société Radio-Canada, Culture de masse, Divertissement, Information-spectacle.
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Le sport et la télévision québécoise de 1952 à 2004 : la programmation sportive de Radio-Canada déjouée par la privatisation du service public canadien

Lupien, Philippe-Antoine 04 1900 (has links) (PDF)
Au courant des cinquante premières années de la télévision québécoise, la Société Radio-Canada a été, de manière générale, le plus important télédiffuseur sportif francophone. En télédiffusant les images du sport dès ses toutes premières heures, elle a contribué à définir les modes et un savoir-faire québécois en matière de télédiffusion sportive, tout en prenant part à la popularisation de certains sports, de certaines équipes. Ce faisant, elle a participé à l'essor commercial des entreprises du secteur sportif, et de toutes celles ayant développé des intérêts dans le sport et sa médiatisation. Ce mémoire cherche à retracer le parcours du sport à la télévision québécoise, depuis 1952 jusqu'à 2004, année qui marque un jalon significatif pour Radio-Canada, alors qu'y prendront fin les deux plus anciennes émissions sportives de la télévision québécoise, La Soirée du hockey et les Nouvelles sportives. Le développement du sport au XXe siècle est indissociable de celui de sa médiatisation. Plus encore, la consécration de la forme spectaculaire commerciale qui constitue la formule attitrée des organisations sportives depuis près de trente ans est directement tributaire des liens qu'ont nouées les organisations sportives avec la télévision. Particulièrement féconde aux États-Unis, cette relation entre sport et télévision s'est d'abord articulée autour d'un pivot principal qui fera fructifier les termes de cette complémentarité, la publicité. À travers les ans, les différents acteurs impliqués dans la production du spectacle sportif télévisé ont ainsi configuré une chaîne de relations qui tend, depuis le début du XXIe siècle, vers la convergence de leurs intérêts économiques. Résolument commerciale aux États-Unis, la production du sport télévisé s'est cependant établie principalement avec le concours d'un organisme d'État au Canada. À plus forte raison, au Québec jusqu'au début des années 1980, où Radio-Canada a pratiquement fait cavalier seul en matière de télédiffusion sportive. Or, le jalon que marque 2004 indique que la télédiffusion du sport a adopté, au Québec, un nouveau modèle qui accorde une moindre place à la Société d'État. Le déplacement progressif des événements sportifs de la télévision généraliste publique vers la télévision spécialisée privée s'inscrit dans un contexte plus large ayant marqué les industries culturelles québécoises, voire canadiennes, qui implique une remise en cause de la place de Radio-Canada, du modèle traditionnel du télédiffuseur public. De fait, le désinvestissement de Radio-Canada en matière de sport, en 2004, annonçait les nouvelles configurations qui définiraient la télévision québécoise actuelle, tout du moins, la télévision sportive. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sport, Télévision, Service public, Histoire des communications, Industries culturelles
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La télévision publique gabonaise et les enjeux de construction d'une communauté nationale, 1963-2014 / Gabonese public television and construction challenges of national community, from 1963 to 2014

Ovoundaga, Marcy 01 December 2017 (has links)
À l’heure où les fractures sociales sont grandissantes, cette thèse se donne pour ambition d’établir le lien entre la volonté politique de bâtir une nation, socle du vivre ensemble dans une société gabonaise où la pluralité des appartenances est marquante, et la définition du rôle social des médias en général et de la première chaîne de télévision publique en particulier. En s’appuyant sur une approche institutionnelle des moyens de communication, croisée avec une analyse socio-sémiotique, elle dresse d’abord la socio-histoire de cette télévision en la situant comme un instrument d’État chargé d’étatiser la société et d’œuvrer à l’avènement d’une nation ; ensuite, elle étudie, à travers une analyse synchronique des journaux télévisés diffusés en 2014, les modes de figurations de référents nationaux dans les différents modes de représentations de l’espace social et dans les modes de figurations des dirigeants de l’État, des acteurs politiques. Enfin, elle dresse le profil des producteurs de son contenu, en s’interrogeant sur leurs perceptions en tant que médiateurs dans une nation en construction et en mettant au goût du jour la part de l’énonciation audiovisuelle qui est présente dans l’écriture de l’actualité. / At a time when social fractures are growing, this thesis aims to establish the link between the political will to build a nation, the basis of living together in a Gabonese society where the plurality of belongings is striking, and the definition the social role of the media in general and the first public television channel in particular. Based on an institutional approach to the means of communication, crossed with a socio-semiotic analysis, it first draws up the socio-history of this television by situating it as a state instrument responsible for statisting society and to work for the advent of a nation; then, through a synchronic analysis of television news broadcasts broadcast in 2014, it studies the modes of representations of national referents in the various modes of representations of the social space and in the modes of representation of state leaders, actors policies. Finally, it profiles the producers of its content by questioning their perceptions as mediators in a nation under construction and by bringing up to date the part of the audiovisual enunciation that is present in the
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Jean Eustache : génétique et fabrique / Jean Eustache : genetics And Work

Sudoh, Kentaro 02 March 2016 (has links)
Le présent travail se consacre à une étude génétique de l’œuvre de Jean Eustache (1938-1981), saisie dans ses accomplissements comme dans ses projets et esquisses inachevés. En se fondant sur des archives jusqu’alors inexploitées (Cinémathèque française, Inathèque, IMEC et collections personnelles), en recueillant des témoignages inédits (producteurs, chefs opérateurs, assistants, acteurs, collaborateurs, amis et famille du cinéaste), en analysant aussi bien des scénarios, notes d’intention ou dossiers de production que les films eux-mêmes, notre recherche restitue l’ensemble du parcours créatif de Jean Eustache, dans ses tours et détours. Analyse de création, la méthode consiste à retracer de la façon la plus documentée possible la démarche qui a permis l’éclosion d’une œuvre. Comment s’articulent constance de l’entreprise autobiographique et diversité des conditions de production ? Qui amène le cinéaste à réaliser le manifeste inédit Numéro zéro (1971) ? Comment La Maman et la putain (1973) et Mes petites amoureuses (1974) sont-ils presque simultanément élaborés ? Comment l’idée des essais expérimentaux, Une sale histoire (1977) ou Les Photos d’Alix (1980), est-elle née ? Comment créer de façon aussi personnelle dans le cadre du cinéma d’auteur et dans celui de la Télévision publique ? Telles sont quelques-unes des questions factuelles auxquelles ce Doctorat répond, qui permettent d’éclairer les choix esthétiques propres à Jean Eustache. / The dissertation conducts a genetic study of Jean Eustache’s work (1938-1981) as seen through his completed films as well as unfinished projects and drafts. In being based on archives, so far undeveloped (Cinémathèque française, Inathèque, IMEC and personal collections), carrying out interviews with his former producers, directors of photography, assistants, actors, collaborators, friends, or family, and in analyzing not only his movies but also his film scripts, director’s memos or production files, the dissertation reconstructs Eustache’s whole creative journey with its twists and turns. As analysis of creation, the method seeks to trace in the most documented manner possible the process that gave rise to Eustache’s œuvre. How are connected his everlasting autobiographical undertaking and the various conditions of productions? What has leaded him to produce the filmic manifesto Number Zero (1971)? How are The Mother and the Whore (1973) and My Little Loves (1974) produced almost simultaneously? How was born the idea for experimental film essays such as A Dirty Story (1977) or Alix’s Photos (1980)? How one can create originally within both the author cinema and Public Television? This doctoral study replies to these factual questions, which enable to clarify Jean Eustache’s aesthetic and cinematic specific choices.
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Réponses à la mission culturelle de la télévision publique : analyse sémiologique des rapports institutionnels, des figures de l'artiste et des écritures numériques à France Télévisions (1993-2017) / Responses to the cultural mission for public television : semiologic analysis of institutional reports, figures of artists, and digital writings at France Télévisions (1993-2017)

Alexis, Lucie 17 November 2017 (has links)
Ce travail s’intéresse à la mission culturelle de France Télévisions à partir de la problématique suivante : La culture à la télévision de service public a-t-elle une qualité particulière ? Si oui, quels en sont les principes régulateurs et comment se manifeste sa cohérence ? À partir d’une définition restrictive de la notion de culture qui inclut à la fois les grandes disciplines artistiques et les productions des industries culturelles, le lecteur suit un parcours chronologique à travers trois mouvements : une analyse de rapports institutionnels publiés entre 1993 et 2008 ; une étude de figures d’artistes tels que visibles dans trois émissions de plateau (On n’est pas couché, Ce soir (ou jamais !) et Des mots de minuit) entre 2010 et 2011 ; des formes numériques d’écriture et de diffusion de la culture expérimentées entre 2011 et 2017. Nous appuyant sur une histoire de la télévision publique, nous nous inscrivons principalement dans une perspective sémiologique. Toutefois, nous empruntons quelques outils à l’analyse de discours, à l’approche par les modèles socio-économiques des industries culturelles, et proposons une conduite d’entretien graphique. L’hétérogénéité des objets concrets et des méthodologies que nous mobilisons nous conduisent à conclure que la culture de la télévision de service public se nourrit à la fois d’une conception majoritairement institutionnellement consacrée, d’une attention portée aux productions des industries culturelles et aux « médiacultures » et tend à s’élargir davantage au travers d’expériences numériques. C’est d’une conjugaison de cet ensemble d’éléments sur un mode propre que procède la culture de la télévision de service public.Descripteurs : télévision publique ; France Télévisions ; culture et arts ; industries culturelles ; rapport institutionnel ; programmes télévisuels ; nouvelles écritures audiovisuelles ; geste graphique / The dissertation focuses on the France Télévisions’s cultural agenda and addresses the following question : Is there a form of culture specific to public service broadcasting ? If there is, how is it regulated and how does its coherence appear? We tackle the issue using a restricted definition of the notion of culture that includes both the great artistic disciplines and the productions of cultural industries. A chronological analysis follows three movements that place the reader/audience in various political and media territories: an inquiry into the institutional reports published between 1993 and 2007; figures and portraits of artists in three lateevening TV shows (On n’est pas couché, Ce soir (ou jamais!), and Des mots de minuit) broadcast between 2010 and 2011; and digital writings/narratives of culture between 2011 and 2017. Based on a history of public television, our perspective is mainly semiological. However, our study is inscribed in a project that includes several methodological tools while also using discourse analysis and a socioeconomic approach of the cultural industry. Finally, we have carried out graphic interviews. The heterogeneous nature of the artefacts and methods we summon lead us to conclude that public television culture is conveyed thanks to an understanding of culture close to the "established culture", the productions of cultural industries and "mediacultures", although it tends to expand in relation to digital experiences. Lastly, the combination of a number of factors produces a synoptic vision of the different conceptions of public television culture. Keywords : Public television ; France Télévisions ; culture and arts ; cultural industry products ; institutional reports ; talk-shows ; new audio-visual writing ; graphic gesture.

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