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L'intelligence artificielle et la question du continu; Remarques sur le modèle de TuringLassègue, Jean 09 December 1994 (has links) (PDF)
La thèse vise deux buts : décrire la notion de machine de Turing en tant que concept et en tant que modèle. L'hypothèse épistémologique de départ est la suivante : pour que la notion de machine de Turing ait psychologiquement une signification, il faut qu'elle soit mise en rapport avec la notion de continu et ce, dans les deux directions envisagées, concept et modèle.<br /> On décrit la notion de machine de Turing en tant que concept dans la théorie de la calculabilité. On étudie le contexte épistémologique dans lequel le concept est né dans les années trente : philosophiquement, la “querelle des fondements en mathématique”; mathématiquement, l'apparition des différents formalismes permettant de rendre compte de la calculabilité des fonctions, dont le formalisme de la machine de Turing.<br /> On décrit dans la deuxième partie comment le concept de machine de Turing se transforme en modèle pour la théorie de la psychologie. La justification de cette transformation est étudiée à partir de l'expérience de pensée élaborée par Turing grâce au “jeu de l'imitation”. On interprète le sens de ce jeu d'un point de vue formaliste, probabiliste et psychologique. On finit par conclure à l'absence de “test de Turing” dans le jeu, contrairement à ce qui est cru généralement.<br /> La troisième partie étudie la façon dont la notion de machine de Turing a servi de fondement à l'intelligence artificielle. Le modèle de Turing tel qu'il a été utilisé jusqu'à présent engendre deux types de théories dualistes de l'esprit : une théorie platonicienne et une théorie fonctionnaliste. On justifie une interprétation non-dualiste en mettant l'accent sur le rôle joué par le langage dans la constitution du modèle. On replace enfin le modèle dans une tradition historique plus large, qui va de C. Babbage à R. Thom.
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Philosophie et société : esquisse d'une contribution à la définition de la fonction sociale du philosopheBéthencourt, Julien 26 November 2011 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse est l'esquisse d'une contribution à la question suivante : comment faire de la philosophie aujourd'hui pour, non plus seulement interpréter le monde de différentes manières, mais aussi participer à le transformer ?Pour produire cette contribution, ce travail se propose de définir la fonction sociale de la pratique matérielle du philosophe dans les systèmes de production philosophiques, culturels et sociaux.C'est ainsi que ce travail définit avec les outils conceptuels de la théorie matérialiste historique de Marx, Engels et Althusser, et psychanalytique de Freud :- les pratiques déterminées de production discursives que le philosophe accomplit dans son système de production spécifique ;- la fonction culturelle particulière que ces pratiques ont pour les forces productives, les rapports et les systèmes de production des discours idéologiques dominants et (ou) émergeants, des discours savants des Sciences Humaines et Sociales et des Arts, Lettres et Langues, et des discours profanes ;- enfin, la fonction sociale générale de ces pratiques.
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La refondation richirienne de la phénoménologie : Les multiples enjeux de la refonte et de la refondation de la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir à partir du traitement de la question de l'espace/temps phénoménologique archaïqueAlexander, Robert 17 November 2011 (has links) (PDF)
Notre thèse est consacrée à l'œuvre philosophique de Marc Richir - œuvre débutée en 1968 qui compte plus de dix mille pages en 2011, réparties en vingt ouvrages et plus de deux cents articles - et elle se résume à cette double ambition : 1/ apporter la démonstration que la phénoménologie transcendantale chez Marc Richir (avec ses notions spécifiques et son architectonique), dans les enjeux les plus fondamentaux de sa refonte et de sa refondation, se comprend, se réfléchit et se fonde par un résidu, une trace ou un milieu (de vie du) transcendantal ; bref, par ce que nous nommons un élément 'ogkorythmique' fondamental qui constitue le placentaire du transcendantal, le squelette transcendantal du transcendantal. Cet élément, présent à tous les niveaux de cette nouvelle phénoménologie et qui en ouvre la compréhensibilité, est constitué par une masse rythmique non spatiale et non temporelle néanmoins en mouvement. Ce qui équivaut à penser la dynamique foncièrement irreprésentable, impossible, impensable et incompréhensible, d'une masse sans masse et d'un rythme sans rythme au cœur même de la phénoménologie et de la phénoménologisation richiriennes devenues par cette analyse, à nos yeux, une métaphysique phénoménologique fondamentale ; 2/ montrer la genèse des fondements phénoménologiques de cette pensée refondatrice - à la lumière de cet élément - comprise comme métaphysique transcendantale, par l'étude analytique des premiers écrits des années 60 et 70, où apparaît cette problématique fondationnelle ; et qui permet, en outre, d'éclairer les écrits postérieurs des années 80 à 2000, ce qui favorise le traitement de ces derniers de manière à la fois transversale et synthétique.
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Nature et subjectivité. L'énigme de l'homme chez Freud et Merleau-PontyRenault, Alexandra 01 November 2004 (has links) (PDF)
Comment l'homme peut-il être "à la fois tout entier corps et tout entier esprit", nature et subjectivité ? Le projet de faire dialoguer Freud et Merleau-Ponty s'appuie sur ce constat : d'une part, tout deux refusent de laisser la question de homine à l'état d'aporie, d'où leurs critiques du dispositif cartésien et de ses avatars. D'autre part, il ne veulent pas pour autant dissoudre les concepts d'homme et de subjectivité, mais travaillent au contraire à renouveller la problématique classique de l'homme en la transformant en une problématique du décentrement du sujet par rapport à lui-même et à ses repères traditionnels (conscience, ipséité). A partir d'une conception de l'intentionnalité se tenant à la limite de la phénoménologie, ils procèdent ainsi à une genèse de l'ego, qui se radicalise en une interrogation archéologique sur les origines de la subjectivité et de l'humanité, le ça et les pulsions chez Freud, la chair et la Nature chez Merleau-Ponty. Leur exigence d'interdisciplinarité apparaîtra alors comme une occasion pour la pensée contemporaine de dépasser les alternatives stériles à la source de son état de crise (dualisme des substances ; distinction entre empirisme et transcendantal )
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Les intentions du dessinateur. Un cas d'étude à l'interface entre la philosophie de l'art et les sciences cognitives.Pignocchi, Alessandro 16 December 2008 (has links) (PDF)
Peut-on percevoir une image comme le produit d'une certaine démarche intentionnelle ? Plus précisément, les images ont-elles des " propriétés intentionnelles ", c'est-à-dire des propriétés que l'on voit comme le résultat des actions intentionnelles de l'artiste ? Cette question est intéressante car elle occupe une région intermédiaire entre l'analyse conceptuelle développée par la philosophie analytique de l'art et la recherche empirique en sciences cognitive. Du côté de la philosophie de l'art, elle est connectée à la thèse intentionnelle, selon laquelle l'évaluation d'une œuvre d'art en tant qu'œuvre d'art est nécessairement fondée sur les intentions de l'artiste, et à la thèse expérientielle, selon laquelle l'évaluation d'une image en tant qu'image n'emploie que ce qu'il est possible de voir en la regardant. Il existe des arguments montrant que chacune de ces thèses est essentielle à la description de l'évaluation artistique des images. Pourtant, elles sont en tension car on ne peut pas voir les intentions de l'artiste en regardant une image. Ces deux thèses ne sont conciliables que si on accepte que les propriétés des images peuvent être vues comme le résultat des intentions de l'artiste. En d'autres termes, il faut être en mesure de répondre positivement à la question des propriétés intentionnelles des images. Or, une telle réponse possède une composante empirique qui ne saurait être ignorée. En effet, la question des propriétés intentionnelles des images doit être mise en relation avec différentes branches de la recherche en sciences cognitives traitant de la récupération des intentions d'autrui. L'attitude traditionnelle adoptée par les philosophes de l'art face au versant empirique de cette question consiste à l'éluder, en disant qu'il s'agit là simplement d'un cas où notre perception d'un objet est façonnée par nos connaissances propositionnelles. Ainsi pouvons-nous percevoir les propriétés intentionnelles des images grâce au contrôle exercé par nos connaissances propositionnelles - relatives aux intentions de l'artiste et au contexte de production de l'image, entre autres - sur notre perception. En détaillant les différentes façons dont les connaissances propositionnelles peuvent influencer la perception, on s'aperçoit que cette réponse est très insuffisante. Elle est en tension avec une idée courante en philosophie selon laquelle on peut percevoir les propriétés intentionnelles simultanément aux propriétés représentationnelles ; elle a également des difficultés pour expliquer la détection de certaines qualités, telles que la dextérité du dessinateur, ainsi que pour rendre compte de la reconnaissance de son style et de ses influences. Pour résoudre ces problèmes il est essentiel de définir une voie directe de perception des propriétés intentionnelles, c'est-à-dire qui ne passe pas obligatoirement par les connaissances propositionnelles. Cette seconde voie, la perception motrice, est orchestrée par le savoir-faire moteur de l'observateur. Pour développer l'hypothèse de la perception motrice, il est essentiel de se doter d'une théorie psychologique de l'apprentissage et de la production du dessin. Pour ce faire, la meilleure solution consiste à explorer le versant psychologique de la théorie des schémas graphiques d'Ernst Gombrich en la rapprochant de la théorie du code-commun, selon laquelle la planification de l'action et la perception de certains évènements du monde sont implémentées par les mêmes représentations. Grâce à ce rapprochement, on obtient la théorie visuomotrice des schémas graphiques, selon laquelle le mécanisme fondamental de l'apprentissage du dessin est la récupération directe des plans d'action des autres dessinateurs par observation de leurs dessins. Cette théorie permet de montrer que la perception motrice des images exploite les mêmes structures représentationnelles que celles impliquées dans la planification des actions employant le genre d'outils qui permet de produire des images, afin d'organiser l'information visuelle portée par une image de façon cohérente par rapport à l'action. En d'autres termes, la perception motrice d'une image est contrôlée par une simulation de certains éléments des actions de l'artiste, ce qui permet de percevoir les propriétés de l'image comme des résultats d'actions, c'est-à-dire de percevoir directement ses propriétés intentionnelles. L'accès perceptif aux intentions de l'artiste, et plus spécifiquement du dessinateur, apparaît ainsi comme un thème capable de structurer un dialogue productif entre la philosophie analytique de l'art et les sciences cognitives.
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Le réel et le transcendantal : enquête sur les fondements spéculatifs de la phénoménologie et le statut du " phénoménologique "Forestier, Florian 18 June 2011 (has links) (PDF)
L'objet de ce travail est de montrer que, loin d'être incompatible avec le projet phénoménologique de retour aux choses mêmes, la perspective transcendantale contribue au contraire à la clarification de ses concepts et opérations. Elle permet également de préciser le les tentatives de dépassement du cadre husserlien mise en œuvre au cours du XXe siècle, en direction d'une transcendance plus radicale (Heidegger, Levinas, Marion) ou d'une immanence plus profonde (Merleau-Ponty, Patocka, Henry). Ce transcendantalisme doit cependant être élargi par la mise en place de nouveaux outils, comme la " construction phénoménologique " thématisée par Alexander Schnell. L'œuvre de Marc Richir est exemplaire d'une telle refondation du transcendantalisme phénoménologique. A travers ses principaux concept (le " schématisme-de-la-phénoménalisation ", le " rien-que-phénomène ", la " phantasia "), elle ressaisit au sein d'une architectonique cohérente l'événementialité, l'affectivité, ou l'extériorité, et qui semblent déjouer le transcendantalisme husserlien. En particulier, la phénoménologie du temps et de l'espace mise au point par Richir met en relief la fécondité de cette architectonique.
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La liberté humaine chez Thomas d'AquinGoglin, Jean-Marc 14 January 2011 (has links) (PDF)
Il est acquis que la théorie de la liberté humaine de Thomas d'Aquin n'est pas déterministe. Dans chacune de ses œuvres, celui-ci accorde à l'homme de pouvoir se porter sur des contraires. Sans contestation possible, Thomas modifie sa conception de la liberté de l'homme tout au long de son enseignement. Dans le commentaire sur les Sentences, il accorde la primauté au libre arbitre : il lui accorde d'être un jugement libre de toute contrainte et de toute nécessité. À partir du De Veritate, l'Aquinate accorde la primauté à la voluntas, faculté appétitive et motrice de l'âme. Sans minimiser l'importance de l'arbitre, il en fait un acte, à savoir le choix de la volonté. Dans aucune œuvre, Thomas ne fait de la volonté un paradigme. Il n'en propose pas moins une définition aboutie. Il distingue la polysémie de la notion de potentia et accorde à la voluntas d'être à la fois une puissance et un acte ; précisément, il accorde à la volonté de vouloir naturellement mais librement et de choisir librement. Dans le De Malo et la Prima Secundae Pars, il théorise avec précision la différence entre la liberté de spécification et la liberté d'exercice En définitive, l'Aquinate définit la liberté comme l'apanage de la volonté. Il lui accorde d'être à la fois une faculté volontaire et désirante, d'avoir la maîtrise de ses actes et d'être libre de toute nécessité : la volonté peut vouloir ou ne pas vouloir. Mais il ne fait pas du choix un acte indifférent. Les innovations majeures thomasiennes portent sur l'intérêt croissant accordé à la métaphysique et à l'éthique. Dans la Summa theologiae, le dominicain enracine la liberté éthique dans une liberté psychologique et s'insère dans une métaphysique de l'agir qui permet la réalisation de l'être. La liberté se comprend à la fois comme potentiel à réaliser, comme pouvoir et comme acte dans le cheminement du retour à Dieu. Thomas accorde donc à l'homme d'être libre de devenir libre.
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Le fait génétique des mathématiques et la puissance dynamique du mental humainCaianiello, Eduardo 25 October 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse démontre l'existence du mental humain comme réalité substantielle, qui déploie sa force créatrice tout le long de notre vie, et qui est aussi irréductible à notre cerveau que la masse m est irréductible au corps qui en manifeste la présence. Le phénomène ciblé est celui des mathématiques, vues sous la perspective de leur naissance/développement à l'intérieur de la vie d'un même homme : un homme apprend à lire, et à la suite de cet apprentissage l'évidence mathématique fait son apparition devant sa conscience. La formule utilisée pour exprimer l'unité de ce processus est "A→"A"→"A↔A" ", où les flèches expriment les différentes phases d'un seul et même vecteur : celui de notre force mentale. Le travail comprend trois parties : 1) Réincarner les mathématiques, dont le but est celui de rendre la mathématique au mathématicien incarné. 2) Réorienter le développement. Toute la théorie piagétienne/post-piagétienne sur le développement mental de l'être humain est ici exposée, discutée, réfutée et dépassée. 3) Redonner une voix à l'homme, où il est démontré que la voix humaine vient avant sa propre fréquence, ou que la fréquence de notre voix est le fruit de notre intention de nous exprimer, et pas l'inverse. Grâce à ce renversement, notre voix se révèle comme le fruit d'une attraction fréquentielle exercée par notre corps sur l'une de ses parties ; or ce même processus se répète dans le cas de l'apprentissage à lire/écrire. Une même force donc - la force de donner un sens à notre vie - engendre premièrement la formation de notre voix, ensuite celle de notre écriture, pour finalement faire éclater, au sein de cette même écriture, la lumière de l'évidence mathématique.
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STORIA, RELIGIONE E SCIENZA NEGLI ULTIMI SCRITTI DI ERNEST RENAN (HISTOIRE, RELIGION ET SCIENCE DANS LES DERNIERS ÉCRITS D'ERNEST RENAN)Paone, Domenico 30 March 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse est consacrée à la philosophie des dernières années d'Ernest Renan, de 1880 à 1892, période où la pensée du philosophe oscille constamment entre deux tendances : un relativisme blasé et parfois pessimiste, et la foi dans le déterminisme d'une philosophie de l'histoire forte. En suivant la pensée de Renan à travers trois thèmes capitaux – l'histoire, la religion et la science – l'étude cherchera à saisir la portée de ces hésitations dans le contexte de la crise de l'idéalisme et des certitudes positives qui domine sa réflexion pendant ces années. La première partie sera ainsi consacrée au cadre théorique dans lequel se développe la philosophie de Renan et tentera une interprétation des métamorphoses des différentes figures de la dialectique de son discours, à partir de l'antagonisme fondamental entre spiritualisme et matérialisme. La deuxième partie étudiera l'évolution de la catégorie du religieux et l'analyse de la position d'hégémonie qu'elle arrivera à conquérir parmi les autres principes de la philosophie de Renan. La troisième et dernière partie examinera les transformations du rôle et de la fonction de la science face à la crise du fondement transcendant. L'analyse s'appuiera sur l'étude des derniers ouvrages publiés par Renan (L'Avenir de la science, l'Histoire du peuple d'Israël, l'Examen de conscience philosophique, les Feuilles détachées) qui seront confrontés avec une série de notes manuscrites et de fragments inédits des années 1890-1892, provenant notamment du Fonds Renan de la Bibliothèque nationale de France.
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La démonstration dialectique.<br />Le problème de la justification des propositions dans un contexte de finitude cognitive, sa résolution et ses conséquences.Panis, Sylvain 30 November 2007 (has links) (PDF)
Comment justifier un énoncé en l'absence de tout fondement absolu ? Comment prétendre à la validité dans un contexte de finitude cognitive ?<br /> Après avoir défini les notions de validité et de finitude, ce travail propose la solution suivante.<br /> Au lieu de prétendre à une validité absolue on peut prétendre plus modestement que la position défendue est meilleure que les positions concurrentes connues. On évite ainsi toute ambition absolutiste sans tomber dans le relativisme.<br /> Qu'est-ce qui permet cependant de dire qu'une position est meilleure qu'une autre ? Nous proposons le « critère de préférence » suivant : une position B est meilleure qu'une position A si au moins un problème rencontré par A est résolu par B, et si aucun problème rencontré par B n'est résolu par A.<br /> Lorsque plusieurs positions sont examinées d'après ce critère, l'argumentation prend la forme d'un processus d'apprentissage. En raison de ses similitudes avec la dialectique aristotélicienne, cette procédure est appelée « démonstration dialectique ».<br /> Ce travail examine ensuite la méthodologie de la démonstration dialectique, notamment les règles de recension et de compréhension des positions concurrentes. Il étudie enfin les conséquences de cette procédure sur les concepts épistémologiques tels que la vérité, la connaissance et la rationalité.<br /> Comme la démonstration dialectique est une procédure fondamentale de preuve, elle doit être fondée par elle-même. C'est pourquoi chaque étape de l'argumentation est justifiée à partir d'une confrontation avec les positions concurrentes, notamment celles d'Aristote, Habermas et Popper.
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