• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Transgression in Matthew Lewis's The Monk and the Fragmentation of the Self

Lassoued, Nesrine 01 1900 (has links)
No description available.
2

L'exil dans la littérature grecque archaïque et classique / Exiel in archaic and classical Greek literature

Gouttefarde, Amandine 03 December 2016 (has links)
Dans la littérature grecque archaïque et classique, l'exil apparait et évolue dans des contextes politiques déterminants. Du VIIe au IVe siècle avant J.-C., à travers les régimes tyranniques et oligarchiques, mais aussi durant la démocratie, c'est une mesure à la fois punitive et préventive qui sert à maintenir un pouvoir en place, tendant à évoluer vers une modération des expulsions, à travers notamment l'ostracisme, tout en étant de plus en plus encadrée par la législation. L'exil peut également être une démarche volontaire pour fuir les malheurs de l'existence, échapper à un procès ou encore s’éloigner d'une cité corrompue. Au-delà de cet ancrage politique, les représentations de l'exil et des exilés participent à un imaginaire riche qui est exploité dans tous les genres littéraires de cette période. Ces représentations font naitre une réflexion sur l'histoire et l’état de la démocratie, ainsi que sur la dimension métaphorique de l'exil. De plus, les malheurs de l'exil, les plaintes ou la souillure qui lui sont associées côtoient des représentations moins attendues, telles que celle d'une communauté active et vindicative d’exilés ou encore celle d’archétypes du bon ou du mauvais exilé. L'exil prend souvent fin lorsque l'on a intégré une terre d'accueil ou que l'on est rappelé dans son pays d'origine, mais peut tout aussi bien être à perpétuité et parfois perdurer au-delà de la mort. Enfin, l'abondance de ces représentations, autant que de son vocabulaire, fait de l'exil une image propre à illustrer des concepts politiques et philosophiques de premier plan dans la pensée grecque. / In archaic and classical Greek literature, exile is shown to evolve within determining political contexts. From the VIIth to the IVth century B.C., through tyrannical and oligarchical regimes, but also during a period of democracy, it is both a punitive and preventive measure which is used to maintain an authority in power, tending to evolve towards a moderation of expulsions, notably through ostracism, while being more and more regulated by legislation. Exile may also be a deliberate move to flee away from life's woes, escape from a trial or even get away from a corrupt city. Beyond this political anchoring, the representations of exile and of exiled people take part in a rich imagined world which is exploited in all the literary genres at that time. These representations give life to reflection on history and the status of democracy, as well as on the metaphoric dimension of exile. Furthermore, the woes of exile, the grievance or the pollution which are associated with it go along with less expected representations, such as one of an active and vindictive society of exiled people or even one of archetypes of the good or the bad exiled person. Exile often comes to an end when one integrates a host haven or when one is called back to one's country of origin, but may as well be for the rest of one's life and sometimes continue after death. Eventually, the abundance of these representations, as well as the vocabulary associated with it, makes exile become an image suitable for the illustration of the leading political and philosophical concepts in Greek thought.
3

La représentation du souillé et de l’impur dans la littérature française narrative des XIIe et XIIIe siècles : idéologie, anthropologie, poétique / Representing the soiled and the impure in French narrative literature of the twelfth and thirteenth centuries : Ideology, anthropology and poetics

Chalumeau, Chloé 04 July 2016 (has links)
L’étude interroge les représentations du souillé et de l’impur à travers les œuvres littéraires des XIIe et XIIIe siècles. Présent dans tous les genres narratifs profanes (chansons de geste, romans arthuriens, fabliaux, théâtre, Roman de Renart) le goût – ou le dégoût – médiéval pour le répugnant revêt de multiples facettes dont la prolixité et la diversité interpellent. De la boue aux excrétions du corps, de la lèpre aux tabous du sang, de la macule de la honte à celle du péché, l’expression de la souillure oscille entre sens propre et sens figuré pour énoncer et penser, en les ancrant dans la matérialité la plus concrète, des systèmes de valeur. Servant à établir des frontières, à définir des champs d’inclusion et d’exclusion, les manifestations de l’immonde révèlent, autant qu’elles contribuent à les forger et à les concilier, les ordres idéologiques imbriqués de la société médiévale. Par la place accordée à l’abjection, la littérature expérimente ainsi la manière de dire et de représenter le désordre – pour mieux le circonscrire. Les poétiques contrastées de la souillure élaborées par les différents genres montrent alors combien la mise en scène de l’impur rejoint une interrogation littéraire sur les pouvoirs du langage et la capacité des textes à exprimer le monde : idéologique, esthétique, la question de la souillure est aussi sémiotique. Tendues entre le concret et l’abstrait, le mot et la chose, le rire et l’horreur, les représentations du souillé et de l’impur dévoilent ainsi un univers où le rapport à la souillure, loin de la simple éviction, peut aussi aller dans le sens d’une réappropriation et d’une réhabilitation – voire, même, d’une rédemption. / This study explores the representations of the soiled and the impure through literary works of the 12th and 13th centuries. Present in all profane narrative genres (chansons de geste, Arthurian novels, fabliaux, drama, Roman de Renart), the medieval taste – or distaste – for what is repulsive manifests itself in a startling multiplicity of ways. From mud to body fluids, from leprosy to blood-related taboos, from the stigma of shame to the stigma of sin, the designation of what is soiled oscillates between the literal and the figurative in order to articulate and process value systems by anchoring them in the most tangible materiality. The manifestations of what is vile and squalid are instrumental in drawing boundaries and defining fields of inclusion and exclusion; they also reveal, shape and reconcile the different ideological orders built into medieval society. By giving abjection pride of place, literature experiments with the expression and representation of disorder – the better to circumscribe it. This contrasted poetics of what is soiled took shape across the different genres, which shows the extent to which the staging of what is impure corresponds to a literary attempt to question the powers of language and the capacity of texts to express the world: an exploration of what is soiled has ideological, aesthetical, but also semiotic implications. Between the tangible and the abstract, the word and the thing, laughter and horror, these representations unveil a medieval universe where the relationship with what is soiled goes far beyond mere rejection and can also lead to a form of reappropriation, rehabilitation, and even redemption.
4

Le magistrat, la femme et le prêtre, le contrôle des rituels fémins en Grèce ancienne / The magistrate, the woman and the priest, the control of the feminine rituals in ancient Greece

Augier, Marie 22 September 2012 (has links)
L’image que la littérature grecque donne des femmes est souvent négative et l’idéal féminin qui s’en dégage est celui d’une femme silencieuse et peu visible. Or, s’il est vrai que la femme a une place assez réduite dans la cité, elle joue néanmoins un rôle important par ses activités religieuses. L’étude, en s’attachant au facteur socialisant qu’est la pratique rituelle pour les femmes, a alors pour but de montrer le contrôle des rituels féminins par les hommes en confrontant la réglementation qui encadre les femmes à leur représentation littéraire. La recherche vise ainsi à délimiter la place des femmes dans l’espace sacré, en tentant de dégager leur rôle et les règles qu’elles doivent suivre (accès aux sanctuaires, funérailles, participation aux rituels) ; mais elle s’attache aussi aux magistratures religieuses féminines. C’est donc aussi la question de l’implication des femmes dans la cité, par leurs activités rituelles, les magistratures et l’évergétisme, et celle de la « citoyenneté » des femmes qui sont abordées. Un volume d’annexes regroupe le corpus des documents épigraphiques –textes et traductions– utilisés dans ce travail. / Greek literature often gives a pejorative image of women and presents an idealised woman whose qualities are silence and invisibility. If it is true that women had quite a reduced place in Greek city, nevertheless they played an important role through their religious activities. This study, which pays particular attention to the social implications of ritual practices, aims to examin the masculine control over feminine rituals by comparing the rules supervising women with their literary representation.The research intends to establish the woman's place in sacred locations and tries to outline their role and the rules they had to follow (access to sanctuaries, funerals, participation in rituals). It also focuses on religious feminine magistrates. It therefore also deals with the implication of women in cities through their citizenship, ritual activity, office and evergetism. A supplementary volume collects the corpus of epigraphic inscriptions, texts and translations used in this work.

Page generated in 0.0314 seconds