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Incidence et rémission de l’incontinence urinaire des femmes entre 45 et 60 ans. / Incidence and Remission of Female Urinary Incontinence at MidlifeLegendre, Guillaume 08 December 2016 (has links)
Objectif : L’objectif principal de ce travail était d’évaluer les facteurs de risque d’incidence et de rémission de l’incontinence urinaire (IU) au sein d’une cohorte de femmes de la cinquantaine en prenant en compte le type d’IU (Incontinence urinaire d’effort - IUE -, Incontinence par argenture - IUU- et Incontinence urinaire mixte – IUM) et la gravité des symptômes.Matériel et Méthodes : Les données sont issues des questionnaires de l’enquête « les femmes et leur santé », des questionnaires annuels de la cohorte GAZEL et du questionnaire spécifique « les troubles urinaires » posé en 2000 et 2008. Un modèle de Cox a été utilisé entre 1990 et 2008 à partir des données de la question « Avez-vous des difficultés à retenir vos urines ? ». Des modèles de régression logistiques ont été utilisés entre 2000 et 2008 à partir de la question validée de l’IU « Au cours des 12 derniers mois, vous est-il arrivé d’avoir des fuites involontaires d’urine ? ».Résultats : Au sein de notre population, le taux annuel d’incidence de l’IU est de 5,5 % et le taux annuel de rémission est de 6,2 %, confirmant que l’IU est un phénomène dynamique avec des périodes possibles d’aggravation et d’amélioration partielle ou totale. Ces taux sont variables avec le type d’IU : entre 2000 et 2008, les taux d’incidence étaient respectivement de 14,9 % pour l’IUE, de 3,2 % pour l’IUU et de 3.1% pour l’IUM. L’IUE est le type le plus enclin à connaître une rémission de l’IU en comparaison à l’IUU et l’IUM. Les facteurs associés à l’apparition d’une IU sont des facteurs sociaux (le niveau d’études élevé), obstétricaux (la parité), hormonaux (la ménopause), et en rapport avec l’état de santé, physique ou mentale (la prise de poids, l’apparition de symptômes dépressifs, la dégradation de la qualité de vie - dans les dimensions tonus et isolement social du score NHP). La rémission complète est d’autant moins fréquente que les femmes vieillissent et qu’elles prennent du poids. Pour chaque type d’IU, l’influence des facteurs de risque semble différente. Ainsi, le niveau d’étude (être titulaire du baccalauréat), l’IMC (à l’inclusion, et au cours du suivi) et un syndrome dépressif à l’inclusion sont associés à l’apparition d’une IUE. Un antécédent de prise en charge chirurgicale de l’IU est associé à l’apparition d’une IUU et d’une IUM. La correction chirurgicale de l’IU pendant le suivi est, comme attendu, associée à une rémission des symptômes d’IUE, mais en revanche la rééducation périnéale et un antécédent d’accouchement par voie vaginale, sont associés à une persistance des symptômes d’IUE. L’accouchement par voie vaginale était également associé à la persistance de l’IUM. L’IUU et l’IUM sont les types d’IU les plus graves à l’inclusion. De plus, l’aggravation est plus marquée en cas d’IUU ou d’IUM que d’IUE. Hormis le type, les facteurs associés à une aggravation des symptômes sont une operation pour une IU (à l’inclusion) et l’apparition d’un syndrome dépressif. L’aggravation des symptômes est négativement associée à la consommation d’alcool à l’inclusion et une chirurgie de l’incontinence pendant la période d’étude. Le rôle des facteurs sociaux, comme l’obtention du baccalauréat par exemple, est associé à l’apparition d’un IU légère, alors que des facteurs obstétricaux comme un antécédent d’accouchement par voie basse est associé à une apparition de l’IU grave.Conclusion : L’IU est un phénomène dynamique avec des périodes possibles d’aggravation et d’amélioration partielle ou totale. L’analyse des facteurs de risque associés à l’IU doit intégrer une différentiation du type et de la gravité. Les données concernant l’épidémiologie de l’IU chez les femmes entre 45 et 60 ans sont encore trop peu nombreuses. D'autres enquêtes longitudinales incluant un nombre plus important de femmes sont essentielles afin de confirmer nos résultats et mieux conseiller les femmes en présentant les symptômes. / Objective: The main objective of this work was to evaluate the risk factors of incidence and remission of urinary incontinence (UI) in a cohort of women at midlife, taking into account the type of UI (Stress urinary incontinence - SUI – Urge urinary incontinence – IUU - and mixed urinary incontinence - IUM) and the severity of symptoms.Material and Methods: Data were obtained from the survey questionnaires "women and their health," the annual questionnaires cohort GAZEL and specific questionnaire "urinary problems" posed in 2000 and 2008. A Cox model was used between 1990 and 2008 from the data of the question "Have you trouble holding your urine? ". Logistic regression models were used between 2000 and 2008 from the issue validated UI "Over the last 12 months, did you have any involuntary loss of urine ? ".Results: In our population, the annual rate of incidence of UI was 5.5% and the annual rate of remission was 6.2%, confirming that the UI is a dynamic condition with possible periods of worsening and of improvement. These rates vary with the type of UI: between 2000 and 2008, incidence rates were 14.9% for SUI, 3.2% for UUI and 3.1% for the MUI. SUI is the most likely type to experience a possible remission of the UI compared to UUI and MUI. Factors associated with the occurrence of UI are social factors (high educational level), obstetrical (parity), hormonal (menopause), and factors in relation with physical or mental health status (weight gain, onset of depressive symptoms, impairment in health-related quality of life - energy dimension and social isolation dimension of NHP score). Complete remission is even less common as women gain in age and in weight. For each type of UI, the influence of risk factors seems different. Thus, educational level (baccalaureate), BMI (at baseline and during follow-up) and a depressive syndrome at baseline are associated with the onset of SUI. An antecedent of surgical procedure for UI is associated with the occurrence of UUI and MUI. Surgical correction of the UI during follow-up is, as expected, associated with remission of symptoms of SUI. By contrast, pelvic floor muscle training exercises and vaginal childbirth, are associated with persistence of symptoms of SUI. The vaginal delivery was also associated with the persistence of MUI. MUI and UUI are the more severe types of UI at baseline. Furthermore, the aggravation is more pronounced in case of UUI or MUI that for SUI. Aside from the type, the factors associated with worsening symptoms are a prior surgery for a UI (at baseline) and the onset of a depressive syndrome. A worsening of UI is negatively associated with alcohol consumption at baseline and incontinence surgery during the study period. The role of social factors, such as the baccalaureate for example, is associated with the appearance of a slight UI, while obstetric factors such as a vaginal childbirth is associated with the appearance of a severe UI.Conclusion: The UI is a dynamic condition with possible periods of worsening and of partial or total improvement. The analysis of risk factors associated with the UI must incorporate a differentiation of the type and severity. Data on the epidemiology of UI in women between 45 and 60 years are still too few. Other longitudinal studies including a larger number of women are essential to confirm our results and to better counselling women with UI symptoms.
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Vers une modélisation de l'incontinence urinaire des femmes / Modeling Urinary Incontinence in WomenBedretdinova, Dina 30 November 2015 (has links)
VERS UNE MODELISATION DE L’INCONTINENCE URINAIRE DES FEMMES Introduction : L’objectif principal était de mieux comprendre l’histoire naturelle de l’incontinence urinaire (IU) féminine grâce à une modélisation de sa prévalence sur ses facteurs de risque, en tenant compte de sa gravité et de ses types. Un objectif secondaire était de travailler sur la classification des circonstances des fuites urinaires.Matériel et méthodes : Nous avons utilisé les données de deux sondages téléphoniques sur une population représentative, Le Baromètre Santé 2010 (3089) et Fecond (5017) ; de deux enquêtes postales au sein de la cohorte GAZEL (3098), l’une générale et l’autre centrée sur les problèmes urinaires ; et enfin d’un sondage internet de volontaires adultes, NutriNet-Santé (85037). L’IU a été définie à partir d'un questionnaire validé, l’ICIQ-UI-SF et à partir d’une liste de problèmes de santé. Nous avons utilisé des modèles binomiaux et multinomiaux de régression logistique, des analyses de correspondances multiples et de classification ascendante hiérarchique.Résultats : La prévalence de l’IU tout venant (quel que soit son type ou sa gravité) variait de 1,5 % à 38,8 % selon les enquêtes et était égale à 17,3 % dans les 2 échantillons représentatifs. La conception de l’enquête, c’est-à-dire la nature de l’échantillon (représentatif ou non), son objectif (centré sur la santé générale ou l’IU), le mode de recueil des données et la mode de définition de l’IU (à partir d’un questionnaire spécifique validé ou basée sur une liste de maladies) étaient susceptibles de modifier à la hausse ou à la baisse les estimations de la prévalence de l’IU.Les fuites les plus fréquentes étaient les fuites à la toux, les fuites avant d’arriver aux toilettes et les fuites lors de l’exercice physique. Les femmes décrivant des circonstances attribuées aux principaux types d’IU, effort, par urgenturie et mixte, formaient un groupe distinct de celles déclarant des circonstances attribuées au type IU autre. De même, les femmes déclarant des circonstances attribuables à une IU d’effort se démarquaient de celles déclarant des circonstances attribuables à une IU par urgenturie. Les circonstances les plus discriminantes pour classer les femmes incontinentes étaient : fuites tout le temps, à la toux, pendant le sommeil et après la miction. Dans toutes les enquêtes nous avons identifié des associations significatives entre presque tous les facteurs de risque disponibles et l’incontinence ; mais certains facteurs étaient liés avec toutes les formes d’IU et d’autres seulement avec certaines formes. De plus nombreuses associations ont été observées avec l’IU grave, c’est-à-dire quotidienne, qu’avec l’IU hebdomadaire. Nous avons observé plus d’associations significatives avec l’IU mixte et l’IU autre qu’avec l’IU d’effort et l’IU par urgenturie. Les plus fortes associations ont été observées pour la dépression et l’obésité, liées avec presque toutes les formes d’IU. Les variables obstétricales étaient souvent liées à l’IU mixte. Conclusion : Le questionnaire ICIQ-UI-SF est approprié pour estimer la prévalence de l’incontinence urinaire dans des échantillons représentatifs mais il apparaît insuffisant pour définir tous les types d’IU. Nos résultats ont objectivé qu’il est possible d’utiliser les circonstances des fuites d’urine pour identifier des groupes spécifiques de femmes incontinentes, et que certaines circonstances peu utilisées en cliniques sont pourtant très discriminantes. Il y a probablement des travaux à faire et à poursuivre pour explorer dans quelle mesure les circonstances des fuites ont une valeur pronostique ou prédictive de réponse au traitement. Grâce à la modélisation, où nous avons pris en compte le type et la gravité de l’IU, nous avons pu constater quelles modalités de l’IU sont liées à certains facteurs de risque et quelles modalités ne le sont pas. / TOWARDS A MODELLING OF FEMALE URINARY INCONTINENCE Introduction: The main objective was to better understand the natural history of the female urinary incontinence (UI) through modelling of its prevalence by risk factors, while taking into account its severity and its type. A secondary objective was to work on the classification of the circumstances of urinary leakage.Methods: Data came from two telephone surveys of a representative population, The Health Barometer 2010 and Fecond; two mail surveys within the cohort GAZEL, one general and the other centred on urinary problems; and an Internet survey of adult volunteers, NutriNet-Health. We defined UI from a validated questionnaire, the ICIQ-UI-SF, and from a list of diseases. We used binomial and multinomial logistic regression models, multiple correspondence analysis and hierarchical clustering.Results: The prevalence of any UI ranged from 1.5% to 38.8%. In both representative samples it was 17.3%. The design of the survey, i.e. the sampling (representative or not), its objective (centred on general health or UI-centred), the data collection mode and UI definition (symptom-based or perception-based) were likely to change either upwards or downwards the estimates of the prevalence of UI.The most frequent circumstances were leaks during coughing, leakage before getting to the toilet and leaks during physical exercise. Women describing circumstances attributable to stress, urge or mixed types of incontinence formed a separate group from those reporting leakage circumstances attributable to other UI. Similarly, women declaring circumstances attributable to stress UI stood out from those declaring circumstances attributable to urge UI. The most discriminating circumstances to classify incontinent women were: leaks all the time, leaks during coughing, leaks during sleep and leaks after urination.In all the surveys included in our work we have identified significant associations between almost all available risk factors and incontinence, but some factors were associated with all forms of incontinence and others only with few forms. In addition, more associations were observed with severe UI (i.e. daily UI), than with weekly UI. Among UI types, we observed more significant associations with mixed UI and other UI than with stress and urge UI. The strongest associations were found for depression and obesity with almost all forms of UI. Obstetric variables were often associated with mixed UI.Conclusion: Precise estimates of UI prevalence should be based on non–UI-focused surveys among representative samples and using a validated standardised symptom-based questionnaire, as ICIQ-UI-SF, but it appears to be insufficient to define all types of UI. We found that it is possible to use the circumstances of urine leaks for identifying specific groups of incontinent women. But we need to explore to what extent the circumstances of urinary leakage have prognostic or predictive value for response to treatment. With modelling, as we took into account UI type and severity, we identified which UI modalities are related to certain risk factors and which are not.
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Omvårdnad vid urininkontinens hos kvinnor / Nursing for women with urinary incontinenceAbdulahi Jama, Saido, Munter, Nanna January 2021 (has links)
Background: Urinary incontinence (UI) is a public health problem, globally and nationally. UI means a reduced quality of life for those suffering from it and at the same time it means high costs for the care. Within the patients, women are overrepresented. Nearly half of all women are at risk of UI in adult age. There are about 500,000 people in Sweden with such severe degrees of UI, that it effects their everyday lives. Aim: The aim was to highlight nursing measures given to women with urinary incontinence. Method: A literature review with thematic analysis. Scientific articles used include qualitative and quantitative studies. Result: Three themes were identified. “Pelvic floor training as nursing measure” with categories “Training recommendations”, “Yoga and bioassisted-technic”, “Conservative treatment and motivational interviewing” with categories “Follow-up” and “Adapted nursing measures” and “Barriers that prevent nursing measures” with the categorie “Need for competence” and “Lack of documentation and stigma”. Conclusion: Conservative management measures aren ́t enough, although the combination of motivational interviewing, clear instructions, with yoga or bio-assisted-technique, reduced UI are shown. Lack of knowledge according to detection, preventive nursing measures of and documentation. Difficulties in talking about UI, related to stigma, lead to patients not receiving the care needed. / Bakgrund: Urininkontinens (UI) är ett folkhälsoproblem, globalt och nationellt. UI innebär försämrad livskvalité för den som lider av det, samtidigt innebär det stora kostnader för vården. Inom patientgruppen är kvinnor överrepresenterade. I vuxen ålder riskerar nära hälften av alla kvinnor att drabbas av UI. Det är 500 000 personer i Sverige, med så svår grad av UI att det påverkar deras vardag. Syfte: Syftet var att belysa omvårdnadsåtgärder som ges till kvinnor med urininkontinens. Metod: En allmän litteraturöversikt med tematisk analys. Vetenskapliga artiklar som används är kvalitativa och kvantitativa studier. Resultat: Tre teman och sex kategorier identifierades. ”Bäckenbottenträning som omvårdnadsåtgärd” med kategorierna ”Träningsrekommendationer” och ”Yoga och biofeedback”. ”Konservativ behandling och motiverande samtal” med kategorierna ”Uppföljning” och ”Anpassade omvårdnadsåtgärder” samt tema ”Barriärer som hindrar omvårdnadsåtgärder” med kategorierna ”Behov av kompetens” och ”Utebliven dokumentation och stigma”. Slutsats: Konservativ omvårdnadsåtgärd är inte tillräckligt men i kombination med motiverande samtal, tydliga instruktioner, med yoga eller ihop med biofeedbacktekniken visar den på minskad UI. Bristande kunskap förekommer i upptäckt, förebyggande omvårdnadsåtgärder och dokumentation. Svårigheter att prata om UI, relaterat till stigmatisering, leder till att patienten inte får den vård som behövs.
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Semi-Automated Detection of Bladder Neck Funneling and Measurement of Posterior Urethrovesical Angle in FemalesVandermolen, Megan 29 April 2022 (has links)
The pathophysiology of stress urinary incontinence is poorly understood but bladder neck funneling (BNF) and posterior urethrovesical angle (PUVA) enlargement have been implicated. Methods to measure these phenomena are poorly established. The aim of this thesis was to develop and evaluate a semi-automated method to analyze BNF and PUVA from ultrasound images acquired transperineally and test its repeatability and concurrent validity compared to manual segmentation. Agreement between the semi-automated and manual methods was assessed by kappa statistics and intraclass correlation coefficients (ICCs). The repeatability of detection of BNF using the semi-automated approach was almost perfect (ĸC = 1.00 (p<0.001)), while the reliability of semi-automated detection of PUVA was good (ICC(3,1) = 0.860 (0.784 – 0.910)). Concurrent validity of BNF classification was almost perfect (ĸL = 1.00 (p<0.001)), while PUVA estimation was moderate (ICC(2,1) = 0.610 (0.514 – 0.705)). The method presented here is an acceptable proof of concept; further development is recommended.
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Hemorrhagic Complication During Placement of Tension-Free Vaginal TapeHuffaker, R. K., Handcock, Tyler, Muir, Tristi W. 01 January 2010 (has links)
A 66-year-old para III with a 20-year history of stress urinary incontinence underwent placement of tension-free vaginal tape. Intraoperative arterial bleeding occurred. An expanding hematoma was palpated postoperatively. Interventional radiology performed a pelvic arteriogram with selective bilateral internal iliac arteriograms, a supraselective anterior division and obturator arteriogram, a left external iliac arteriogram, coil embolization of a branch of the left obturator artery, and gel foam embolization of the anterior division of the left internal iliac artery.
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Does Body Mass Index Impact Passing Voiding Trial After Midurethral Sling Procedures for Stress Urinary Incontinence?Huffaker, R. K., Livers, Nathan, Yandell, Paul M., Shull, Bobby L., Muir, Tristi W., Kuehl, Thomas J., Bird, Erin T. 01 January 2010 (has links)
Objective: To test the hypothesis that body mass index (BMI) is a factor associated with passing a voiding trial after midurethral sling procedures for stress urinary incontinence (SUI). Study Design: The medical records of 136 consecutive patients who underwent placement of either tension-free vaginal tape (TVT) or transobturator tape (TOT) for SUI during a 1-year period (September 1, 2007 to August 31, 2008) were retrospectively reviewed. Variables assessed were BMI, age, and passing or failing a postoperative urinary voiding trial. Patients with concomitant pelvic organ prolapse surgeries were not included in this analysis. Results: Sixty-seven patients underwent TVT, whereas 69 had TOT procedures. In the TVT group, 30 patients (42%) were unable to void immediately postoperatively compared with 11 patients (16%) in the TOT group (P = 0.0003). The mean (SD) age and BMI of patients who failed or passed voiding trials was 58.6 (12.0) years and 28.0 (4.9) kg/m2 or 53.5 (12.3) years and 29.8 (5.7) kg/m2, respectively. Of 38 patients who did not pass a voiding trial on the day of the procedure, 31 (82%) passed on postoperative day 1, and all patients had passed a voiding trial by postoperative day 11. The mean (SD) BMI for 7 patients who did not pass voiding trial by postoperative day 1 was 28.3 (5.2) kg/m2. Conclusions: Women with higher BMIs were more likely to pass voiding trials after midurethral sling procedures. Patients who had TOT placement had greater success passing a postprocedure voiding trial than did patients who had TVT placement.
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Urinary Incontinence in the ElderlyMerkelj, Ivan 01 January 2001 (has links)
No description available.
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Comprehension of Pelvic Organ Prolapse and Urinary Incontinence in Southern Appalachian WomenHobdy, Danielle, Huffaker, R. Keith, Bailey, Beth 01 January 2018 (has links)
Objectives Despite their growing prevalence, pelvic floor disorders (PFDs) remain undertreated and not well understood by patients, with treatment disparities noted in specific subgroups of women. The goal of the present study was to determine the basic understanding of PFDs of women in the southern Appalachian region of the United States, to determine factors that predict knowledge, and to explore the possible disparities in seeking access to care among women in this region who reported symptoms. Methods A survey of patient knowledge of PFDs, specifically urinary incontinence (UI) and pelvic organ prolapse (POP), was conducted in Johnson City, Tennessee, and involved 305 female patients from this city and the surrounding region. Results Almost half of the participants (43%) reported UI symptoms, with only 25% of these participants reporting treatment. A much smaller percentage (5%) reported POP symptoms, but 44% reported receiving treatment. Overall proficiency for UI knowledge was 54.4%, and 69.5% for POP knowledge. Higher UI knowledge was predicted (P < 0.05) by age younger than 60 years, annual income >$50,000, more than a high school education, and being married. UI knowledge was unrelated to the presence of UI symptoms, receipt of UI treatment, or having seen a urospecialist. Higher POP knowledge was predicted (P < 0.05) by annual income >$50,000, more than a high school education, and presence of POP symptoms. The only factor significantly predicting seeking treatment among women with UI symptoms was marital status. Conclusions Overall knowledge of both UI and POP was reasonably high in this population, suggesting appropriate self-education or education by providers in the region. The women most affected by UI, particularly those older than 60 years, were not well informed, and education by providers does not appear to specifically target women seeking treatment. We must continue to educate and further reduce the gap of knowledge and treatment regarding PFDs in southern Appalachia.
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Äldre personers upplevelser av att leva med urininkontinens : En litteraturstudie / Older people’s experiences of living with urinary incontinence : A literature studyLarsson, Wilma, Mared, Julia January 2020 (has links)
Bakgrund: Urininkontinens är ett stort folkhälsoproblem som ökar med åldern och kan innebära förändringar som påverkar det dagliga livet, livskvalitet och värdighet. Sjuksköterskan har en viktig roll att stödja patienter med urininkontinens både fysiskt och psykiskt eftersom det påverkar det dagliga livet för många äldre personer. Syfte: Syftet var att belysa äldre personers upplevelser av att leva med urininkontinens. Metod: Studien genomfördes som en litteraturstudie med en induktiv ansats. Resultat: Studien baserades på 11 olika vetenskapliga artiklar som resulterade i fyra huvudsakliga kategorier: känslomässiga upplevelser av urininkontinens, erfarenheter av hälso- och sjukvård, upplevelser av urininkontinens ur ett socialt perspektiv och upplevelser av att hantera urininkontinens. Konklusion: Urininkontinens gav upphov till upplevelser av rädsla och skam men också tacksamhet, vilket således påverkade äldre personer att utföra dagliga aktiviteter och integrera med andra människor. Upplevelsen av att hantera urininkontinens med hjälp av olika anpassningar och strategier skapade förutsättningar i det dagliga livet. Sjuksköterskor som var stödjande och visade respekt upplevdes vara av stor betydelse för att bibehålla värdighet. Det behövs mer kunskap och utbildning för sjuksköterskor inom området urininkontinens. / Background: Urinary incontinence is an extensive public health issue that increaseswith age and can involve changes that affect daily life, quality of life and dignity. Thenurse has an important role to support patients with urinary incontinence bothphysically and mentally, as it affects the daily lives of many older people. Purpose:The purpose of the study was to describe older people’s experiences of living withurinary incontinence. Method: The study was conducted as a literature study with aninductive approach. Result: The study was based on 11 different scientific articleswhich resulted in four different categories: emotional experiences of urinaryincontinence, experiences of healthcare, experience of urinary incontinence in asocial perspective and the experience of handling urinary incontinence. Conclusion:Urinary incontinence can lead to experiences connected to fear and shame, but alsogratitude, which affected older people to perform their daily activities and interactwith other people. The experiences of managing urinary incontinence with the help ofvarious adaptations and strategies created conditions in daily life. Nurses who weresupportive and respectful showed to be of great importance to maintain dignity. Thereis a need for increased knowledge and education of nurses regarding the area ofurinary incontinence.
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Effets de la grossesse et des variations pondérales sur la survenue d’une incontinence urinaire chez la femme : une enquête étiologique sur la part réversible de l’incontinence urinaire / Effects of pregnancy and weight variations on female urinary incontinence : an etiologic survey on the reversible part of urinary incontinencePizzoferrato, Anne-Cécile 06 October 2017 (has links)
Objectif : la principale théorie développée pour expliquer l’incontinence urinaire (IU) et le défaut de support urétral est la théorie du traumatisme obstétrical : l’accouchement par voie vaginale serait susceptible d’entraîner des lésions périnéales à l’origine de l’IU et la pratique de la césarienne constituerait un facteur protecteur. Notre objectif était de préciser la part des facteurs étiologiques non liés à l’accouchement qui participent à la genèse de l’IU reliée à la grossesse chez la femme.Matériel et Méthodes : nous avons d’abord étudié l’impact des facteurs de risque d’IU dans 2 populations distinctes : l’une à distance du premier accouchement (entre 4 et 12 ans), l’autre dans une cohorte de primipares suivies à 1 an du premier accouchement.Résultats : A long terme après le premier accouchement, nous avons retrouvé que la présence d’une IU au cours de la première grossesse augmentait le risque d’IU. Elle diminuait également les chances de rémission de l’IU entre 4 et 12 ans après le premier accouchement. Le mode d’accouchement et les grossesses supplémentaires n’étaient pas associés au risque d’IU à 12 ans. Par contre, un IMC élevé était associé à un risque plus élevé de développer une IU 12 ans après le premier accouchement, tandis que la perte de poids augmentait les chances de rémission. A 1 an après le premier accouchement, l’existence d’une IU lors de la grossesse était un facteur très fortement associé au risque d’IU dans le postpartum, indépendamment du mode d’accouchement. La mobilité cervico-urétrale prénatale, évaluée cliniquement ou à l’aide de l’échographie était associée significativement au risque d’IU 1 an après le premier accouchement. Nous n’avons pas retrouvé d’association significative avec le mode d’accouchement à 1 an du postpartum.Conclusion : Ces résultats montrent donc l’importance de la part des facteurs de risque « non traumatiques » sur le risque d’IU postnatale, en particulier les facteurs de susceptibilité individuelle et métaboliques. La lecture de la littérature pourtant abondante ne permet pas de conclure quant au réél impact du mode d’accouchement sur l’IU postnatale et la possibilité de prévention par la césarienne au sein de groupes à risque particulier. La seule façon d’y répondre serait de mettre en place un essai randomisé comparant la césarienne et l’accouchement vaginal. Dans la troisième partie de ce travail, nous présentons la méthodologie du protocole de recherche que nous souhaitons mettre en place pour répondre à la question. A une époque où la relation médecin-malade évolue, la difficulté réside essentiellement en l’acceptabilité de ce type d’essai, que ce soit auprès des patientes ou des obstétriciens. Une enquête préliminaire permettra d’évaluer la faisabilité d’un tel essai en France. / Objective: the most often cited hypothese to explain urinary incontinence (UI) is the theory of birth trauma: vaginal delivery would be likely to cause perineal tears leading to UI and caesarean section appears as a protective factor. The objective of our work was to clarify the importance of non-obstetric factors involved in the genesis of UI in women.Material and Methods: we first studied the impact of UI risk factors in two distinct populations: one away from the first delivery (between 4 and 12 years), the other at 1 year of the first delivery.Results: Twelve years after 1st delivery, we found that the presence of a UI during pregnancy increase the risk of UI. It also reduced the chance of UI remission between 4 and 12 years after the first delivery. Mode of delivery and additional pregnancies were associated with the risk of UI at 12 years. A higher BMI was associated with a higher risk of developing UI 12 years after the first delivery, while the weight loss increased the chances of remission. At 1 year after the 1st delivery, the existence of UI during pregnancy was a factor strongly associated with the risk of UI in the postpartum period, regardless of mode of delivery. Prenatal cervical-urethral mobility (evaluated clinically or by ultrasound) was significantly associated with the risk of UI 1 year after first delivery.Conclusion: These results show the importance of the "non-traumatic" risk factors on the postnatal UI risk, especially individual susceptibility factors. Yet reading the abundant literature does not conclude as to the real impact of mode of delivery on postnatal IU and the only way to respond would be to set up a randomized trial comparing cesarean and vaginal delivery. In the third part of this work, we present the methodology of the research protocol we wish to set up to answer the question. The problem lies for us in the acceptability of this type of trial. A preliminary investigation will assess the feasibility of such a trial in France.
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