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Le bailli d’Amiens comme relais de l’autorité royale dans le Nord de la France au temps de Philippe VI (1328-1350)

Fortier, Mélissa 12 1900 (has links)
Le bailli d’Amiens, sous Philippe VI (1328-1350), intervenait fréquemment dans les principautés du Nord de la France que sont les comtés d’Artois, de Ponthieu et de Flandre. L’étendue de son ressort, ainsi que son emplacement stratégique, en firent une sentinelle du gouvernement central et un ardent défenseur des droits du roi. Agissant parfois avec trop de zèle, entrant ce faisant en conflit avec les juridictions urbaines, d’Église et seigneuriales, cet officier royal constituait un lien important entre les justiciables de sa circonscription et l’autorité royale des actes et lettres de laquelle il devait veiller à la transmission et l’exécution. De son côté, la cour du roi sembla approuver le travail du bailli, n’intervenant que rarement en réaction aux excès commis par ce dernier et confirmant l’essentiel des sentences du bailli jugées en appel. / The bailiff of Amiens, under Philip VI (1328-1350), frequently intervened in the principalities of northern France that are the counties of Artois, Ponthieu and Flanders. The extent of its jurisdiction, and its strategic location made him a sentinel of the central government and a staunch advocate of the king’s rights. Sometimes acting too zealously, thereby entering into conflict with urban jurisdictions, and stately church, this royal officer was an important link between citizens of his district and the royal authority of the acts and letters which he had to ensure transmission and execution. For its part, the king's court seemed to endorse the work of the bailiff, intervening only rarely in response to the excesses committed by the latter and confirming the main awards of the Bailiff considered on appeal. / Carte du bailliage en fichier complémentaire.
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Un pont entre les obédiences : expériences normandes du Grand Schisme d'Occident (1378-1417)

Brabant, Annick 09 1900 (has links)
Entre 1378 et 1417, l’Église est d’abord divisée entre deux, puis entre trois papes concurrents. Alors qu’Urbain VI et ses successeurs s’installent à Rome, Clément VII et son successeur rentrent en Avignon. Cette thèse répertorie et analyse les différentes expériences normandes en réponse au Grand Schisme d’Occident. Les engagements normands pour résoudre le schisme sont pluriels et s’expriment différemment selon les milieux. S’appuyant sur des sources diverses telles que le Registre des suppliques des archives du Vatican, les archives de l’Université de Paris et les archives locales, elle met en évidence les différents courants qui ont coexisté en Normandie en réaction au Grand Schisme d’Occident. Alors que la noblesse normande était généralement favorable aux papes d’Avignon, reconnus officiellement par le roi de France, d’importants courants de résistance envers cette papauté se sont aussi manifestés dans les milieux universitaires et au sein du clergé normand, poussant même certains à choisir l’exil en terre urbaniste. Ces exilés normands, bien que peu nombreux, ont exercé une influence considérable et ont été peu étudiés en tant que groupe auparavant. Parmi l’importante majorité de ceux qui restèrent dans l’obédience avignonnaise, plusieurs intellectuels normands furent pourtant reconnus comme étant d’acerbes critiques, voire des ennemis de Clément VII et de Benoît XIII. Les liens qu’ont maintenus les exilés normands avec leurs collègues restés en terre clémentiste ont joué un rôle appréciable dans le rapprochement des obédiences opposées au début du XVe siècle. La présente thèse permet de mettre en lumière les multiples attitudes normandes en réponse au schisme, d’approfondir la connaissance portant sur les milieux normands touchés par la crise, ainsi que sur les débats qui l’ont entourée, et de poursuivre la réflexion sur la question de l’obéissance et des réseaux normands à l’œuvre pendant cette période. / Between 1378 and 1417, the Catholic Church was divided between two, and then three contending popes. While Urban VI and his successors settled in Rome, Clement VII and his successor, Benedict XIII, returned to Avignon. This dissertation documents and analyses the multiple experiences known in Normandy in reaction to the Great Western Schism. Norman commitments to resolve this division were plural and they were expressed in numerous manners. Relying on Vatican archives, University of Paris and local archives, this study demonstrates the different reactions that coexisted in Normandy in response to the Great Western Schism. Although the Norman nobility was generally favourable to the Avignon popes, officially recognized by the King of France, important waves of resistance to that papacy were also expressed amongst Norman clergymen, prelates, as well as university students and professors. This resistance led some to choose exile, in order to recognize the Roman popes. Those Norman exilees, although they formed a modest community, had considerable influence in the Roman obedience, and they have been the object of very little scholarly attention. Amongst the vast majority of those who remained in the obedience of Clement VII, many Norman intellectuals were known for being very critical, even being enemies of the Avignon popes. The relationships that exiled Normans maintained with their colleagues who remained in Clément VII’s obedience played a very important role in the dialogue between obediences that led to the council of Pisa in 1409. This dissertation highlights the multiplicity of Norman attitudes in response to the Great Western Schism, it deepens our knowledge of the various Norman groups touched by the division and it improves our understanding of the different debates that surrounded the crisis. It also allows to further the reflection on the questions of how the schism affected the notion of obedience, and of the Norman networks at work during that period.
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Edition critique de la Prise d'Alexandrie de Guillaume de Machaut / Edition and study of Guillaume de Machaut's The Take of Alexandria

Hardy, Sophie 21 June 2011 (has links)
La Prise d’Alexandrie est une chronique rimée retraçant les exploits de Pierre Ier de Lusignan (1328-1369), roi de Chypre et de Jérusalem, nouveau Godefroy de Bouillon ; elle a été composée par Guillaume de Machaut vers 1370, peu après le meurtre de Pierre Ier ; ce régicide avait soulevé une très vive émotion en Occident, en particulier en France, qui connaissait par ailleurs une grave crise. Cette chronique, à la fois récit historique, épopée, éloge posthume, hagiographie, poème lyrique, est la dernière oeuvre d’un auteur connu etre connu ; on peut considérer cette biographie royale comme le testament de Guillaume de Machaut, le couronnement de son oeuvre. La Prise d’Alexandrie est le récit d’une croisade, une croisade qui ne se vit plus sur les champs de bataille, mais qui se joue dans les cours royales et papales ; une croisade qui ne se vit plus, mais qui se dit ; une croisade qui se marchande aussi ; une croisade menée par un poète : Machaut a en effet composé ici une véritable satire de son siècle.A travers notre travail, nous souhaitons faire découvrir ou redécouvrir cette oeuvre mal connue ; nous fournissons, avec le texte original et sa traduction, la description des manuscrits, une présentation de l’auteur et de son oeuvre, une étude littéraire et une analyse linguistique du texte, des notes critiques, un glossaire, un index des noms propres, la liste des proverbes et expressions, une chronologie des événements et une bibliographie sélective. / The Take of Alexandria is a rhymed narrative which recounts the exploits of Peter I of Lusignan, kingof Cyprus and Jerusalem, new Godefrey of Bouillon ; it was written by Guillaume de Machaut around 1370, justafter Peter’s murder; this murder moved deeply the French people, and the West, which was moreover in crisis.This chronicle, at the same time historical, epic, eulogistic, hagiographic, lyric, was wrotten by a known andrecognized author at the end of his life: this royal biography can be considered as his testament, a crowning ofhis works. The Take of Alexandria is the story of a crusade, a crusade not anymore on battlefields, but in royaland papal courts; not in acts anymore, but in words; a crusade which overshadows the trades exchanges too; thecrusade of a poet: Machaut composed here a real satire of his time.Through our study, we hope to discover or rediscover this underrated work; we will provide original text andtranslation, descriptions of the manuscripts, a biography of the author and a presentation of his work, a literaryreview and a linguistic study, critical notes, a glossary, an index, a list of proverbs, a count on historical events,and a comprehensive bibliography.
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O evangelho por escrever: uma leitura do desassossego nos fragmentos de Bernardo Soares.

Sousa, Claudia Simone Silva de 20 November 2009 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T15:06:47Z (GMT). No. of bitstreams: 1 ClaudiaSSS.pdf: 413525 bytes, checksum: 8c237813d7e879ce69413645ee7397bb (MD5) Previous issue date: 2009-11-20 / Coordena??o de Aperfei?oamento de Pessoal de N?vel Superior / Cette recherche a pour but d approfondir des ?tudes qui mettent en lumi?re des particularit?s inh?rentes au processus de l ?criture fragmentaire. Notre int?r?t pour ce th?me provient de la po?tique fragmentaire du Le livre de l intranquillit? compos? par Bernardo Soares, assistant de notaire et s?mi-h?t?ronime de l ?crivain Fernado Pessoa. Notre approche de ce genre textuel commencera par une m?thodologie comparative qui nous donnera des notions pour que nous puissions ?tablir quelques rapports de ressemblances et diff?rences entre fragments, maximes, aphorismes et r?flexions dont le corpus litt?raire sera le journal intime de l intranquilit? soarianne, ainsi que la fragmentation du simulacre d auteur au cours des ann?es pendant lesquelles le Livre a ?t? ?crit. Le livre de l intranquillit? lance des ? pulv?risations ? r?flexives, lesquelles demeurent actuelles, ?tant donn? que le processus de l ?criture fragmentaire semble ?tre toujours dans un mouvement constant et, donc, dans l ambiance du ? venir. ? partir de cela, nous avons pass?s pour quelques entraves pour essayer d ?tablir une d?finition pour ce qui serait l ?criture fragmentaire. Nous chercherons des points d intersection visant ? ?tablir des paradigmes pour obtenir des notions plus pr?cises sur ce genre textuel, concernant les maximes, aphorismes et sentences refl?xives. / Este trabalho de pesquisa busca verticalizar estudos que revelem particularidades inerentes ao processo da escritura fragment?ria. Nosso interesse por esse vi?s se deu a partir da po?tica fragment?ria do Livro do desassossego, composto por Bernardo Soares, ajudante de guardalivros na cidade de Lisboa e semi-heter?nimo do escritor Fernando Pessoa. Nossa abordagem acerca desse g?nero textual partir? de uma metodologia comparativa, a qual nos possibilite norteamentos, para que possamos estabelecer algumas rela??es de semelhan?as e diferen?as entre fragmentos, m?ximas, aforismos e reflex?es, cujo corpus liter?rio ser? o di?rio ?ntimo do desassossego soariano, bem como a pr?pria fragmenta??o do simulacro de autor no decorrer dos anos em que o Livro foi escrito. O Livro do desassossego lan?a pulveriza??es reflexivas, as quais permanecem atuais, posto que, o processo da escritura fragment?ria parece estar sempre num movimento cont?nuo e, portanto, no ambiente do porvir. Da? enfrentarmos certos obst?culos ao tentar estabelecer uma defini??o para o que vem a ser a escritura fragment?ria. Logo, buscaremos pontos de interse??es visando a estabelecer algum paradigma, para alcan?armos no??es mais delimitadas acerca desse g?nero textual, envolvendo m?ximas, aforismos e senten?as reflexivas.
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La construction de la réalité historique chez le chroniqueur Jean Froissart / The Construction of Historical Reality in Jean Froissart’s Chronicles

Vejrychová, Věra 21 January 2017 (has links)
Le projet historique de Jean Froissart s’inscrit dans un discours particulier sur les genres historiques, sur les rapports entre la forme et la vérité que le récit des faits est censé véhiculer, sur la manière de construire l’autorité de l’histoire racontée. C’est au croisement entre ce contexte et l’individualité de l’auteur que nous avons voulu sonder les perspectives du chroniqueur sur l’écriture historique. Préoccupé dès le début par les questions de l’impartialité et de la crédibilité de son propos, Froissart met en place un système référentiel de plus en plus complexe qui a pour but d’authentifier son récit des grands événements qui secouaient les royaumes occidentaux depuis presqu’un siècle. La réalité historique que Jean Froissart recrée dans ses Chroniques est dépendante des facteurs personnels qui conditionnaient son appréhension du monde, des manières dont il s’identifiait dans la société de son temps. Elle est recréée avec un grand talent de raconter, mais aussi – ce que l’on a trop souvent méconnu – avec un souci de plus en plus accru de découvrir et d’exposer les réseaux de causes qui sont à l’œuvre dans le cours des événements. Cependant, les moyens littéraires auxquels Froissart faisait appel et qui sont associés notamment à l’art du conteur qu’il était, participent eux à l’authenticité de l’histoire qu´il raconte. Car si le chroniqueur se veut celui qui éternise les faits dignes de mémoire, il se refuse en même temps à écrire une autre histoire que véridique. Et cette préoccupation première de son écriture ne doit pas être obscurcie par le fait que son approche ne corresponde pas à nos critères contemporains de l’écriture de l’histoire. / Jean Froissart´s historical project falls within a specific discourse on historical genres, on relationships between form and truth which an account of deeds is expected to convey, on the manner in which the authority of a story being told is constructed. It is on the very intersection of this context and the individuality of the author that I based my search for the chronicler’s perspectives on the writing of history. Froissart was from the outset concerned with the issues of impartiality and credibility of his account and created a system of references, which grew more and more complex, designed to authenticate his version of important events which had been shaking the West for almost a century. The historical reality which Jean Froissart recreates in his Chronicles is dependent on personal factors which determined his understanding of the world as well as his self-identification within the society of his time. It is undeniably recreated with great storytelling talent, but also – and this has often been overlooked – with growing desire to discover and expose the relations of causes which were at work in the course of the events. Nonetheless, Froissart’s literary means, which are often associated with his artistry as a storyteller, do contribute, for their part, to the authenticity of the story. For if the chronicler presents himself as the one who eternalizes deeds worthy of remembrance, he refuses at the same time to write any other history than the true and truthful one. This primary concern of his should not be obscured by the fact that his approach and methods do not correspond to our contemporary criteria of historical writing.
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S'assembler, tenir conseil, enregistrer : la construction de l'autorité municipale à Marseille à la faveur des crises du XIVe siècle (1348-1385) / Assemble, deliberate, record : The construction of the municipal authority of Marseilles in the course of the crises of the 14th century (1348 - 1385)

Otchakovsky-Laurens, François 29 November 2014 (has links)
Les années 1348-1385 sont marquées à Marseille par une situation prolongée de crise multiforme, qui prend le caractère politique de déstabilisation durable du pouvoir souverain angevin. Dans ce contexte s'affirme l'autorité de l'assemblée municipale comme le lieu du gouvernement de la ville. Alors que les officiers royaux sont contraints de s'effacer, le conseil de ville s'approprie une part grandissante de gouvernement autonome, et consolide le statut marseillais d'exception par rapport au reste de la Provence. Pour y parvenir, le conseil s'appuie sur les rituels et pratiques de l'assemblée, de délibération, de serment et de désignation d'individus chargés de mettre en œuvre les ordonnances adoptées. Un grand nombre d'habitants participent à l'activité de l'assemblée, à des degrés et selon des modalités bien distinctes, définies par un petit groupe de dirigeants du conseil. Ces derniers appartiennent aux élites de la fortune et de la puissance, auxquelles sont adjoints notaires et praticiens du droit. La progression de la légitimité du gouvernement communal est en outre assurée par sa capacité à manier les outils scripturaires, depuis les Statuts de la ville jusqu'aux écrits de l'administration quotidienne, dont la circulation définit un régime de normativité spécifique. L'enregistrement des séances, bien que concis, s'avère l'outil décisif de cette construction de l'autorité par l'écrit. Autour des registres délibératifs gravitent les multiples pièces administratives et juridiques qui assurent l'institutionnalisation du gouvernement de la ville. / In Marseilles, the years 1348 - 1385 are marked by a prolonged multifaceted crisis which takes on the form of sustained political destabilization of the Angevine sovereign power. It is in this context that the authority of the municipal assembly as local government is asserted. At the same time as the royal officers are being forced to withdraw, the city council assumes an ever larger role as an autonomous government, and consolidates the exceptional status of Marseilles relative to the rest of Provence. To carry out its role, the council relies on the rituals and practices of assembling, deliberating, taking oaths, and designating individuals in charge of implementing adopted ordinances. A large group of inhabitants participate in the council's activities in clearly defined degrees and manners determined by a small group of council leaders. The latter belong to an elite of fortune and power as well as notaries and lawmakers. The strengthening of the legitimacy of municipal government is furthermore assured by its ability to compose written documents, from city statutes to daily administration, the circulation of which defines its own system of norms. The recording of sessions, although concise, proved to be a decisive tool in establishing the authority. In addition to recordings of deliberations, multiple administrative and judicial documents participate in insuring the institutionalisation of city government.
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Le dauphin et l’astrologue : le Livret des elections universelles des 12 maisons de Pèlerin de Prusse

Gaignard, Floriane 09 1900 (has links)
No description available.
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Affaires de familles et affaires de la cité : la transmission d'une pensée politique dans les livres de famille florentins (XIVe-XVe siècles) / Family and City affairs : Political Thought in Florentine Family Books (14th-15th centuries)

Leclerc, Elise 23 November 2013 (has links)
De l'institution du priorat à la chute définitive de la république en 1530, l'organisation de la vie dans la cité florentine a évolué tant dans ses structures effectives que dans ses représentations, laissant une place plus ou moins importante aux différents groupes sociaux, aux familles et individus qui la composent. au cours de cette période, le genre des livres de famille florentins s'est développé, a fleuri et s'est fané : œuvre dans son immense majorité de marchands, d'artisans qui appartiennent au popolo florentin, partie de la population appelée à participer au gouvernement de la cité, ces livres ont pour fonction de transmettre dans le cadre familial et de génération en génération ce que l'on considère important pour le devenir de la famille. quel lien y a-t-il entre ce genre et la vie de la république florentine, entre affaires de familles et affaires de la cité ? quelle est la place du politique dans cette logique de transmission ? quels aspects de la vie de la cité y sont représentés, comment sont-ils traités ? avec quels mots cette culture politique est-elle exprimée, dans quelle mesure est-elle redevable ou distincte de la tradition politique publique antérieure et contemporaine ? mêlant les approches historique, littéraire, linguistique, il s'agira ainsi de rendre compte de la question de la transmission du politique dans le genre des livres de famille en l'inscrivant dans le cadre global de l'évolution de la cité. / Based on a corpus which consists of 150 family books written between 1260 and 1480, this study intends to define the representations that Florence citizens had of their republic, of its running and of their role within it.The first part aims at identifying which room is given to historical and political passages in these books, and the functions of these excerpts in the overall writing strategy. The point is to study how the building of family identity was connected to the life of the city.The second part contains a stylistic and semantic analysis of the narrative parts that are dedicated to the major events of the 14th and 15th centuries. It offers a series of snapshots that define several specific configurations of the city’s political body and of how families refer to it. This textual analysis also provides us an image of the Florentine intellectual framework and a list of the key-concepts that characterized the political thought of the authors – which goes far beyond a mere interest in chronicles. The third part focuses on the use of those keywords in a diachronic perspective, in order to identify the evolutions, the involutions and the breaking points of this thought over the generations, and questions the link between citizens’ active political participation and their private writing on city affairs. The appendix presents transcriptions of the excerpts on the life of the city contained in the unpublished family books of the Florentine families, as well as biographical notes on their often unknown authors.
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La biblioteca francescana medievale di Assisi, lo scriptorium e l'attività dello studium / La bibliothèque franciscaine médiévale d'Assise, le scriptorium et l'activité du studium / The Franciscan Library, the Scriptorium and the Studium of Assisi in the Middle Age

Grauso, Francesca 04 October 2014 (has links)
La bibliothèque du couvent franciscain médiéval d'Assise a été inventorié par frère Jean de Iolo en 1381. Jean a aussi collé des étiquettes dans le plat postérieur de chaque manuscrit, portant l’indication du nom de l'auteur et de l'oeuvre ainsi que l’emplacement dans la bibliothèque. Dans l'inventaire du 1381 il décrit environ 700 livres, dont il s’est avéré l’existant d’environ 540, desquels la majorité est encore conservées dans la bibliothèque d'Assise. Des restants, une centaine, ont migré vers d'autres bibliothèques italiennes et étrangères. L'inventaire montre aussi que la collection de livres avait été divisée en deux bibliothèques, une nommé libraria publica, dans laquelle les livres ont été enchaînés aux bancs, une nommé libraria secreta, dans laquelle les livres étaient enfermés dans un armarium et disponibles au prêt.J'ai essayé d'étudier cette collection de livres d'un point de vue codicologique, que je pense jusqu'iciinexploré. Il n'était pas question d'étudier les manuscrits individuellement, peut-être le plus important pour leurs contenu ou leurs histoire, chose qui avait été faite dans le passé, mais de combiner les données tirées des manuscrits franciscains d'Assise connus, les saisir dans des bases des données et permettre aux données eux-mêmes d’apporter des informations.La première partie de ce travail se concentrera sur l'histoire de la bibliothèque médiévale, mais même dans ces paragraphes je fais souvent référence à des éléments codicologiques. La partie centrale cherche à mettre en évidence le caractère unique de la collection de la bibliothèque d’Assise, tels que Jean de Iolo l’a « photographié » en 1381.La dernière partie est plus spécifiquement de nature codicologique, dans laquelle j’ai mis en évidence les facteurs liés à la fabrication et à l'écriture des manuscrits. / So far, the oldest description that we have of the Franciscan Library of Assisi is an inventory made in 1381 by the friar John of Iolo. Friar John also labelled the manuscripts with strips of paper put on the covers and bearing the name of the author, the title and a call number of the manuscript.The inventory describes about 700 manuscripts; so far 540 have been identified, the majority of which are preserved in the Assisi Library. Among the ones which are not in Assisi, about 100 have been found in libraries either in Italy and in other countries. From the inventory one can infer that the Library was divided in two: the libraria publica, where the books were chained to the benches; and the libraria secreta, where the books were closed in the armarium and the books were available to be borrowed.I aimed to study this book collection from a codicological point of view, which had not had been investigated until now.I preferred not to focus on each manuscript and its content. Rather, I aimed to look at the library as a whole; therefore I gathered the general data by taking them from the descriptions of the manuscripts and then I combined those data within a new database; by doing this I was able to draw out new information about the collection itself.The first section of this work is focused on the history of the library, where I often referred to codicological elements. The central section aims to evidence the wholeness of the Assisi library, the way it was « pictured » by John of Iolo in 1381.Finally, the third section clearly highlights the codicological aspect of this research; here I tried to underline all the factors related to the book making and the writing of the manuscripts. / La biblioteca del convento francescano medievale di Assisi è stata inventariata da fr. Giovanni di Iolo nel 1381. Gianni ha anche preparato le etichette, con l’indicazione dell’autore e del titolo dell’opera e la lettera di collocazione, per il piatto posteriore di ogni manoscritto. Nell’inventario del 1381 descrive circa 700 libri, dei quali ne sono stati identificati circa 540, la maggior parte conservata ancora nella biblioteca di Assisi. Dei restanti, circa un centinaio, è migrato verso altre biblioteche italiane e straniere. L’inventario mostra anche che la collezione dei libri era stata divisa in due biblioteche, una denominata libraria publica, nella quale i libri erano incatenati ai plutei, un’altra denominata libraria secreta, nella quale i libri erano conservati in un armarium e disponibili per il prestito. Ho cercato di studiare questa collezione di libri da un punto di vista codicologico, prospettiva secondo me inesplorata. Non si è trattato di studiare solo alcuni manoscritti, i più importanti per il contenuto o la loro storia, cosa già fatta in passato, ma di raccogliere dati ottenuti da tutti i manoscritti francescani di Assisi identificati, inserirli in banche dati e permettere ai dati stessi di fornire informazioni.La prima parte di questo lavoro si concentrerà sulla storia della biblioteca medievale, ma anche in questi paragrafi si farà spesso riferimento a elementi codicologici. La parte centrale cercherà di mettere in evidenza il carattere unico della collezione della biblioteca di Assisi, come Giovanni di Iolo la “fotografò” nel 1381. L’ultima parte è di natura più specificamente codicologica, in questa io ho messo in evidenza i fattori legati alla fabbricazione e alla scritturare dei manoscritti
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Les Bijoux et leurs représentations dans les images de l’Italie du Nord aux XIVe et XVe siècles : Vallée d’Aoste – Piémont – Ligurie – Lombardie : États et rang social, emblématique et fonctions des objets de parure des laïcs : L’apport de l’Iconographie / Jewels and their Representations in Images of northern Italy (Aosta Valley, Piedmont, Liguria and Lombardy) in 14th and 15th century

Zingraff, Sarah 11 December 2014 (has links)
L'étude des bijoux - notion complexe pour la période prise en examen - et de leurs représentations, s'appuie sur l'analyse des images en deux dimensions de la Vallée d'Aoste, du Piémont, de Ligurie et de Lombardie aux XIVe et XVe siècle. Elle vise à observer les contextes et les types de support permettant d'observer des détails comme les objets précieux, ainsi qu'à déterminer les grands groupes de commanditaires des images mettant en scène ces objets. Elle vise ensuite à analyser la fréquence d'apparition des différents bijoux et accessoires de parure, ainsi qu'à déterminer les catégories de personnages les plus ornées, tout en confrontant ces résultats avec les autres sources à notre disposition: mobilier archéologique, objets d'orfèvrerie, documentation comptable, inventaires après décès, lois somptuaires, récits de chroniqueurs, sermons, correspondance, poésie, ainsi que les Lapidaires dédiés aux gemmes. Sont abordées les particularités mises en avant par les images, qui insistent sur les différentes valeurs morales attachées à chaque type d'objet de parure, à l'endroit du corps auquel il était destiné ainsi qu'au rang de celui qui les portait.Le recours à plusieurs études relevant du domaine de l'anthropologie historique permet d'observer le rôle important des occasions qui requéraient le port de ces objets ou qui en commandaient les échanges, découlant des nécessités imposées par un cérémonial très ritualisé, lors duquel les objets de parure jouaient un rôle de représentation et de protection.L'analyse s'oriente sur la « stratégie » déployée par les images et leurs commanditaires, au sein d'une logique des apparences visant à légitimer leur position. / The study about jewels and adornment accessories - a complex notion for the period in examination - and their representations, leans on the analysis of the two-dimensions images produced in Aosta Valley, Piedmont, Liguria and Lombardy in the 14th and 15th century.It aims at observing contexts and types of medium allowing images to show such details as jewels and adornment accessories, when still visible, and to determine the different groups of people who subscribed the images where these objects appear.It aims at analyzing the frequency of appearance of the various jewels and dress adornments, as well as determining which are the most decorated categories of characters, while confronting these results with the other sources at our disposal: archeological and goldsmiths' work finds, account books, inventories, sumptuary laws, chroniclers narratives, sermons, correspondence, poetry, and a particular genre of literature dedicated to gemstones: Lapidaries.The particularities advanced by images insist on the various moral values attached to every type of jewel and adornment object, their location on the body, as well as the rank of their owner.The recourse to several studies belonging to the historic anthropology domain allows focusing on the important role played by the occasions which required the bearing of these objects or which commanded their exchanges, ensuing from a ritualized ceremonial, during which the finery objects played a role of representation as well as protection.Finally, the analysis turns on the "strategy" displayed by images and, especially by those who ordered them, joining within logic of appearances, in order to legitimize their position. / Lo studio dei gioielli – nozione complessa per il periodo preso in esame – e delle loro rappresentazioni, si basa sull’analisi delle immagini a due dimensioni prodotte nella Valle d’Aosta, in Piemonte, Liguria e Lombardia ne Trecento e Quattrocento. Mira innanzitutto ad osservare quali sono i contesti ed i tipi di produzione che permettono di osservare dettagli come gli accessori ornamentali, quando questi sono ancora reperibili, così come a determinare i grandi gruppi di promotori delle immagini raffiguranti questi oggetti. Mira poi ad analizzare in modo quantitativo la frequenza delle apparizione di quei differenti tipi di gioielli ed accessori preziosi, nonchè a determinare quali sono le categorie di personaggi più ornati, pure confrontando questi risultati con le altre fonti a disposizione. Tra queste si annoverano reperti archeologici e oggetti di oreficeria, ma anche fonti scritte : documentazione archivistica contabile, inventari, leggi suntuarie, opere di cronisti, sermoni, corrispondenza, poesia, così come une tipo particolare dedicato alle gemme : i Lapidari. Sono così evidenziate le particolarità messe in luce dalle immagini, che insistono sulle differenti caratteristiche morali legate ad ogni tipo di oggetti presi in conto, alla parte del corpo alla quale era destinato, così come al rango sociale di chi lo portava. Il ricorso a parecchi studi che rientrano nel campo dell’antropologia storica permette di osservare il ruolo importante delle occasioni che richiedevano di ornarsi con questi oggetti o che ne determinavano gli scambi, il che dérivava dalle necessità imposte da un cerimoniale molto ritualizzato, nel quale quegli oggetti preziosi assumevano nello stesso tempo una funzione di rappresentazione et di protezione. Infine, l’analisi si orienta sulla « strategia » sviluppata dalle immagini, e sopratutto dai loro donatori, iscrivendosi in una logica delle apparenze che tendeva a legittimare la loro posizione.

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