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L'art de raconter : visages du narrateur dans l'oeuvre de Juan José Saer / The art of narrative : faces of the narrator in the work of Juan José Saer

Delgado, Héctor 05 December 2014 (has links)
Née d’un esprit critique qui la rapproche du Nouveau Roman français, l’oeuvre de l’écrivain argentin Juan José Saer (1937-2005) constitue l’une des tentatives de renouvellement des formes narratives les plus importantes dans la littérature latino-américaine de la deuxième moitié du XXe siècle. Ce renouvellement concerne tous les aspects du récit, en particulier celui de la fonction narratrice et, à l’intérieur de celle-ci, la figure du narrateur sous toutes ses formes. Le présent travail a pour objectif d’étudier les différentes manières dont cette instance est mise à l’épreuve d’un questionnement et d’une recherche intenses, donnant comme résultat des textes d’une grande complexité. Divisé en trois parties, il s’occupe, dans la première, de quelques cas de narrateurs impersonnels, en mettant l’accent sur leur rapport à la convention de l’omniscience, tandis que dans la deuxième il analyse des narrateurs personnels en les reliant à des expériences de voyage et d’immobilité. Enfin la troisième partie aborde quelques exemples de narrateur au second degré, considérés comme l’un des multiples moyens dont l’auteur se sert pour construire une réflexion autoréférentielle à l’intérieur de l’oeuvre. Dans tous les cas, le narrateur se trouve redéfini comme un outil privilégié de l’exploration du réel qui est au coeur du projet littéraire de l’auteur. / Arising from a form of critical thought that approximates him to the french Nouveau Roman, the work of the Argentine writer Juan José Saer (1937-2005) demonstrates one of the most important attempts to renew the narrative form in Latin-American literature within the second half of the twentieth-century. While this renewal concerns all aspects of the story, this dissertation will closely analyze the narrative function in particular and within this, the figure of the narrator in all of his forms. The present work aims to study the ways in which intense questioning and investigation have put this body of work to the test—a practice that has resulted in highly complex texts in which the narrator is redefined as a valuable tool to explore the idea of reality that is at the heart of the author’s literary project. The work is divided into three sections: the first deals with impersonal narrators by focusing on their relationship to the conventions of omniscient narration. The second section analyzes the personal narrators by studying their experiences with travel and immobility. The third section studies some of the many cases of second-degree narrators by treating them as one of the several means used by the author to construct a self-referential reflection within the work itself.
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La carte et la fable. Stevenson, modèle de la fiction latino-américaine (Bioy Casares, Borges, Cortázar) / The Fable and the Map. Stevenson, a Model for Latin American Fiction (Bioy Casares, Borges, Cortázar)

Luis, Raphaël 26 September 2016 (has links)
La reconnaissance internationale de la littérature latino-américaine au XXe siècle a souvent été interprétée par la critique comme le résultat de l’influence du Modernisme, notamment du fait de la lecture, par les auteurs latino-américains, de James Joyce et William Faulkner. Certains auteurs du continent, pourtant, suivent des stratégies différentes : Borges, Bioy Casares et Cortázar utilisent les fondements de la littérature de genre (fantastique, policier, horreur, roman d’aventures) pour opérer une reconfiguration des équilibres entre le champ littéraire et les injonctions politiques, nationales et culturelles. Dans cette optique, le travail de Robert Louis Stevenson sur les publics populaires et le croisement des genres peut être vu comme une référence idéale, du fait de sa complexité et de son souci constant d’expérimentation. Cette étude a donc pour objectif de proposer une comparaison de ces stratégies, en utilisant les outils conceptuels et théoriques de la littérature mondiale. Stevenson, de cette manière, pourra apparaître comme un modèle herméneutique pour penser et résoudre certains dilemmes géographiques et littéraires. / The international recognition of Latin American literature during the twentieth century has been interpreted by critics as a result of a Modernist influence, mainly through the reading of James Joyce and William Faulkner. Some Latin American writers, though, pursued other strategies : Bioy Casares, Borges and Cortázar used the foundations of popular literature (fantastic, detective or horror literature, adventure novel) to reconfigure the relations between the literary field and the political, national and cultural injonctions. For that purpose, Robert Louis Stevenson’s work on popular audience and generic hybridity at the end of the Victorian era can be seen as an ideal point of reference, thanks to its complexity and constant experimentation. The aim of the present study is to analyse this process using world literature’s conceptual and theorical tools. Stevenson can thus be seen as a model to think and resolve some geographical and literary dilemmas.
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Détermination judiciaire des faits et erreurs judiciaires : perspective narrative sur le processus judiciaire criminel et la recherche de vérité

Vani, Juliette 12 1900 (has links)
Ce mémoire propose une conception narrative du système de justice criminel. Pour ce faire, l’auteure mobilise la théorie narrative suivant laquelle le procès contradictoire est appréhendé comme un concours entre différentes histoires. Le caractère général de cette théorie confère à l’auteure l’espace nécessaire pour analyser et expliquer différents aspects du traitement judiciaire des faits, que ce soit la preuve judiciaire, le processus de détermination judiciaire des faits, l’intervention judiciaire en appel ou encore le droit qui encadre chacun de ces aspects. La notion d’« histoire » favorise l’adoption d’une perspective qui sort du cadre restreint du procès dans lequel la notion de « preuve » est enfermée. La théorie narrative permet ainsi à l’auteure d’expliquer et d’organiser en un tout unifié divers aspects du processus judiciaire comme l’enquête, le dépôt des accusations, la théorie de la cause, le contre-interrogatoire ou encore la façon dont les faits sont d’abord choisis et assemblés par les parties avant d’être administrés et traités au procès sous forme de « preuve ». Appliquée au procès, cette théorie implique une approche holistique de la preuve suivant laquelle la détermination judiciaire des faits est une évaluation de la vraisemblance relative des histoires en compétition. Cela remet en question la vision traditionnelle (ou rationaliste) atomiste de la preuve où les faits sont déterminés suite à une décision sur la véracité ou la fausseté de chacun des éléments de preuve. Le nouvel éclairage qu’apporte cette vision narrative du procès et ses diverses implications mènent l’auteure à remettre en question le bien-fondé de la vision traditionnelle voulant que le procès mène à une détermination judiciaire des faits qui soit exacte. Au terme de son illustration de la valeur heuristique de la théorie narrative, l’auteure revisite sous la perspective narrative les récentes études en matière d’erreurs judiciaires. Elle en conclut que le droit commande au juge d’atteindre une vérité hybride sur les faits, à michemin entre, d’une part, ce qui est survenu dans la réalité et, d’autre part, ce qui permet de conférer un maximum de cohérence aux éléments de preuves effectivement présentés au procès. / This master’s thesis proposes a narrative conceptualization of the criminal justice system. The author employs the narrative theory framework that conceives the adversarial trial as a contest between different stories. This comprehensive theory offers a lens through which the author analyzes and explains multiple aspects of the judicial processing of facts including evidence at trial, fact-finding, appellate review and the law governing these aspects. The concept of “story” allows a broader perspective than the concept of “evidence” which is limited to the trial. This umbrella theory is therefore used to explain, organize and provide a united understanding of various aspects of the judicial system, such as the investigatory process, the laying of charges, the theory of a case, the cross-examinations, as well as how facts are chosen and organized before being presented and processed at trial as “evidence”. At trial, the global perspective of the narrative theory challenges the traditional (or rationalist) atomist approach to evidence, which explains fact-finding as a decision based on the truthfulness or the falseness of each individual piece of evidence adduced at trial. The narrative perspective, rather, suggests a holistic approach – fact-finding is a decision regarding the relative plausibility between two competing stories. Thus, these insights from the narrative theory call into question the traditional assumption that trials lead to accurate findings of fact. After her demonstration of the heuristic value of the narrative theory, the author applies the narrative framework to recent studies on miscarriages of justice. She concludes that the law enables triers of fact to reach only a hybrid truth, halfway between what happened in reality and an assessment of the consistency between the evidence adduced at trial.

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