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Le Méta-artistique : typologies et topologies

Trentini, Bruno 24 September 2008 (has links) (PDF)
Devant une œuvre d'art qui porte sur l'art, le spectateur peut soit l'appréhender comme une œuvre d'art, soit l'appréhender comme un document portant sur l'art. En effet, l'imbrication existant entre l'art et le méta-art rend trop complexe l'appréhension simultanée des deux niveaux. Pourtant, si l'œuvre porte sur elle même en tant qu'œuvre d'art, le spectateur peut la considérer en un seul mouvement comme une œuvre d'art méta-artistique. Ce type de méta-articité suscite un sentiment spécifique, le sublime catastrophique. Ce sentiment est dû à l'ouverture infinie séparant le niveau imbriqué du niveau imbriquant et au passage de l'un à l'autre. Il semblerait que la logique soit apte à rendre compte de ces jeux de niveaux, elle s'avère pourtant stérile : une approche cognitive se révèle plus pertinente. Ainsi, si le méta-art plaît aisément c'est peut-être parce que sa structure complexe sans ordre arrêté est en accord avec la structure de pensée de l'Homme.
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Aspects du sujet dans la philosophie du langage ordinaire

Bonnet, Valerie 28 June 2012 (has links) (PDF)
De quelle notion de sujet avons-nous besoin rendre compte de nos pratiques et notamment de notre pratique du langage ? Cette question du sujet et de la subjectivité se pose à nouveaux frais dans le cadre de la philosophie du langage ordinaire et tout particulièrement à partir de la théorie des actes de parole de J.L. Austin. En effet, si le langage n'a de signification qu'en tant que parole, et même qu'en tant qu'acte d'un sujet qui prend la parole, le langage ne saurait être un processus sans sujet. Un acte nécessite un agent et si cet acte est un acte de parole, il faut un agent capable de comprendre la signification de ce qui est dit, en d'autres termes, il semble bien qu'il faille un sujet pensant, un sujet psychologique. C'est dans cette voie que s'engagèrent les premières interprétations d'Austin. Les actes de parole donnèrent naissance d'une nouvelle discipline : la pragmatique, où le rôle de l'intention dans la signification est primordial. Or, la philosophie du langage ordinaire se situe dans le projet initial de la philosophie analytique, tel que mené par Frege, Russell et le premier Wittgenstein, qui détachaient la signification de la subjectivité des représentations en la liant à la référence ou dénotation. Le sujet psychologique se trouve alors hors du champ de la pensée et de la vérité. Austin poursuit et radicalise ce projet : dans la théorie des actes de parole, la vérité devient la dimension d'évaluation de certains énoncés à l'intérieur de la catégorie plus générale de la félicité, évaluation qui n'est possible qu'en situant l'énonciation dans son contexte. C'est donc le contexte, et non l'intériorité du sujet parlant qui permet la compréhension. Ainsi, Le sujet des actes de paroles n'est pas le sujet intentionnel du mentalisme. C'est en fait un sujet pensant dont la pensée se lit dans le comportement, un sujet dont la pensée publique se fonde et s'exprime dans des conventions sociales qui le rendent responsables de ses paroles. Le sujet parlant est un sujet social pour qui l'enjeu est de parvenir à trouver et faire entendre sa voix alors même qu'il parle dans les mots des autres, un sujet responsable et mis en position de fragilité car il doit répondre de plus qu'il ne le voudrait.
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Le visible et l'intouchable : la vision et son épreuve phénoménologique dans l'oeuvre d'Alberto Giacometti

Delmotte, Benjamin 14 December 2012 (has links) (PDF)
Que signifie voir ? et en quoi l'étude d'une œuvre artistique favoriserait-elle l'examen philosophique d'une telle question ? Centré sur le problème de la vision dans l'œuvre d'Alberto Giacometti, ce travail entend mettre au jour une certaine exemplarité de l'artiste dans l'élaboration philosophique de la question de la vision, en posant les conditions d'un dialogue entre art et phénoménologie. Car la vision chez Giacometti problématise l'apparition des choses d'une manière qui bouleverse l'évidence de la constitution d'objet et ébranle la subjectivité. Voir, c'est voir apparaître, mais cette apparition n'est pas simple montée au visible d'une forme accédant à quelque stabilité objective : l'artiste nous force à penser ce que nous proposons d'appeler une " désapparition " de l'objet. L'art se donne en effet comme une forme d'inquiétude du regard, qui balance l'objet entre apparition et disparition, le retire étrangement au toucher et émeut remarquablement le sujet en lui suggérant une dimension sublime de la visibilité qui le renvoie finalement à sa propre mortalité. Sur tous ces points, la phénoménologie peut éclairer l'œuvre de l'artiste, quoique la "résistance" de cette même œuvre à l'égard des thèses philosophiques s'avère tout aussi éclairante : loin de nous amener à la simple conclusion d'une extériorité de l'art et de la philosophie, cette résistance peut en effet se comprendre comme une invitation à retravailler, d'une façon critique, la phénoménologie elle-même.
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Dieu n'est pas chirurgien : un cheminement éthique à la recherche des traces du sacré en chirurgie

Caillol, Michel 18 December 2012 (has links) (PDF)
La différence entre Dieu et un chirurgien, réplique-t-on classiquement à celui-ci lorsque il s'estime comme créateur de son opéré, c'est que Dieu, lui, ne se prend pas pour un chirurgien. Qu'y a-t-il dans cette action qui soit si spécifique que son agent, le chirurgien, puisse à ce point risquer de s'idolâtrer ?Il semble bien, tout d'abord, qu'il y ait dans la chirurgie une réelle dimension religieuse c'est-à-dire un rapport certain avec le sacré - l'interdit -, ce que l'on ne doit pas profaner. Le questionnement sur le chirurgien et la chirurgie éclaire cet aspect. Si tout chirurgien est d'abord un médecin, et comme tel s'il a bien pour mission de soulager une personne humaine lorsqu'elle est affectée par la maladie ou le traumatisme, pour autant son mode " opératoire " est particulier. La chirurgie, malgré la prégnance de plus en plus forte de l'appareil techno-scientifique à son service, reste encore une activité manuelle et particulièrement immédiate. Elle nécessite certes une connaissance scientifique, mais sa technicité se nourrit de l'expérience pratique. C'est ici qu'elle recèle l'autre dimension sacrée que représente le sacrifice, de manière sans doute plus aboutie que la médecine purement clinicienne. Mais elle est surtout agressive, parce que douloureuse et sanglante, et transgressive, parce qu'elle autorise son agent à inter-venir, à rentrer dans un corps humain. Cette intervention ne se fait jamais sans un rituel quasi religieux qui semble attester de la sacralité de son champ : le corps-personne de l'opéré. Malgré la profonde influence de la Modernité qui, avec Descartes en particulier, vise à dissocier radicalement le corps de l'esprit, une analyse rigoureuse de la pratique chirurgicale tend à infirmer cette illusion, même s'il y a nécessité d'objectivation pour parvenir à assumer la transgression qui consiste à ouvrir un corps. La phénoménologie nous éclaire sur la subjectivité transcendantale du chirurgien qui, en même temps qu'il vise son opéré comme l'objet de son faire, ne peut pas être complètement extérieur à cet opéré et à son intervention. Le chirurgien ne saurait être le simple réparateur d'un objet, ni même un vétérinaire, obligé qu'il est de par la spécificité morale de l'être humain qu'il prend en charge. Il devient alors plus que la cause efficiente de l'opération chirurgicale, pour être nécessairement concerné par sa finalité. Cette obligation de viser à la restauration du pouvoir-être au monde de son opéré, plus que de le re-mettre dans une norme arbitraire, fait en effet de la chirurgie une action morale. Car oublier cette finalité, cherchant à s'exonérer de cette responsabilité qui dépasse le pur faire, ce serait réduire la chirurgie à une simple fabrication. La démesure alors guetterait celui qui pourrait se prendre pour Dieu, mais au mauvais sens du concept, puisque s'ouvriraient subrepticement les portes de la barbarie. Etre instrumentalisé par le désir jamais assouvi de son patient, comme être prisonnier de sa pure technicité, sont alors les deux écueils, intimement liés, qui empêchant le chirurgien de décider, ferait perdre toute dimension morale à son action. D'autant que le lent " désenchantement du corps " présent dans nos sociétés occidentales contemporaines, semble participer de ce déni. La question de la contribution de la chirurgie au vaste désir de transformation de l'homme, véhiculé par le transhumanisme, s'abreuve peut-être à la source d'une insidieuse barbarie.Retrouver la nature spirituelle de l'homme reste alors sans doute le point d'appui le plus sûr pour parer à une telle dérive, en sacralisant ainsi, et la personne de l'opéré, et le geste d'y intervenir, lui rendant peut-être son véritable sens._____
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Vers une poïétique de soi ou les enjeux d'une nouvelle interprétation de l'être : les possibilités et les limites du renouvellement de la Métaphysique de Kant à Bachelard

Aiello, Christine 15 December 2012 (has links) (PDF)
L'être demeure encore et toujours aujourd'hui un objet extrêmement mystérieux et polémique pour les philosophes comme pour l'individu que nous sommes. Face à la réapparition perpétuelle de cet objet sous la forme d'une interrogation fondamentale, la question est celle de savoir si nous sommes face à un problème insoluble pour la raison ou bien confrontés à un problème méthodologique qu'il convient de relever. Au-delà d'une nouvelle tentative de destruction de la Métaphysique sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions chez les postmodernes, nous devons tenter de réfléchir aujourd'hui sur la véritable positivité du questionnement de l'être. Allant de Kant à Bachelard nous voyons alors s'ouvrir progressivement au cours de l'histoire le chemin d'une autre pratique qui peut se définir ici comme une poïétique de soi.
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Russell et la question des fondements. Etudes d'histoire et de philosophie des mathématiques au tournant du xxe siècle

Gandon, Sebastien 27 November 2009 (has links) (PDF)
Note de synthèse de l'HdR portant sur Russell et la question des fondements.
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Relations et quantités chez Russell (1897-1913)

Gandon, Sebastien 27 November 2009 (has links) (PDF)
Le mémoire analyse l'évolution de la théorie russellienne de la quantité et de la grandeur, des premiers écrits de la période idéaliste, jusqu'au Principia Mathematica.
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L'esprit du jeu dans les sociétés postmodernes : Anomies et socialités : Bovarysme, mémoire et aventure

Fouillet, Aurélien 11 December 2012 (has links) (PDF)
Les jeux vidéos, les comics américains, les séminaires ludiques de créativité, leszombie walks, ou encore les phénomènes d'effervescences prennent de plus en plus deplace dans les sociétés contemporaines. Ce travail de recherche s'interroge sur cettedimension ludique de l'existence qui façonne de nouvelles manières d'être-ensemble.Si ce travail s'apparente à la sociologie du jeu, il n'envisage pas le jeu comme undomaine spécifique, comme une sphère particulière de la vie sociale. Notre réflexions'attache à replacer le jeu comme forme de socialisation. Un peu à la manière deHuizinga qui voyait le jeu comme ce qui fait culture, nous envisageons ici le ludiquecomme ce qui fait société.Trois expressions de cette forme ludique de socialisation sont abordées dans cetravail de recherche : 1. Le bovarysme, tout d'abord, qui interpelle les modalités deconstruction de l'identité, ainsi que les rapports entre réalité et irréalité. Le bovarysme,expression contemporaine de l'enromancement médiéval, suggère que l'être-ensemblerepose sur un certain type de fiction. 2. Les itinéraires mnémoniques, ensuite, quidécoulent des fictions bovaryques et qui manifestent la mutation de notre rapport àl'espace et au territoire communautaire. Les lieux communs, territoires de la mémoirecollective, ne s'expriment plus simplement dans un rapport au souvenir, mais aussi dansun cheminement, un voyage, des itinéraires. L'être-ensemble se territorialise dansl'usage de la métaphore que se proposent de faire les sociétés contemporaines. 3.L'esprit d'aventure, enfin, expression de l'amour du risque qui lutte contre l'ennui. Si lafiction identitaire et les itinéraires mnémoniques nous proposent de nouveaux voyagescommunautaires, l'esprit d'aventure et d'exploration se trouve certainement à leurorigine. L'ennui provoqué par un certain désenchantement du monde trouve icil'expression de sa vivante part maudite.Au travers de l'étude de ces trois dimensions des comportements ludiquescontemporains, le jeu apparaît comme expression ambivalente des anomiescontemporaines. Anomie destructrice de la société moderne, d'un côté, anomie créatricedes sociétés en gestation, de l'autre.
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Independence-Friendly Modal Logic. Studies in its Expressive Power and Theoretical Relevance.

Tulenheimo, Tero 17 January 2004 (has links) (PDF)
The doctoral dissertation introduces independence-friendly (IF) modal logic as an extension of standard modal logic. Making use of the notion of uniform strategy, a game-theoretical interpretation of IF modal logic is formulated. It is shown that under this interpretation, IF modal logic has greater expressive power than standard modal logic, and can be translated into first-order logic. However, when restricted to a simple tense-logical setting (evaluation over strict linear orders), its expressive power coincides with standard tense logic. The syntax of IF modal logic can be modified to allow independence of modal operators from conjunctions and disjunctions. It is shown that the resulting modal logic can no longer be translated into first-order logic. Two further interpretations of the language of IF modal logic are given, one in terms of backwards-looking operators, the other algebraic. The dissertation contains an extensive discussion of tenses in linguis- tics, and explains how the 'backwards-looking operators' interpretation of IF tense logic makes it possible to formally distinguish between two types of independence appearing in connection with tense evaluation. It is argued that the linguistic critique against scope theories of tense becomes less appealing when this distinction is made.
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Michel Foucault : la "parrêsia", une éthique de la vérité

Rojas, Maria Andrea 17 December 2012 (has links) (PDF)
A partir de 1982 Foucault attribue une place centrale à l'expérience qui noue transformation de soi et accès à la vérité. Dans cette perspective la vérité devient une expérience dans laquelle nous devons transformer notre existence pour accéder au vrai. C'est toute la problématique de la spiritualité et de sa relation à la philosophie qui est ainsi ouverte, redéfinissant la philosophie comme une expérience de transformation de soi à l'épreuve de la vérité. Notre objectif sera ici de montrer comment à travers le concept de parrêsia Foucault propose une nouvelle manière de problématiser la relation entre discours vrai et transformation de soi. Ce travail sur soi implique une remise en question constante, mais surtout elle implique une vigilance permanente à l'égard du monde, des autres et de soi-même. Il ne s'agit plus seulement là de s'inventer soi-même en réponse à l'assujettissement, mais d'avoir le courage de devenir autre, dans un monde autre. Cette relation entre vie et vérité implique de se mettre constamment en jeu, risquant toujours une déprise de soi nécessaire à l'émergence d'une vie autre : il s'agira donc pour nous de tracer les déclinaisons éthiques prises par ce courage de la vérité. La parrêsia comme une autre forme de penser le nouage entre subjectivité et vérité, une forme de subjectivation dans laquelle le sujet ne s'attache pas à la vérité de forme identitaire, mais par laquelle le sujet se met perpétuellement en jeu. Nous examinerons pour cela cinq formes, ou plutôt cinq moments de problématisation historique de la parrêsia analysés par Foucault dans ses deux derniers cours au Collège de France : la parrêsia dans les pratiques de soi antiques, la parrêsia et ses origines démocratiques, le moment de transition d'une parrêsia politique à une parrêsia éthique, la parrêsia socratique et finalement la parrêsia cynique. Ce parcours nous permet en même temps de montrer la relation établie par Foucault entre le concept de critique et celui de parrêsia. Nous verrons également comment par ce nouage s'ouvre en même temps la question du rôle de l'intellectuel ainsi que celle de la tâche de la philosophie, question sous-jacente et présente tout au long de ces derniers cours.

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