L'étude des données Lithoscope permet d'étudier les structures profondes de la lithosphère. Trois méthodes ont été développées. La première porte sur l'analyse des ondes converties à l'interface croûte-manteau afin de contraindre les variations d'épaisseur de croûte. La seconde méthode caractérise l'orientation des structures dans le manteau, par la rnesure de l'anisotropie des ondes S. La troisième méthode mesure l'atténuation des milieux échantillonnés à l'aide de deux méthodes d'analyse fréquentielle et temporelle. Ces trois méthodes ont été appliquées aux enregistrements provenant du Nord Tibet, du Massif Central et de l'Abitibi, L'étude des données du plateau tibétain a permis de mettre en évidence des variations latérales très importantes de vitesse et de structure dans la lithosphère. Un saut de Moho de 20km a été observé sans qu'aucune variation de topographie ne soit observable. Ces travaux montrent que les phénomènes de l'équilibrage dans la lithosphère sont lents comparés aux mouvements horizontaux et verticaux. L'étude de l'anisotropie a permis de révéler l'importance de l'extrusion latérale le long de la faille du Kunlun. Les valeurs d'anisotropie obtenues impliquent que les mouvements horizontaux des blocs lithosphériques orientent les minéraux sur des épaisseurs mantelliques supérieures à 260 km. L'étude de l'atténuation sous le Massif Central a permis de constater qu'il existait une bonne corrélation entre les zones atténuantes et ies édifices volcaniques majeurs de cette région. Les valeurs du facteur de qualité obtenues montrent que les perturbations occasionnées par le volcanisme intéressent l'ensemble de la lithosphère mais sur de zones très étroites. Les modé!isations de perturbation thermique dans la croûte montrent de très bonnes corrélations avec les âges des différentes crises volcaniques. L'application systématique de ces trois analyses sur les enregistrements télésismiques du programme Lithoscope a permis de contraindre et de compléter les images de la lithosphère obtenues par la tomographie en vitesse des ondes P.

This diploma thesis aims to create the comprehensive summary of modern Tibetan history before and after Chinese invasion, primarily the period between the years 1933-1959. At the same time the description of discrepancies between respective researchers is emphasized. Although high-quality secondary literature was used, there can be found minor or major contradictions in the statements of reputable scientists. For this reason there are mentioned both statements in these cases. Description of possible reason of the contradiction is also included. Several major discrepancies between the researchers' statements have been found, which were elaborated more precisely. Summary of a part of modern Tibetan history was created as well, because there is a lack of Czech language publications concerning this topic.

Made available in DSpace on 2016-04-25T19:20:55Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Julia Signer e Cruz.pdf: 940902 bytes, checksum: 08ea98e2b16c5857fa67dab7a4a23bab (MD5) Previous issue date: 2008-09-15 / This paper has as purpose to observe the psychological effects of the rigpa´s (clear light) experience among some Tibetan Buddhist practioners. As I didn t find academic researches with this object, this paper came to fullfill this fault. We use as theoretical base the Jung s psychology and the philosophy of Ati and Anutara Yogas of Tibetan Buddhism. Twenty two practioners, ages between 23 and 71 years old of both sexes were interviewed. The results allows us to conclude that rigpa s experience make possible to realize the human existence in a more open way where the Consciousness is fixed in a place deeper than the ego, what may produce a existential experience of union with the universe, a natural feeling of joy, freedom and well being, a body relaxation and a sense of mental openness with a spontaneously sense of natural wisdom / Esta dissertação tem como objetivo observar os efeitos psicológicos da experiência de rigpa (clara luz) entre praticantes do Budismo Tibetano. Como não foram encontradas pesquisas acadêmicas que enfoquem esse objeto, o presente estudo visa suprir essa carência. Como base teórica usamos a psicologia junguiana e a filosofia das yogas Ati e Anutara do Budismo Tibetano. Realizou-se uma pesquisa de campo constituída de entrevistas semi-abertas com 22 praticantes de idades variantes entre 23 e 71 anos, de ambos os sexos. Os resultados revelam que a experiência de rigpa permite conceber a existência humana de maneira mais profunda e sediar a Consciência em um lugar mais profundo do que o eu, o que leva a uma vivência existencial unida a todo o Universo, a um sentimento espontâneo de alegria, liberdade e leveza, a um relaxamento corporal e a uma sensação de abertura mental, com o surgimento espontâneo de uma sabedoria natural

「第三方介入」協助談判僵局之解決，是學界普遍認為可行且具實質效益的方法。中國與西藏流亡政府間，不乏第三方介入的身影，甚至以實際行動促成了九次正式的談判，惟持續的接觸與對話，非但未能建立中藏間彼此的信任和尊重，反使雙邊關係更為惡化。 本研究將1950年代達賴流亡印度後至今，劃分為四個時期，彙整各階段之國際政經情勢、中藏對外政策，及第三方涉藏行動，觀察三者間相互的關連性，深入了解國際介入西藏問題的背景，進而以此作為分析回顧「2002-2010年中藏九次談判」的基礎。探討中國政府和西藏流亡政府之談判訴求、各國相關回應，檢視第三方立場與策略行為，對中藏關係所產生的影響和轉變，從而了解國家行為者居中所扮演之角色，與中藏談判深陷僵局的原因。 / “Third-party Intervention” is generally considered a feasible and beneficial strategy for resolving negotiation deadlock. It has been used in the dilemma of China and Tibetan government-in-exile. There have been nine formal negotiations between both parties urged by the third party. However, instead of help establishing trust and respect between China and Tibet, the negotiations have led to a deterioration of bilateral relations. This study divides the period of Dalai Lama’s exile in India (1950~2010) into four stages. It summarizes international political and economic situations, foreign policy of China and Tibet government and the involvement of the third parties at different stages. It also observes the interrelations of the above three factors and investigates the background of international involvement of China-Tibet issues. These observations are used as background information to analyze and review the nine times of negotiations between China and Tibet, to probe into the demands of China and Tibetan governments and the international response, to review the third parties’ position and strategies to urge the negotiations and to understand the influence and change of China-Tibet relations. The purpose of the study is to understand the role of state actors as mediator and the reasons of the negotiation deadlock between China and Tibet.

La faille de Haiyuan s'étend sur plus de 1000 km en bordure nord-est du Tibet et accommode la partie décrochante sénestre de la convergence entre le Tibet et la plateforme de Gobi Ala Shan. Sa partie centrale, de 220 km de long, constitue une lacune sismique. Nous étudions le comportement de cette faille sur quelques années à quelques millions d'années. Cinq séismes de M>5, les plus forts depuis ceux de 1920 et 1927 (M;:::8), se sont produits près de la lacune depuis 1986. Nous avons déterminé les mécanismes au foyer et l'origine tectonique des séismes de Tianzhu (01/06/96) et Yongden (21/07/95), qui mettent en jeu des structures secondaires de la faille. La microsismicité enregistrée de 1996 à 1998 par six stations autour de la lacune confirme l'existence d'un décollement reliant en profondeur (à 15-20 km) les chevauchements des Qilian Shan et la faille de Haiyuan. L'analyse photogrammétrique de photographies haute résolution du segment du Maomao Shan de la lacune, prises par un avion téléguidé, a permis de mesurer les décalages de bords de terrasses alluviales, datées au 14C, et d'en déduire la vitesse Holocène de ce segment: 12±4 mm/an. Au moins deux séismes passés de M;:::8 semblent s'être produits sur la lacune, possibles séismes caractéristiques, de déplacement cosismique 12±4 m, se répétant tous les 1050±450 ans. La vitesse Post-Glaciaire du segment du Leng Long Ling, 20±5 mm/an, à l'ouest de la jonction des failles de Haiyuan et Gulang, a été déduite de la mesure du décalage d'une moraine glaciaire, datée par isotopes cosmogéniques ('6 Al, lOB e). Les premières mesures GPS, entre 1994 et 1999, de deux profils perpendiculaires à la lacune, montrent des mouvements compatibles avec une faille sénestre, encore difficilement interprétables en terme de vitesse de glissement actuelle de la faille. L'existence de la faille pourrait remonter au Miocène Supérieur. Son rejet fini , dont nous identifions de nouveaux marqueurs morphologiques et géologiques, pourrait être supérieur à 100 km.

This dissertation analogically applies a framework of minor literary analysis to uniquely political units of the built environment. As urbanism is conventionally understood to be executed per the greatest utility of established communal objectives, an underlying politicization is inherent as such forms must adhere to dominant norms of development which potentially marginalize those who practice cultural methods outside normative standards. Employing a uniquely architectural method of environmental justice advocacy, select communities facing disenfranchisement react by self-producing urban-architectural forms ("UAFs") to protect threatened cultural values from marginalization. Installed to subvert the existing power dynamic, such UAFs are potential exhibitions of minor architecture. Adopting the analytical standards established by Gilles Deleuze and Felix Guattari for evaluating Franz Kafka's literature, this paper tests six UAFs to discover if a minor architecture is possible under contemporary globalization. Employing an enumerated framework of minor production characteristics, an interpretive-historical analysis is the primary method of judgment regarding each unit's execution of minor architecture. Two secondary tests are undertaken to validate the primary findings, the first of which is a physio-logical evaluation that characterizes and measures urban resource utility as per collective minority aims. Second, a newspaper correlation test is undertaken so as to judge the enunciative effectiveness of each community per issues of minority politics. Of the six cases examined, two have their source in cinema including "Bartertown" of MAD MAX BEYOND THUNDERDOME (1985) and the "House on Paper Street" of FIGHT CLUB (1999). The four remaining cases include the Tibetan Government-in-Exile of Dharamsala, India; Student Bonfire of Robertson County, Texas; Isla Vista Recreation & Park District of Santa Barbara County, California; and the Emergent Cannabis Community of Arcata, California. Of all the cases studied, only the Tibetan Government-in-Exile met both the conditions of minor architecture and was validated in terms of practiced urban resource use as well as effective representation in mainstream newsprint. Both cinematic cases failed as minor productions of the built environment. Although they did not find full validation, the three remaining real-world UAFs each were found on a course of minor architectural expression at varying stages of execution.

This study explored how Tibetan refugee women have coped with the possible trauma they experienced in Tibet and when escaping from Tibet. It also examined how these women envisioned peace between Tibet and China and what meanings they constructed about the violence they may have experienced.Twelve Tibetan refugee women were interviewed in New York City. They came from all three regions of Tibet and their mean age was 35.5 years old. Only two participants were fluent in English. A qualitative semi-structured interview was employed to understand participants' unique experiences with past trauma and any continued repercussions. The interviews also assessed how participants envisioned peace between China and Tibet and if they believed peace was at all possible. An interpreter assisted with all the interviews.The data were analyzed using grounded theory methodology; with the help of two research assistants. This methodology offered the best opportunity to investigate the participants' understandings of their experiences and their beliefs. Using the constant comparative method, the results revealed the role of participants' religion, their belief in karma, and communal support as keys in their adjustment and mental health. Additionally, the women reported feelings of loss, fear, and loneliness, but not anger or hostility. The participants also revealed, however, feelings of relief and safety leaving the threat of imprisonment or torture behind in Tibet. Further, the women expressed feelings of appreciation for their freedom and their ability to hope for a better future for themselves and their families.The results suggested that there are some specific cultural variables that helped these Tibetan refugee women navigate the course of leaving Tibet and moving to a new country. Additional studies are needed to more fully comprehend the effects of trauma on the migration of Tibetan refugee women. Such studies can help further explain the relationship between trauma and culture-bound expressions of distress. Other implications (e.g., provision of services) of the current findings are discussed, as are several limitations to the study. / Department of Counseling Psychology and Guidance Services

This thesis examines Ratnakarasanti's (ca. 970-1045 C.E.) explication of Prajnaparamita in his doxographical works and his Saratama. Based on extant Sanskrit and Tibetan primary sources, it argues that Ratnakarasanti's main teacher was Dharmakirtisri (late 10th C.E.) and that Ratnakarasanti's Saratama sought to replace his teacher's Yogacara-Madhyamika framework with a causal explanation of Prajnaparamita through redefining the term Prajnaparamita as the path to awakening, rather than its goal. By unpacking that causal explanation in light of his broader system, the thesis demonstrates the way that Ratnakarasanti's own version of Nirakaravadin-Yogacara-Madhyamika refutes cognitive images (akara) as unreal ultimately, but claims they are still perceived by buddhas out of compassion. This conclusion debunks the long-standing theory that Ratnakarasanti was an Indian proponent of the controversial Tibetan gZhan-stong despite later gZhan-stong propon-ents' attempts to claim him as their own. There are two parts to the study. The first part introduces Ratnakarasanti's life, philosophy and doxography based upon evidence from a Tibetan colophon to his Madhyamika commentary and the Tibetan hagiography of his student Adhisa (a.k.a. Atisa) and upon a comparative analysis of his doxographical works that are prerequisites for reading his Saratama. The second part consists of an annotated translation of the Saratama's introductory section, contrasted with the prior standard interpretation by Haribhadra's (9th century C.E.). In the two appendices are included a Tibetan critical edition and a separate hybrid Sanskrit and Tibetan critical edition of the Saratama's first parivarta based on the extant 11th and 13th century incomplete MSS and on the Tibetan translations in the sDe dge, Peking and sNarthang editions. The hybrid edition also includes my provisional critical edition of the root text - i.e. the first parivarta of the Aryasta - sahasrikaprajnaparamitasutra - and my own translation of two small sample sections of the Saratama, which are extant only in Tibetan, back into Sanskrit.

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L'objet de cette thèse est une monographie du théâtre traditionnel tibétain, ou ache lhamo, souvent appelé lhamo tout court, tel qu'il était joué à l'époque pré-moderne (antérieure à 1950) et tel qu'il est encore joué actuellement en Région Autonome du Tibet (République Populaire de Chine) et dans la diaspora tibétaine établie en Inde et au Népal. Comme la plupart des théâtres d'Asie, il est un genre composite :à la fois drame à thématique religieuse (issue du bouddhisme mahāyāna), satire mimée, et farce paysanne, il comprend de la récitation sur un mode parlé, du chant, des percussions, de la danse et des bouffonneries improvisées, ainsi qu'un usage de masques et de costumes flamboyants, qui tranchent avec la sobriété absolue des décors (la scène est vide) et de la mise en scène. Bien qu’il ait été encouragé et financé par le gouvernement des Dalai Lama, de grands monastères et des familles aristocratiques, c’est un théâtre avant tout populaire, et non pas réservé à une élite lettrée. Cette étude a circonscrit à la fois le contenu, le rôle social, le langage artistique et les implications politiques du théâtre dans la civilisation tibétaine.<p><p><p>La méthodologie a été composée en combinant les apports et réflexions critiques de trois disciplines :l'ethnologie, la tibétologie et les études théâtrales. L'approche est fondamentalement ethnologique, en ce que la production des données repose sur une immersion de plus de deux ans parmi des acteurs de théâtre de la Région Autonome du Tibet (1996-1998) et de près d'un an parmi ceux de la diaspora d'Asie du Sud (1998-2000). Elle l’est aussi en ce que l’intention a été de constituer une intelligibilité englobante pour l'ache lhamo, c'est-à-dire de mettre au jour l'intrication des dimensions culturelle, sociale, politique, économique, rituelle et symbolique de la pratique théâtrale. L’une des contributions principales du travail est d’étoffer l’ethnologie régionale du Tibet central, mais ses conclusions et son esprit critique le placent également dans la liste déjà importante des travaux consacrés à l'invention des traditions. La tibétologie a fourni le cadre interprétatif fondamental des données recueillies. Une importance très grande a été accordée à l'histoire du pays ainsi qu'à la philologie et aux terminologies vernaculaires particulières au théâtre. L’étude s’inscrit dans l’un des courants novateurs de la tibétologie, privilégiant les aspects non plus religieux et politiques de cette civilisation, mais sa partie « populaire » et anthropologique, mettant au premier plan l’analyse des pratiques et non celle des doctrines. Des sources écrites (textes pré-modernes et sources secondaires de folkloristes tibétains et chinois) ont été intégrées aux observations. En ce qui concerne la troisième approche méthodologique, cette étude ne s'inscrit ni dans le courant des « performance studies » de Richard Schechner, ni dans l'anthropologie théâtrale d’Eugenio Barba, ni dans l'ethnoscénologie telle qu'elle est défendue par Jean-Marie Pradier, mais plutôt dans l'anthropologie du théâtre, au sens d'étude interprétative et multidimensionnelle, utilisant les référents établis de l'anthropologie et les savoirs indigènes pour décrire une expression culturelle déterminée et reconnue comme un genre à part entière, le théâtre.<p><p><p>Les résultats sont présentés en trois parties, qui peuvent être résumées de manière lapidaire par trois adjectifs :culturelle, sociologique, artistique. La première partie, intitulée "Le cadre culturel du lhamo avant 1959", est consacrée au contexte (historique, religieux et littéraire) dans lequel le théâtre est inscrit, ainsi qu’aux textes (leur contenu, leurs modalités de composition et de transmission) qui révèlent l'imaginaire propre du théâtre. La deuxième partie est une analyse de "L'ancrage sociologique du lhamo". Les conditions matérielles des représentations y sont examinées :les divers types de troupes, leur organisation interne, le statut social des acteurs, l'inscription de la pratique du théâtre dans le système socio-économique pré-moderne, et les rapports d'obligations tissés entre acteurs et seigneurs, ainsi qu'entre acteurs et commanditaires des représentations. La dernière partie, "Art et savoirs des acteurs", jette un éclairage sur la matière vive du lhamo. Elle rend compte des conceptions, valeurs, plaisirs et difficultés de ceux qui pratiquent cette forme d'art. Les divers registres de leur discipline sont analysés en détail :costumes, masques, gestuelle, chant, accompagnement musical (percussions) et sentiments exprimés. L'appréciation qui en est faite par le public est aussi consignée. Au cœur de cette partie se trouve une réflexion sur la nature rituelle et non rituelle du lhamo, et sur les liens éventuels de ce dernier avec d'autres activités religieuses, telles la possession. Les dernières pages de la thèse constituent un épilogue, qui fait le point sur la situation contemporaine, donc les implications politiques, du théâtre des deux côtés de l'Himalaya. <p><p><p>L'image anthropologique du lhamo qui a pu être dégagée de ces trois volets d'analyse le fait apparaître comme essentiellement ambivalent :le lhamo est un théâtre de paradoxes. À l'image de la civilisation tibétaine, il est composite et cohérent à la fois. Sa cohérence réside dans son ambivalence :il traverse et relie des aspects contrastés de la culture. Il introduit du jeu entre les polarités que Tibétains et tibétologues établissent parfois un peu trop à la hâte entre culture savante et culture populaire, écriture et oralité, éléments exogènes et apports autochtones, bouddhisme et cultes qui ont précédé son implantation, aspiration religieuse et intérêts mondains, spécialistes rituels et bénéficiaires qui les rémunèrent. Combinant fonction pédagogique et fonction rituelle, sacré compassé du texte et irrévérence grivoise des improvisations, le lhamo correspond aussi très bien à la manière dont les théâtrologues appréhendent le théâtre :comme un objet curieux, créé par les hommes et qui pourtant ne cesse de les intriguer, comme s'il était venu d'ailleurs. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished