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Influences de l'écrit sur la perception auditive : le cas de locuteurs hindiphones apprenant le français

Chadee, Tania 11 January 2013 (has links) (PDF)
S'il est aujourd'hui communément admis que la perception de la parole s'effectue d'une manière plus optimale en mode audiovisuel qu'en mode auditif seul (Benoît, Mohamadi et Kandel, 1994, Schwartz, Berthommier et Savariaux, 2004), la nature des informations visuelles dont il est le plus souvent question est la mimo-gestuelle articulatoire fournie par le locuteur en face à face. Cependant, dans une situation d'enseignement d'une langue étrangère, un autre type d'aide visuelle intervient généralement : la forme écrite des éléments oraux. Pourtant en didactique des langues étrangères, la question du passage à l'écrit est loin d'être consensuelle et certains didacticiens se prononcent en faveur d'un entraînement intensif de la prononciation au tout début de l'apprentissage, avant que l'apprenant ne soit confronté au code écrit (Lauret, 2007). Notre hypothèse est que la dimension facilitante de la forme écrite pour certains publics ne doit pas être négligée, même en début d'apprentissage. Notre recherche se fonde sur des expérimentations menées auprès d'apprenants hindiphones. Tenant compte des spécificités de ce public, nous pensons que l'écrit peut, dans certains cas, faciliter sa réception orale des sons du français en début d'apprentissage, condition nécessaire et préalable à leur production (Renard, 1979). Les tests que nous avons conçus obligent les apprenants à recentrer leur attention sur la graphie de sons (les voyelles nasales [ɑ̃] et [ɔ̃]) dès le début de leur apprentissage au moyen de diverses focalisations visuelles écrites (Fort, Spinelli, Savariaux et Kandel, 2010). Les propositions didactiques que nous formulons à la suite reposent sur la suite logique perception - (transcription graphique) -- production même si cette présente étude se centre sur l'évaluation de la perception des sons.
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Towards an empirical and typological exploration of the sonority of nasal vowels

Ibrahim, Bayan 08 1900 (has links)
Ce mémoire est une étude phonologique et phonétique visant à ordonner les voyelles nasales en fonction de leur degré en sonorité. Jusqu'à présent, la sonorité des voyelles nasales n’a pas été abordée dans la littérature phonologique et phonétique; ainsi, cette étude vise à combler cette lacune de la recherche en menant une étude typologique et expérimentale des différentes qualités des voyelles nasales. La première partie du mémoire comprend un examen du comportement et de la distribution des voyelles nasales dans les langues du monde afin d'élucider leur place dans l’échelle de sonorité. La partie typologique montre que, dans trois des langues étudiées, seules les voyelles nasales hautes subissent des processus phonologiques comme l’harmonie nasale et la réduction vocalique tandis que, dans deux des langues étudiées, seule la voyelle nasale basse subit des processus phonologiques comme le changement vocalique déplacement de la voyelle et l’attraction de l’accent. La deuxième partie est une expérience nasométrique dans laquelle l’intensité des voyelles nasales et orales est mesurée. L’analyse d’intensité permet de déterminer le niveau de sonorité de chaque voyelle nasale car l’intensité est considérée comme le corrélat physique le plus saillant de la sonorité. L'analyse statistique descriptive effectuée sur l'ensemble des données des voyelles organisées selon leur hauteur (c'est-à-dire haute, mi-haute, mi-basse ou basse) et leur type (nasal ou oral) montre que [a] est la voyelle orale la plus haute en intensité relatif. Quant aux voyelles nasales, [ĩ] est la plus élevée en intensité. Ainsi, suite à l’analyse statistique inférentielle, nous avons établi une échelle permettant de classer les voyelles orales et nasales en fonction de leur intensité. / This thesis is a phonological and phonetic study to classify nasal vowels according to their rank in sonority. To date, the sonority of nasal vowels has not been covered in the phonology and phonetics literature; thus, this study aims to fill that research gap through conducting a typological and experimental investigation of different qualities of nasal vowels. The first part of this thesis includes an examination of the behaviour and the distribution of nasal vowels in the world’s languages to elucidate the place of nasal vowels in sonority hierarchy. The typological part of this study shows that, in three selected languages, only high nasal vowels undergo phonological processes such as nasal harmony and vowel reduction while, in two other selected languages, only the low nasal vowel undergoes phonological processes like vowel shift and attraction of stress. The second part of this study presents the findings of a nasometric experiment in which the intensity of nasal vowels and oral vowels is measured. Analysing intensity helps to determine the level of sonority of each nasal vowel, because intensity is considered the most salient physical correlate of sonority. The descriptive statistical analysis performed on the data set of vowels organized according to height (i.e., high, mid-high, mid-low, and low) and type (nasal or oral) shows that, [a] is the highest in relative intensity. As for nasal vowels, [ĩ] is the highest in intensity. Thus, according to the inferential statistical analysis, we established a scale that classifies oral and nasal vowels according to their intensity.
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Influences de l'écrit sur la perception auditive : le cas de locuteurs hindiphones apprenant le français / Influences of written information on auditory perception : a case study of Hindi native speakers learning French

Chadee, Tania 11 January 2013 (has links)
S’il est aujourd’hui communément admis que la perception de la parole s’effectue d’une manière plus optimale en mode audiovisuel qu’en mode auditif seul (Benoît, Mohamadi et Kandel, 1994, Schwartz, Berthommier et Savariaux, 2004), la nature des informations visuelles dont il est le plus souvent question est la mimo-gestuelle articulatoire fournie par le locuteur en face à face. Cependant, dans une situation d’enseignement d’une langue étrangère, un autre type d’aide visuelle intervient généralement : la forme écrite des éléments oraux. Pourtant en didactique des langues étrangères, la question du passage à l’écrit est loin d’être consensuelle et certains didacticiens se prononcent en faveur d’un entraînement intensif de la prononciation au tout début de l’apprentissage, avant que l’apprenant ne soit confronté au code écrit (Lauret, 2007). Notre hypothèse est que la dimension facilitante de la forme écrite pour certains publics ne doit pas être négligée, même en début d’apprentissage. Notre recherche se fonde sur des expérimentations menées auprès d’apprenants hindiphones. Tenant compte des spécificités de ce public, nous pensons que l’écrit peut, dans certains cas, faciliter sa réception orale des sons du français en début d’apprentissage, condition nécessaire et préalable à leur production (Renard, 1979). Les tests que nous avons conçus obligent les apprenants à recentrer leur attention sur la graphie de sons (les voyelles nasales [ɑ̃] et [ɔ̃]) dès le début de leur apprentissage au moyen de diverses focalisations visuelles écrites (Fort, Spinelli, Savariaux et Kandel, 2010). Les propositions didactiques que nous formulons à la suite reposent sur la suite logique perception – (transcription graphique) — production même si cette présente étude se centre sur l’évaluation de la perception des sons. / It is commonly admitted today that speech perception is more performing in an audiovisual context than in a visual one (Benoît, Mohamadi and Kandel, 1994, Schwartz, Berthommier and Savariaux, 2004). Visual information in this situation often consists of the speaker’s articulatory and facial gestures provided by the face-to-face interaction. However, when learning a foreign language, another type of visual help is generally available to identify oral forms: their written forms. And yet, in the field of didactics of foreign languages, the issue of the oral-written transition is far from being consensual and some didacticians favour training the pronunciation skills of the learner at the beginning of the learning process, before he is confronted to the written code (Lauret, 2007). Our hypothesis is that the facilitating effect of written forms should not be neglected, even at the beginning of a foreign language learning process. Our research is based on the case of Hindi speakers. Taking into consideration the specificities of this population, we think that written information can, in some cases, facilitate the oral reception of French sounds in the beginning of the learning process, which would be a preliminary condition to their production (Renard, 1979). We have conceived a series of test, forcing the Hindi speaking learners to refocus their attention on the nasal vowels [ɑ̃] and [ɔ̃]’s written form from the beginning of the learning process, using different forms of visual written focuses (Fort, Spinelli, Savariaux and Kandel, 2010). Our didactic proposal relies on the following process: perception – (written form transcription) – production, even though the present study is centred on the evaluation of speech perception.
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Difficultés de prononciation et de perception de voyelles du français par des apprenants jordaniens / Pronunciation and perception difficulties of French vowels by Jordanian learners

Nawafleh, Ahmad 24 May 2012 (has links)
Cette étude s’inscrit dans le cadre de l’application des connaissances acquises grâce à des expériences de phonétique expérimentale à l’enseignement de la prononciation des voyelles dans le cadre du FLE. Les formants des voyelles orales françaises et arabes prononcées par des natifs indiquent que les voyelles /iː aː uː/ de l’arabe diffèrent phonétiquement des /i a u/ du français, en particulier /iː uː/ qui se rapprochent plutôt de /e o/ du français. L’étude acoustique des voyelles du français montre que la voyelle /u/ perd son identité quand elle est réalisée par des apprenants jordaniens : les formants de /u/ réalisée par des débutants sont proches de /ø/ et ceux par des apprenants avancés sont proches de /o/. Les études perceptives confirment que /u/ est confondue avec /o ø/ et indique que les apprenants réalisent seulement un timbre des paires: [e-ɛ], [ø-œ] et [o-ɔ] et qu’ils réussissent à reproduire et identifier /y/ et /ø/ pourtant absentes de leur système phonologique. En revanche, les voyelles nasales représentent, pour eux, une grosse difficulté. Ils les confondent entre elles et avec des voyelles orales. L’étude aérodynamique des voyelles /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ des apprenants jordaniens montrent qu’ils synchronisent différemment l’arrivée du débit d’air nasal et qu’ils répartissent différemment sa quantité sur les voyelles par rapport aux natifs. La mesure des formants au début des voyelles nasales montre que les apprenants ne possèdent pas les mêmes cibles articulatoires pour /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ que les natifs. Notre thèse s’achève par une réflexion portant sur des stratégies de correction phonétique, des propositions matérielles et techniques d’entraînement à la prononciation. / The dissertation deals with the application of knowledge acquired from experimental phonetics to the teaching of vowels pronunciation within the framework of French as a foreign language. The formants of French and Arabic oral vowels pronounced by natives indicate that Arabic vowels /iː aː uː/ differ phonetically from French /i a u/, in particular /iː uː/, which were realized more like /e o/ of French. The acoustic study of French vowels shows that the French /u/ loses its identity when it is produced by the Jordanian learners: The formants of /u/ realized by beginners are close to those of /ø/, and close to /o/ in the realization of advanced learners. The perceptive studies confirm that the learners merge /u/ with /ø o/ and reproduce only a single sound for the following pairs: /e-ɛ/, /ø-œ/ and /o-ɔ/ whereas they realize and identify correctly /y ø/ in spite of the absence of /y ø/ in their phonological system. By contrast, the nasal vowels /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ pose a serious problem for the learners. They are mutually merged and also confused with oral vowels. The aerodynamic study of French nasal vowels, pronounced by Jordanians learners indicates that they synchronize differently the onset of nasal airflow and distribute in different manner its quantity on the vowels with regard to the realization of natives. The formants measured at the beginning of /ɑ̃ ɛ̃ ɔ̃/ show that the learners do not have the same articulatory targets for the nasal vowels as the natives. The dissertation ends up with a reflection concerning strategies of phonetic correction, materials and technical propositions for pronunciation teaching

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