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Factores de riesgo asociados a retinitis por Citomegalovirus en infectados con VIH: estudio caso control

Niño Montero, Jose Segundo January 2010 (has links)
Objetivo: Determinar los factores de riesgo para retinitis por Citomegalovirus (CMV) en pacientes infectados con el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH), Hospital Nacional Dos de Mayo 2007 - 2009. Metodología: Estudio caso – control, relación 1 caso por 2 controles, entre 2007 al 2009, en 31 casos de pacientes con HIV con retinitis por CMV y 62 controles. Se evaluaron factores relacionados con filiación, antecedentes de riesgo, infecciones oportunistas, categoría de exposición y características generales. El análisis estadístico incluyó determinación de proporciones y análisis bivariado por el odds ratio con sus respectivos intervalos de confianza (p<0.05). Resultados: El grupo etario menor de 30 años fue el de la mayor proporción en el grupo caso (32.3%), el sexo masculino representó 83.9% de los casos. La probabilidad se incrementa para aquellos que tienen un tiempo de enfermedad mayor a 24 meses (OR=8.0; IC 95% 2.05 - 31.1). Según antecedentes se asocian las infecciones oportunistas (OR=1.55, IC 95% 0.29 -8.18), enfermedad previa de CMV (OR=10.8, IC 95% 2.73 -42.7). La candidiasis y tuberculosis ocupan la mayor proporción de infecciones oportunistas (49.5%). El homosexualismo y síntomas de imágenes flotantes intermitentes muestran asociación para retinitis por CMV (OR=1.34, IC 95% 0.53-3.36), (OR=4.7; IC95% 1.0 - 20.3) respectivamente. La agudeza visual está afectada solo en el grupo caso; siendo 20/200 o peor en el 58.1%. El recuento de linfocitos T CD4+ se asocia a retinitis por CMV con recuentos menores a 200 cel/ul (OR=21.6 IC 95% 4.2–110.9). Conclusiones: Los principales factores asociados a retinitis por CMV en el grupo estudiado son el tiempo de enfermedad mayor a 24 meses, antecedentes de infecciones oportunistas y CMV, homosexualidad, síntomas visuales de flotantes intermitentes, y recuento de linfocitos T CD 4+ < 200 cel/ul. Palabras clave: Retinitis por Citomegalovirus, virus de inmunodeficiencia humana, factores de riesgo.
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Epidémiologie clinique de la prise en charge des patients co-infectés par le VIH et le virus de l’hépatite C à partir des cohortes ANRS CO 03 Aquitaine et ANRS CO 13 HEPAVIH

Loko, Marc-Arthur 17 December 2009 (has links)
L’infection par le virus de l’hépatite C est fréquente chez les patients infectés par le VIH. Chez les patients co-infectés VIH-VHC, les lésions hépatiques sont plus sévères et évoluent plus rapidement vers la cirrhose et ses complications. Cette thèse est consacrée à la description des patients co-infectés pris en charge, en France (2006-2008), à l’évaluation de la prévalence et des facteurs de stéatose hépatique chez ces patients, et à la question de l’évaluation non invasive de la fibrose hépatique. La prise en charge des patients co-infectés VIH-VHC devrait inclure un dépistage systématique de la stéatose hépatique. L’évaluation de la fibrose hépatique par l’utilisation de deux scores non invasifs (Fibroscan-Apri, Fibroscan-Fibrotest, par exemple) pourrait être envisagée. En cas de discordance entre les résultats de ces scores, une biopsie hépatique doit être réalisée. / Chronic hepatitis C virus (HCV) infection is common in patients with human immunodeficiency virus (HIV). HIV-HCV Co-infection is associated with more severe and more rapid progression of HCV, leading to increased incidence of fibrosis, cirrhosis, and end-stage liver disease. Our work is devoted to the description of HIV-HCV co-infected patients (2006-2008). We also evaluated the prevalence and factors associated with liver steatosis in these patients. Lastly, we addressed the issue of the non-invasive assessment of liver fibrosis. The management of HIV-HCV co-infected patients should comprise a systematic screening of liver steatosis. The assessment of liver fibrosis using two non-invasive tests (eg Fibroscan-Apri, Fibroscan-Fibrotest) should be considered. In case of discordance between the results of these tests, a liver biopsy must be performed.
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Développement d’une nouvelle classe d'agents de sortie de latence du VIH-1 ciblant la protéine virale Tat / Development of a novel class of HIV-1 latency-reversing agent targeting the viral protein Tat

Tong, Phuoc Bao Viet 23 July 2019 (has links)
Bien que le traitement antirétroviral (ART) supprime efficacement la multiplication du VIH-1 chez les patients infectés, l’ART ne guérit pas l'infection. En effet, si l'ART est arrêté, nous observons un rebond viral. Celui–ci est principalement dû à l'activation stochastique de cellules latentes qui contiennent le génome viral intégré mais ne produisent pas de virus et ne sont donc pas ciblées par l'ART ou le système immunitaire. Ces cellules latentes sont peu nombreuses (1-10 par million de cellules T-CD4+ quiescentes) mais elles apparaissent rapidement après la primo infection et constituent donc un obstacle majeur à l'éradication virale. La stratégie la plus prometteuse pour supprimer ces cellules, dite "Shock and Kill", est de les réactiver pour qu'elles soient ensuite ciblées par l'ART et/ou lysées par les cellules T cytotoxiques. Un certain nombre d’agents de sortie de latence (LRAs) ont été mis au point pour réactiver ces cellules. Ils ciblent les protéines cellulaires telles que les Histone-désacétylases (HDAC) ou la protéine kinase C. La plupart d'entre eux présentent donc des effets non spécifiques et parfois une toxicité. Tat est la protéine du VIH-1 qui permet la transcription virale et favorise la traduction des gènes viraux. Tat est la protéine clé pour la levée de latence et l'initiation de la production des protéines virales par la cellule latente. Sur la base des structures RMN de Tat disponibles, nous avons identifié par dynamique moléculaire les conformations les plus stables de Tat. Cela nous a permis d'identifier par criblage in silico des ligands potentiels de Tat. Dix molécules ont été sélectionnées. Une molécule appelée D10 se fixe spécifiquement à la protéine Tat et augmente son activité de transactivation d'environ 4 fois. De plus, D10 présente une activité LRA sur les lignées cellulaires latentes JLat-9.2 et OM-10.1. L’activité LRA de D10 sur ces lignées représente 50 à 70% de celle du SAHA (vorinostat), un inhibiteur des HDAC candidat LRA en cours d’essais cliniques (Phase 2). Sur les cellules latentes de patients VIH traités, D10 à 50 nM a une activité LRA très efficace, 80% supérieure à celle de la bryostatine-1 qui agit sur la PKC et est considéré comme le LRA le plus prometteur actuellement. Le mécanisme d’action de D10, à semble être la stabilisation du complexe de transcription Tat-TAR. Cet effet est observé à 30 nM D10. En utilisant une approche chémoinformatique nous avons sélectionné 11 analogues de D10, dit N1-N11. Certains de ces analogues (N5, N8) montrent un effet plus fort que D10 sur l’augmentation de la transactivation de Tat ainsi que pour l’effet LRA sur les lignées cellulaires latentes. Ce résultat nous a permis d'ébaucher une relation structure chimique / activité LRA de ces molécules. Nous avons donc identifié de nouveaux agents de sortie de latence du VIH-1 ciblant Tat, plus spécifiques que les LRAs ciblant les protéines cellulaires. Ce sont les premiers activateurs de Tat identifiés. / Despite its efficiency to prevent viral multiplication, antiretroviral therapy (ART) is unable to cure patients with HIV-1. Indeed if ART is stopped, a viral rebound is observed. This increase in blood viral load is due to the activation of HIV-1 reservoirs, among which latently-infected memory CD4+ T cells. These cells are rare (1 per million of quiescent T cells) and appear very quickly following infection. To purge this long-lived reservoir the "Shock and Kill" approach was developed. This strategy relies on the use of latency reversing agents (LRAs) to induce reservoir activation. All LRAs developed until now target cellular proteins such as Histone deacetylases or protein kinase C. These LRAs are not specific for viral transcription and displayed modest effects ex vivo. Here we present a new LRA family that binds to and activates HIV-1 Tat which is the key regulator for viral transcription and latency reversal. These compounds are not cytotoxic and specifically activate Tat transcriptional activity. They were less efficient than available LRAs on HIV-1 latent cell lines. Nevertheless, when tested on latent T-cells from HIV-1 patients, the lead compound D10 was ~ 80% more efficient than bryostatin-1, one of the best LRA available to date. This effect was observed at 50 nM, which corresponds to the D10 concentration required for this compound to stabilize the Tat-TAR transcription complex. These molecules are the first Tat activators available.
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La transmission colorectale du VIH par les cellules infectées du sperme et effet du sperme sur cette transmission / Colorectal transmission of HIV by semen infected cells and effect of semen on this transmission

Frouard, Julie 20 December 2018 (has links)
Le sperme est le principal vecteur de dissémination du VIH. La muqueuse colorectale exposée au sperme infecté lors de rapports anaux, aussi bien chez l’homme que chez la femme, représente le plus fort risque d’infection parmi toutes les voies de transmission sexuelle. Un nombre croissant d’études suggèrent que la transmission sexuelle du VIH via les cellules infectées présentes dans les sécrétions génitales du donneur serait plus efficace que par les particules virales libres. A ce jour, le rôle et les mécanismes de transmission des cellules infectées du sperme ont été peu étudiés. De plus, l’effet potentiel du liquide séminal (LS) sur cette transmission est mal connu. Dans ce contexte, mes travaux de thèse ont permis de démontrer une transmigration active et rapide: (i) de leucocytes sanguins à travers la barrière colorectale, et un effet inhibiteur du LS sur cephénomène, sans altération de la barrière épithéliale. (ii) de leucocytes séminaux. Des analyses par cytométrie de flux ont permis de mettre évidence à la fois des particularités et des similitudes quant à l’équipement protéique des cellules séminales et de leurs équivalents sanguins. Ce travail fournit de nouvelles données sur la transmission du VIH par les cellules infectées du sperme, et sur l’effet du sperme sur la transmission colorectale. La démonstration de la transmigration de leucocytes séminaux suggère que ces cellules jouent un rôle dans la transmission du VIH au niveau colorectale qui nécessite d’être pris en compte dans les stratégies de prévention. Les mécanismes en jeu et ceux responsables de l’effet du LS restent à élucider et devrait permettre à terme de dégager de nouvelles cibles thérapeutiques. / Semen is the main vector of HIV dissemination. The colorectal mucosa exposed to semen infected cells during anal intercourse, in both men and women, represents the highest risk of infection among all sexual transmission routes. An increasing number of studies suggest that sexual transmission of HIV via infected cells present in the donor's genital secretions would be more effective than free viral particles. To date, the role and transmission mechanisms of infected sperm cells have been poorly studied. Moreover, the potential effect of seminal fluid (SF) on this transmission is poorly understood. In this context, my thesis work has demonstrated an active and rapid transmigration: (i) of blood leukocytes across the colorectal barrier, and an inhibitory effect of SF on this phenomenon, without altering the epithelial barrier. (ii) of seminal leucocytes. Flow cytometry analyzes have revealed both features and similarities in the protein equipment of seminal cells and their blood equivalents. This work provides new data on HIV transmission by infected sperm cells, and on the effect of semen on colorectal transmission. Demonstration of transmigration of seminal leukocytes suggests that these cells play a rôle in colorectal HIV transmission that needs to be considered in prevention strategies. The mechanisms involved and those responsible for the effect of SF remain to be elucidated and should eventually lead to new therapeutic targets.
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L’autophagie, un mécanisme impliqué dans la physiopathologie de l’infection par le VIH-1 / Autophagy, a mechanism involved in the physiopathology of HIV-1 infection

Sagnier, Sophie 22 September 2011 (has links)
L'autophagie est une voie majeure de dégradation et de recyclage des constituants cytoplasmiques. C'est également un mécanisme de l'immunité innée et adaptative. Au cours de l'infection par le VIH-1, l'autophagie est déclenchée dans les lymphocytes T CD4 non infectés après contact avec les glycoprotéines d'enveloppe virale (Env). Cette autophagie participe alors à l'induction de l'apoptose dans ces cellules, mécanisme connu pour être responsable de la disparition des lymphocytes T CD4 au cours de l'infection, et donc de l'évolution vers la phase SIDA. Nos travaux ont permis de montrer que l'activité fusogénique de gp41 est responsable de l'induction d'autophagie et de la mort des lymphocytes T CD4 non infectés après leur contact avec Env. De façon tout à fait surprenante, il apparaît que l'autophagie est bloquée dans les lymphocytes T CD4 productivement infectés par le VIH-1 (souches X4 ou R5). Par contre, les macrophages, autre population cellulaire ciblée par ce virus, ne présentent aucun signe d'autophagie en réponse à la fixation de Env (souches X4 ou R5), alors qu'elle est induite dans les macrophages infectés par ces mêmes virus. Enfin, les derniers résultats nous ont permis de mettre en évidence une phase d'autophagie plus précoce, intervenant dans les deux heures suivant le contact avec Env. L'étude des acteurs impliqués dans l'induction de cette première phase a montré qu'elle était indépendante de la fusion membranaire induite par gp41, ainsi que de la liaison de Env aux récepteurs CD4 et CXCR4. Cette première phase d'autophagie est également présente dans les premières étapes d'infection des lymphocytes T CD4 par du virus libre, et est nécessaire à la réplication du VIH-1. Le VIH-1 adopte donc une stratégie d'exploitation du mécanisme autophagique afin d'optimiser sa réplication, mais également la propagation de l'infection. / Autophagy is a major catabolic pathway involved in the degradation and recycling of cytoplasmic components. It is also a mechanism of adaptive and innate immunity. During HIV-1 infection, autophagy is induced in uninfected CD4 T lymphocytes after contact with cells expressing HIV-1 envelope glycoproteins (Env, gp120/gp41). This process is a pre-requisite to their apoptosis. Thus, autophagy is implicated in the depletion of CD4 T lymphocytes during HIV-1 infection, mechanism leading to AIDS. The results obtained during my PhD have shown that the fusogenic function of gp41 is responsible for the induction of autophagy in the uninfected CD4 T lymphocytes. Surprisingly, this process is blocked in productively HIV-1-infected CD4 T lymphocytes (X4 or R5 strains). In contrast, uninfected macrophages, a preserved cell population during HIV-1 infection, do not undergo X4 or R5 Env-mediated autophagy. However, autophagosomes are present in infected macrophages. Our last results demonstrated that an early autophagic phase is triggered in target CD4 T cells 2h after the contact with Env-expressing cells. Neither the fusogenic function of gp41, nor gp120 binding to CD4 and CXCR4 is implicated in the induction of this early autophagic phase. Interestingly, this process seems necessary to establish an efficient HIV-1 replication. Our results suggest that HIV-1 adopts a strategy to use the autophagic pathway to its own profit and pointes this process as a key for the HIV-1-associated physiopathology.
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Nivel de conocimiento sobre VIH/sida y sus medidas de prevención en estudiantes varones - institución educativa nacional secundaria - Chiclayo 2018

Sandoval Santamaria, Victor Hugo January 2019 (has links)
El VIH-SIDA es una pandemia mundial en aumento, a pesar de ello la información que reciben los adolescentes es escasa y a veces erróneas; siendo esto una amenaza seria para los adolescentes y jóvenes debido a las prácticas de riesgo a las que se exponen. Esta investigación tuvo como objetivo determinar el nivel de conocimiento sobre VIH/SIDA y sus medidas de prevención en estudiantes varones, de una Institución Educativa Nacional de Chiclayo 2018. Investigación cuantitativa de diseño descriptivo; la población fue de 499 alumnos del quinto grado de secundaria de 15 a 17 años de edad; la muestra estudiada fue de 218 participantes seleccionados por muestreo aleatorio simple. Para la recolección de datos se utilizó un cuestionario, con confiabilidad de 0.68 según alfa de combrach. Los datos se analizaron utilizando estadística descriptiva. Los resultados encontrados fueron: 48,62% de adolescentes tuvieron 15 años de edad; con respecto al nivel de conocimiento sobre VIH/SIDA: 44.50% tuvieron nivel de conocimiento regular, y 43.12% nivel de conocimiento alto, 12.39% nivel bajo; en relación a las medidas de prevención el 50,92% demostró tener nivel conocimiento medio, 31,65% tuvieron nivel de conocimiento bajo y un 17,43% alcanzaron nivel alto. En conclusión los estudiantes tienen conocimiento regular tanto sobre VIH/SIDA como de medidas preventivas, demostrando bajo conocimiento respecto al riesgo de VIH y la trasmisión del virus por lactancia materna; con respecto a medidas preventivas: desconocen que los instrumentos de realizar tatuajes, las transfusiones de sangre y el compartir jeringas aumenta el riesgo de VIH/SIDA. / Tesis
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Características clínicas y epidemiológicas de pacientes con coinfección VIH-tuberculosis, del HNGAI, Lima 2013

Camarena Isidro, Cindy January 2014 (has links)
Publicación a texto completo no autorizada por el autor / Determina las características clínicas y epidemiológicas de pacientes con coinfección VIH-tuberculosis, del HNGAI, Lima 2013. Estudio observacional, descriptivo y retrospectivo. Se realiza un estudio observacional, descriptivo y retrospectivo donde se analiza a 27 pacientes con coinfección VIH-tuberculosis del servicio de medicina interna Nº1-infectología del HNGAI, entre enero y diciembre de 2013, con el fin de estudiar las características clínicas y epidemiológicas de la tuberculosis en pacientes VIH. Los síntomas y signos más frecuentes son fiebre 12(44.44%), deposiciones líquidas sin moco sin sangre 8(29.63%), SAT no cuantificada 6(22.22%) y tos con expectoración 6(22.22%). Se observan 9(52.94%) pacientes con linfocitos T CD4 < 200 y 8(47.06%) pacientes con linfocitos T CD4 ≥ 200. Solo 14(51.85%) pacientes están recibiendo tratamiento antirretroviral de gran actividad (TARGA) en el momento del diagnóstico. Se observa en relación a la carga viral, 5(62.50%) pacientes con menos de 10000 copias. Se observan 14 (51.75%) pacientes con tuberculosis pulmonar y 13 (48.15%) pacientes con tuberculosis extrapulmonar. Entre los tipos de tuberculosis extrapulmonares, la más frecuente es la tuberculosis ósea y articular 3(23.08%). Entre los exámenes de ayuda diagnóstica, la baciloscopía es la más frecuente. Los pacientes de sexo masculino son los más frecuentes en una relación hombre-mujer 6:1. La edad más frecuente está comprendida entre 30-39 años. La mayoría de los pacientes procede del Cercado de Lima 12(44.44%). La mayoría de los pacientes tiene estudios superiores 12(44.44%). La mayoría 23 (85.19%) de los pacientes estaba trabajando en el momento del diagnóstico. Se evidencia que 16 (59.26%) pacientes son solteros. Se observa que de 9 pacientes a los cuales se les realiza estudios de sensibilidad, 4(44.44%) pacientes tienen tuberculosis multidrogoresistente. No hay mortalidad. Concluye que los síntomas y signos más frecuentes son fiebre, deposiciones líquidas sin moco sin sangre, SAT no cuantificada y tos con expectoración. La mayoría tiene linfocitos T CD4 < 200. La mayoría estaba recibiendo TARGA en el momento del diagnóstico. La mayoría tiene tuberculosis pulmonar. La tuberculosis ósea y articular es la más frecuente. La mayoría es de sexo masculino. La edad más frecuente está comprendida entre 30-39 años .La mayoría procede del Cercado de Lima. La mayoría tenía estudios superiores. La mayoría estaba trabajando en el momento del diagnóstico. Predominan los solteros. Existe 4 pacientes con tuberculosis multidrogoresistente. No se evidencia mortalidad. / Tesis
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Capacité de rétention du récepteur CD4 par la protéine Vpu du VIH-1 chez des isolats primaires et implications au niveau de l'infectivité des particules virales

Belzile, Nathalye January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Conocimientos, actitudes y conductas de riesgo respecto a la infección por el virus de la inmunodeficiencia humana en donantes de sangre en el Centro de Hemoterapia Tipo II del Hospital Nacional Docente Madre Niño “San Bartolomé” en el 2011

Fernández Hidalgo, Wilberto Abelardo January 2013 (has links)
Publicación a texto completo no autorizada por el autor / Manifiesta que en el Perú la principal fuente de sangre para uso terapéutico la constituyen los donantes por reposición o donantes familiares. En los últimos años la proporción nacional de donantes voluntarios de sangre muestra un alarmante y progresivo descenso. Recientes hechos ocurridos en instituciones hospitalarias nacionales demuestran claramente que las carencias de las que adolecen nuestros Bancos de Sangre y Centros de Hemoterapia para la sensibilización, captación y fidelización de donantes de sangre, no garantizan la oportunidad ni la seguridad de los componentes sanguíneos que se utilizan actualmente como recursos terapéuticos. Probablemente la inadecuada planificación de estrategias para la promoción de la donación voluntaria de sangre, y para la prevención de la infección por el virus de la inmunodeficiencia humana, concurren y hacen de la nuestra una preocupante realidad en salud. Es por eso que fue de interés en este estudio, identificar los conocimientos, actitudes y conductas de riesgo respecto a la infección por el virus de la inmunodeficiencia humana, en donantes de sangre captados en campañas de donación voluntaria. La población universo estuvo dada por la totalidad de donantes de sangre captados en Campañas de Donación Voluntaria del Hospital Nacional Docente Madre Niño “San Bartolomé” en el año 2011 por donantes que cumplieron con los criterios de inclusión, de acuerdo con los estándares de selección de donantes recomendados por en el Sistema de Gestión de Calidad del PRONAHEBAS. Los hallazgos de este estudio fueron los siguientes: 100% de la población está de acuerdo con que el VIH es un virus, aproximadamente el 95% demuestran que conocen las principales vías de transmisión del VIH/SIDA, el 90% manifiesta que los grupos de riesgo más asociados a contraer la infección están vinculados a la vía de transmisión sexual, en sus diversas manifestaciones y con diversos factores que propician esta transmisión, como el uso de drogas endovenosas, el 54.2% piensa erróneamente que el tiempo para que la prueba de ELISA se muestre reactiva es de 6 meses a 1 año, 47% manifiesta que el tiempo en aparecer las manifestaciones de SIDA luego de la infección inicial con el VIH es de 5 a 10 años, 80.5% sugiere que el momento de contagio de una gestante infectada con VIH/SIDA a su hijo es al momento del parto. Se concluyó que los donantes de sangre participantes en este estudio, tienen un nivel aceptable de información respecto a la etiología y vías de transmisión del VIH, pero es limitada y usualmente errónea. / Trabajo académico
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DNA vaccination amplifiers HLA-DR cross-restricted public TCR clonotypes shared with HIV controllers / La vaccination ADN amplifie des TCR publics à large restriction HLA-DR partages avec les contrôleurs du VIH

Mukhopadhyay, Madhura 16 June 2017 (has links)
Les contrôleurs du VIH (HICs) sont de rares patients qui contrôlent spontanément la réplication du VIH en absence de thérapie antirétrovirale. Ces patients sont caractérisés par un taux normal de cellules T CD4+, le maintien d’une charge virale indétectable (<50 copies d’ARN viral/mL de plasma), et présentent un très faible risque de progression vers le SIDA. De nombreux travaux suggèrent que le contrôle de la réplication virale chez ces patients est dû à une réponse cellulaire antivirale particulièrement efficace. Notre équipe a récemment montré que les HICs inclus dans la Cohorte ANRS CO21 CODEX maintiennent des réponses T CD4+ très sensibles, associées à l'expression de TCRs ayant une forte avidité pour certains peptides Gag du VIH. Nous avons montré en particulier que les cellules T CD4+ de HICs répondent à de très faibles concentrations de l’épitope immunodominant Gag293. Dans une première étude, nous avons pu mettre en évidence que la réponse de haute avidité observée pour les cellules T CD4+ des HICs semble s'expliquer par une propriété intrinsèque de leur TCR. Pour identifier les déterminants moléculaires qui sous-tendent cette réponse de haute avidité, nous avons caractérisé le répertoire TCR des cellules T CD4+ spécifiques de l’épitope immunodominant Gag293. Les HICs présentent un répertoire TCR hautement biaisé, caractérisé par une expression préférentielle des chaînes variables TRAV24 et TRBV2, la présence de motifs conservés au sein des régions CDR3 de ces deux chaînes, et une prévalence élevée de clonotypes publics. Le clonotype public le plus représenté est capable de conférer une réponse spécifique à Gag293 très sensible et polyfonctionnelle aux cellules T CD4+ primaires, ainsi qu'une reconnaissance de multiples allèles HLA-DR. Nous cherchons à présent à déterminer si les candidats vaccins peuvent induire des réponses T CD4+ similaires à celles observées chez des patients HIC. Pour cela, nous avons analysé les réponses spécifiques de Gag293 chez des volontaires sains ayant reçu le candidat vaccin ADN ADVAX administré par soit par électroporation (EP) ou soit par injection intramusculaire (IM). La comparaison des réponses spécifiques de Gag293 dans des lignées T CD4+ primaires par test ELISpot IFNγ a montré que la sensibilité à l'antigène chez les volontaires vaccinés était proche de celle des patients contrôleurs et significativement plus élevée que celle mesurée chez les patients traités (p<0.05). Par contre, les volontaires du groupe IM n'ont pas montré de réponse détectable contre Gag293. L'analyse du répertoire TCR des cellules spécifiques de Gag293 chez les volontaires vaccinés a révélé une amplification préférentielle de la chaîne variable TRBV2, chaîne qui prédomine également chez les patients HIC. Cependant, l'utilisation des chaînes variables TRAV est apparue plus diverse chez les sujets vaccinés, avec une amplification préférentielle des chaînes TRAV29 et TRAV24. L'analyse des clonotypes TCR amplifiés chez les vaccinés a mis en évidence un recoupement inattendu avec le répertoire des HIC, avec une fréquence élevée de motifs partagés (30%). Les clonotypes publiques TRAV24 et TRBV2 les plus fréquemment retrouvés dans le répertoire des Contrôleurs ont également été induits par la vaccination ADN EP, indiquant le potentiel pour une réponse de forte avidité. Par contre, le clonotype TRAV29 le plus exprimé, chez les vaccinés a induit des réponses de plus faible avidité, même si ces réponses étaient restreintes par de multiples allèles HLA-DR. L'ensemble de ces résultats suggère que les clonotypes TRAV24, plutôt que les clonotypes TRAV29, sont responsables de la réponse de forte avidité contre Gag293. En conclusion, un candidat vaccin ADN administré par EP possède la capacité d'induire des clonotypes TCR associés au contrôle du VIH. Cette étude suggère que les clonotypes TCR publics pourraient servir de nouveaux biomarqueurs permettant d'évaluer la qualité des réponses vaccinales induites contre le VIH / HIV controllers are rare patients who spontaneously control HIV replication to levels below 50 copies viral RNA/mL in the absence of antiretroviral therapy. Converging evidence indicate that HIV controllers mount a cellular antiviral response that is highly efficient at detecting and eliminating infected cells. In particular, we previously reported that HIV controllers from the ANRS CO21 CODEX cohort harbour a pool of memory CD4+ T cells able to respond to minimal amounts of viral antigens, due to the expression of TCRs with high avidity for immunodominant Gag epitopes. In a first study we show that the high functional avidity observed in Controller CD4+ T cells could be explained by the expression of high avidity T cell receptors (TCRs) which efficiently bound Gag peptide-loaded MHC class II tetramers. Repertoire analysis of CD4+ T cells specific for the immunodominant Gag293 epitope showed a highly skewed repertoire in HIV controllers, with a predominance of the TRAV24 and TRBV2 variable gene families, the presence of conserved motifs in both CDR3 regions, and a high prevalence of public clonotypes. When transferred to primary CD4+ T cells, the most frequent public TCR clonotypes could confer properties associated with an efficient T cell response, such as polyfunctional cytokine secretion, high affinity antigen recognition, and broad HLA-DR crossrestriction. To determine whether candidate HIV vaccines could induce the high sensitivity responses seen in controllers, we analysed Gag293-specific responses in healthy volunteers who received the ADVAX DNA vaccine administered by electroporation (EP) or intramuscular injection (IM). Comparison of Gag293-specific responses in primary CD4+ T cell lines via IFNγ ELISpot revealed that the median antigen sensitivity in vaccinees was close to that observed for controllers but significantly higher than that in treated patients (p <0.05). In contrast, volunteers from the IM group did not show a detectable Gag293-specific response. TCR repertoire analysis of Gag293-specific CD4+ T cells from vaccinees revealed a preferential amplification of TCRβ family chain TRBV2, which also predominates in controllers. However, TRAV family gene usage appeared more diverse in vaccinees compared to controllers, with the preferential amplification of TRAV29 and TRAV24. Sequence analysis revealed an unexpected degree of overlap between the specific repertoires of vaccinees and HIV controllers, as evidenced by a high frequency of shared TCR motifs (>30%). The most frequent TRAV24 and TRBV2 public clonotypes found in the controller TCR repertoire were also induced by EP DNA vaccination, suggesting the potential for high avidity responses. In contrast, an abundant TRAV29 clonotype from vaccinees induced Gag293-specific responses of lower avidity, even though these responses were broadly HLA-DR cross-restricted. Thus, our results suggest that TRAV24 rather than TRAV29 clonotypes may be responsible for the high avidity Gag293-response. In conclusion, DNA vaccination by electroporation has the potential to inducer TCR clonotypes associated with HIV control. Monitoring the amplification of public TCR clonotypes could provide a novel approach to evaluate the quality of HIV vaccine responses

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