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Du diagnostic à l'action en agriculture. Activités, espaces et modèles.

Poussin, Jean Christophe 19 May 2008 (has links) (PDF)
L'activité de l'agronome s'ancre dans la parcelle cultivée. La parcelle expérimentale lui sert à connaître les processus biophysiques de production agricole ; la parcelle paysanne le confronte à la gestion de cette production. Pour identifier les déterminants de cette gestion, l'agronome doit élargir son champ d'analyse et changer d'échelle d'observation. Le diagnostic agronomique relie alors ces déterminants aux modalités de conduite des cultures et à leurs conséquences biophysiques. L'agronome peut aussi proposer d'améliorer les performances du processus de production en jouant sur des leviers biophysiques, techniques ou organisationnels. La conception d'outils d'aide à la décision relève de ces propositions et s'alimente des connaissances issues du diagnostic. Cette démarche de recherche-action est illustrée dans la vallée du Sénégal et concerne le développement de la riziculture irriguée dans des aménagements hydro-agricoles. Le diagnostic de la situation articule plusieurs échelles : parcelle, exploitation, périmètre irriguée, filière rizicole. La proposition qui est faite pour améliorer les performances de cette riziculture concerne l'organisation des producteurs au sein d'un aménagement. Mais d'autres propositions pourraient être faites à une échelle plus vaste pour réduire les dysfonctionnements de la filière entière. Restant dans le domaine de l'irrigation, le projet de recherche concerne la représentation de la demande agricole en eau. Un cadre de modélisation s'appuyant sur un concept simple d'activité de production associée à un espace géographique est proposé. Ce cadre est utilisé pour construire avec les acteurs une représentation des activités agricoles à l'échelle régionale. La spatialisation des résultats de ces activités et leur superposition avec d'autres cartes constituent ensuite des bases de réflexion sur les interrelations entre usages et ressources. Car c'est l'évolution de ces interrelations qui est au cœur de l'anthropisation des milieux, de sa maîtrise et de son caractère durable.
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Acces et Diffusion des visiteurs sur les espaces naturels Modélisation et simulations prospectives

Decoupigny, Fabrice 15 December 2000 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail est de définir les processus d'accès et de diffusion des visiteurs sur les espaces naturels afin de construire un modèle dont le but est de simuler les répartitions probables des visiteurs et d'offrir un outil global de mesure et de suivi des évolutions quantitatives et qualitatives des déplacements et des fréquentations sur les espaces naturels, un outil destiné à l'aménageur. La démarche s'attache principalement à la détermination des processus de déplacements et de fréquentations sur les espaces naturels afin de construire un modèle de simulation cartographique d'accès et de diffusion des visiteurs sur les espaces naturels (logiciel FRED : FRéquentation Et Déplacement). Les déplacements vers et sur les espaces naturels sont soumis à un processus de choix, pourquoi ce site et pas un autre, et pourquoi ce massif et non pas le voisin ? Cette question ouvre sur l'attractivité des sites. En effet, si certains sites sont plus fréquentés que d'autres, c'est que nécessairement, ils attirent plus et qu'ils sont capables de capter plus de visiteurs que le site voisin. Ce phénomène interroge aussi le chercheur sur les fondements de l'attractivité d'un site. Cette interrogation est centrale dans le travail que nous menons, faut-il l'attribuer à son offre en activités, à sa position plus ou moins éloignée sur un territoire, à son milieu naturel ou à sa notoriété ? In fine la question est simple, pourquoi avons nous tant de visiteurs sur tels ou tels espaces naturels ? et pour quoi faire ? Si les loisirs sur les espaces naturels sont souvent associés à un usage gratuit de l'espace public, ils ont toutefois des coûts économiques induits par les impacts environnementaux consécutifs aux pressions anthropiques. Le plan de la thèse s'articule en trois parties focalisées autour de trois questions qui cernent les éléments que nous devons déterminer : • Comment les individus accèdent et se déplacent sur les espaces naturels et quels en sont les facteurs ? • Quels sont les processus de diffusion des flux d'individus sur un espace, quelles formes prennent-ils ? Et peut-on identifier des invariants dans les processus de déplacements ? • Peut-on modéliser ces processus afin d'élaborer un outil intelligible d'aide à la décision ? La première partie s'attache à montrer que la nature du tourisme tel qu'il est défini ne répond pas aux exigences de l'évaluation des fréquentations sur les espaces naturels induites par la croissance des fréquentations de proximités sur les espaces naturels. Depuis ces dernières années, nous avons pu observer une croissance des activités paratouristiques. Les populations résidentes consomment de plus en plus les équipements touristiques de leurs régions lors de leur temps libre et se mélangent aux populations de vacanciers. Les déplacements sur les espaces naturels ne peuvent plus être perçus comme une simple activité touristique que l'on consomme lors des vacances. Ils sont devenus si importants que l'on observe des phénomènes de saturation aussi bien sur les routes d'accès que sur les sites naturels et induisent des processus de prédation sur les milieux naturels. Nous avons ainsi identifié les trois principaux éléments en interactions qui forment le système de déplacements : le visiteur, le lieu et le réseau. Pour cela nous montrons que l'espace récréatif est un espace fonctionnel structuré et organisé en un réseau hiérarchisé de sites. Il détermine une "offre" sur laquelle vont s'organiser les pratiques récréatives spatiales des visiteurs. Nous appuyons notre travail sur une méthode qui analyse les formes de déplacements et de fréquentations sur les espaces naturels. La répartition des visiteurs s'articule autour de deux niveaux d'organisation des déplacements qui sont complémentaires et qui ne s'opposent nullement : • les formes de déplacements d'accès aux sites sur un réseau d'accueil qui s'opèrent sur des échelles kilométriques : les déplacements voiture, • les formes de diffusion des visiteurs sur les espaces naturels qui se font sur une échelle métrique ou hectométrique : les déplacements pédestres. Pour évaluer les déplacements sur les espaces naturels, nous avons intégré une double échelle des déplacements en fonction des comportements liés aux trois facteurs de la fréquentation d'un site : une nature protégée qui offre un dépaysement, une nature aménagée et sécurisée et une accessibilité pédestre des curiosités naturelles. Cette double dimension est dépendante de deux processus de déplacement : un déplacement voiture sur un réseau d'accueil de sites puis un ou plusieurs déplacements pédestres sur des sites naturels. Pour répondre à la dualité de l'analyse, nous avons à notre disposition plusieurs enquêtes et études de fréquentation que nous avons menées sur les Hautes Vosges et les PNR Normands. Les données recueillies et croisées avec d'autres études de fréquentations nous ont permis d'émettre l'hypothèse d'un espace fonctionnel capable de modifier des comportements de déplacements et d'orienter les répartitions des visiteurs sur les différents sites sur les espaces naturels. Nous adoptons cette approche, car nous avons constaté, lors des études de fréquentation qu'il n'existait pas de différence de diffusion sur les espaces naturels qui réponde à de tels critères. Nous avons plutôt observé des formes communes de pratiques récréatives sur les espaces naturels qui répondaient à des comportements communs de diffusion sur les milieux naturels et qui vont nous permettre de segmenter les populations de visiteurs en fonction des comportements de pratiques récréatives de diffusion. Quel que soit le type de visiteurs, résident ou vacancier, les déplacements s'inscrivent sur une durée bornée : la journée. Nous avons alors procédé à la classification des populations de visiteurs en fonction des types de diffusions spatiales sur les espaces naturels qui nous a permis d'obtenir trois groupes d'individus : les contemplatifs, promeneurs et randonneurs segmentés en fonction de comportements qui apparaissent communs à tous types de visiteurs - le déplacement pédestre - en fonction de comportements de diffusion bornés dans des aires radioconcentriques de 500, 1000 et 3000 mètres. Nous avons ainsi pu mettre en évidence que les processus de déplacements relatifs à l'accès et à la diffusion sur les espaces naturels s'organisaient autour de trois éléments en interaction : le visiteur, le lieu ou le site et le réseau. La seconde partie a pour objectif de poser la formalisation analytique des interactions entre les trois éléments constitutifs de notre système de déplacement que nous avons identifiés. Nous avons ainsi mis au point un modèle gravitaire de simulation des déplacements de visiteurs sur un espace d'accueil (modèle FRED). L'intérêt du modèle consiste à formaliser deux déplacements sur deux échelles : le déplacement voiture puis le déplacement pédestre. La construction du modèle FRED de simulation s'appuie sur l'architecture d'un modèle gravitaire, qui définit, pour chacun des types de visiteur, les attractions des différents parkings ouvrant sur des sites naturels. Ces attractions sont calculées en fonction de la valeur du site ("offre spatiale naturelle") et des interactions produites avec les sites voisins. Le modèle FRED calcule alors, à partir des accessibilités à un point de départ du déplacement (une "ville porte"), la probabilité que possède un parking de fixer les quantités différenciées de visiteurs (contemplatifs, promeneurs et randonneurs). A partir de l'utilisation de la théorie des graphes et des travaux antérieurs du laboratoire du CESA sur l'utilisation de cette théorie concernant les transports, nous modélisons un réseau d'accueil touristique en un graphe défini par des arcs qui symbolisent les liaisons routières d'un espace régional et par des nœuds qui, mis en interrelation par les arcs, représentent les parkings ouvrant sur des espaces naturels. Le principe de la modélisation consiste à calculer pour chacun des types de visiteurs, contemplatifs, promeneurs et randonneurs leurs probabilités de répartition sur le graphe. Nous avons donc choisi de traiter les déplacements touristiques selon trois contraintes spatiales sous forme de fonction qui, nous semble-t-il, reprennent les trois principaux facteurs qui font qu'un site est susceptible d'être fréquenté. • Une offre spatiale naturelle, définie par le nombre de curiosités existantes et le nombre d'équipements et de services offerts par le site, • Les attractions qui s'exercent sur les sites entre eux, • L'accessibilité routière des parkings ouvrant sur des espaces naturels. En résumé, nous considérons qu'un site possède une offre d'activités relative qui lui est donnée par sa structure interne (nombre de curiosités naturelles, niveau d'aménagement) et qui sera plus ou moins attractive selon sa position dans le réseau. Dans la troisième partie, nous avons ainsi pu mettre en évidence plusieurs type de déplacements soumis à des phénomènes de seuils. Un premier déplacement d'accessibilité oscillant entre trois quart et une heure puis un second déplacement de redistribution sur le réseau d'accueil. Les résultats des différentes simulations sont traitées sous la forme cartographique. Les résultats sont intéressants puisqu'ils ont permis de déterminer des indicateurs spatiaux de déplacements qui montraient des pratiques récréatives très sélectives sur les espaces naturels. A partir des indicateurs associés aux contraintes spatiales, nous avons pu déterminer des seuils d'accessibilité, le poids du voisinage d'un site, et de son offre spatiale dans l'attractivité qu'il possédait dans le réseau d'accueil. C'est à dire qu'il nous est possible de définir le poids des contraintes spatiales dans l'attractivité des sites dans un réseau d'accueil et de répondre ainsi à la question sur le fondement de attractivité d'un site, est-ce sa position dans le réseau, sa structure interne ou son voisinage qui fait qu'un site est plus ou moins attractif et fréquenté.
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Géographie du commerce et de la consommation : les territoires du commerce distractif

Lemarchand, Nathalie 08 December 2008 (has links) (PDF)
Mon Habilitation à Diriger des Recherches traite de la géographie et de la consommation en s'attachant à explorer les nouveaux territoires du commerce : ceux du commerce distractif. La problématique que je développe est la suivante : le commerce de détail est passé d'une fonction de distribution associée à la société de production à une fonction distractive associée à la société de consommation. Les lieux du commerce illustrent de façon éclairante l'importance qu'occupe désormais la consommation dans les relations sociales, ces lieux se donnent à voir et on s'y donne à voir, ils sont inclus dans la sphère de la consommation. Leur étude permet de saisir la diversité des situations de consommation et l'importance des facteurs culturels qui y sont en usage. L'analyse des discours et des aménagements des espaces commerciaux permet de saisir comment les marqueurs culturels d'une société sont utilisés dans les espaces commerciaux voués au commerce et à la distraction. Ce que j'appelle le commerce distractif apporte un nouvel éclairage à la catégorisation des achats, souvent divisés entre les achats que l'on fait par nécessité et ceux qui sont de l'ordre du superflu, de la futilité. Par la diversité des situations d'achats proposée par le commerce, toutes peuvent être associées au commerce distractif. En effet, ce n'est plus le produit qui porte l'empreinte de la contrainte ou du plaisir de l'achat, mais les lieux et les temporalités de celui-ci.
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La mobilité des périurbains lointains d'Île-de-France, usage des réseaux et sécurité des déplacements

Mathieu-Huber, Dominique 07 December 2007 (has links) (PDF)
Les espaces périurbains font partie de la ville contemporaine, mais n'offrent pas toutes les fonctions réunies dans les espaces centraux de l'agglomération. Pour que les individus ayant fait le choix de vivre dans ces espaces puissent réaliser leurs programmes <br />d'activité, la mobilité est alors une compétence nécessaire. C'est l'analyse de la relation entre habiter et circuler dans les espaces périurbains qui fonde ce travail de recherche. Le constat de la préférence pour le mode de transport automobile n'est plus à faire, toutefois il convient de comprendre pourquoi ce mode de déplacement éclipse tout autre. Les conditions et fondements du choix modal ont été interrogés, il est apparu que les individus périurbains agissent comme des acteurs à rationalité limitée. <br />L'étude des parcours empruntés révèle que les automobilistes périurbains ne privilégient pas un type de voirie plutôt qu'un autre. Mais une fois le choix de l'itinéraire effectué celui-ci est rarement remis en question. Les usagers s'adaptent aux réseaux qu'ils trouvent. De ces pratiques de déplacement découle une question fondamentale : la sécurité des déplacements est-elle prise en compte par les automobilistes périurbains ? Il apparaît que le risque routier est accepté avec un certain fatalisme, les périurbains l'ont intégré à leurs pratiques de déplacement, il se présente comme un coût auquel ils consentent et qui ne saurait remettre en cause leur choix de vie.
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Les territoires du tourisme en ville la pratique des acteurs du tourisme dans les villes d'Amboise, Blois et de Tours

Amelie-Emmanuelle, Mayi 17 December 2007 (has links) (PDF)
L'analyse des pratiques des touristes et des stratégies des acteurs institutionnels et privés du tourisme conduit à mettre en évidence des disjonctions territoriales. Aussi, au terme de cette étude, les avons-nous confrontées. L'analyse statistique du premier territoire, celui des touristes, fait clairement apparaître une pratique de découverte dominante au sein de notre espace d'étude, de même qu'une hyper-mobilité et une indépendance notoire des touristes. Le territoire des touristes est construit par leurs pratiques des lieux. L'étude du second territoire, celui des acteurs professionnels, laisse voir, de la part de ceux-ci, une augmentation des moyens d'intervention, un déploiement de stratégies et une diversification des actions. Cependant, institutionnels comme privés ont des logiques différentes : les acteurs privés développent des rapports tandis que chez les acteurs institutionnels interfèrent des représentations techniques et politiques du territoire.
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La planification urbaine à l'épreuve de la métropolisation : enjeux, acteurs et stratégies à Marseille et à Montréal

Douay, Nicolas 02 November 2007 (has links) (PDF)
Dans un contexte urbain marqué par les phénomènes de métropolisation et de mondialisation, de nouveaux enjeux apparaissent et engendrent de nouvelles formes de gouvernance visant à élaborer une stratégie territoriale. La concordance des agendas politiques français et québécois quant à la mise en ?uvre de réformes métropolitaines est à la base de cette recherche. Cette comparaison évalue dans quelle mesure ces nouvelles démarches métropolitaines marseillaise et montréalaise sont réellement innovantes et permettent d'envisager l'évolution des modes de planification urbaine. Le réseau métropolitain marseillais se caractérise par une démarche de « projet métropolitain » qui s'inscrit dans le courant de la planification stratégique alors que par l'intermédiaire de son institution métropolitaine, Montréal élabore un « schéma métropolitain » qui se révèle plus proche de l'approche traditionnelle. Alors que ces deux démarches apparaissent fort différentes, ces deux métropoles rencontrent des obstacles en grande partie similaires. Elles peinent en effet à discuter du modèle de développement à adopter ; à traiter des aspects redistributifs de l'aménagement du territoire ou encore de la localisation et de la réalisation d'équipements métropolitains d'envergure potentiellement conflictuels. Le profil politico-institutionnel issu des réformes métropolitaines marseillaise et montréalaise est fort différent mais se caractérise par une difficulté commune à créer une arène de discussion à l'échelle métropolitaine capable de rassembler les acteurs publics, privés et la société civile autour d'une stratégie commune. Ces deux métropoles illustrent donc la réapparition d'une pratique de la planification métropolitaine qui serait moins spatiale que celle développée durant les années 60, néanmoins plus stratégique mais pas encore totalement collaborative.
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Climats et pionniers du Mato Grosso

Dubreuil, Vincent 12 December 2005 (has links) (PDF)
L'hypothèse de recherche principale de ce travail consiste à considérer le Mato Grosso comme une région laboratoire pour l'étude des interactions climat/sociétés actuelles et futures en Amazonie brésilienne et, au-delà, pour les fronts pionniers dans les régions tropicales.<br />Les objectifs de recherche développés dans ce projet sont donc de :<br />• Quantifier au moyen des données satellitaires à diverses échelles et des entretiens de terrain l'ampleur et la nature des transformations d'occupation du sol et du paysage en identifiant les logiques de ces nouvelles dynamiques spatiales dans cette partie de l'Amazonie.<br />• Quantifier et cartographier à méso-échelle par télédétection les conditions climatiques actuelles (précipitations notamment) dans une région où la mise en valeur agricole a été réalisée sans véritable connaissance climatique préalable. <br />• Modéliser les dynamiques et les interactions nature/société dans cette région de manière à proposer aux décideurs locaux et nationaux une base de réflexion pour la détermination des politiques les plus adaptées à la région. Il s'agit notamment de mesurer l'impact environnemental et notamment climatique des changements des états de surface (principalement le remplacement des surfaces en forêt par des pâturages).
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Tourisme national et migrations de loisirs au Maroc. Etude géogrphique

Berriane, Mohamed 01 March 1989 (has links) (PDF)
L'auteur démontre et explique l'existence au sein de la société marocaine de pratiques de tourisme et de loisirs et ce en dépit des idees admises excluant la naissance et le développement d'un tourisme national dans les pays du tiers-monde. <br />Cette demande est ensuite analysée dans ses dimensions sociale et géographique. Les critères socio-professionnels et culturels sont retenus pour expliquer le départ ou non en voyage touristique. L'hypothèse selon laquelle les départs a des fins touristiques concernaient toute la société - exception faite de ses franges les plus marginales - est verifiée et l'étude des styles et comportements touristiques vise a saisir les différenciations sociales et la spécificité du cas marocain. <br />L'étude des comportements touristiques débouche sur l'examen des relations des touristes marocains à l'espace. <br />Des rapports particuliers naissent entre le tourisme des nationaux d'une part et celui des étrangers visitant le maroc d'autre part. L'analyse des aires de plaisance des principales villes aboutit a une régionalisation des rayonnements touristiques des villes.<br />Accueillant plus de 60% des séjours touristiques des marocains, le littoral fait l'objet d'une étude fine ou les mutations socio-spatiales, les problemes d'aménagement, les retombées économiques et environnementales sont quelques-uns des thèmes privilegiés.
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Le commerce alimentaire de proximité dans le centre-ville des grandes agglomérations : l'exemple de Toulouse et de Saragosse

Navereau, Brice 27 September 2011 (has links) (PDF)
Au-delà de replacer les transformations du paysage commercial alimentaire dans deux contextes urbains différents, cette thèse a pour objectif de montrer qu'à travers le renouvellement de l'appareil marchand de proximité dans les centres-villes, il est possible de mettre en perspective les évolutions plus générales de la ville contemporaine. Qu'elle soit considérée compacte (Saragosse), ou au contraire diffuse (Toulouse), celle-ci présente des points forts et des faiblesses qui révèlent la difficulté de trouver une fabrique idéale de la ville ou plus modestement de promouvoir une organisation commerciale plus qu'une autre. La proximité redessinée au spectre du temps laisse ainsi entrevoir des réajustements incessants qui initiés par les mutations des formes, des formats, et des règlementations restent surtout insufflés par les aspirations versatiles des chalands. Exogènes ou endogènes, mobiles ou "assignés à résidence", ils restent au final, les principaux artisans de la reconfiguration globale de la ville par leur façon d'entreprendre l'espace urbain en général, mais aussi les territoires du quotidien. L'observation des pratiques les plus banales, permettent alors de pointer les disparités socio-spatiales les plus stigmatisantes.
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L'ÉTAT, LES PAYSANNERIES ET LES CULTURES COMMERCIALES PÉRENNES DANS LES PLATEAUX DU CENTRE VIÊT NAM

Fortunel, Frederic 18 December 2003 (has links) (PDF)
Cette thèse analyse les mécanismes de transformation et de construction d'appartenances territoriales. En partant de l'hypothèse que la plantation des cultures commerciales pérennes favorise l'ancrage des hommes, sont étudiés dans le cas des plateaux du Centre Viêt Nam les principes théoriques et pratiques allogènes incorporés à un territoire et à des populations autochtones. Le caféier, importé par les colons, ancré dans le territoire, conduit à la perte de repères symboliques et matériels des paysanneries autochtones mais aussi à l'appropriation politique et économique de ces espaces. Soucieux de contrôler des régions parfois rétives à la majorité nationale, L'État vietnamien dès son indépendance a favorisé l'arrivée et l'ancrage d'allochtones, désormais majoritaires. L'exploitation agricole et la conversion des représentations participent à la redéfinition de l'appartenance territoriale mais au prix de dégradations environnementales et d'une crise économique et sociale profonde.

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