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Les relations avec les fournisseurs comme source d'innovation : relations, chaines et réseauxJohnsen, Thomas 24 May 2011 (has links) (PDF)
Ce rapport donne un aperçu de mes recherches à ce jour. Il commence par expliquer pourquoi mon domaine - gestion des achats et des approvisionnements - est un sujet pertinent et même de plus en plus critique, autant pour les chercheurs universitaires que les entreprises et organisations. Je présente mes principaux axes de recherches et j'introduis par la suite les deux domaines principaux de la gestion des achats et des approvisionnements à laquelle j'ai contribué, à savoir les relations au sein des réseaux d'approvisionnement, ainsi que le rôle des fournisseurs dans l'innovation et le développement de nouveaux produits (DNP pour New Product Development : NPD). Le rapport donne un aperçu des principaux projets de recherche dans lesquels je me suis impliqué, avant de détailler ma contribution sur le terrain ainsi que la philosophie et les méthodologies qui sous-tendent mes recherches. En particulier, je réfléchis sur l'utilisation de la recherche qualitative dans l'étude de cas en matière de gestion des achats et de l'approvisionnement et j'offre des suggestions sur la façon d'assurer une recherche de bonne qualité dans ce domaine. Le rapport se termine par un aperçu de mes projets de recherche à venir.
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Définition d'une démarche de réduction des vulnérabilités des TPE / PME fondée sur le cycle de vieClusel, Sophie 12 December 2012 (has links) (PDF)
La Très Petite Entreprise (TPE) / Petite et Moyenne Entreprise (PME), comme toutes entités socioéconomiques, est confrontée à des risques variés durant la conduite de ses activités (Incendie, perte d'un fournisseur important, Accident du travail, échec d'un partenariat, espionnage industriel,...). A la différence de leurs homologues de grande taille, celles-ci n'ont pas à leur disposition d'outils dédiés pour les gérer dans leur globalité et donc assurer leur pérennité. Fort de ce constat, le Groupe AFNOR en collaboration avec le Centre de recherche sur les Risques et les Crises de Mines ParisTech, a initié une réflexion qui permettrait d'apporter des réponses à cette problématique.Cette thèse présente donc les fondements et la conception d'une démarche de maîtrise globale des risques des TPE / PME. Les résultats de ces travaux s'adressent bien entendu aux dirigeants des TPE / PME mais également aux différents " acteurs relais " (associations d'entreprises, des CCI, des CRCI, des Chambres des Métiers, des assureurs ...) qui les accompagnent et assistent dans le cadre de leur démarche de maîtrise des risques.Elle repose sur la définition et la construction d'un outil de diagnostic qui permet la mise en évidence et la réduction des vulnérabilités des TPE / PME face à leurs risques majeurs. Pour cela, la caractérisation des vulnérabilités des TPE / PME a abouti à la mise en évidence de leur caractère transitoire grâce au concept de cycle de vie. Une fois décrites, leur modélisation conduit à l'identification des critères qui font varier la nature et / ou la gravité des dommages quand un Évènement Non Souhaité (ENS) survient. Ces critères de vulnérabilités sont les constituants prépondérants du diagnostic. Ce dernier permet de mettre en évidence les faiblesses de l'organisation afin d'apporter des propositions adaptées d'améliorations (formation, diagnostic ou autodiagnostic spécifique, accompagnement, conseil, sensibilisation,...).
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Les calculs du prix de revient dans la seconde industrialisation en FranceZimnovitch, Henri 12 January 1997 (has links) (PDF)
Si le calcul du prix de revient est un& r)pération qui remonte à la nuit des temps, Marc Nikitin a montré, dans une thèse récente, que son calcul, selon les règ*les de la comptabilité en partie double, s'est imposé en France lors de la Première Révolution industrielle. Pour la seconde industrialisation, notre thèse est que les calculs du prix de revient se développèrent selon quatre étapes. La première période, de 1880 à 1930, prolonge celle de la nalssanc;e de la comptabilité industrielle, avec un prix de revient comptable qui prétend au monopole de la vérité, sous l'influence d'une profession comptable en voie de constitution. Le deuxième temps, de 1930 à 1950, est marqué par une réflexion sur une imputation plus serrée des frais généraux dans le prix de revient. 1 1 correspond également au souci de lui voir jouer un rôle dans 1 a régulation de l'économie via la fixation du prix de vente par une instance extérieure à la firme. Une novation qui fut portée par ce qu'on peut appeler des " technocrates " qui recherchaient, dans une idéologie " pianiste ", voire corporatiste, une réponse à la crise du li b6rai i sm e des années 30. A partir de 1950, les calculs du prix de revient entrent dans !'ère du management, après les missions de productivité qui furent dépêchées aux Etats-Unis. A partir de là, les coûts standard se àiffuseront en France, quarante ans après leur émergence outre-Atlantique. Sans occulter h ~ s dimensions économiques ou culturelles qui peuvent justifier ce décalage, notre thèse insiste sur l'influence du corporatis, né corr.ptable et sur le succès de l'idéologie corporatiste pour expliquer 1 a *quarantaine dont fut l'objet la méthode des coûts pré-établis dans notre pays. Toujours dans les années 50, ce sera au tour du dirbct costing de se diffuser en France, cette méthode sera l'opportunité de dépasser 1 e calcul du prix de revient selon la partie double et de rendre 1 e raisonnement plus perméable aux idées issues de la théorie économique, notamment aux conceptions marginalistes
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Des mythes fondateurs du contrôle de gestion et de ses prolongements : le cas de l'informatique décisionnelleGumb, Bernard 17 June 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse évoque principalement les liens entre le contrôle de gestion (CG) et l'informatique décisionnelle (ID). Dans un premier temps, ces liens sont étayés par une relecture historique du CG au travers de ses mythes fondateurs. Dans un deuxième temps, une étude empirique est réalisée auprès de 16 dirigeants et top managers, afin de mieux comprendre les rôles respectifs du CG et de l'ID dans le processus de prise de décision stratégique. L'analyse révèle un rôle significatif de ce corpus dans les représentations des dirigeants, sans pour autant confirmer l'existence réelle d'un contrôle de gestion stratégique.
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Le management public comme science moraleRochet, Claude 08 December 2007 (has links) (PDF)
Le débat public sur le changement dans le secteur public s'organise actuellement selon une ligne de démarcation qui oppose les tenants de la performance et de l'efficience qui penchent vers la privatisation des services publics, et de l'autre les tenants de l'assimilation de la « défense du service public » et de l'intervention de l'Etat au rejet de toute notion d'évolution et de performance. Le programme de recherche du management public doit s'enrichir pour contribuer à sortir de ces fausses alternatives et lier la question politique de l'évolution de l'Etat et celle, technique, de la réforme administrative.<br />Nous posons le débat du point de vue de la théorie de la connaissance, en montrant que ces deux postures se rattachant toutes deux au positivisme logique et qu'elles passent à côté des grands enjeux du changement du secteur public. Dans la lignée des travaux de Hayek nous proposons une ligne de démarcation entre positivisme et évolutionnisme. En partant de la distinction faite par North entre institutions et organisations, nous analysons leur dynamique différente et le lien qui peut être établi entre innovation institutionnelle et organisationnelle dans le secteur public. Cette nouvelle perspective implique un retour au politique comme source de la décision publique et donc à la philosophie politique comme point d'où penser le management public.<br />Dans un deuxième temps, nous définissons des axes d'enrichissement du programme de recherche en management public pour lier philosophie politique et efficacité pratique. Le changement dans un environnement incertain demande de réviser le système de croyances sous-jacent aux institutions et repose sur l'apprentissage collectif et la progression par essais et erreurs. Le politique, réduit selon l'actuelle ligne de démarcation à une fonction support de la gestion publique, retrouve toute sa place, au sens de la philosophie politique classique et de l'humanisme civique républicain. Support du questionnement éthique à la base de toute politique, et outil de résolution de problèmes, le management public peut s'inscrire dans le domaine des sciences morales.<br />Nous concluons sur le développement de nouveaux arts pratiques de l'action publique pour conduire le changement.
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L'émergence de l'entreprise apprenante et son instrumentalisation: études de cas chez EDFCharlotte, Fillol 22 November 2006 (has links) (PDF)
« Avènement de la société des connaissances » et « omniprésence des technologies de l'information ». Ces deux expressions résument l'évolution actuelle de l'environnement des entreprises et expriment les défis managériaux et théoriques à relever. Notre recherche se situe au carrefour de ces deux champs et vise à comprendre l'émergence et l'instrumentalisation de l'entreprise apprenante. Notre réflexion théorique, alimentée par la littérature sur l'entreprise apprenante, les outils de gestion et des champs connexes – apprentissage et système d'information - propose une conceptualisation systémique et intégrative de l'entreprise apprenante, caractérisée par son climat, ses processus d'apprentissage et ses outils de gestion. L'analyse de cinq études de cas enchâssées, fondées sur 67 entretiens et 26 journées d'observation, confirme et précise cette conceptualisation théorique. Nos résultats s'articulent autour de trois points. Nous déterminons les phases des deux degrés de socialisation qui constituent les mécanismes générateurs de passage d'un niveau d'apprentissage à l'autre. Nous analysons la fonction des outils de gestion dans ces mécanismes ainsi que les déterminants et les facteurs modérateurs de cette fonction. Finalement, nous proposons une modélisation de la notion d'émergence et des axes de pilotage de l'instrumentalisation de l'entreprise apprenante.
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La diffusion d'information sociétale dans les rapports annuels et les sites internet des entreprises françaisesOxibar, Bruno 03 December 2003 (has links) (PDF)
Les entreprises françaises diffusent, en plus des informations financières traditionnelles, des informations ayant trait à l'environnement naturel, à leur gestion des ressources humaines, à la qualité et la sécurité des produits, à leur implication dans la Société civile, aux relations d'affaires et à l'éthique, ensemble d'informations que l'on qualifie de sociétales. La question de recherche de cette thèse est la suivante : quelles sont les motivations qui conduisent les dirigeants d'entreprises à diffuser des informations sociétales ?<br />Un chapitre introductif présente l'arsenal réglementaire ainsi que les propositions institutionnelles relatifs à la diffusion d'information sociétale. Il apparaît que la diffusion d'information sociétale résulte d'une démarche volontaire de la part de l'entreprise.<br />La première partie de cette thèse est consacrée à la construction d'un modèle théorique explicatif de la diffusion d'information sociétale. La théorie politico-contractuelle, qui intègre la dimension politique du phénomène et explique le rôle de l'information sociétale dans les relations contractuelles entre parties prenantes de l'entreprise, est sollicitée.<br />La seconde partie rend compte d'une étude empirique visant à valider le cadre d'analyse proposé. Elle porte sur un échantillon d'entreprises françaises dont les diffusions sociétales réalisées au sein des rapports annuels et via les sites internet sont explorées. La méthodologie d'analyse des diffusions d'information sociétale des entreprises fait l'objet d'une présentation détaillée. Une grille commune d'évaluation des diffusions réalisées via les rapports annuels et les sites internet des entreprises est proposée. Cette étude permet de souligner l'importance de la dimension politique dans le processus de diffusion d'information sociétale.
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IMPACT DE L'UTILISATION D'INTERNET SUR LA<br />QUALITE PERÇUE ET LA SATISFACTION DU<br />CONSOMMATEURSylvie, Rolland 23 December 2003 (has links) (PDF)
En ce début du XXIème siècle, le développement des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) connaît une forte croissance. Cette mutation entraîne de nombreux changements sur les comportements des consommateurs. La qualité a été très largement étudiée et a donné lieu à de nombreux débats ainsi qu'au développement de multiples outils, ceux-ci s'appuient sur une conception « traditionnelle » de ce thème. Or, le rôle croissant des NTIC notamment d'Internet, impose d'adopter de nouveaux modes de raisonnement et de s'interroger sur une forme duale de la qualité, composée de la qualité perçue en environnement physique (le magasin) et de la qualité perçue en environnement virtuel (le site Web). Cette recherche s'attache à proposer un cadre d'analyse de l'évolution du concept de qualité et de son impact sur la satisfaction. La littérature du marketing des services sur la qualité, sa mesure ainsi que les récents travaux portant sur Internet ont été mobilisés. Après la mise au point d'instruments de mesure de la qualité perçue, selon l'environnement, physique ou virtuel dans lequel le consommateur agit, les interactions entre les deux types de qualités et les deux types de satisfactions sont montrées. En synthèse, on peut retenir que la qualité influence la satisfaction, quels que soient les canaux, que les perceptions de qualité et de satisfaction du magasin influencent celles du site Web, enfin, qu'il existe, selon que l'on soit ou non utilisateur du Web, des différences de perception au niveau de la qualité et de la satisfaction du magasin. L'utilisateur Web est un client plus exigeant et présente globalement un niveau de satisfaction plus faible que le non-utilisateur du Web. Cette recherche met en lumière la nécessité de redéfinir les contours de la qualité et de la satisfaction face à l'évolution de la distribution dite multicanal, marquée par la substitution du paradigme de la relation à celui de la transaction.
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Etude exploratoire des processus et modèles d'incubation en entrepreneuriat : cas des pépinières tunisiennesMasmoudi, Mohamed Raef 29 January 2007 (has links) (PDF)
L'exploration du phénomène d'incubation a pour objectif de répondre aux questions qui portent sur les différentes étapes du processus d'incubation et sur l'évolution des configurations entrepreneuriales des incubés au cours de ce processus. La première partie de ce travail doctoral, porte sur l'émergence de la thématique d'incubation dans le champ de l'entrepreneuriat. Elle couvre les grandes questions concernant : l'éclatement des recherches en entrepreneuriat et le développement des travaux sur l'appui à la création d'entreprises ;l'évolution de la littérature sur le phénomène d'incubation ; la distinction entre les concepts d'incubateur et de pépinière ;la conceptualisation du processus et des modèles d'incubation ; les modalités d'appréciation des configurations d'incubation. La deuxième partie, nous fait entrer dans le cœur des structures d'incubation tunisiennes. Elle a été consacrée, en premier lieu, à l'exploration des processus et des modèles d'incubation des pépinières de projets et d'entreprises tunisiennes. En deuxième lieu, aux caractéristiques intrinsèques des incubés tunisiens. En troisième lieu, à l'évolution des configurations entrepreneuriales tout au long du processus d'incubation. Enfin, aux modalités d'évaluation de la performance des structures d'incubation. De cette recherche, nous avons pu distinguer plusieurs processus d'incubation et des modèles sous-jacents. Ces modèles sont, toutefois, impulsés par un ensemble de variables liées aux spécificités des structures d'incubation et aux caractéristiques des incubés et de leur projet.
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Développement financier, instabilité financière et croissance économique : implications pour la réduction de la pauvretéKpodar, Kangni 23 October 2006 (has links) (PDF)
La littérature sur la relation entre le développement financier et la croissance est très vaste et ancienne. Selon la théorie économique, le développement de l'intermédiation est favorable à la croissance économique car l'activité des banques accroît la mobilisation de l'épargne, améliore l'efficacité de l'allocation des ressources, et stimule l'innovation technologique. Cependant, certaines expériences de politiques visant à libéraliser les systèmes financiers des contraintes qui les empêchent de se développer et de contribuer à la croissance, se sont soldées par des échecs, ce qui a conduit à jeter un certain doute sur la généralité de la relation entre développement financier et développement économique. Ce doute a persisté avec les nombreuses études appliquées. Si la plupart des études (y compris les plus récentes) ont pu mettre en lumière, conformément aux prédictions théoriques, une relation positive entre le développement financier et la croissance (par exemple, Levine, Loayza et Beck, 2000), d'autres études (Andersen et Tarp (2003) par exemple) ont suggéré que la relation entre le développement financier pourrait être moins générale que ne le pense la littérature traditionnelle et ont souligné notamment que les résultats des études économétriques varient en fonction de l'échantillon et de la période considérée.<br />Dans cette thèse, nous nous sommes intéressés aux raisons pouvant expliquer les résultats ambigus des études appliquées sur le lien entre le développement financier et la croissance. En premier lieu, nous considérons que le développement financier risque d'être simultanément une source d'instabilité financière de telle sorte que l'effet bénéfique du développement financier sur la croissance soit amoindri ; il nous paraît donc indispensable de prendre en compte ce lien entre le développement financier et l'instabilité financière pour pouvoir véritablement apprécier la contribution du développement financier à la croissance. En second lieu, nous considérons l'existence d'effets de seuil dans la relation entre le développement financier et la croissance. En effet, il se peut qu'il existe un seuil minimum de développement économique en dessous duquel le développement financier n'a pas d'impact significatif sur la croissance, principalement à cause de la faiblesse de l'épargne et de la rentabilité des investissements. Par ailleurs, étant donné que la littérature économique s'est beaucoup consacrée à la relation entre le développement financier et la croissance, et très peu à la relation entre le développement financier et la réduction de la pauvreté, nous nous sommes également intéressés à l'impact spécifique que le développement financier peut avoir sur la réduction de la pauvreté au-delà de son effet indirect qui passe par la croissance.<br />L'analyse économétrique effectuée sur un panel de pays en développement avec des données quinquennales sur la période 1966-2000 nous a permis de mettre en évidence une relation positive entre le niveau de développement financier et celui de l'instabilité financière ; en particulier, l'instabilité du niveau de développement financier et l'occurrence de crises bancaires s'accroissent avec le développement du système financier. Les résultats montrent également que l'instabilité financière a un effet négatif sur la croissance économique et qu'elle réduit l'impact favorable du développement financier sur la croissance sans toutefois l'annuler. Par ailleurs, il ressort de notre analyse que pour les pays dont le niveau de PIB par tête est inférieur à un seuil de 2560 dollars, le développement financier ne semble pas avoir d'impact significatif sur la croissance. L'existence des effets de seuil et la prise en compte de l'instabilité financière dans la relation entre le développement financier et la croissance constituent des hypothèses complémentaires permettant d'expliquer les résultats ambigus des études appliquées sur le lien entre le développement financier et la croissance. Enfin, notre analyse montre également qu'en plus de son effet à travers la croissance, le développement financier favorise la réduction de la pauvreté principalement grâce à l'effet de conduit du capital de McKinnon (1973), l'accès aux dépôts profitent plus aux pauvres que l'accès aux crédits.
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