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Contribution à une socio-économie des organisations : l'exemple d'un univers associatif

Moingeon, Bertrand 01 December 1991 (has links) (PDF)
L'approche socio-économique que nous proposons s'inscrit en opposition à la démarche adoptée par les tenants de la théorie de l'action rationnelle. Elle nous conduit à dénoncer l'irréalisme des modèles fonctionnant sur une représentation de l'agent comme acteur libre de tout conditionnement économique et social. Nous estimons en effet que le modèle de l'homo-oeconomicus, dans lequel l'homme n'est plus qu'un être désincarné réduit a un maximisateur de fonctions d'utilité sous contraintes, est peu apte à expliquer les comportements réels des agents. Dans cette thèse, refusant les cloisonnements disciplinaires, nous avons également cherché à dépasser le stade descriptif constaté dans la plupart des études sur les organisations. Nous avons mis en évidence l'intérêt de l'utilisation conjointe de la théorie de l'habitus et du champ de Pierre Bourdieu et de la grille de lecture des organisations élaborée par les professeurs du département "stratégie et politique d'entreprise" du Groupe HEC. Une telle démarche permet de dépasser le stade de la description afin d'accéder à une meilleure compréhension du fonctionnement organisationnel. L'univers associatif étudié est constitué d'organisations sportives. Dans ces associations à but non lucratif, les agents peuvent être à la fois consommateurs et membres. La perspective socio-économique adoptée nous a permis non seulement d'expliquer le fonctionnement de ces organisations comme champs mais aussi de rendre compte de ces choix de "consommation"
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Accès et Possession: Deux modalités d'expérience de consommation Le cas des visiteurs d'exposition et des collectionneurs d'œuvres d'art contemporain

Yu, Chen 01 January 2006 (has links) (PDF)
Cette recherche propose un modèle théorique qui distingue deux modalités d'expérience de consommation appliquée au domaine de l'oeuvre d'art contemporain: à travers la possession d'une part, à travers l'accès à l'expérience sans possession d'autre part, ainsi qu'une analyse des deux catégories de consommateurs étudiées: les visiteurs et les collectionneurs. Ce modèle est fondé à la fois sur des réflexions philosophiques -en ce qui concerne les modes d'existence "avoir ou être"- et sur les analyses du désir du consommateur avant et après l'expérience de consommation, c'est-à-dire la valeur perçue. Les résultats empiriques, à travers deux études qualitatives (entretiens profonds et notes personnelles, analyses du contenu et analyses intra-inter textuelles) et deux études quantitatives (questionnaires, analyse factorielles et modélisation avec équations structurelles) avec l'échantillon des visiteurs et des collectionneurs d'art contemporain, montrent que le désir du consommateur est différent vis-à-vis de l'accès -la visite- et vis-à-vis de la possession. Ainsi la population désire-t-elle davantage d'évasion, de surprise, d'esthétique et de calme par la visite d'exposition d'art contemporain. Les valeurs perçues après la visite sont celles d'évasion, de stimulation et de philanthropie. A l'inverse, la population montre le désir de "garder des liens familiaux" par la possession d'oeuvres d'art contemporain. La valeur perçue après la possession est celle de contentement. Curieusement, les collectionneurs d'oeuvres d'art contemporain ne montrent pas un désir possessif plus fort que les visiteurs. Ils ont, en revanche, un désir philanthropique significativement plus marqué alors que les visiteurs, de leur côté, montrent un désir d'intellectualité plus affirmé que les collectionneurs.
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L'éthique de l'entreprise peut-elle constituer un objectif managérial pertinent ? La formalisation de l'éthique dans l'entreprise : la confusion du vrai et du bien

Kletz, Pierre 01 September 1997 (has links) (PDF)
Le management consiste en l'élaboration des méthodes et des moyens permettant aux organisations d'atteindre leurs buts. Parallèlement, l'éthique de l'entreprise semble constituer de plus en plus un objectif pour celle-ci. Ainsi apparaissent les deux défis majeurs que ce double constat sous-tend quant à la pertinence de considérer l'éthique comme un objectif managérial : il s'agit pour le management à la fois de trouver les moyens de faire progresser l'éthique des organisations et d'articuler cet objectif avec les objectifs plus généraux des entreprises notamment ceux liés à la nécessité de générer un profit. La triple synonymie de l'adjectif pertinent a guidé le processus de structuration de la recherche en trois niveaux d'analyse. En effet, pour démontrer qu'il est "pertinent", l'objectif que représente l'éthique de l'entreprise doit être : - approprié (constituer un objectif approprié aux conditions dans lesquelles se trouve l'entreprise), ce qui conduit à développer une réflexion à l'échelle de l'environnement; - judicieux (constituer un objectif judicieux, i.e. bien choisi quant à son contenu), ce qui conduit à développer une réflexion à l'échelle de l'entreprise; - influent (constituer un objectif influent, i.e. qui détermine, au moins en partie, les actions des salariés), ce qui conduit à développer une réflexion à l'échelle de l'acteur. Notre recherche tente de mettre en exergue l'importance de ce dernier niveau d'analyse tenant à la difficulté d'anticiper l'influence d'une éthique sur les acteurs, difficulté qui est généralement minorée. En revanche, elle conduit à soutenir que les oppositions explicites qui marquent les différentes approches théoriques de ce champ ne se traduisent pas par des démarches pratiques notablement différentes. Pour cela, la thèse, s'articule en deux parties. La première partie pose un cadre théorique. A cette fin, la revue de la littérature établit que l'éthique est avant tout assimilée à un objectif intermédiaire au service des objectifs économiques de la firme, ce qui confère une pertinence ; la démarche managériale visant à la faire progresser. Dans ces analyses, il apparaît que les arguments développés oscillent entre une approche dogmatique (il s'agit de se soumettre aux devoirs dictés par les grandes lois du monde moral qui, à l'exemple des lois de la physique, sont supposées s'appliquer en tous temps et en tous lieux) et une approche sophistique (dans laquelle les valeurs éthiques, loin de constituer des absolus, s'évaluent à leurs résultats concrets). En outre, l'éthique s'appréhende alors par la connaissance, elle devient un savoir contribuant à évaluer la façon dont les organisations fonctionnent et à orienter les comportements et les choix, ce qui peut l'assimiler à un instrument de gestion. Face à cette approche, un paradigme antagonique considère que si l'éthique de l'entreprise constitue un objectif il ne peut s'agir que d'un objectif final et que sa poursuite peut impliquer de restreindre l'éventail des actions admissibles. Ainsi si la réussite économique et la pureté éthique ne sont certes pas incompatibles, elles sont ici indépendantes. L'opposition entre ces deux logiques étant patente, l'hypothèse selon laquelle elles engendrent des politiques d'entreprise en faveur de l'éthique différentes constitue la base du travail de terrain qui a pour but de vérifier ou non si ces deux approches sont en vigueur. La seconde partie, empirique, est menée à partir de l'étude de deux cas. Le premier est celui d'une entreprise mettant en place un code d'éthique à la suite du rachat d'un concurrent. Trois séries d'entretiens recueillis par sténotypie ont été menées pour comprendre d'abord pourquoi ce code était bien un objectif managérial et ensuite comment il avait été reçu par le personnel. Les entretiens ont donné lieu à des analyses de concurrences pour extraire la logique de leur démarche éthique. Les résultats montrent que jamais l'éthique ne semble recherchée pour elle-même, ses effets supposés sur la réussite économique étant sans cesse explicites ou affleurant dans le discours. Contrastant avec ces effets supposés, les entretiens menés auprès des membres du personnel ont montré leur réserve, soit qu'ils ne considèrent pas la démarche comme relevant de l'éthique soit qu'ils considèrent que face à une question éthique seules leurs valeurs personnelles sont décisives. Le second cas a nécessité l'utilisation d'une méthodologie empruntée à certains travaux sociologiques (la " sociologie du présent ", théorisée par E. Morin) qui a permis l'étude d'une organisation à la période précise où un dilemme éthique étant posé. Il fait apparaître que la politique de celte entreprise en faveur de l'éthique est essentiellement conçue comme une recherche de compatibilité entre les actions des membres de l'entreprise. Aussi, peut-elle s'accommoder de l'adoption de valeurs exigeantes limitant l'éventail des pratiques admissibles du moment qu'elle contribue à assurer la cohésion entre ses membres. Mais si l'entreprise cherche à encourager les régularités grâce à l'éthique, l'effet de celle-ci reste problématique car elle conduit les acteurs à " inventer" des réponses en situation: la personne perçoit avant tout un impératif éthique comme un appel à la responsabilité et l'éthique peut au contraire diminuer le contrôle que les organisations exercent sur leurs membres
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La place du théâtre dans le champ culturel de l'influence de l'Economique sur les choix esthétiques

Busson, Alain 01 January 1983 (has links) (PDF)
cf thèse
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Management stratégique des ressources et performance des firmes : Une étude des entreprises manufacturières françaises (1993-1996)

Durand, Rodolphe 01 December 1997 (has links) (PDF)
Le point de départ de la présente recherche est une interrogation sur l'origine de la performance des entreprises. Le cadre théorique dans lequel elle s'inscrit est le Courant des Ressources, qui pense les conditions de détermination de la performance comme étant internes à l'entreprise. Les approches théoriques qui nourrissent le Courant des Ressources sont la théorie des ressources et l'économie évolutionniste. Les questions de recherche explorées par ce travail gravitent autour de deux thèmes. On s'interroge sur le fait de savoir, d'une part, si des ressources non imitables, non transférables et non substituables permettent d'expliquer les niveaux de performance des entreprises, et d'autre part, si des déterminants temporels (inertie, irréversibilité) contraignent la performance et menacent la durabilité de l'avantage concurrentiel. Ce travail présente la première étude empirique du Courant des Ressources appliquée à l'ensemble de l'industrie manufacturière française. Nous avons travaillé sur la base de données SESAME de la Banque de France. L'échantillon principal comporte 2 875 entreprises de l'industrie manufacturière, et couvre plus de 10% des effectifs de la quasi-totalité des secteurs manufacturiers français. Les propriétés des ressources et des aptitudes n'étant pas observables directement, un modèle statistique à équations structurelles et variables latentes (Lisrel) a été retenu pour tester les hypothèses. Par ailleurs un modèle de simulation original, utilisant les langages objet a été mis en oeuvre, grâce à une collaboration avec le Laboratoire d'Intelligence Artificielle de Paris VI (Jussieu), afin de tester les conséquences dans le temps des contraintes temporelles -pesant sur les dotations-en ressources des entreprises. Les résultats de la recherche montrent que la détention de ressources de production non imitables et non transférables est à l'origine de la performance des entreprises. De plus, les relations d'échange avec les fournisseurs et les clients des entreprises, lorsqu'elles sont non substituables, permettent de dégager des rentes idiosyncrasiques. Enfin, la coordination interne au sein de l'entreprise est un puissant catalyseur pour développer les propriétés des ressources débouchant sur la performance. Les simulations ont montré que les avantages concurrentiels résultant d'une meilleure dotation en ressources ne sont pas durables si 1) des entreprises réagissent plus rapidement que l'entreprise possédant les meilleures ressources ; 2) de nouveaux concurrents entrent sur le marché avec soit de meilleures dotations en ressources soit des rythmes d'activité plus rapides
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Les mécanismes de création de valeur au sein des fusions horizontales: Test des théories fondées sur les économies d'échelle, le pouvoir de marché et le partage de ressources stratégiques

Capron, Laurence 01 July 1996 (has links) (PDF)
La présente thèse vise à examiner les différents mécanismes de création de valeur au sein d'une fusion horizontale. Les sources de création de valeur étudiées proviennent des trois approches théoriques suivantes : 1) une approche micro-économique classique fondée sur la notion d'économie d'échelle, 2) une perspective issue de l'économie industrielle reposant sur la notion de pouvoir de marché, et 3) une approche plus récente centrée sur les ressources de l'entreprise. Les résultats de la recherche valident l'intérêt de considérer la théorie de la ressource comme une explication des fusions horizontales et confirment également le bien-fondé des limites théoriques émises à l'égard des approches traditionnelles reposant sur les notions d'économie d'échelle et de pouvoir de marché
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Une approche culturelle de l'utilisation des systèmes d'information comptable et de gestion dans différents contextes nationaux : l'exemple de la France et de la Grande-Bretagne

Löning, Hélène 06 July 1994 (has links) (PDF)
Face à l'apparente universalité des enseignements portant sur les outils de gestion, d'information et de contrôle dans les entreprises, la thèse s'interroge sur les pratiques correspondantes : n'y aurait-il pas là, au contraire, multiplicité de façons de faire ? Dans quelle mesure la diversité culturelle, inexistante dans les manuels, est-elle à l'œuvre dans les organisations ? La thèse propose une réflexion sur les façons de percevoir et d'utiliser les systèmes d'information comptable et de gestion dans différents contextes culturels. Elle cherche à contribuer à une meilleure compréhension des modes d'emploi spécifiques des systèmes, dans différents pays. Une approche culturelle a été retenue : l'interprétation et les suggestions théoriques passent par un approfondissement des modes d'action et du concept de culture, dont nous avons emprunté les définitions à quelques sociologues et anthropologues, ayant fait de celle-ci l'objet de leurs recherches. Les traditions nationales ne constituent pas en effet une explication théorique suffisante. Devant l'amplitude et le caractère exploratoire du sujet, deux premiers choix ont été effectués : * Nous situer dans un courant interprétatif (G.Burrell & G. Morgan, 1979) plutôt qu'hypothético-déductif ; la valeur du travail présenté tient aux interprétations suggérées des observations réalisées ; * Centrer l'étude sur deux pays seulement, la France et la Grande-Bretagne. La recherche empirique s'est organisée en trois temps : * Etude exploratoire, à travers sept études de cas menées par entretiens approfondis et consultation de documents internes, dans le seul secteur agro-alimentaire (afin d'identifier les différences nationales et non pas celles dues au secteur) ; * Esquisse de portraits types d'organisation française et britannique ; * " mise à l'épreuve " des axes de différenciation dégagés, par l'analyse de contenu des réponses de responsables français et anglais à un questionnaire ouvert. Les résultats empiriques prennent principalement la forme de portraits types d'organisation française et britannique affinés. Au-delà, l'analyse de la littérature et l'interprétation théorique des travaux de terrain soulignent plusieurs points. Tout d'abord, il apparaît que la culture exerce principalement son influence au niveau de la composante humaine et sociale, de la dimension informelle des systèmes d'information comptable et de gestion ; les systèmes formels sont peu dissemblables. Ensuite, il existe un lien fort entre culture et société ; la culture nationale n'est pas indépendante des cultures religieuses, régionales, éducatives, sociales qui la composent et l'englobent ; c'est pourquoi on préférera l'expression " culture géo-sociétale " à celle de culture nationale, trop restrictive, limitée à des frontières juridico-politiques. Enfin, une interprétation culturelle des portraits types peut être suggérée. Ces derniers peuvent en effet être structurés autour de deux éléments de culture ; d'une part, les modes de représentation des responsables, en tant qu'individus, et d'autre part les règles du jeu social collectives qui régissent les relations et la vie organisationnelle. Dans une perspective où la culture est une structure interprétative (C. Geertz, 1973), une " paire de lunettes ", ces deux éléments sont des " décodeurs " ; ils contribuent à une meilleure compréhension du lien entre la culture et l'organisation
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Analyse de la structure des marchés et étude du concept de concurrence entre les marques : une application sur données de panel

Aurier, Philippe 02 October 1990 (has links) (PDF)
Une des phases essentielles dans l'analyse de la structure d'un marché est d'établir une mesure des relations entre les marques. Cette recherche a pour objectif d'étudier la validité de plusieurs mesures de la relation entre marques qui ont été proposées dans la littérature. La recherche comporte deux parties. Dans la première, après avoir proposé une méthodologie pour l'analyse de la structure des marchés, nous présentons les concepts qui sont liés indirectement (Situation d'Usage, Recherche de Variété, Modèles de choix) ou directement (Substituabilité, Concurrence, Définition des Marchés) au domaine de l'analyse de la structure des marchés. Nous présentons ensuite un panorama exhaustif des modèles d'analyse des relations entre marques, modèles qui procèdent à partir de données de jugement ou données de comportement des consommateurs. Dans la deuxième partie, nous nous centrons sur l'étude de la concurrence entre les marques à partir de données de comportement. La recherche est menée sur les données du panel SCAN 5000 de la société Nielsen, pour quatre marchés de produits de consommation fréquente. Nous considérons dans cette recherche que la concurrence entre deux marques est un concept théorique non observable et que, par conséquent, les mesures qui ont été proposées dans la littérature n'en sont que des opérationnalisations particulières. Pour apprécier la validité de ces mesures nous utilisons les techniques qui ont été développées en Psychométrie (la théorie de la mesure) et appliquées à la mesure de phénomènes psychologiques ou sociologiques. Nous proposons en outre une mesure de la concurrence permettant de prendre en compte la non-symétrie des relations de concurrence et possédant les propriétés d'une distance. D'autre part, nous étudions l'influence de plusieurs variables (Revenu, CSP, Quantité Consommée, Taille du Foyer, Point de Vente, Période d'observation) sur la mesure de la concurrence
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L'histoire véritable des cercles de qualité -cinq ans d'enquête-

Chevalier, Françoise 01 January 1989 (has links) (PDF)
Introduite au début des années 80, les cercles de qualité ont connu en France un développement spectaculaire. L'objectif de cette recherche est d'étudier l'évolution du fonctionnement réel des cercles de qualité dans douze entreprises sur cinq ans. De l'observation longitudinale quatre phases se dégagent qui caractérisent un véritable cycle de vie des programmes cercles de qualité. Au lancement plein d'espoirs succèdent un développement enthousiaste, puis une phase d'essoufflement. Finalement, les cercles de qualité connaissent des points d'aboutissement différents qui vont de la disparition des programmes CQ en passant par la recherche du second souffle jusqu'à l'intégration. Ces constats génèrent trois éclairages sur les cercles de qualité, mode spécifique de changement organisationnel. L' "emballement " des entreprises pour les cercles de qualité conduit à mettre l'accent sur un mode de changement conçu comme une " technologie managériale ". Enthousiasme et essoufflement relèvent d'un mode de changement conçu par l' "expérimentation ". Enfin, comprendre la diversité des points d'aboutissement des programmes CQ conduit à mettre l'accent sur le changement conçu comme un dispositif plus ou moins ouvert
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Dynamique et configuration(s) de l'évolution de projets de création d'entreprises de haute technologie. Développement et contingence. Restitution d'un processus à partir d'une recherche-intervention : le cas d'une innovation de hautes technologies de l'invention à son exploitation

Surrel de Saint Julien, Odile de 08 January 2014 (has links) (PDF)
La thèse vise à expliquer la dynamique de l'évolution des projets de création d'entreprises de haute technologie à travers les différentes configurations empruntées par le développement technologique et organisationnel. La revue de littérature dans le domaine de l'entrepreneuriat technologique a montré une grande richesse de facteurs explicatifs de l'évolution des projets de création d'entreprises mais aussi des déficiences du rôle attribué à la technologie qui lui confèrent un statut d'artéfact et non celui de processus à part entière. Une approche conceptuelle de la création de l'entreprise de haute technologie fondée sur la théorie de l'acteur réseau permet de dépasser les approches déterministes afin de s'intéresser au développement conjoint de la technologie et de l'organisation. Le cas d'une innovation de hautes technologies de l'invention à son exploitation est analysé en profondeur selon une démarche de recherche-intervention. L'analyse conduit a l'élaboration d'un outil d'aide à la décision (le dispositif d'intervention) et d'un modèle dynamique de la création de l'entreprise de haute technologie différent de ceux présentés dans la littérature entrepreneuriale. Les principaux apports résident dans l'aide à la prise de décisions stratégiques et à celui de la construction de l'organisation. Cette aide, au départ fondée sur les pratiques de l'intervention, s'est transformée peu à peu en un processus d'apprentissage collectif basé sur une modélisation rationnelle de la construction de l'entreprise technologique en favorisant l'émergence de nouveaux savoirs partageables et durables dans le temps.

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