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The status of social technologies /

Vidal, Rafael. January 1980 (has links)
No description available.
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The status of social technologies /

Vidal, Rafael. January 1980 (has links)
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Freedom From Domination: A Foucauldian Account of Power, Subject Formation, and the Need for Recognition

McIntyre, Katharine Mangano January 2016 (has links)
This dissertation seeks a concept of freedom that is compatible with Michel Foucault’s descriptions of power and its role in the constitution of the subject. Discovering the concept of freedom that properly opposes the Foucauldian concept of domination reveals the possibilities and limitations of the usefulness of Foucault’s account of power for social criticism. The first step in this endeavor is therefore to distinguish between Foucault's own use of the terms 'power' and 'domination' – the conflation of which is a source of criticism of his social theory. With this distinction in hand, I argue that Foucault’s genealogical period with its diagnosis of subjection is wholly compatible with, and indeed inseparable from, his ethical period with its emphasis on self-transformation. Read as two sides of a coin, these periods of Foucault’s work establish the terms in which we must understand the ethico-political struggle in which we constantly find ourselves as subjects of self-transformation embedded in identity-constituting relations of power. I then explore Foucault’s criticism of the modern concept of autonomy, which he believes to be inherited from the Enlightenment and, more specifically, Kant. In spite of these criticisms, Foucault does not dispense with the concept of freedom as autonomy altogether, but instead must embrace a concept of social freedom, similar to that which is found in contemporary recognition theory. Therefore, we should characterize Foucault’s normative stance as that of a coupling of a general concept of social freedom with what I call a "metaethico-political openness principle" committing us to acts of resistance that would attempt to push the boundaries of recognition so that we may affirm previously unimagined ways of life.
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Recherches sur la vérité. Définition, élimination, déflation

Galinon, Henri 25 September 2010 (has links) (PDF)
La vérité, dit-on, est un des buts de la science. Mais quelle est la place de la notion de vérité elle-même dans le langage de la science ? Cette notion peut-elle être suffisamment clarifiée ? Et si oui, quelle peut être sa contribution au discours scientifique, pour quels usages la notion de vérité peut-elle être mobilisée ? Ce travail cherche à répondre à ces questions. Sa thèse principale est que la notion de vérité s'apparente à une notion logique. Cette idée s'inscrit dans un courant de réflexion contemporain sur la vérité appelé "déflationnisme", mais la formulation des thèses déflationnistes que nous proposons est nouvelle, comme sont nouveaux les arguments et les idées mises en œuvre pour l'étayer. Négativement, une critique détaillée d'une tentative influente de réfutation a priori des thèses déflationnistes est présentée. Positivement, nous caractérisons d'une part une classe critique d'affirmations mettant en jeu la notion de vérité comme ensemble de moyens d'expliciter des contenus déjà implicitement acceptés, et nous introduisons d'autre part des considérations et des outils permettant de comprendre le lien entre la thèse de la logicité de la notion de vérité et les thèses déflationnistes classiques relatives aux emplois légitimes de cette notion.
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Entre voir et dire. Fonction et champ de la vision et du langage chez Jacques Lacan et Maurice Merleau-Ponty

Elsener, Eric 29 June 2010 (has links) (PDF)
L'amitié entre Jacques Lacan et Maurice Merleau-Ponty est le fil rouge de ce travail comparatiste qui suit chronologiquement le dialogue ininterrompu entre les deux penseurs. L'étude des deux corpus est orientée par la question de l'autre, à entendre dans les deux sens du terme : question commune aux deux auteurs des possibilités de l'émergence d'autrui et, pour chacun, importance des questionnements et de la place de l'autre pour ses propres avancées. Comment psychanalyse lacanienne et phénoménologie merleau-pontienne ont-elles traité de la rencontre d'autui ? Comment ont-elles fait rupture avec les apories des conceptions philosophiques classiques et lutté contre l'impérialisme d'un positivisme objectivant ? Quelles sont les influences, les confluences et les divergences entre les deux auteurs ? Un lien est-il possible, pertinent, entre visibilité du monde et structure du langage, entre voir et dire ? Un rythme commun dans l'évolution des pensées est ainsi mis en évidence et après le tournant effectué par chacun à partir de la nouvelle référence à la linguistique saussurienne, c'est le primat de la dimension symbolique pour l'être au monde qui va être démontré. Le croisement, nécessaire chez les deux auteurs, de l'ontologie et de la topologie va actualiser les antinomies du continu et du discontinu, et réinterroger la genèse et la validité du couple sujet-objet. Les travaux de Lacan et de Merleau-Ponty invitent à une pensée renouvelée du sujet, perçu comme un être désirant toujours déjà engagé dans un environnement partagé, dont l'existence, incarnée par le chiasme de la Chair (du monde) et de la Chose (irrémédiablement perdue), devra affirmer son style entre contrainte de la structure et expression du sens
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Analyse de la notion d'illusion et des phénomènes d'illusion. Illusions du toucher haptique, dynamique, kinesthésique

Pasquinelli, Elena 10 March 2006 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse est de montrer qu'une théorie de la perception ne peut pas facilement renoncer au concept d'illusion sans risquer de perdre une partie de son pouvoir d'explication.<br />Le problème de l'opportunité ou moins de renoncer au concept d'illusion surgit du fait de l'existence de critiques fortes contre la notion d'illusion de la part de certaines approches directe à la perception.<br />Cependant, le concept d'illusion n'est pas nécessairement dépendant des approches indirectes à la perception et une caractérisation des illusions peut être produite sans faire recours à des concepts (comme celui d'inférence cognitive) qui sont propres des approches indirectes.<br />La caractérisation de la notion d'illusion qui est proposée ici se base sur certaines caractéristiques de l'expérience avec des phénomènes d'illusion : l'existence d'une violation de la cohérence qui avise le sujet de la présence d'une erreur quelque part, la robustesse de l'expérience illusoire (comme systématicité intrasubjective et intersubjective et comme résistance au savoir), et la présence d'une réaction de surprise.<br />La description d'un groupe de phénomènes perceptifs illusoires qui sont caractérisés par violation de la cohérence, robustesse et surprise enrichit les études sur la perception d'un instrument utile pour l'acquisition d'un meilleur accès aux mécanismes de la perception. Parmi ces mécanismes on peut inclure ceux qui participent aux réactions du système perceptif aux violations de la cohérence et la nature des expectatives perceptives. L'étude de certaines illusions est aussi utile pour investiguer le rôle du mouvement dans la perception, et en particulier la façon dont les habitudes et les capacités motrices façonnent le contenu perceptif.<br />La notion d'illusion présente donc une valeur heuristique aussi en ce qui concerne les approches à la perception (comme l'approche sensorimoteur et l'approche écologique) qui sont critiques envers la caractérisation classique de la notion d'illusion.<br />Une fois que la notion d'illusion a été caractérisée, le rôle des phénomènes d'illusion dans le fonctionnement cognitif peut mieux être compris. C'est en rapport avec les notions de cohérence et de violation de la cohérence que les illusions jouent leur rôle dans le fonctionnement cognitif. La conscience d'être victime d'une illusion avise le sujet de la présence d'une erreur quelque part (valeur épistémique de la conscience des illusions) en l'avertissant de l'existence d'une violation de la cohérence qui semble avoir <br />une valeur adaptative négative.
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Théorie des rapports (XIIIe - XVIe siècles) : réception, assimilation, innovation

Rommevaux, Sabine 23 February 2007 (has links) (PDF)
J'ai souhaité dans cet ouvrage approfondir l'étude de certaines notions fondamentales qui sont au cœur de la théorie des rapports ou des proportions. Mon but est de montrer comment aux XIIIe et XIVe siècles se constitue une nouvelle théorie qui a pour objet premier le rapport (il semblerait que le rapport soit secondaire dans la théorie euclidienne au profit de la notion de proportion). À propos de ce rapport, les auteurs que j'ai étudiés se posent la question de sa nature (relation ou quantité), de ses divisions (en particulier en rapports rationnels et rapports irrationnels) et de sa dénomination (c'est-à-dire de la manière dont il convient de le nommer ; question épineuse quand il s'agit d'un rapport irrationnel). Nicole Oresme en fait même un objet de calcul dans son Algorismus proportionum, dont je propose une édition critique en annexe de cet ouvrage. Je montre ainsi comment cette théorie s'ancre à la fois dans la tradition des Éléments d'Euclide et dans celle de l'Arithmétique de Nicomaque transmise au monde latin par Boèce ; mais je montre aussi que cette théorie est nouvelle en ce qu'elle présente des glissements conceptuels (notamment à propos de l'irrationalité), mais aussi de nouveaux concepts (comme la notion de dénomination d'un rapport).
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Introduction à la phénoménologie cosmologique d'Eugen Fink.

Chaberty, David 25 May 2011 (has links) (PDF)
Il s'agira d'envisager, en français, l'oeuvre du philosophe allemand Eugen Fink (1905-1975), dont le corpus complet n'est disponible qu'en allemand. Ce sera donc une "introduction" à sa pensée. A cet égard nous nous demanderons quelle est la continuité de la pensée dite du jeune Fink et de celle du Fink dit "de la maturité". Nous montrerons, contre certains préjugés, la continuité problématique, - cosmologique -, du penseur allemand. A la lumière de l'oeuvre ultérieure nous proposerons d'abord une nouvelle interprétation de la pensée du jeune Fink en même temps que son originalité vis à vis des maitres de Fribourg (Husserl, Heidegger). Dans une seconde partie nous exposerons une structure problématique que nous soutenons être celle du Fink de la maturité: d'abord une théorie du questionnement métaphysique, à la lumière de laquelle Fink réevalue les problèmes philosophiques fondamentaux: c'est à dire d'abord une cosmologie originale, une théorie de la phénoménalité fondamentale, à partir desquelles Fink repense de façon originale l'histoire de la métaphysique (antique et moderne). Après un appendice sur son interprétation de Nietzsche (qui prend son sens dans ce qui précède), nous concluerons sur sa position sur les problèmes qui lui furent contemporains (anthropologie et ontologie).
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L'apparition du moi et la genèse de la réflexion chez Maine de Biran

Echigo, Keiichi 15 March 2013 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse est de lire les textes de Maine de Biran comme une philosophie de l'apparition du moi et de la genèse de la pensée réflexive. Les deux premiers chapitres mesurent la portée des critiques biraniennes de l'innéisme du sujet à l'époque de sa " révolution totale " de 1804. Il s'agit de ses critiques de Destutt de Tracy et de Locke. Ces deux prédécesseurs, présupposant l'idée du moi déjà formée et une réflexion déjà complète, laissaient incomplètes leurs recherches du sujet pensant. Par les critiques de ces deux penseurs, Biran approfondit sa conception de la " réflexion ", en la fondant sur la naissance du moi. Les chapitres 3 et 4 thématisent les deux fruits de ces critiques, à savoir le parallélisme psycho-physiologique que Biran applique à la recherche de l'apparition du sujet d'une part, et de l'autre le concept de " réflexion " en tant que processus d'approfondissement du point de vue interne. Le chapitre 3 examine les considérations biraniennes sur l'apparition d'un individu voulant et conscient, en référant ses critiques de Xavier Bichat. Cette recherche concerne le passage entre l'involontaire et le volontaire, relié par la spontanéité. Le dernier chapitre explique le concept biranien de réflexion comme un processus de formation de la pensée réfléchie ayant la différence de degrés de profondeur. Ce chapitre montre que ce concept permet de relier la première aperception sensible à la " réflexion supérieure " qui fournit les notions métaphysiques, et que ce processus peut être analysé en deux aspects : redoublement de l'aperception et concentration vers l'aperception immédiate.
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La doctrine kantienne du bien et du souverain bien.

Giraud, Thomas 03 July 2013 (has links) (PDF)
Même si la question du souverain bien et de ce qui le constitue était au fondement des systèmes moraux des Anciens, elle semble n'être plus à l'ordre du jour pour nous, les Modernes. Pourtant, nous dit Kant, l'homme ne peut rien vouloir si ce n'est sous l'idée d'une fin et il a besoin, pour pouvoir mettre un terme à la série de ses fins, de concevoir un inconditionné, une fin " architectonique" sienne, dont le nom est le " souverain bien ". En abordant à nouveau la question du sens universel de la vie humaine, Kant adhère à une conception antique de la philosophie pratique dans laquelle celle-ci, en tant que téléologie morale, enseigne à l'homme en quoi doit consister la fin absolument nécessaire de sa conduite et comment il peut l'atteindre. Il élabore donc, comme les Anciens, une théorie du "summum bonum" dont le point d'orgue est la réponse aux deux questions pratiques de la philosophie. Que puis-je espérer (question de l'essence du souverain bien) ? Que dois-je faire (question de la conduite menant au souverain bien) ? Mais la Révolution copernicienne consiste, en éthique, à découvrir que le concept du bien et celui du bien le plus grand sont déterminés par la loi morale. La morale kantienne formule d'abord la loi morale, pour ensuite définir le bien et le souverain bien, tandis que les Anciens faisaient l'inverse. Ces points de méthode sont responsables d'une théorie qui s'oppose aux morales antiques par plusieurs aspects. Elle conduit à l'idée d'une hétérogénéité de fins humaines qui implique une conception du souverain bien comme une synthèse contenant un rapport de subordination, le bonheur conditionné par la moralité.

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