• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 30
  • 20
  • 11
  • 11
  • 11
  • 11
  • 11
  • 10
  • 2
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 86
  • 51
  • 43
  • 35
  • 12
  • 11
  • 11
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
51

Effets de l'éclaircie commerciale et de la fertilisation sur la masse volumique du bois et sur la morphologie des trachéides du pin gris (Pinus banksiana Lamb)

Kasraoui, Hadhemi 04 1900 (has links) (PDF)
Dans un contexte de restriction d'accès à la matière ligneuse et une augmentation de la demande pour le bois et les fibres de bois, les pratiques d'intensification de l'aménagement forestier gagnent en popularité. Il est bien documenté que l'éclaircie commerciale et la fertilisation améliorent la croissance et la productivité des territoires forestiers. Cependant, les effets de ces traitements sur les attributs de la qualité du bois sont très peu documentés. Le but de ce travail de recherche est d'étudier les effets de l'éclaircie commerciale et de la fertilisation sur la croissance radiale, la masse volumique du bois et la morphologie des trachéides du pin gris (Pinus Banksiana lamb.) à l'échelle des arbres. Le matériel expérimental inclut 60 arbres échantillonnés dans cinq pinèdes grises pures (>80% de la surface terrière en pin gris) et matures de la région de l'Abitibi-Témiscamingue. Les pinèdes avaient été soumises à deux traitements d'éclaircie cinq ans auparavant (modérée forte et un témoin) et un traitement de fertilisations (le fertilisé avec un taux de 200kg/ha d'azote et le non fertilisé). Les effets de traitements ont été comparés à des témoins. Les propriétés du bois, à savoir la croissance radiale, la masse volumique du bois, la proportion du bois final, la longueur des trachéides et leurs diamètres ont été mesurés à différentes hauteurs sur la tige et pour plusieurs années avant et après l'application des traitements. Comparativement aux témoins, les différents traitements d'éclaircie commerciale et la fertilisation ont amélioré la croissance radiale, diminué la masse volumique du bois, augmenté le diamètre des trachéides et diminué leurs longueurs. Toutefois, la variation des propriétés du bois aussi bien inter qu'intra site est très large. Les résultats montrent que la diminution de la masse volumique du bois et le changement de la morphologie des trachéides sont faibles comparativement à l'augmentation de la croissance des arbres. Ces changements des propriétés physiques et anatomiques de l'arbre n'ont eu qu'un faible impact sur la qualité marchande du bois et n'ont pas d'implications pratiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : densité du bois, croissance, trachéides, éclaircie commerciale, fertilisation.
52

Caractérisation des phases tardives du lac glaciaire Ojibway dans le nord-ouest de l'Abitibi

Ménard, Maxime 06 1900 (has links) (PDF)
Durant la dernière déglaciation de l'Amérique du Nord, la production d'eau de fonte associée au recul progressif de l'inlandsis Laurentidien vers le nord a entrainé la formation du Lac glaciaire Barlow-Ojibway en marge du glacier. Cette vaste étendue lacustre réfère au plan d'eau qui a simultanément recouvert les territoires nouvellement déglacés du Témiscamingue et de l'Abitibi et dont l'évolution était fonction du relèvement isostatique différentiel. Le Lac Ojibway a connu au moins trois importantes phases principales : la phase Angliers à 260 m et deux autres phases à 275 et 300 m associées à l'exutoire Kinojévis. Bien que les phases de haut niveau du Lac Ojibway soient relativement bien définies, les phases tardives, c'est-à-dire celles associées aux derniers moments de son existence sont toujours mal connues. Des études récentes suggèrent l'occurrence d'épisodes de drainage mineur précédent la vidange finale du Lac Agassiz-Ojibway. De tels événements (abaissement du plan d'eau) devraient normalement laisser des empreintes sur la géomorphologie du territoire, ainsi que des traces dans les enregistrements sédimentaires du bassin Ojibway. Cette étude porte sur l'analyse de formes d'érosion lacustre et de rythmites Ojibway du nord-ouest de l'Abitibi afin de définir et de mieux comprendre les phases de bas niveau du Lac Ojibway dans le contexte général de la déglaciation régionale. L'étude de la géomorphologie ainsi que de la stratigraphie de la région du Lac Abitibi et de La Sarre en Abitibi a démontré que le Lac Ojibway a expérimenté plusieurs changements de configuration vers la fin de son existence. Ces évènements tardifs sont exprimés, notamment, par la présence de terrasses d'érosion lacustre incisées dans la plaine d'argile. Les mesures d'élévation effectuées sur les différents étalements de gradin d'érosion lacustre anciens indiquent l'occurrence d'au moins trois phases de bas niveau. Un quatrième niveau restreint au territoire ceinturant le Lac Abitibi et présentant les élévations les plus basses, semble témoigner d'une phase pré Lac Abitibi. En plus de ces éléments géomorphologiques, les séquences sédimentaires du territoire d'étude renferment également des informations pertinentes à l'histoire tardive du Lac Ojibway. Cet aspect est représenté par la présence d'une varve de drainage comprise entre des sédiments glaciolacustres rythmés. Des ostracodes extraient de cette bande de drainage ont donnés des âges radiocarbones qui sont vraisemblablement affectés par la présence de « vieux » carbone dissous dans les eaux du lac, ce qui cause un vieillissement apparent des âges. Une étude de comparaison d'âges 14C provenant de sédiments glaciolacustres et glaciomarins ceinturant une unité de vidange du Lac Ojibway à la baie James semble donner un ordre de grandeur de 5000 ans pour ce vieillissement. Cette approche donne des âges 14C variant entre 7679 et 7696 années calendaires BP. L'étude approfondie de cette séquence sédimentaire, ainsi que les éléments morphologiques de bas niveau lacustre aura permis de mieux comprendre les évènements qui ont précédé et entourent le drainage final du Lac Ojibway. Ces travaux amènent d'une part de nouvelles données, mais fournissent aussi de nouvelles approches méthodologiques quant à l'étude de l'histoire du Lac Ojibway. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Lac Ojibway, Agassiz-Ojibway, vidange, quaternaire, Abitibi, varve de drainage, datation radiocarbone, ostracode, séquence stratigraphique, paléo-lac Abitibi, terrasse d'érosion lacustre, isotope de l'oxygène.
53

Étude de la rentabilité de différentes stratégies d'aménagement forestier en forêt boréale du nord de l'Abitibi

Pasturel, Thibault 02 1900 (has links) (PDF)
Au Québec, l'entrée en vigueur du nouveau régime forestier prévue pour avril 2013 va modifier la manière dont la forêt sera aménagée et exploitée. L'introduction du concept d'aménagement écosystémique a pour but de permettre la mise en place de pratiques garantissant à la fois le maintien d'attributs naturels et sociaux de la forêt tout en offrant un rendement suffisant pour les exploitants. Parmi ces pratiques, on compte notamment l'introduction de contraintes à l'échelle des Compartiments d'Organisation Spatiale (COS) et l'intensification de l'usage de la coupe partielle dans le but d'imiter les perturbations naturelles. Cette étude a pour objectif d'évaluer l'effet de la mise en place de stratégies d'aménagement écosystémiques sur le niveau de possibilité forestière ainsi que sur le coût des opérations et sur la valeur des bois à l'échelle d'une Unité d'Aménagement Forestier (UAF). Pour cela, nous avons évalué la rentabilité comparative de différents plans d'aménagement en calculant la Valeur Actualisée Nette (VAN) de deux types de scénarios simulés sur un horizon de 150 ans (30 périodes quinquennales), sur l'UAF 85-51 située au Nord-Ouest de l'Abitibi. Le premier scénario appelé RNI a été réalisé en conformité avec la Règlementation des Normes d'Intervention (RNI) en vigueur jusqu'à mars 2013. L'atteinte des objectifs fixés par cette réglementation a essentiellement été assurée par l'application de contraintes de forêts résiduelles et d'encadrements visuels des coupes à l'échelle des Unités Territoriales de Référence (UTR). Les trois autres scénarios appelés Aménagement Écosystémique (AMEC) ont pris en compte les enjeux du futur régime forestier concernant la répartition spatiale des agglomérations de coupe, le maintien de forêts matures et surannées, la protection d'habitats essentiels pour des espèces menacées ainsi que le maintien de la productivité du territoire. L'intégration de ces enjeux a nécessité l'application de contraintes à une échelle plus fine que celle des UTR, au niveau des Compartiments d'Organisation Spatiale (COS). Par ailleurs, l'analyse de l'effet de l'intensification de la coupe partielle a été introduite au niveau du volume cible de coupe partielle à réaliser par période quinquennale par scénario selon le gradient suivant : RNI doit réaliser 1377 ha de coupe partielle, AMEC01 doit en réaliser 1707 ha, AMEC02 3220 ha et AMEC03 5179 ha (correspondant au niveau maximum possible). Pour estimer les flux monétaires (revenus moins coûts) nécessaires au calcul de rentabilité, nous avons déterminé les coûts potentiels relatifs aux activités d'exploitation forestière (i.e. création et entretien des chemins pendant la récolte, récolte en CPRS, récolte en CP, chargement, transport, camps forestiers, droits de coupe, frais de CAAF et coûts indirects) sur l'ensemble de la période de simulation. Afin de prendre en compte la variation spatiale de ces coûts, ceux-ci ont été définis à l'échelle des COS. Nous avons ensuite déterminé les revenus potentiels en estimant un prix d'achat entrée d'usine par classe de diamètre pour les bois résineux (entre 47,91 et 67,51 $/m3) et un prix unique pour les bois feuillus (40 $/m3). En outre, l'estimation des revenus par classe de diamètre a nécessité d'associer aux données de croissance en volume de nos modèles des données correspondantes d'évolution en diamètre issues des tables de rendement de Pothier et Savard (1998). Une fois paramétrés, les scénarios ont été optimisés à l'aide du logiciel Woodstock (Saucier et Groot, 2008) afin d'estimer la possibilité forestière sur 150 ans et d'en déduire les coûts et revenus d'exploitation correspondants. Les résultats des optimisations ont montrés que le scénario RNI prévoit de récolter 3,1 million de m3 de bois par période quinquennale, soit 8,60 % de plus que le scénario AMEC01, 11 ,94 % de plus que AMEC02 et 16,35 % de plus que AMEC03. Ensuite, les résultats des contraintes introduites au niveau des COS ont montré que les scénarios AMEC permettent de réaliser un gain par rapport au RNI de 19 à 29 % au niveau de la superficie moyenne de forêts matures et surannées et de 3,8 à 5% au niveau de la superficie moyenne de forêts productives de 7 mètres et plus. Puis, les résultats de calculs de coûts d'exploitation ont montrés que ceux-ci sont légèrement plus élevés pour les scénarios AMEC que pour RNI (de 55,37 à 55,57 $/m3 pour les scénarios AMEC contre 55,14 $/m3 pour RNI). Puis, les calculs de rentabilité ont montrés que pour un taux d'actualisation initial fixe entre 2 et 6% dégressif à partir de 30 ans, tous les scénarios sont rentables, la VAN de RNI se situant entre 0,49 et 5,24 $/m3, celle de AMEC01 entre 0,45 et 7,39 $/m3, celle de AMEC02 entre 0,27 et 5,60 $/m3 et celle de AMEC03 entre 0,19 et 3,74 $/m3. Enfin, les résultats de VAN ont permis de constater que AMEC03 présente le niveau maximum de coupe partielle réalisable selon les contraintes du futur régime forestier et, comme RNI, est le seul scénario AMEC à pouvoir intégrer le rendement soutenu pour les trois groupes d'essences principales de l'UAF (SEPM, BOP et PEP). AMEC03 nous est donc apparu comme le scénario de référence par rapport au RNI. Au total, notre étude a démontré que la mise en place d'une stratégie d'aménagement écosytémique par l'introduction de contraintes au niveau des COS a pour conséquences une réduction de la surface disponible à la récolte et donc de la possibilité forestière. Cette baisse peut toutefois être amenuisée en ayant recours à la coupe partielle dont le surcoût reste marginal par rapport à la CPRS et permet à l'approche écosystémique de rester une stratégie rentable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Aménagement écosystémique, coupe partielle, analyse de rentabilité, modélisation, plans d'aménagement, possibilité forestière.
54

Gold mineralizations at the syenite-hosted Beattie gold deposit at Duparquet, neoarchean Abitibi belt, Quebec, Canada

Bigot, Ludovic 12 1900 (has links) (PDF)
Le gisement de Beattie est situé dans la ceinture de roches vertes de l'Abitibi, à proximité de la faille Porcupine-Destor, et est associé à une syénite porphyrique. Les corps minéralisés ont une ressource totale inférée de 2,77Moz contenu dans 56,2Mt de minerai à 1,53g/t d'or. Dans le gisement de Beattie, deux styles de minéralisation sont présents, à contrôle lithologique et à contrôle structural. La minéralisation à contrôle lithologique est limitée exclusivement à la syénite altérée en carbonates de fer. Cette minéralisation représente du minerai à basse teneur mais fort tonnage, dans lequel l'or est porté par la pyrite arsénifère et l'arsénopyrite. L'or est « invisible »; il se présente sous la forme de solution-solide dans le cœur poreux et riche en arsenic des pyrites. La minéralisation à contrôle structural est présente uniquement dans des zones de cisaillement adjacentes et incluses dans la syénite. Le minerai est à haute teneur dans des zones de brèches silicifiées à caractère hydraulique et tectonique, dans des veines de quartz cherteux, dans des veines polymétalliques intensément silicifiées, et dans des dykes de syénite trachytique très altérée. L'or y est visible sous forme d'éléctrum dans les microfractures des pyrites bréchifiées. Les deux styles de minéralisation et les altérations font partie d'une évolution paragénetique commune dans un environnement magmatique-hydrothermal. Des phases initiales oxydantes ont évolué en conditions réduites à la faveur de fluides magmatiques et externes riches en CO2. Ce changement d'état d'oxydation a entraîné la précipitation des sulfures et la cristallisation de l'or « invisible » dans la pyrite arsénifère et l'arsénopyrite. Une phase d'altération ultérieure, dominée par des fluides hydrothermaux riches en silice, a pour résultat la bréchification des sulfures et leur redistribution dans des corridors siliceux, ainsi que la remobilisation de l'or dans les microfractures des pyrites bréchifiées. Les compositions calculées de δ18O et δD sur les veines de quartz associées à cet évènement tardif sont respectivement 7.67%o et -66%o, indiquant une dominance des fluides magmatiques avec une probable composante métamorphique. Cet évènement syn-métamorphique (transition D2-D3) est associé à un fort enrichissement en Hg, Te, Mo, Ag, Sb, As, et Se. Le style de cristallisation de l'or dans le gisement de Beattie est une conséquence de la dominance des régimes en systèmes ouverts, tant au niveau de l'incorporation dans le magma de l'arsenic qui contrôle la précipitation de l'or « invisible », que de la circulation tardive de fluides hydrothermaux riches en silice qui sont à l'origine de la remobilisation de l'or. Le gisement de Beattie partage des affinités avec des gisements associés aux intrusions (Intrusion Related Gold Deposit), des gisements épithermaux à tendance neutre à intermédiaire, et des gisements de type mésothermaux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gisement d'or, porphyre Archéen, or invisible, remobilisation de l'or
55

Comportement du radon-222 dans les eaux souterraines des eskers et les eaux de tourbières de la région d'Amos, en Abitibi-Témiscamingue

Berthot, Laureline 10 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche réalisée dans le cadre d'un projet visant à développer les méthodes de caractérisation des eaux souterraines à l'aide des traceurs isotopiques a été entreprise grâce à un financement du FRQNT (programme partenariats-actions concertées sur les eaux souterraines). Ce projet de maîtrise s'est intéressé à la région de l'Abitibi-Témiscamingue. L'objectif était de quantifier l'apport d'eau souterraine aux tourbières à l'aide du 222Rn. Le 222Rn, radionucléide (demi-vie de 3.82 jours), produit par le 226Ra issu de la chaîne de désintégration de 238U, est un excellent traceur pour étudier les interactions entre les eaux souterraines et les eaux de surface. Les tourbières étudiées sont situées sur les flancs des eskers de Saint-Mathieu-de-Berry et de Barraute, de même que sur la moraine d'Harricana. Les sites expérimentaux ont été instrumentés et caractérisés dans le cadre d'un autre projet de recherche également financé par le FRQNT. L'eau recueillie montre des activités en 222Rn de 2,8 à 34,9 Bq/L dans les eaux des eskers et du socle fracturé archéen au-dessous des plaines séparant les eskers. L'activité en 222Rn varie de 0,02 à 16,59 Bq/L dans les eaux de tourbières. Aussi, les tourbières montrent une bonne corrélation entre l'activité du 222Rn et les ions totaux dissous, et plus particulièrement les ions HCO3-, SO42-, Mg2+ et Ca2+. La relation établie entre le 222Rn et la profondeur permet de conclure que la salinité de l'eau provient en grande partie des eaux des eskers. Un bilan de masse entre les eaux de l'aquifère, riches en 222Rn et les eaux de tourbières appauvries en sels et en 222Rn, permet d'estimer qu'entre 0,03 et 39% de toute l'eau qui alimente les tourbières provient de l'eau souterraine des eskers. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : 222Rn, tourbière, esker, eau souterraine, eau de surface, traçage, Abitibi-Témiscamingue.
56

Geology of the Kidd Creek Deep Orebodies - Mine D, Western Abitibi Subprovince, Canada

Gemmell, Thomas P. 13 September 2013 (has links)
The giant Kidd Creek Mine is an Archean Cu-Zn-Ag deposit in the Abitibi Greenstone belt, located in the Superior Province of Canada and is one of the largest known base metal massive sulfide mines in the world with a tonnage of 170.7 Mt (Past production, Resource and Reserve). The massive sulfides in Mine D comprise a number of ore lenses that are interpreted to be the downplunge continuation of the Central orebody from the upper mine. These are referred to as the West, Main, and South lenses. The massive sulfides overlie a silicified rhyolitic unit at the top of a mixed assemblage of rhyolite flows, volcaniclastic sediments and ultramafic flows. The sheared nature of the fragmental units in the hanging wall of the deposit, at depth, illustrates the greater deformation that has occurred than in the upper mine. Metal zonation and the distribution of Cu stringer mineralization suggest that the West and Main lenses may be part of a single massive sulfide body (Main orebody) that has been structurally dismembered. The South Lens is a detached body, separated by late faults. The large Cu stringer zone beneath the West and Main lenses has a thickness of up to 150 metres, and is much broader and structurally remobilized in Mine D partially due to a newly identified series of vertically trending offset faults, that extends along the entire length of the massive sulfide bodies. A number of features of the North, Central and South orebodies in the upper part of the mine (e.g., Se-rich halo around Cu-rich zones) have been recognized in Mine D and provide an important framework for correlating the deep orebodies with the upper levels of the mine. Drilling below the current mine levels indicates that the massive sulfide and Cu stringer zones continue below 10,200 feet (3109 m) and highlight the remarkable continuity of the deposit downplunge with no end in sight. Two main ore suites have been recognized in the upper part of the mine and in Mine D: a low-temperature, polymetallic assemblage of Zn, Ag, Pb, Cd, Sn, Sb, As, Hg, ±Tl, ±W, and a higher-temperature suite of Cu, Co, As, Bi, Se, In, ±Ni. More than 25 different ore minerals and ore-related gangue minerals are present, including Co-As-sulfides, Cu-Sn-sulfides, Ag-minerals, and selenides. The massive ores consist mainly of pyrite, pyrrhotite, sphalerite, magnetite and chalcopyrite, together with minor galena, tetrahedrite, arsenopyrite, and native silver with a quartz and siderite gangue. Despite the high Ag content of the ores, the majority of the massive sulfides are remarkably Au poor except for a local gold zone that has been recognized in the deep mine in association with high-temperature mineralization. The trace elements in the ores exhibit strong zonation and diverse mineralogy. Spectacular albite porphyroblasts, up to 1 cm in size occur in the most Cu-rich ores of Mine D which are coincident with the peak of regional metamorphism and likely represent higher metamorphic or hydrothermal temperatures. Overall the orebodies have remained remarkably similar downplunge. However, unlike the upper part of the mine, pyrrhotite is dominantly hexagonal, only tetrahedrite was observed as the dominant sulfosalt, and magnetite occurs as both blebby porphyroblasts and as abundant intergrowths with sphalerite-chalcopyrite ores and siderite. These characteristics suggest that the deep mine has been subjected to higher metamorphic temperatures, possibly related to depth of burial, and that the original hydrothermal fluids may of had a lower H2S/CO2 and/or higher temperatures.
57

Analyse génotypique de gènes de susceptibilité à l'obésité au sein d'une cohorte de travailleurs forestiers de la compagnie Abitibi Consolotidated de Saint-Félicien /

Tremblay, Nancy, January 2004 (has links)
Thèse (M.Med.Exp.) -- Université Laval, programme extensionné à l'Université du Québec à Chicoutimi, 2004. / Bibliogr.: f. [81]-104. Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
58

Geology of the Kidd Creek Deep Orebodies - Mine D, Western Abitibi Subprovince, Canada

Gemmell, Thomas P. January 2013 (has links)
The giant Kidd Creek Mine is an Archean Cu-Zn-Ag deposit in the Abitibi Greenstone belt, located in the Superior Province of Canada and is one of the largest known base metal massive sulfide mines in the world with a tonnage of 170.7 Mt (Past production, Resource and Reserve). The massive sulfides in Mine D comprise a number of ore lenses that are interpreted to be the downplunge continuation of the Central orebody from the upper mine. These are referred to as the West, Main, and South lenses. The massive sulfides overlie a silicified rhyolitic unit at the top of a mixed assemblage of rhyolite flows, volcaniclastic sediments and ultramafic flows. The sheared nature of the fragmental units in the hanging wall of the deposit, at depth, illustrates the greater deformation that has occurred than in the upper mine. Metal zonation and the distribution of Cu stringer mineralization suggest that the West and Main lenses may be part of a single massive sulfide body (Main orebody) that has been structurally dismembered. The South Lens is a detached body, separated by late faults. The large Cu stringer zone beneath the West and Main lenses has a thickness of up to 150 metres, and is much broader and structurally remobilized in Mine D partially due to a newly identified series of vertically trending offset faults, that extends along the entire length of the massive sulfide bodies. A number of features of the North, Central and South orebodies in the upper part of the mine (e.g., Se-rich halo around Cu-rich zones) have been recognized in Mine D and provide an important framework for correlating the deep orebodies with the upper levels of the mine. Drilling below the current mine levels indicates that the massive sulfide and Cu stringer zones continue below 10,200 feet (3109 m) and highlight the remarkable continuity of the deposit downplunge with no end in sight. Two main ore suites have been recognized in the upper part of the mine and in Mine D: a low-temperature, polymetallic assemblage of Zn, Ag, Pb, Cd, Sn, Sb, As, Hg, ±Tl, ±W, and a higher-temperature suite of Cu, Co, As, Bi, Se, In, ±Ni. More than 25 different ore minerals and ore-related gangue minerals are present, including Co-As-sulfides, Cu-Sn-sulfides, Ag-minerals, and selenides. The massive ores consist mainly of pyrite, pyrrhotite, sphalerite, magnetite and chalcopyrite, together with minor galena, tetrahedrite, arsenopyrite, and native silver with a quartz and siderite gangue. Despite the high Ag content of the ores, the majority of the massive sulfides are remarkably Au poor except for a local gold zone that has been recognized in the deep mine in association with high-temperature mineralization. The trace elements in the ores exhibit strong zonation and diverse mineralogy. Spectacular albite porphyroblasts, up to 1 cm in size occur in the most Cu-rich ores of Mine D which are coincident with the peak of regional metamorphism and likely represent higher metamorphic or hydrothermal temperatures. Overall the orebodies have remained remarkably similar downplunge. However, unlike the upper part of the mine, pyrrhotite is dominantly hexagonal, only tetrahedrite was observed as the dominant sulfosalt, and magnetite occurs as both blebby porphyroblasts and as abundant intergrowths with sphalerite-chalcopyrite ores and siderite. These characteristics suggest that the deep mine has been subjected to higher metamorphic temperatures, possibly related to depth of burial, and that the original hydrothermal fluids may of had a lower H2S/CO2 and/or higher temperatures.
59

Volcanism in Modern Back-arc Regimes and Their Implications for Ancient Greenstone Belts

Fassbender, Marc Lorin 21 June 2023 (has links)
Greenstone belts are dominated by volcanic rocks with lithogeochemical characteristics that reflect a range of possible geodynamic settings. Many analogies with modern tectonic settings have been suggested. Increasing exploration and comprehensive sampling of volcanic rocks in modern oceans provides the unique opportunity to characterize different melt sources from intraoceanic settings. This thesis examines geochemical data from more than 2850 submarine mafic and more than 2200 submarine felsic volcanic rocks, representing a wide range of settings. The results show significant geochemical variability spanning the full range of compositions of volcanic rocks found in ancient greenstone belts. This diversity reflects complex rift and spreading regimes, variations in crustal thickness, dry melting versus wet melting, mantle mixing and crustal contamination. Highly variable melting conditions are thought to be related to mantle heterogeneities, complex mantle flow regimes and short-lived tectonic domains, such as those caused by diffuse spreading, multiple overlapping spreading centers and microplate breakouts. Systematic differences in the volcanic rocks are revealed by a combination of principal components analysis and unsupervised hierarchical clustering. Rocks from most arc-backarc systems have strongly depleted mantle signatures and well-known subduction-related chemistry. This contrasts with rocks in Archean greenstone belts, which show no, or at least weaker, subduction-related chemistry and stronger mantle enrichment resulting from a less-depleted mantle, less wet-melting, and variable crustal contamination. The geochemistry of the modern volcanic rocks reflects lower mantle temperatures, thinner crust and subduction-related processes of present-day settings. However, rocks that are geochemically identical to those in Archean greenstone belts occur in many modern back-arc basins, such as the Lau Basin. Crustal growth and area-age relationships in the Lau Basin are similar to observed ages and compositions of volcanic assemblages in greenstone belts, such as the Blake River Group of the Abitibi Greenstone Belt. Such settings are recognized as favorable locations for volcanogenic massive sulfide (VMS) deposits, and therefore the particular geochemical signatures of the volcanic rocks are important for enhanced area selection in base and precious metal exploration.
60

L'insertion des immigrants en milieu régional et la variation de leur motivation en regard de leur établissement définitif

Rousseau, Céline January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Page generated in 0.0442 seconds