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La "lexicologie explicative et combinatoire" dans le traitement des unités lexicales spécialisées

Valente, Renata Stela January 2002 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Les degrés de complexification conceptuelle dans le parcours discursif d'étudiants universitaires au regard de l'accord du verbe

Gélinas, Réjane January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Reconnaissance d'implications textuelles à forte composante linguistique / Linguistic-Based Computational Treatment of Textual Entailment Recognition

Amoia, Marilisa 07 November 2008 (has links)
Dans cette thèse, j'étudie la manière dont les ressources lexicales basées sur l'organisation de la connaissance lexicale dans des classes qui partagent des propriétés communes (syntactiques, sémantiques, etc.) permettent le traitement automatique de la langue naturelle et en particulier la reconnaissance symbolique d'implications textuelles. Tout d'abord, je présente une approche robuste et à large couverture sur la reconnaissance de paraphrases verbales lexico-structurelle basée sur la classification de verbes anglais par Levin (1993). Puis, je montre qu'en étendant le cadre proposé par Levin pour traiter les modèles d'inférence généraux, on obtient une classification d'adjectifs anglais qui, comparée à des approches antérieures, propose une caractérisation sémantique à grain plus fin de leurs propriétés déductives. De plus, je développe un cadre sémantique compositionnel pour assigner à des adjectifs une représentation sémantique sur la base d'une approche ontologiquement variée (Hobbs, 1985) et qui permet ainsi l'inférence de premier ordre pour tous les types d'adjectifs, y compris les adjectifs extensionnels. Enfin, je présente un corpus de test pour l'inférence basée sur les adjectifs que j'ai développée comme ressource pour l'évaluation de systèmes de traitement automatique de l'inférence de la langue naturelle. / In this thesis, I investigate how lexical resources based on the organisation of lexical knowledge in classes which share common (syntactic, semantic, etc. features support natural language processing and in particular symbolic recognition of textual entailment. First, I present a robust and wide coverage approach to lexico-structural verb paraphrase recognition based on Levin's (1993) classification of English verbs. Then, I show that by extending Levin's framework to general inference patterns, a classification of English adjectives can be obtained that compared with previous approaches, provides a more fine grained semantic characterisation of their inferential properties. Further, I develop a compositional semantic framework to assign a semantic representation to adjectives based on an ontologically promiscuous approach (Hobbs, 1985) and thereby supporting first order inference for all types of adjectives including extensional ones. Finally, I present a test suite for adjectival inference I developed as a resource for the evaluation of computational systems handling natural language inference.
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Analyse morphosémantique de l'aspectuo-temporalité en français : le cas du préfixe RE- / A morphosemantic analysis of the aspectuo-temporal values of the French prefixation : the case of the prefix RE-

Mascherin, Laurent 10 December 2007 (has links)
Notre travail de recherche est consacré à l'analyse, d'un point de vue aspectuel, du rôle de la morphologie dérivationnelle dans le processus de construction du sens aspectuel lexical. Le préfixe RE- est très intéressant parce que sa structure processuelle est complexe. Il implique une relation entre un procès présupposé et un procès posé et cette relation est établie par un troisième procès, intermédiaire, qui crée un lien de continuité, de reprise ou d'interruption. L'activation de ces liens est notamment dépendante du sens de la base lexicale du dérivé et du sens aspectuel de cette même base. Le préfixe RE- est donc un opérateur de dérivation dont une des valeurs est aspectuo-temporelle et agit sur deux dimensions de la temporalité linguistique : la première est quantitative, il s'agit de l'itération ; la seconde est qualitative, elle traduit la relation temporelle établie entre les trois procès signifiés par le dérivé. / Our research is centered on the analysis of the role of morphological derivation in the elaboration of the lexical aspectual meaning. The prefix RE- is particularly interesting because of the complexity of its processual structure. RE- implies a relation between a presupposed process and a posited process, and this relation is established by a third - intermediate - process, which can signify continuity, resumption or interruption. The activation of this relation depends in particular on the meaning of the lexical base of the derived term and on the aspectual meaning of this base. The prefix RE- is thus an operator of derivation which possesses a temporal/aspectual value acting on two dimensions of linguistic temporality : the first, iteration, is quantitative, and the second is qualitative, as it expresses the temporal relation established between the three processes signified by the derived term.
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Les paires nom/verbe sémantiquement et formellement reliées en langue des signes québécoise

Voghel, Amélie January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur le problème de la catégorisation des éléments linguistiques en langue des signes québécoise (LSQ), plus particulièrement sur la distinction entre le nom et le verbe par l'entremise de paires composées d'un nom et d'un verbe dont le sens et la forme sont reliés. Deux types de paires nom/verbe ont été décrits: le premier est constitué d'éléments dont la forme se distingue par deux caractéristiques temporelles du mouvement: la longueur et la répétition. La distinction présente dans le mouvement de ces paires tend toutefois à se perdre en contexte. Cela a pour effet que les noms et les verbes sont susceptibles d'avoir la même forme phonologique en contexte sans que la valeur nominale ou verbale de l'élément ne soit affectée. Le deuxième type de paire est constitué d'éléments dont la forme est identique en forme de citation et en contexte. L'objectif de ce mémoire vise à décrire le mouvement des noms et des verbes de la LSQ, ainsi que le contexte dans lequel ils se trouvent afin de proposer une série de caractéristiques permettant de distinguer le nom du verbe en contexte en LSQ dans le but de déterminer quel type de propriétés (formelles ou morphosyntaxiques) permettent de déterminer la catégorie (nom ou verbe) à laquelle appartient un signe. Afin d'y parvenir, deux types de corpus de la LSQ ont été analysés. Le premier est constitué de donées élicitées (en forme de citation et dans le contexte d'une phrase) auprès de sept participants sourds. Le deuxième est constitué de productions naturelles d'un signeur sourd tirées d'une entrevue publique menée en LSQ. Les résultats obtenus montrent que le mouvement des noms et des verbes en contexte est sujet à la variation et que la longueur et la répétition du mouvement ne constituent pas des critères qui permettent de les distinguer. De plus, nous avons montré que le mouvement des noms et des verbes en forme de citation est lui aussi sujet à la variation. Nous avons proposé, à l'instar de Bouchard et al. (2005), qu'il est possible d'utiliser les caractéristiques morphosyntaxiques suivantes afin de déterminer si l'élément dessert une fonction nominale ou verbale: l'utilisation de l'espace, la présence du marqueur possessif POSS., de la négation el de l'aspect. De plus, nous avons identifié les caractéristiques distinctives suivantes: l'emploi d'une préposition ou d'un adjectif numéral devant un signe permet d'identifier celui-ci en tant que nom, et la juxtaposition du nom et du verbe d'une paire nom/verbe dont les éléments sont sémantiquement et formellement reliés permet d'identifier la catégorie de chacun. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Langue des signes québécoise, Catégorisation, Nom, Verbe.
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Les marqueurs d'objet dans les langues bantoues et romanes

Kearns, Lucie January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire présente une étude comparative des marqueurs d'objet dans les langues bantoues et romanes. Bien que typologiquement différentes, ces deux familles de langues partagent certaines propriétés. L'une d'elle consiste à marquer un ou des objets sur un verbe par le biais d'affixes ou de clitiques pronominaux (head marking). Des données recueillies dans de nombreux travaux de recherche ont été inventoriées et examinées selon divers aspects: les traits grammaticaux et sémantiques des marqueurs d'objet, leur position, nombre, ordre et distribution. Notre analyse montre que les marqueurs d'objet des deux familles de langues possèdent des caractéristiques communes, essentiellement syntaxiques et sémantiques. Ce mémoire étudie également les possibilités et les limites d'une des rares tentatives d'analyse unifiée des marqueurs d'objet des langues bantoues et romanes. Il s'agit de l'application d'un modèle de structure syntaxique minimaliste, le Clitic Shell de Manzini et Savoia -développé pour rendre compte des clitiques pronominaux de certaines langues romanes -à quelques affixes marqueurs d'objet de deux langues bantoues par Cocchi (2000). Nous évaluons que ce modèle constitue un outil de description formelle intéressant, mais n'est nullement explicatif et trop puissant pour rendre compte du marquage d'objets sur le verbe. À partir de nos résultats, nous concluons qu'une analyse unifiée des marqueurs d'objet des langues bantoues et romanes devrait être possible, mais qu'une telle analyse reste à faire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Marqueurs d'objets, Langues bantoues, Langues romanes, Clitic Shell, Clitiques pronominaux, Affixes verbaux.
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Le rôle de la catégorisation dans l'utilisation des médianes dans le verbe innu

Lachapelle, Magali January 2008 (has links) (PDF)
La morphologie des langues algonquiennes permet l'incorporation dans le verbe de morphèmes qui réfèrent à des entités. Ces éléments sont nommés "médianes" en ce qu'ils se situent au centre du radical verbal. Ces médianes peuvent être soit des noms existants, soit être dérivés de noms, soit ne sont reliées à aucun nom. Certaines d'entres elles sont des classificateurs. Ces éléments ont fait l'objet de peu d'études à ce jour. Dans ce mémoire, nous les analyserons du point de vue de la Linguistique Cognitive, école qui s'intéresse au rapport entre la sémantique et la cognition. Les médianes, qu'elles soient de type classificatoire ou non, ont la possibilité d'adopter plusieurs significations. Nous proposons que la catégorisation est d'importance cruciale dans la polysémie des médianes. Les effets de prototype, la métonymie et la métaphore sont les principales opérations de la catégorisation qui permettent cette polysémie. Les effets de prototypes permettent de déterminer le référent des médianes classificatoires. La métaphore permet d'exprimer des idées abstraites en termes concrets. Les métonymies permettent aux médianes non classificatoires de référer à plusieurs entités. À la fin nous, concluons que les opérations issues de la catégorisation permettent l'économie morphologique. Les effets de prototypes empêchent l'incorporation de plusieurs morphèmes en position médiane. La métaphore bloque également l'incorporation de morphèmes. La métonymie permet une économie sémantique en ce qu'elle permet de stocker davantage de sens à partir d'un seul morphème. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Incorporation nominale, Médiane, Catégorisation, Métaphore, Métonymie.
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Les médianes classificatoires en innu : analyse morphosyntaxique et sémantique

Vaughan, Nicholas January 2010 (has links) (PDF)
La présente étude porte sur une hiérarchisation des arguments de verbes innus qui détermine quels arguments sont marqués dans les flexions du verbe et quel argument est incorporé en position médiane. Le corpus est constitué de 1 275 verbes innus comportant chacun au moins une parmi cinq médianes dites « classificatoires ». Faisant suite aux travaux de Drapeau (2008) qui traite de verbes comportant des médianes génériques (non-classificatoires), chaque argument sémantique se voit attribué un rôle sémantique (thématique) selon la position qu'il occupe dans la décomposition lexicale du verbe. L'objectif de l'étude est de vérifier les conclusions de Drapeau (2008), soit que, d'une part, la hiérarchisation des arguments résulte d'une interaction entre la hiérarchie des rôles sémantiques, la « animacy hierarchy », et la « possessor constraint» et que, d'autre part, l'argument auquel renvoie la médiane est toujours le plus bas dans l'hiérarchie des arguments. Les résultats démontrent que la hiérarchisation proposée par Drapeau explique les données avec les médianes classificatoires. Ainsi, ils démontrent un parallélisme entre les deux types de médianes. Toutefois, ils mettent en valeur une faiblesse dans le système d'attribution de rôles sémantiques utilisé en relevant la nécessité de mieux définir le rôle de thème et celui d'instrument. Finalement, l'analyse des verbes comportant des médianes doubles remet en question la définition que donne Goddard (1990) des processus de dérivation primaire et secondaire dans les langues algonquiennes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Innu, Médiane, Classificateur, Incorporation, Hiérarchie, Rôle sémantique.
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Analyse comparative des propriétés lexicales des dix classes de verbes en papiamento et espagnol

Olguin, Maribel 11 1900 (has links) (PDF)
Pour la plupart des chercheurs qui ont étudié l'origine des langues créoles, le papiamento est une langue dont le lexique est formé principalement de l'espagnol, langue à laquelle les papiamentophones ont eu accès pendant tout son processus de formation. Partant de ce fait, le papiamento a été considéré comme étant une langue créole « non radicale ». Toutefois, il n'existe pas d'étude détaillée qui prenne en considération les propriétés lexicales du papiamento et de l'espagnol (ni du papiamento et ses langues du substrat) qui reflète les caractéristiques de leurs structures profondes et qui permette d'établir des paramètres comparatifs entre la langue créole et ses langues contributrices. Alors, peut-on vraiment affirmer que le papiamento est une langue créole non radicale? Pour donner une réponse partielle à cette question, nous avons établi les différences et les similarités qui existent dans la structure profonde des prédicats en papiamento et en espagnol. Pour ce faire, on a décidé de prendre comme point de départ l'étude comparative faite par Lefebvre (1998) entre le créole haïtien (exemple typique d'un créole radical), le français et le fongbe, une langue africaine. Dans cette étude, Lefebvre analyse et compare dix classes de verbes dans les trois langues. Ces mêmes classes de verbes ont été étudiées pour des fins de comparaison entre le papiamento et l'espagnol. On s'attend à conclure que même si les verbes en papiamento ont une forme très proche de l'espagnol, les propriétés lexicales de ces verbes ne correspondent généralement pas aux verbes espagnols apparentés. Ce résultat donnera un indice pour se demander si le papiamento devra continuer à être considéré comme étant une langue créole non radicale. ______________________________________________________________________________
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Polysémie et structure conceptuelle du morphème verbal -ipal- en innu

Renaud-Roy, Émilie 02 1900 (has links) (PDF)
La structure verbale de l'innu comprend trois composantes : l'initiale, la médiane et la finale. Le morphème -ipal- apparait en position finale dans plusieurs verbes de mouvement sur place, mais aussi de déplacement, de fonctionnement, de changement d'état et de déroulement. Les sens distincts empruntés par la finale suggèrent qu'il s'agisse d'une finale polysémique. Cette étude comprend deux objectifs, le premier consiste à identifier les relations sémantiques qui unissent les sens distincts de la finale dans une perspective polysémique, le second est d'établir les patrons de lexicalisation de chacune des acceptions observées afin d'établir la correspondance entre la structure conceptuelle du verbe et ses composantes. L'ensemble de l'analyse repose sur la sémantique cognitive, à savoir les modèles de catégorisation et la polysémie (Kleiber 1990 ; Lakoff 1987 ; Evans et Tyler 2003) ainsi que les patrons conceptuels (Jackendoff 1990). Le corpus à l'étude comprend exclusivement des verbes intransitifs formés du morphème -ipal-. Ce mémoire s'inscrit dans le groupe de recherche sur la grammaire innue dirigé par Lynn Drapeau et financé par une subvention du CRSH (Conseil de Recherche en Sciences Humaines du Canada # 856-2004-1068). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : innu, algonquien, sémantique cognitive, polysémie, mouvement.

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