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Rôle de l'architecture dans l'interception lumineuse des couronnes de Tectona grandis et Acacia mangium. Utilisation pour la simulation des bilans radiatifs dans les systèmes agroforestiers.Leroy, Céline 12 December 2005 (has links) (PDF)
Dans les systèmes agroforestiers simples à deux strates, la distribution de la lumière sous les couronnes des arbres est un facteur clé pour le développement de la culture associée. Cette distribution évolue en fonction des saisons et de la dynamique de croissance de la strate arborée. La lumière disponible pour la culture dépend de la quantité de lumière interceptée par les couronnes des arbres et par conséquent de l'architecture des espèces utilisées. L'objectif de cette thèse est de déterminer le rôle de l'architecture de deux espèces, Acacia mangium Willd. et Tectona grandis L., dans (i) les modalités de l'interception de la lumière par les couronnes et par les feuilles et (ii) les variations intra- et interspécifiques de la distribution du rayonnement sous les couronnes de ces arbres selon leur âge. A partir de l'analyse dynamique des processus de croissance et de ramification de ces deux espèces, un échantillonnage des organes foliaires a permis de déterminer leur répartition, leur géométrie et leurs caractéristiques morphologique, anatomique, optique et biochimique dans les couronnes. Par la simulation de la croissance, de ces deux espèces, paramétrée via des lois mathématiques de croissance et de ramification, des reconstructions 3D d'arbres ont été réalisées en vue de simuler le bilan radiatif de sous-parcelles agroforestières. Les résultats montrent de fortes variations inter- et intraspécifiques de la distribution des organes foliaires et leurs caractéristiques au sein de la couronne et de la distribution du rayonnement sous les couronnes. Les stratégies adoptées par ces deux espèces pour optimiser l'interception lumineuse sont discutées
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Contribution à l'amélioration de la lutte contre le miride du cacaoyer Sahlbergella singularis Hagl. (Hemiptera : Miridae). Influence des facteurs agro-écologiques sur la dynamique des populations du ravageurBabin, Régis 05 November 2009 (has links) (PDF)
L'objectif de ce travail est d'améliorer notre compréhension des mécanismes et d'évaluer les facteurs agro-écologiques impliqués dans la dynamique spatio-temporelle des populations naturelles de Sahlbergella singularis. Le calcul des tables de vie sur une population d'élevage a révélé que S. singularis est une espèce à croissance lente. Ceci expliquerait le fait que le ravageur est généralement présent à de faibles densités dans les plantations. L'étude des paramètres démographiques de la population d'élevage a montré que la fécondité est un paramètre-clé des fluctuations saisonnières des populations naturelles. Leur croissance serait liée à la présence de jeunes cabosses sur les cacaoyers fournissant aux femelles une ressource alimentaire favorable à la reproduction. L'étude de l'influence des facteurs agro-écologiques sur les densités de populations de S. singularis en plantation a révélé que les densités dépendent des conditions parcellaires de culture du cacaoyer. Parmi les pratiques culturales, les traitements insecticides, l'ombrage et le recours aux variétés hybrides sont des facteurs déterminants. En outre, les populations du ravageur sont fortement agrégées dans les zones des plantations bénéficiant d'un ensoleillement maximal. Enfin, l'ombrage fourni par les arbres forestiers s'est avéré plus homogène que l'ombrage d'arbres fruitiers et par conséquent moins propice au développement des poches à mirides. Les recommandations de lutte préconisées par la recherche agronomique sont rarement appliquées par les planteurs. Aussi, nos résultats ont-ils été discutés dans l'optique d'adapter ces recommandations au contexte de culture du cacaoyer qui prévaut actuellement au Cameroun
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Systèmes agroforestiers de production d'ignames (Dioscorea spp) pour l'amélioration de la sécurité alimentaire et des conditions nutritionnelles des ménages au Mayombe et au Plateau des Batéké en République démocratique du CongoVambi, Brunhel N'tambu 10 January 2025 (has links)
Le Mayombe et le Plateau des Batéké, deux écozones de la République démocratique du Congo (RDC), soumises à une déforestation et dégradation forestière différenciée, laquelle au vu des enjeux démographiques et à défaut des mesures appropriées en matière de planification de l'utilisation des terres, de changements climatiques et des systèmes innovants de production agro-écologique pourrait accroître davantage l'insécurité alimentaire et la malnutrition dans ces zones. Notre hypothèse principale est que la culture de l'igname est une composante faiblement représentée dans les systèmes agroforestiers traditionnels pratiqués autour de la Réserve de Biosphère de Luki et sur le Plateau des Batéké ; son intensification permettrait d'améliorer la sécurité alimentaire et un plus grand contrôle par les femmes sur des ressources financières des ménages. La présente étude a pour objectifs spécifiques : 1) d'analyser les enjeux et les contraintes pour une production intensifiée des ignames en agroforesterie en Afrique subsaharienne et ailleurs, et dont une meilleure compréhension permettrait sa promotion en RDC ; 2) évaluer l'importance de l'igname dans le rôle de l'agrobiodiversité parmi les populations de deux écozones contrastées de la RDC autour de la Réserve de Biosphère de Luki et autour d'Ibi village sur le Plateau des Batéké ; et 3) analyser les déterminants de la sécurité alimentaire parmi les ménages ruraux dans les écozones du Mayombe et du Plateau des Batéké en RDC et comprendre comment la région écologique, le type de village et le genre peuvent influencer la perception qu'ont les agriculteurs de la production et de l'utilisation de l'igname. Afin d'atteindre le premier objectif relatif à la revue de la littérature, la méthodologie PRISMA a été utilisé pour faire de la recension de la littérature à travers Web of Sciences et Google scholar. Les données recueillies ont été analysées notamment en faisant recours traitement automatique du langage naturel (NLP) et en utilisant des outils tels que le LDA (Latent Dirichlet Allocation). La méthodologie priorisée pour l'objectif 2 et 3 est l'approche mixte combinant à la fois une démarche qualitative et quantitative. Des enquêtes socioéconomiques sur un ensemble de 351 ménages et six (6) groupes focus à raison de trois avec les femmes et trois autres avec les hommes ont été organisées. Diverses méthodes de collecte des données ont été utilisées pour atteindre le deuxième objectif. Il s'agit notamment des inventaires par quadrat, enquêtes ethnobotaniques, inventaire floristique et de la Méthode accélérée de Recherche Participative (MARP). Pour analyser les données relatives à ce deuxième objectif, des corrélations, régressions linéaires multiples, test de Kruskall-Walis, calcul des différents indices ont été performés. L'analyse des résultats en lien avec l'objectif 3 a été faite selon les grandes étapes ci-après : le traitement des variables, recours à une analyse en composante principale pour quantifier le niveau des richesses des ménages, la vérification de l'adéquation des données à partir du test KMO, le calcul du score de l'échelle d'accès à l'insécurité alimentaire, vérification de la normalité et de l'homogénéité des variances respectivement à partir des tests de Kolmogorov Sminov et de Levene, la transformation logarithmique de la variable score de sécurité alimentaire, réalisation des anova à sens unique complété par le test posthoc de Bonferroni, et le recours à des régressions linéaires multiples après une sélection des variables par l'algorithme pas à pas . Au terme de nos études, nous avons constaté que les ignames présentent autant d'enjeux que de contraintes. La production durable de cette culture pour assurer de manière accrue la sécurité alimentaire des ménages, l'amélioration des conditions nutritionnelles et des moyens d'existence durables sont depuis une trentaine d'années au cœur des tentatives de son intensification. Si globalement investir dans le développement des connaissances sur les ignames, en particulier dans l'agroforesterie, peut être considéré comme le point de départ d'une intensification durable de cette culture, l'amélioration des perceptions sur la culture et l'identification de réponses politiques et institutionnelles appropriées aux défis agronomiques, environnementaux et économiques de la culture sont la clé de son intensification durable. / Mayombe and Plateau des Batéké, two ecozones in the Democratic Republic of Congo (DRC), are subject to differentiated deforestation and forest degradation, which in view of demographic challenges and in the absence of appropriate measures in terms of land-use planning, climate change and innovative agro-ecological production systems could further increase food insecurity and malnutrition in these areas. Our main hypothesis is that yam cultivation is a poorly represented component of traditional agroforestry systems practised around the Luki Biosphere Reserve and on the Batéké Plateau; its intensification would improve food security and greater control by women over household financial resources. The specific objectives of this study are to: 1) to analyze the stakes and constraints for intensified yam production in agroforestry in sub-Saharan Africa and elsewhere, and whose better understanding would enable its promotion in the DRC; 2) to assess the importance of yam in the role of agrobiodiversity among populations in two contrasting ecozones of the DRC around the Luki Biosphere Reserve and around Ibi village on the Batéké Plateau ; and 3) to analyze the determinants of food security among rural households in the Mayombe and Plateau des Batéké ecozones of the DRC, and to understand how ecological region, village type and gender may influence farmers' perceptions of yam production and utilization. To achieve the first objective of the literature review, the PRISMA methodology was used to conduct a literature review via Web of Sciences and Google scholar. The data collected was analyzed using NLP (Natural Language Processing) and tools such as LDA (Latent Dirichlet Allocation). The methodology prioritized for Objectives 2 and 3 is a mixed-methods approach, combining both qualitative and quantitative methods. Socio-economic surveys of 351 households and six (6) focus groups, three with women and three with men, were organized. Various data collection methods were used to achieve the second objective. These included quadrat inventories, ethnobotanical surveys, floristic inventories and the Accelerated Participatory Research Method (APRM). To analyze data relating to this second objective, correlations, multiple linear regressions, Kruskall-Walis tests and the calculation of various indices were performed. Analysis of the results relating to Objective 3 was carried out in the following main stages: processing of variables, using principal component analysis to quantify the level of household wealth, verification of data adequacy using the KMO test, calculation of the food insecurity access scale score, verification of normality and homogeneity of variances using the Kolmogorov Sminov and Levene tests respectively, logarithmic transformation of the food security score variable, one-way anova completed by Bonferroni's posthoc test, and multiple linear regressions after variable selection using the step-by-step algorithm. At the end of our studies, we found that yams present as many challenges as constraints. Sustainable production of this crop to ensure greater household food security, improved nutritional conditions and sustainable livelihoods has been at the heart of attempts to intensify it for some thirty years. While overall investment in the development of knowledge about yams, particularly in agroforestry, can be seen as the starting point for sustainable intensification of this crop, improving perceptions of the crop and identifying appropriate policy and institutional responses to the crop's agronomic, environmental and economic challenges are key to its sustainable intensification.
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Réinventer l'espace forestier : ethnographie d'initiatives collectives de forêts nourricières et de plantations climatiques dans le Bas-Saint-Laurent, QuébecGiroux-Works, Nakeyah 24 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 22 janvier 2024) / Cette thèse porte un regard anthropologique sur des initiatives collectives de plantation de végétaux réalisées dans la région du Bas-Saint-Laurent, Québec. Les initiatives étudiées mènent 1) à la création d'aménagements comestibles appelés « forêts nourricières » ou 2) à la réalisation de plantations d'arbres à des fins de compensation carbone volontaire, que j'ai nommées des « plantations climatiques ». Portées par différents groupes d'acteurs de la société civile (citoyens, professeurs, municipalités, organismes environnementaux, etc.), ces initiatives misent sur des approches de la conservation et de la valorisation environnementale basées sur des actions collaboratives, des attitudes de convivialité et de solidarité, et des économies déployées dans une perspective de transition socio-écologique. En m'appuyant sur une ethnographie multisites, j'explique comment la réalisation de ces projets agroforestiers se basent sur des idéaux de la forêt et des besoins en matière de lutte contre les changements climatiques, de protection de la biodiversité, de verdissement et de résilience alimentaire. L'approche de l'écologie politique permet de situer les contextes d'émergence de ces deux types d'initiatives, de rendre compte des dynamiques de pouvoir qui accompagnent leur création, et d'exposer leurs implications pour la construction et l'appropriation de l'espace forestier bas-laurentien. Cette thèse contribue à élargir les thématiques de recherche investies en anthropologie de la forêt au Québec, qui touchent généralement les aires protégées étatiques, l'industrie forestière et les questions autochtones. Elle met en lumière des modes d'exploitation des arbres et des plantes qui impliquent de valoriser, d'une part, des produits autres que le bois et, d'autre part, des espaces environnementaux « non productifs », comme des friches et des terrains déboisés, en mobilisant des imaginaires forestiers. Également, cette thèse vient poursuivre les recherches anthropologiques documentant les nouvelles manières de vivre et de s'engager sur le territoire rural du Bas-Saint-Laurent, en se penchant sur les aspirations socio-environnementales, locales et régionales, qui justifient les actions des groupes d'acteurs étudiées. / This thesis takes an anthropological look at collective vegetation planting initiatives carried out in the Bas-Saint-Laurent region, Quebec. The initiatives studied lead to the creation of 1) edible arrangements called "food forests" or 2) tree plantations for voluntary carbon offset purposes, which I have named "climatic plantations". Carried out by various groups of civil society actors (citizens, professors, municipalities, environmental organizations, etc.), these initiatives rely on approaches to conservation and environmental enhancement based on collaborative actions, attitudes of conviviality and solidarity, and economies deployed in a perspective of socio-ecological transition. Based on a multi-site ethnography, I explain how the realization of these agroforestry projects is based on the ideals and needs of the forest in terms of combating climate change, protecting biodiversity, greening and food resilience. The approach of political ecology allows to situate the contexts of emergence of these two types of initiatives, to account for the power dynamics that accompany their creation, and to expose their implications for the construction and appropriation of the Bas-Saint-Laurent forest area. This thesis contributes to broadening the research themes invested in anthropology of the forest in Quebec, which generally touch on state protected areas, the forestry industry and indigenous issues. It highlights modes of exploitation of trees and plants that involve valuing products other than wood and "non-productive" environmental spaces, such as fallow and lands, by drawing on forest-inspired imaginaries. Also, this thesis continues anthropological research documenting new ways of living and engaging in the rural territory of Bas-Saint-Laurent, focusing on socio-environmental aspirations, local and regional, which justify the actions of the groups of actors studied.
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Caractérisation du cortège ectomycorhizien d'une plantation forestière et sylvopastorale d'Eucalyptus urograndis au BrésilPickford, Jessika 17 April 2018 (has links)
La présente étude traite des communautés de champignons ectomycorhiziens retrouvés en association avec Eucalyptus urograndis dans un système de plantation monoculturale et deux systèmes agroforestiers sylvopastoraux à Viçosa, dans l'état du Minas Gérais, Brésil. Un des systèmes sylvopastoraux est composé d'E. urograndis et d'herbe de fourrage (Brachiaria spp.), tandis que l'autre est composé d'une culture mixte de Brachiaria et de deux espèces ligneuses, E. urograndis et Acacia mangium. La composante animale (vaches Holstein) était temporairement intégrée dans les deux systèmes sylvopastoraux. La caractérisation des communautés a été faite pour ces trois systèmes, et ces derniers ont été comparés. Selon les données issues de la ségrégation morphologique, aucune différence n'a été trouvée aux niveaux de la structure des communautés et du taux de mycorhization des apex racinaires d'Eucalyptus. Les indices de diversité et d'équitabilité ont montré une différence entre le système agroforestier composé d'Eucalyptus et de Brachiaria et les deux autres systèmes. L'analyse phylogénétique des séquences d'ITS des champignons a révélée une grande diversité de Thelephoraceae pour les trois systèmes. Les représentants des Sclerodermataceae et Hydnangiaceae n'étaient pas aussi diversifiés que ceux des Thelephoraceae, mais parmi les plus abondants.
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Étude moléculaire des champignons mycorhiziens arbusculaires dans un système agrisylvicoleChifflot, Vincent 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Ce mémoire examine l'effet de l'agrisylviculture sur les champignons mycorhiziens arbusculaires (MA). Un premier chapitre met en relation les nouveaux développements de la recherche sur les systèmes agrisylvicoles et l'écologie des champignons MA. Le deuxième chapitre examine la diversité des champignons MA dans un système agrisylvicole du sud-ouest du Québec, par analyse moléculaire d'un gène des champignons. Le premier chapitre démontre que la diversité des champignons MA n'est pas forcément plus élevée dans les systèmes agrisylvicoles que dans les systèmes agricoles conventionnels, mais que l'agrisylviculture peut répondre favorablement à certaines imperfections de l'agriculture biologique. La composition des communautés de champignons MA trouvée dans le système agrisylvicole étudié était relativement simple, révélant ainsi un degré élevé de perturbations probablement liées aux techniques culturales. Il apparaît en outre que les arbres et la culture supportaient des communautés distinctes suggérant que l'agrisylviculture puisse avoir un potentiel dans l'augmentation de la diversité des champignons MA.
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Perceptions des agriculteurs familiaux du Nordeste agreste du Brésil concernant l'adoption de pratiques agroforestièresLavoie, Andréanne 17 April 2018 (has links)
Au sein de l'agreste pernambucano, de fortes disparités subsistent en milieu agricole. Malgré ces contraintes, plusieurs agriculteurs familiaux exploitent des systèmes polyculturaux complexes, mettant en valeur les atouts des territoires du Nordeste agreste brésilien. Cette étude a pour objectif de caractériser la présence de l'agroforesterie dans cette région, de vérifier la perception des agriculteurs familiaux au sujet de ces pratiques, d'évaluer le potentiel de mise en valeur des territoires agricoles par l'agroforesterie et d'observer le contexte communautaire afin d'apprécier les perspectives d'émergence d'une gouvernance environnementale locale. L'enquête à la base de cette recherche s'est déroulée dans la municipalité de Brejo da Madre de Deus, au Pernambuco, où 25 agriculteurs et 10 intervenants du milieu ont été rencontrés. Il apparaît que l'adoption de systèmes agroforestiers par les agriculteurs familiaux s'explique par leur caractère innovateur, la présence et l'accès à des sources d'informations extérieures et les contraintes physiques et géographiques des parcelles.
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Techniques agroforestières au féminin : analyse sociologique entourant la haie vive améliorée en milieu rural au MaliDion, Jennifer 13 April 2018 (has links)
Cette recherche est le fruit d'une étude de terrain réalisée au Mali auprès de groupes de femmes en milieu rural bambara. Elle a pour principal objectif d'accroître notre compréhension du processus d'adoption et de gestion de la haie vive améliorée en prêtant un intérêt particulier à la sociologie de la famille et aux rapports de genre. La démarche poursuivie est de type qualitatif et elle se base sur des entrevues dirigées, principalement menées sous forme de triades, ainsi que sur la méthode active de recherche participative (MARP). Beaucoup plus qu'un simple objet technique, la haie vive améliorée est révélatrice des dynamiques sociales rencontrées sur le terrain. Les rapports de pouvoir entre les sexes ainsi qu'entre les générations, qui s'expriment à travers le contrôle des ressources productives et la division familiale du travail, sont quelques-uns des facteurs qui influenceront nécessairement le rapport des femmes à la technique. Plus globalement, c'est l'enjeu du développement qui est abordé et qui pose la question du changement social dans les sociétés africaines.
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Trees in the Andes:Jost, François Paul 21 February 2017 (has links) (PDF)
High mountain regions including the Andean region are very sensitive to climate change. Farmers in the central Andes of Peru are increasingly being exposed to the impacts of climate variability. This transdisciplinary research uses field laboratories, combining the farming system and the sustainable livelihood approaches, to carry out social, ecological, and financial assessments so as to identify sustainable and resilient livelihood strategies for small-scale Andean farmers.
The first research step studies and characterizes farm household systems, influenced by their biophysical and socioeconomic contexts, for which two vulnerability indices were elaborated. Focused on the climate variability, the five livelihood assets and the three IPCC’s vulnerability components, these indices show the highly sensitive conditions of most communities with poor health conditions, access to infrastructure and public services. Farmers’ capacity of response is often limited by the low on-farm diversity and lack of organization. Thereafter, sustainable livelihood strategies were identified. These include on-farm intensification and non-farm labor intensification for lowland and better-access communities. In the middle-access and highland communities, where temporary migration is a common coping strategy, sustainable scenarios include an increment in diversification strategies through agrobiodiversity and a larger share of tree-based production systems.
Furthermore, research step II explores local strategies to cope with agricultural droughts and evaluates, by means of natural resource assessment methods, agroforestry systems as an alternative to reduce their negative effects. Mainly affected by the increasing variation in precipitation events, farmers identify off-farm and on-farm diversification as adaptive strategies against agricultural droughts that reduce the weather dependence and covariance between livelihood activities. Among the introduction of more resistant crop and pasture varieties, the incorporation of trees in their system is desired because of their positive influence in soil moisture and crop yields. Soil moisture in agroforestry systems with eucalyptus trees is 10-20% higher than in agricultural systems during the beginning of the wet season. Differences in the soil moisture during the end of the dry season and in the potato yield are not evident between these systems, although an area without sowing reduced the agricultural output in 13-17% in agroforestry systems.
Research step III seeks to maximize the efficiency of resource allocation in farm household systems by developing a linear programming optimization model. This financial assessment underpinned the need of additional off-farm activities for resource-scarcer farmers. In addition, under interest rates below 15% the model includes tree-based production systems as part of the optimal solution. However, with increasing interest rates, a higher share of land is used to cover household’s basic needs and fewer resources are available for capital accumulation activities such as forestry. Variations introduced in the model show that pasture systems are more sensitive to changes in the production outputs, whereas variation in farm worker wages and tree prices affected less the optimal solutions, making farming systems less sensitive to these market changes.
Finally, the incorporation of tree-based systems have proved to be a sustainable and resilient livelihood strategy against climate variability available for particular farm household systems of the study area. / Las zonas montañosas, incluyendo la región andina son muy sensibles al cambio climático. Los agricultores de los Andes centrales del Perú están cada vez más expuestos a los efectos de la variabilidad climática. Esta investigación transdisciplinaria utiliza laboratorios de campo (field laboratories), combinando los enfoques de sistemas agrícolas y de medios de vida sostenibles, para llevar a cabo evaluaciones sociales, ecológicas y financieras con el fin de identificar estrategias sostenibles y resilientes para los agricultores andinos de pequeña escala.
La primera fase de la investigación caracteriza a los sistemas agrícolas familiares, influenciados por sus contextos biofísicos y socioeconómicos, para lo cual se elaboraron dos índices de vulnerabilidad centrados en la variabilidad del clima, los cinco activos de los medios de vida y los tres componentes de la vulnerabilidad del IPCC. Estos índices muestran las condiciones de alta sensibilidad de la mayoría de las comunidades, con malas condiciones de salud y poco acceso a la infraestructura y a los servicios públicos. La capacidad de respuesta de los agricultores es a menudo limitada por la baja diversidad en las actividades agrícolas y la falta de organización. Posteriormente se identificaron las estrategias de medios de vida sostenibles. Estas incluyen la intensificación en las actividades agrícolas y la intensificación del trabajo no agrícola en las comunidades de zonas bajas y con mejor acceso. En las comunidades con menor acceso y zonas altas la migración temporal es una estrategia de afrontamiento común. Los escenarios sostenibles en estas comunidades incluyen un incremento en las estrategias de diversificación p. ej. a través de un aumento de la biodiversidad agrícola y una mayor proporción de sistemas de producción asociados con árboles.
Por otra parte, la segunda fase de la investigación explora las estrategias locales para hacer frente a las sequías agrícolas y evalúa, por medio de métodos de evaluación de recursos naturales, los sistemas agroforestales como alternativa para reducir sus efectos negativos. Afectados principalmente por el aumento en la variación de las precipitaciones, los pequeños agricultores identifican a la diversificación de actividades dentro y fuera de sus parcelas agrícolas como una estrategia de adaptación frente a las sequías agrícolas que reduce la dependencia climática y la covarianza entre las actividades de subsistencia. Dentro de la introducción de variedades de cultivos y pastos más resistentes, como parte de la solución, los agricultores desean la incorporación de árboles en su sistema debido a su influencia positiva en la humedad del suelo y en los rendimientos de los cultivos. La humedad del suelo en sistemas agroforestales con árboles de eucalipto es un 10-20% mayor que en los sistemas agrícolas durante el comienzo de la estación húmeda. Las diferencias en la humedad del suelo durante el final de la estación seca y en el rendimiento de los cultivos de papa no son evidentes entre estos dos sistemas.
A pesar de esto, el espacio sin siembra dejado en los sistemas agroforestales redujo la producción agrícola en un 13-17%. La tercera fase de la investigación busca maximizar la eficiencia en la asignación de recursos en los sistemas agrícolas familiares mediante el desarrollo de un modelo de optimización de programación lineal. Esta evaluación financiera respalda la necesidad de actividades adicionales no-agrícolas para agricultores con recursos más escasos. Además, con tasas de interés por debajo del 15%, el modelo siempre incluye a los sistemas de producción forestales y/o agroforestales como parte de las soluciones óptimas. Sin embargo, con el aumento de las tasas de interés, una mayor proporción de tierra se utiliza para cubrir las necesidades básicas del hogar y menos recursos están disponibles para las actividades de acumulación de capital como la silvicultura. Las variaciones introducidas en el modelo muestran que los sistemas de pastoreo son más sensibles a los cambios en los condiciones de producción. Por otro lado, la variación en los salarios de los trabajadores agrícolas y en los precios de los árboles afectan en un menor grado las soluciones óptimas, proporcionando sistemas agrícolas menos sensibles a estos cambios en el mercado.
Finalmente, la incorporación de árboles en los sistemas agrícolas ha demostrado ser una estrategia de vida sostenible y resiliente a la variabilidad climática disponible para determinados sistemas agrícolas familiares de la zona de estudio. / Hochgebirgsregionen einschließlich der Andenregion sind gegenüber dem Klimawandel sehr empfindlich. Die in den zentralen Anden von Peru lebenden Bauern sind mehr und mehr den Auswirkungen durch Klimaschwankungen ausgesetzt. Diese transdisziplinäre Forschung nutzt Feldlabore, die das System der landwirtschaftlichen Bewirtschaftung und Ansätze zur nachhaltigen Lebensunterhaltssicherung kombinieren, um soziale, ökologische und ökonomische Erhebungen durchzuführen, so dass nachhaltige Livelihood-Strategien für die Kleinbauern in den Anden aufgezeigt werden können.
Der erste Forschungsschritt untersucht und charakterisiert die bäuerlichen Haushaltssysteme, die durch ihre biophysikalischen und sozioökonomischen Kontexte beeinflusst sind. Hierfür wurden zwei Vulnerabilitätsindizes herausgearbeitet, die Klimavariabilität und die fünf Güter des Sustainable Livelihood-Konzepts im Fokus haben, sowie die drei Vulnerabilitätskomponenten des Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). Diese Indizes decken die hochgradige Sensitivität für die meisten Gemeinden auf, aufgrund des schlechten Gesundheitszustandes sowie dem Mangel an Infrastruktur und öffentlichen Dienstleistungen. Die Fähigkeit der Bauern damit umzugehen, ist zumeist begrenzt durch eine geringe Diversität und fehlende Organisation auf den Farmen. Anschließend werden nachhaltige Livelihood-Strategien aufgezeigt. Diese umfassen die Intensivierung der Arbeit in der Landwirtschaft und der Arbeitskraft außerhalb der Landwirtschaft für Gemeinden im Flachland sowie besser erreichbare Gemeinden. In Hochlandgemeinden und Gemeinden die schwer zugänglich sind, ist temporäre Migration eine geläufige Bewältigungsstrategie. Nachhaltige Szenarien in diesen Gemeinden beinhalten eine höhere Anzahl an Diversifizierungsstrategien wie die Steigerung von Agro-Biodiversität und dem Anteil an baumbasierten Produktionssystemen.
Forschungsschritt II untersucht lokale Strategien, um die landwirtschaftliche Dürre zu bewältigen und bewertet – mit Hilfe von Naturressourcenbewertungsverfahren – Agroforstsysteme als eine Alternative, um die negativen Auswirkungen der Trockenzeiten zu verringern. Beeinträchtigt durch zunehmende Niederschlagsschwankungen, identifizieren Bauern die Diversifizierung von landwirtschaftlichen und nicht-landwirtschaftlichen Aktivitäten als Anpassungsstrategie bei landwirtschaftliche Dürre, wodurch die Abhängigkeit vom Wetter und die Kovarianz zwischen den Aktivitäten für den Lebensunterhalt reduziert werden kann. Neben der Einführung resistenterer Kultur- und Weidepflanzen, ist die Einbeziehung von Bäumen in das System wünschenswert, aufgrund ihres positiven Einflusses auf die Bodenfeuchte und Erträge. Die Bodenfeuchte in agroforstwirtschaftlichen Systemen mit Eukalyptusbäumen ist während der beginnenden Feuchtperiode 20% höher als in landwirtschaftlichen Systemen. Die Unterschiede der Bodenfeuchte am Ende der Trockenzeit und bezüglich des Kartoffelertrags sind zwischen diesen Systemen nicht markant, obwohl eine Fläche, auf der keine Saat ausgebracht wurde, den landwirtschaftlichen Ertrag in Agroforstsystemen um 13 bis 17% mindert.
Forschungsschritt III versucht die Effizienz der Ressourcenzuordnung in Farmhaushaltssystemen zu maximieren, indem ein Optimierungsmodell mit Hilfe der linearen Programmierung entwickelt wird. Diese ökonomische Erhebung unterstreicht die Notwendigkeit zusätzlicher nichtlandwirtschaftlicher Aktivitäten für ressourcenärmere Bauern. Bei Zinsraten unter 15% umfasst das Model baumbasierte Produktionssysteme als einen Teil der optimalen Lösung. Mit steigenden Zinsraten wird jedoch eine größere Bodenfläche dazu verwendet, um die Grundbedürfnisse der Haushalte zu decken und es stehen weniger Ressourcen für Aktivitäten zur Kapitalanhäufung wie Forstwirtschaft zur Verfügung. Die in das Modell involvierten Variationen zeigen, dass Weidesysteme sensibler auf Veränderungen des Produktionsausstoßes reagieren. Schwankungen bei den Löhnen der Farmer und Veränderungen der Baumpreise beeinträchtigen hingegen die optimalen Lösungen weniger. Dadurch sind die landwirtschaftlichen Systeme gegenüber Marktschwankungen weniger anfällig.
Abschließend erweist sich, dass – für bestimmte Farmhaushaltssysteme im Untersuchungsgebiet – die Einbeziehung baumbasierter Systeme als nachhaltige und resiliente Livelihood-Strategie angesichts von Klimaschwankungen nützlich ist. / Regiões altomontanas, incluindo os Andes são extremamente sensíveis aos impactos das mudanças climáticas. Pequenos agricultores da região central dos Andes Peruanos estão progressivamente sendo expostos aos impactos das variações climáticas. A presente investigação transdisciplinar utiliza “field laboratories”, combinando os enfoques de sistemas rurais e dos meios de subsistência sustentáveis, visando uma avaliação social, ecológica e financeira, com intuito de se identificar estratégias resilientes e sustentáveis para os pequenos agricultores Andinos.
A primeira etapa do presente estudo investiga e caracteriza os sistemas rurais, influenciados por seus contextos biofísicos e socioeconômicos, para os quais foram elaborados dois índices de vulnerabilidade focados na variabilidade climática, nos recursos dos meios de vida (cinco capitais) e nos três componentes da vulnerabilidade do IPCC. Esses índices mostram as condições altamente sensíveis da maioria das comunidades, com más condições de saúde, acesso à infra-estrutura e serviços públicos. A capacidade de resposta dos pequenos agricultores é frequentemente limitada pela baixa diversificação de actividades na exploração agricola e falta de organização. Posteriormente, foram identificadas estratégias de subsitência sustentáveis. Estas incluem a intensificação tanto do trabalho rural, quanto do não-agrícola para as comunidades de terras baixas e mais acessíveis. Para as comunidades altomontanas e com menor acesso, a migração temporária é uma estratégia de enfrentamento comum. Cenários sustentáveis para essas comunidades incluem um incremento nas estratégias de diversificação p. ex. aumentando a agrobiodiversidade e a parcela dos sistemas de produção florestais.
A segunda etapa da pesquisa explora estratégias locais para lidar com as secas agrícolas e investiga, por meio de métodos de avaliação de recursos naturais, sistemas agroflorestais como alternativa para reduzir os seus efeitos negativos. Afetado principalmente pelo aumento da variação da precipitação, os agricultores identificam a diversificação tanto no trabalho rural, quanto no não-agrícola, como estratégias adaptativas contra secas agrícolas que reduzam a dependência do clima e covariância entre atividades de subsitência. Entre a introdução de culturas e de pastagens de variedades mais resistentes, a incorporação de árvores em seu sistema é desejada por conta da sua influência positiva na umidade do solo e no rendimento das culturas. A umidade do solo em sistemas agroflorestais com árvores de eucalipto é de 10-20% maior do que em sistemas agrícolas durante o início da estação chuvosa. As diferenças na umidade do solo durante o final da estação seca e na produtividade da batata não são evidentes entre estes dois sistemas. Apesar disso, o espaço sem semeadura deixado em sistemas agroflorestais reduziu a produção agrícola em 13-17%.
A terceira etapa da presente investigação visa maximizar a eficiência da alocação de recursos em sistemas agrícolas familiares por meio do desenvolvimento de um modelo de otimização de programação linear. Esta avaliação financeira sustenta a necessidade de atividades não-agrícolas adicionais para agricultores com recursos escassos. Ademais, sob taxas de juros abaixo de 15%, o modelo inclui sistemas de produção florestais como parte da solução ideal. Contudo, com o aumento das taxas de juros, uma parcela maior da propriedade é usada para garantir as necessidades básicas, e portanto, menos recursos do agregado familiar estão disponíveis para atividades de acumulação de capital, tais como a silvicultura. Variações introduzidas no modelo mostram que sistemas de pastagem são mais sensíveis a mudanças nas condições de produção. Ademais, variaçãoes nos salários dos trabalhadores agrícolas e nos preços de árvores afetam menos as soluções ótimas, tornando os sistemas agrícolas menos sensíveis a estas mudanças do mercado.
Por fim, a incorporação de sistemas florestais provaram ser uma estratégia de subsistência sustentável e resiliente contra a variação climática para determinados sistemas de agricultura familiar da área de estudo.
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Trees in the Andes:: Sustainable livelihood strategies for risk reductionJost, François Paul 10 October 2016 (has links)
High mountain regions including the Andean region are very sensitive to climate change. Farmers in the central Andes of Peru are increasingly being exposed to the impacts of climate variability. This transdisciplinary research uses field laboratories, combining the farming system and the sustainable livelihood approaches, to carry out social, ecological, and financial assessments so as to identify sustainable and resilient livelihood strategies for small-scale Andean farmers.
The first research step studies and characterizes farm household systems, influenced by their biophysical and socioeconomic contexts, for which two vulnerability indices were elaborated. Focused on the climate variability, the five livelihood assets and the three IPCC’s vulnerability components, these indices show the highly sensitive conditions of most communities with poor health conditions, access to infrastructure and public services. Farmers’ capacity of response is often limited by the low on-farm diversity and lack of organization. Thereafter, sustainable livelihood strategies were identified. These include on-farm intensification and non-farm labor intensification for lowland and better-access communities. In the middle-access and highland communities, where temporary migration is a common coping strategy, sustainable scenarios include an increment in diversification strategies through agrobiodiversity and a larger share of tree-based production systems.
Furthermore, research step II explores local strategies to cope with agricultural droughts and evaluates, by means of natural resource assessment methods, agroforestry systems as an alternative to reduce their negative effects. Mainly affected by the increasing variation in precipitation events, farmers identify off-farm and on-farm diversification as adaptive strategies against agricultural droughts that reduce the weather dependence and covariance between livelihood activities. Among the introduction of more resistant crop and pasture varieties, the incorporation of trees in their system is desired because of their positive influence in soil moisture and crop yields. Soil moisture in agroforestry systems with eucalyptus trees is 10-20% higher than in agricultural systems during the beginning of the wet season. Differences in the soil moisture during the end of the dry season and in the potato yield are not evident between these systems, although an area without sowing reduced the agricultural output in 13-17% in agroforestry systems.
Research step III seeks to maximize the efficiency of resource allocation in farm household systems by developing a linear programming optimization model. This financial assessment underpinned the need of additional off-farm activities for resource-scarcer farmers. In addition, under interest rates below 15% the model includes tree-based production systems as part of the optimal solution. However, with increasing interest rates, a higher share of land is used to cover household’s basic needs and fewer resources are available for capital accumulation activities such as forestry. Variations introduced in the model show that pasture systems are more sensitive to changes in the production outputs, whereas variation in farm worker wages and tree prices affected less the optimal solutions, making farming systems less sensitive to these market changes.
Finally, the incorporation of tree-based systems have proved to be a sustainable and resilient livelihood strategy against climate variability available for particular farm household systems of the study area.:1 Introduction - 1 -
1.1 Introduction and justification - 1 -
1.2 Objectives and thesis statements - 2 -
1.3 Outline - 3 -
1.4 Definition of terms - 5 -
1.4.1 Vulnerability - 5 -
1.4.2 Resilience - 7 -
1.4.3 Agroforestry systems - 8 -
1.4.4 Farming system approach - 9 -
1.4.5 Farm household system - 10 -
1.4.6 Sustainable livelihood approach - 10 -
2 Framework and study site - 14 -
2.1 Theoretical framework - 14 -
2.2 Methodological framework - 18 -
2.2.1 Field laboratories - 18 -
2.2.2 Methods - 19 -
2.2.3 Methodology applied in research step I:
Vulnerability in Achamayo - 21 -
2.2.4 Methodology applied in research step II:
Agroforestry systems and agricultural droughts - 29 -
2.2.5 Methodology applied in research step III:
Modeling small farm production systems - 33 -
2.2.6 Selection of case studies - 34 -
2.3 Study area - 35 -
2.3.1 Soils and topography - 35 -
2.3.2 Weather - 37 -
2.3.3 Agro-ecological zones and vegetation - 38 -
2.3.4 Climate change - 40 -
2.3.5 Socioeconomic characteristics - 42 -
2.3.6 Population - 43 -
2.3.7 External determinants - 71 -
2.4 Case studies - 47 -
2.4.1 Lowland communities (L) - 49 -
2.4.2 Middle access communities (M) - 50 -
2.4.3 Highland communities (H) - 51 -
3 Vulnerability in Achamayo - 53 -
3.1 Results - 53 -
3.1.1 Sustainable Livelihood Vulnerability Index (S-LVI) - 53 -
3.1.2 IPCC Livelihood Vulnerability Index (LVI-IPCC) - 68 -
3.2 Discussion - 71 -
3.2.1 Climate variability and extreme events - 71 -
3.2.2 Human capital - 71 -
3.2.3 Social capital - 71 -
3.2.4 Natural capital - 71 -
3.2.5 Physical capital - 71 -
3.2.6 Financial capital - 71 -
3.2.7 Livelihood strategies following the S-LVI and LVI-IPCC indices - 86 -
3.3 Conclusion - 92 -
4 Agroforestry systems and agricultural droughts - 95 -
4.1 Results - 96 -
4.1.1 Farmers’ experience and perception on climate variability and agricultural droughts - 96 -
4.1.2 Agricultural droughts in the farm household systems - 97 -
4.1.3 Farming forestry systems and land-use decision-making - 102 -
4.1.4 Influence of trees in the soil moisture and yield - 104 -
4.2 Discussion - 110 -
4.2.1 Climate change and agricultural droughts - 110 -
4.2.2 Farm forestry systems and land-use decision-making - 115 -
4.2.3 Influence of trees in the soil moisture and yield - 117 -
4.3 Conclusion - 121 -
5 Modeling small farm production systems: optimization of resource allocation - 123 -
5.1 Methodology - 124 -
5.1.1 Optimization Model - 126 -
5.1.2 Plan of optimization - 128 -
5.1.3 Production systems - 131 -
5.1.4 Constraints - 134 -
5.2 Results - 138 -
5.2.1 Model - 138 -
5.2.2 Interest rates - 142 -
5.2.3 Sensitivity analyses - 146 -
5.3 Discussion - 151 -
5.3.1 Cash flows - 151 -
5.3.2 Model outcomes - 152 -
5.3.3 Interest rates - 155 -
5.3.4 Sensitivity analyses - 159 -
5.4 Conclusion - 169 -
6 Synthesis - 171 -
6.1 Lessons learned - 171 -
6.1.1 Research step I - 172 -
6.1.2 Research step II - 175 -
6.1.3 Research step III - 176 -
6.2 Conclusions & outlook - 179 -
6.2.1 General conclusions - 179 -
6.2.2 Outlook - 181 -
References - 185 -
Appendix - 199 - / Las zonas montañosas, incluyendo la región andina son muy sensibles al cambio climático. Los agricultores de los Andes centrales del Perú están cada vez más expuestos a los efectos de la variabilidad climática. Esta investigación transdisciplinaria utiliza laboratorios de campo (field laboratories), combinando los enfoques de sistemas agrícolas y de medios de vida sostenibles, para llevar a cabo evaluaciones sociales, ecológicas y financieras con el fin de identificar estrategias sostenibles y resilientes para los agricultores andinos de pequeña escala.
La primera fase de la investigación caracteriza a los sistemas agrícolas familiares, influenciados por sus contextos biofísicos y socioeconómicos, para lo cual se elaboraron dos índices de vulnerabilidad centrados en la variabilidad del clima, los cinco activos de los medios de vida y los tres componentes de la vulnerabilidad del IPCC. Estos índices muestran las condiciones de alta sensibilidad de la mayoría de las comunidades, con malas condiciones de salud y poco acceso a la infraestructura y a los servicios públicos. La capacidad de respuesta de los agricultores es a menudo limitada por la baja diversidad en las actividades agrícolas y la falta de organización. Posteriormente se identificaron las estrategias de medios de vida sostenibles. Estas incluyen la intensificación en las actividades agrícolas y la intensificación del trabajo no agrícola en las comunidades de zonas bajas y con mejor acceso. En las comunidades con menor acceso y zonas altas la migración temporal es una estrategia de afrontamiento común. Los escenarios sostenibles en estas comunidades incluyen un incremento en las estrategias de diversificación p. ej. a través de un aumento de la biodiversidad agrícola y una mayor proporción de sistemas de producción asociados con árboles.
Por otra parte, la segunda fase de la investigación explora las estrategias locales para hacer frente a las sequías agrícolas y evalúa, por medio de métodos de evaluación de recursos naturales, los sistemas agroforestales como alternativa para reducir sus efectos negativos. Afectados principalmente por el aumento en la variación de las precipitaciones, los pequeños agricultores identifican a la diversificación de actividades dentro y fuera de sus parcelas agrícolas como una estrategia de adaptación frente a las sequías agrícolas que reduce la dependencia climática y la covarianza entre las actividades de subsistencia. Dentro de la introducción de variedades de cultivos y pastos más resistentes, como parte de la solución, los agricultores desean la incorporación de árboles en su sistema debido a su influencia positiva en la humedad del suelo y en los rendimientos de los cultivos. La humedad del suelo en sistemas agroforestales con árboles de eucalipto es un 10-20% mayor que en los sistemas agrícolas durante el comienzo de la estación húmeda. Las diferencias en la humedad del suelo durante el final de la estación seca y en el rendimiento de los cultivos de papa no son evidentes entre estos dos sistemas.
A pesar de esto, el espacio sin siembra dejado en los sistemas agroforestales redujo la producción agrícola en un 13-17%. La tercera fase de la investigación busca maximizar la eficiencia en la asignación de recursos en los sistemas agrícolas familiares mediante el desarrollo de un modelo de optimización de programación lineal. Esta evaluación financiera respalda la necesidad de actividades adicionales no-agrícolas para agricultores con recursos más escasos. Además, con tasas de interés por debajo del 15%, el modelo siempre incluye a los sistemas de producción forestales y/o agroforestales como parte de las soluciones óptimas. Sin embargo, con el aumento de las tasas de interés, una mayor proporción de tierra se utiliza para cubrir las necesidades básicas del hogar y menos recursos están disponibles para las actividades de acumulación de capital como la silvicultura. Las variaciones introducidas en el modelo muestran que los sistemas de pastoreo son más sensibles a los cambios en los condiciones de producción. Por otro lado, la variación en los salarios de los trabajadores agrícolas y en los precios de los árboles afectan en un menor grado las soluciones óptimas, proporcionando sistemas agrícolas menos sensibles a estos cambios en el mercado.
Finalmente, la incorporación de árboles en los sistemas agrícolas ha demostrado ser una estrategia de vida sostenible y resiliente a la variabilidad climática disponible para determinados sistemas agrícolas familiares de la zona de estudio.:1 Introduction - 1 -
1.1 Introduction and justification - 1 -
1.2 Objectives and thesis statements - 2 -
1.3 Outline - 3 -
1.4 Definition of terms - 5 -
1.4.1 Vulnerability - 5 -
1.4.2 Resilience - 7 -
1.4.3 Agroforestry systems - 8 -
1.4.4 Farming system approach - 9 -
1.4.5 Farm household system - 10 -
1.4.6 Sustainable livelihood approach - 10 -
2 Framework and study site - 14 -
2.1 Theoretical framework - 14 -
2.2 Methodological framework - 18 -
2.2.1 Field laboratories - 18 -
2.2.2 Methods - 19 -
2.2.3 Methodology applied in research step I:
Vulnerability in Achamayo - 21 -
2.2.4 Methodology applied in research step II:
Agroforestry systems and agricultural droughts - 29 -
2.2.5 Methodology applied in research step III:
Modeling small farm production systems - 33 -
2.2.6 Selection of case studies - 34 -
2.3 Study area - 35 -
2.3.1 Soils and topography - 35 -
2.3.2 Weather - 37 -
2.3.3 Agro-ecological zones and vegetation - 38 -
2.3.4 Climate change - 40 -
2.3.5 Socioeconomic characteristics - 42 -
2.3.6 Population - 43 -
2.3.7 External determinants - 71 -
2.4 Case studies - 47 -
2.4.1 Lowland communities (L) - 49 -
2.4.2 Middle access communities (M) - 50 -
2.4.3 Highland communities (H) - 51 -
3 Vulnerability in Achamayo - 53 -
3.1 Results - 53 -
3.1.1 Sustainable Livelihood Vulnerability Index (S-LVI) - 53 -
3.1.2 IPCC Livelihood Vulnerability Index (LVI-IPCC) - 68 -
3.2 Discussion - 71 -
3.2.1 Climate variability and extreme events - 71 -
3.2.2 Human capital - 71 -
3.2.3 Social capital - 71 -
3.2.4 Natural capital - 71 -
3.2.5 Physical capital - 71 -
3.2.6 Financial capital - 71 -
3.2.7 Livelihood strategies following the S-LVI and LVI-IPCC indices - 86 -
3.3 Conclusion - 92 -
4 Agroforestry systems and agricultural droughts - 95 -
4.1 Results - 96 -
4.1.1 Farmers’ experience and perception on climate variability and agricultural droughts - 96 -
4.1.2 Agricultural droughts in the farm household systems - 97 -
4.1.3 Farming forestry systems and land-use decision-making - 102 -
4.1.4 Influence of trees in the soil moisture and yield - 104 -
4.2 Discussion - 110 -
4.2.1 Climate change and agricultural droughts - 110 -
4.2.2 Farm forestry systems and land-use decision-making - 115 -
4.2.3 Influence of trees in the soil moisture and yield - 117 -
4.3 Conclusion - 121 -
5 Modeling small farm production systems: optimization of resource allocation - 123 -
5.1 Methodology - 124 -
5.1.1 Optimization Model - 126 -
5.1.2 Plan of optimization - 128 -
5.1.3 Production systems - 131 -
5.1.4 Constraints - 134 -
5.2 Results - 138 -
5.2.1 Model - 138 -
5.2.2 Interest rates - 142 -
5.2.3 Sensitivity analyses - 146 -
5.3 Discussion - 151 -
5.3.1 Cash flows - 151 -
5.3.2 Model outcomes - 152 -
5.3.3 Interest rates - 155 -
5.3.4 Sensitivity analyses - 159 -
5.4 Conclusion - 169 -
6 Synthesis - 171 -
6.1 Lessons learned - 171 -
6.1.1 Research step I - 172 -
6.1.2 Research step II - 175 -
6.1.3 Research step III - 176 -
6.2 Conclusions & outlook - 179 -
6.2.1 General conclusions - 179 -
6.2.2 Outlook - 181 -
References - 185 -
Appendix - 199 - / Hochgebirgsregionen einschließlich der Andenregion sind gegenüber dem Klimawandel sehr empfindlich. Die in den zentralen Anden von Peru lebenden Bauern sind mehr und mehr den Auswirkungen durch Klimaschwankungen ausgesetzt. Diese transdisziplinäre Forschung nutzt Feldlabore, die das System der landwirtschaftlichen Bewirtschaftung und Ansätze zur nachhaltigen Lebensunterhaltssicherung kombinieren, um soziale, ökologische und ökonomische Erhebungen durchzuführen, so dass nachhaltige Livelihood-Strategien für die Kleinbauern in den Anden aufgezeigt werden können.
Der erste Forschungsschritt untersucht und charakterisiert die bäuerlichen Haushaltssysteme, die durch ihre biophysikalischen und sozioökonomischen Kontexte beeinflusst sind. Hierfür wurden zwei Vulnerabilitätsindizes herausgearbeitet, die Klimavariabilität und die fünf Güter des Sustainable Livelihood-Konzepts im Fokus haben, sowie die drei Vulnerabilitätskomponenten des Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC). Diese Indizes decken die hochgradige Sensitivität für die meisten Gemeinden auf, aufgrund des schlechten Gesundheitszustandes sowie dem Mangel an Infrastruktur und öffentlichen Dienstleistungen. Die Fähigkeit der Bauern damit umzugehen, ist zumeist begrenzt durch eine geringe Diversität und fehlende Organisation auf den Farmen. Anschließend werden nachhaltige Livelihood-Strategien aufgezeigt. Diese umfassen die Intensivierung der Arbeit in der Landwirtschaft und der Arbeitskraft außerhalb der Landwirtschaft für Gemeinden im Flachland sowie besser erreichbare Gemeinden. In Hochlandgemeinden und Gemeinden die schwer zugänglich sind, ist temporäre Migration eine geläufige Bewältigungsstrategie. Nachhaltige Szenarien in diesen Gemeinden beinhalten eine höhere Anzahl an Diversifizierungsstrategien wie die Steigerung von Agro-Biodiversität und dem Anteil an baumbasierten Produktionssystemen.
Forschungsschritt II untersucht lokale Strategien, um die landwirtschaftliche Dürre zu bewältigen und bewertet – mit Hilfe von Naturressourcenbewertungsverfahren – Agroforstsysteme als eine Alternative, um die negativen Auswirkungen der Trockenzeiten zu verringern. Beeinträchtigt durch zunehmende Niederschlagsschwankungen, identifizieren Bauern die Diversifizierung von landwirtschaftlichen und nicht-landwirtschaftlichen Aktivitäten als Anpassungsstrategie bei landwirtschaftliche Dürre, wodurch die Abhängigkeit vom Wetter und die Kovarianz zwischen den Aktivitäten für den Lebensunterhalt reduziert werden kann. Neben der Einführung resistenterer Kultur- und Weidepflanzen, ist die Einbeziehung von Bäumen in das System wünschenswert, aufgrund ihres positiven Einflusses auf die Bodenfeuchte und Erträge. Die Bodenfeuchte in agroforstwirtschaftlichen Systemen mit Eukalyptusbäumen ist während der beginnenden Feuchtperiode 20% höher als in landwirtschaftlichen Systemen. Die Unterschiede der Bodenfeuchte am Ende der Trockenzeit und bezüglich des Kartoffelertrags sind zwischen diesen Systemen nicht markant, obwohl eine Fläche, auf der keine Saat ausgebracht wurde, den landwirtschaftlichen Ertrag in Agroforstsystemen um 13 bis 17% mindert.
Forschungsschritt III versucht die Effizienz der Ressourcenzuordnung in Farmhaushaltssystemen zu maximieren, indem ein Optimierungsmodell mit Hilfe der linearen Programmierung entwickelt wird. Diese ökonomische Erhebung unterstreicht die Notwendigkeit zusätzlicher nichtlandwirtschaftlicher Aktivitäten für ressourcenärmere Bauern. Bei Zinsraten unter 15% umfasst das Model baumbasierte Produktionssysteme als einen Teil der optimalen Lösung. Mit steigenden Zinsraten wird jedoch eine größere Bodenfläche dazu verwendet, um die Grundbedürfnisse der Haushalte zu decken und es stehen weniger Ressourcen für Aktivitäten zur Kapitalanhäufung wie Forstwirtschaft zur Verfügung. Die in das Modell involvierten Variationen zeigen, dass Weidesysteme sensibler auf Veränderungen des Produktionsausstoßes reagieren. Schwankungen bei den Löhnen der Farmer und Veränderungen der Baumpreise beeinträchtigen hingegen die optimalen Lösungen weniger. Dadurch sind die landwirtschaftlichen Systeme gegenüber Marktschwankungen weniger anfällig.
Abschließend erweist sich, dass – für bestimmte Farmhaushaltssysteme im Untersuchungsgebiet – die Einbeziehung baumbasierter Systeme als nachhaltige und resiliente Livelihood-Strategie angesichts von Klimaschwankungen nützlich ist.:1 Introduction - 1 -
1.1 Introduction and justification - 1 -
1.2 Objectives and thesis statements - 2 -
1.3 Outline - 3 -
1.4 Definition of terms - 5 -
1.4.1 Vulnerability - 5 -
1.4.2 Resilience - 7 -
1.4.3 Agroforestry systems - 8 -
1.4.4 Farming system approach - 9 -
1.4.5 Farm household system - 10 -
1.4.6 Sustainable livelihood approach - 10 -
2 Framework and study site - 14 -
2.1 Theoretical framework - 14 -
2.2 Methodological framework - 18 -
2.2.1 Field laboratories - 18 -
2.2.2 Methods - 19 -
2.2.3 Methodology applied in research step I:
Vulnerability in Achamayo - 21 -
2.2.4 Methodology applied in research step II:
Agroforestry systems and agricultural droughts - 29 -
2.2.5 Methodology applied in research step III:
Modeling small farm production systems - 33 -
2.2.6 Selection of case studies - 34 -
2.3 Study area - 35 -
2.3.1 Soils and topography - 35 -
2.3.2 Weather - 37 -
2.3.3 Agro-ecological zones and vegetation - 38 -
2.3.4 Climate change - 40 -
2.3.5 Socioeconomic characteristics - 42 -
2.3.6 Population - 43 -
2.3.7 External determinants - 71 -
2.4 Case studies - 47 -
2.4.1 Lowland communities (L) - 49 -
2.4.2 Middle access communities (M) - 50 -
2.4.3 Highland communities (H) - 51 -
3 Vulnerability in Achamayo - 53 -
3.1 Results - 53 -
3.1.1 Sustainable Livelihood Vulnerability Index (S-LVI) - 53 -
3.1.2 IPCC Livelihood Vulnerability Index (LVI-IPCC) - 68 -
3.2 Discussion - 71 -
3.2.1 Climate variability and extreme events - 71 -
3.2.2 Human capital - 71 -
3.2.3 Social capital - 71 -
3.2.4 Natural capital - 71 -
3.2.5 Physical capital - 71 -
3.2.6 Financial capital - 71 -
3.2.7 Livelihood strategies following the S-LVI and LVI-IPCC indices - 86 -
3.3 Conclusion - 92 -
4 Agroforestry systems and agricultural droughts - 95 -
4.1 Results - 96 -
4.1.1 Farmers’ experience and perception on climate variability and agricultural droughts - 96 -
4.1.2 Agricultural droughts in the farm household systems - 97 -
4.1.3 Farming forestry systems and land-use decision-making - 102 -
4.1.4 Influence of trees in the soil moisture and yield - 104 -
4.2 Discussion - 110 -
4.2.1 Climate change and agricultural droughts - 110 -
4.2.2 Farm forestry systems and land-use decision-making - 115 -
4.2.3 Influence of trees in the soil moisture and yield - 117 -
4.3 Conclusion - 121 -
5 Modeling small farm production systems: optimization of resource allocation - 123 -
5.1 Methodology - 124 -
5.1.1 Optimization Model - 126 -
5.1.2 Plan of optimization - 128 -
5.1.3 Production systems - 131 -
5.1.4 Constraints - 134 -
5.2 Results - 138 -
5.2.1 Model - 138 -
5.2.2 Interest rates - 142 -
5.2.3 Sensitivity analyses - 146 -
5.3 Discussion - 151 -
5.3.1 Cash flows - 151 -
5.3.2 Model outcomes - 152 -
5.3.3 Interest rates - 155 -
5.3.4 Sensitivity analyses - 159 -
5.4 Conclusion - 169 -
6 Synthesis - 171 -
6.1 Lessons learned - 171 -
6.1.1 Research step I - 172 -
6.1.2 Research step II - 175 -
6.1.3 Research step III - 176 -
6.2 Conclusions & outlook - 179 -
6.2.1 General conclusions - 179 -
6.2.2 Outlook - 181 -
References - 185 -
Appendix - 199 - / Regiões altomontanas, incluindo os Andes são extremamente sensíveis aos impactos das mudanças climáticas. Pequenos agricultores da região central dos Andes Peruanos estão progressivamente sendo expostos aos impactos das variações climáticas. A presente investigação transdisciplinar utiliza “field laboratories”, combinando os enfoques de sistemas rurais e dos meios de subsistência sustentáveis, visando uma avaliação social, ecológica e financeira, com intuito de se identificar estratégias resilientes e sustentáveis para os pequenos agricultores Andinos.
A primeira etapa do presente estudo investiga e caracteriza os sistemas rurais, influenciados por seus contextos biofísicos e socioeconômicos, para os quais foram elaborados dois índices de vulnerabilidade focados na variabilidade climática, nos recursos dos meios de vida (cinco capitais) e nos três componentes da vulnerabilidade do IPCC. Esses índices mostram as condições altamente sensíveis da maioria das comunidades, com más condições de saúde, acesso à infra-estrutura e serviços públicos. A capacidade de resposta dos pequenos agricultores é frequentemente limitada pela baixa diversificação de actividades na exploração agricola e falta de organização. Posteriormente, foram identificadas estratégias de subsitência sustentáveis. Estas incluem a intensificação tanto do trabalho rural, quanto do não-agrícola para as comunidades de terras baixas e mais acessíveis. Para as comunidades altomontanas e com menor acesso, a migração temporária é uma estratégia de enfrentamento comum. Cenários sustentáveis para essas comunidades incluem um incremento nas estratégias de diversificação p. ex. aumentando a agrobiodiversidade e a parcela dos sistemas de produção florestais.
A segunda etapa da pesquisa explora estratégias locais para lidar com as secas agrícolas e investiga, por meio de métodos de avaliação de recursos naturais, sistemas agroflorestais como alternativa para reduzir os seus efeitos negativos. Afetado principalmente pelo aumento da variação da precipitação, os agricultores identificam a diversificação tanto no trabalho rural, quanto no não-agrícola, como estratégias adaptativas contra secas agrícolas que reduzam a dependência do clima e covariância entre atividades de subsitência. Entre a introdução de culturas e de pastagens de variedades mais resistentes, a incorporação de árvores em seu sistema é desejada por conta da sua influência positiva na umidade do solo e no rendimento das culturas. A umidade do solo em sistemas agroflorestais com árvores de eucalipto é de 10-20% maior do que em sistemas agrícolas durante o início da estação chuvosa. As diferenças na umidade do solo durante o final da estação seca e na produtividade da batata não são evidentes entre estes dois sistemas. Apesar disso, o espaço sem semeadura deixado em sistemas agroflorestais reduziu a produção agrícola em 13-17%.
A terceira etapa da presente investigação visa maximizar a eficiência da alocação de recursos em sistemas agrícolas familiares por meio do desenvolvimento de um modelo de otimização de programação linear. Esta avaliação financeira sustenta a necessidade de atividades não-agrícolas adicionais para agricultores com recursos escassos. Ademais, sob taxas de juros abaixo de 15%, o modelo inclui sistemas de produção florestais como parte da solução ideal. Contudo, com o aumento das taxas de juros, uma parcela maior da propriedade é usada para garantir as necessidades básicas, e portanto, menos recursos do agregado familiar estão disponíveis para atividades de acumulação de capital, tais como a silvicultura. Variações introduzidas no modelo mostram que sistemas de pastagem são mais sensíveis a mudanças nas condições de produção. Ademais, variaçãoes nos salários dos trabalhadores agrícolas e nos preços de árvores afetam menos as soluções ótimas, tornando os sistemas agrícolas menos sensíveis a estas mudanças do mercado.
Por fim, a incorporação de sistemas florestais provaram ser uma estratégia de subsistência sustentável e resiliente contra a variação climática para determinados sistemas de agricultura familiar da área de estudo.:1 Introduction - 1 -
1.1 Introduction and justification - 1 -
1.2 Objectives and thesis statements - 2 -
1.3 Outline - 3 -
1.4 Definition of terms - 5 -
1.4.1 Vulnerability - 5 -
1.4.2 Resilience - 7 -
1.4.3 Agroforestry systems - 8 -
1.4.4 Farming system approach - 9 -
1.4.5 Farm household system - 10 -
1.4.6 Sustainable livelihood approach - 10 -
2 Framework and study site - 14 -
2.1 Theoretical framework - 14 -
2.2 Methodological framework - 18 -
2.2.1 Field laboratories - 18 -
2.2.2 Methods - 19 -
2.2.3 Methodology applied in research step I:
Vulnerability in Achamayo - 21 -
2.2.4 Methodology applied in research step II:
Agroforestry systems and agricultural droughts - 29 -
2.2.5 Methodology applied in research step III:
Modeling small farm production systems - 33 -
2.2.6 Selection of case studies - 34 -
2.3 Study area - 35 -
2.3.1 Soils and topography - 35 -
2.3.2 Weather - 37 -
2.3.3 Agro-ecological zones and vegetation - 38 -
2.3.4 Climate change - 40 -
2.3.5 Socioeconomic characteristics - 42 -
2.3.6 Population - 43 -
2.3.7 External determinants - 71 -
2.4 Case studies - 47 -
2.4.1 Lowland communities (L) - 49 -
2.4.2 Middle access communities (M) - 50 -
2.4.3 Highland communities (H) - 51 -
3 Vulnerability in Achamayo - 53 -
3.1 Results - 53 -
3.1.1 Sustainable Livelihood Vulnerability Index (S-LVI) - 53 -
3.1.2 IPCC Livelihood Vulnerability Index (LVI-IPCC) - 68 -
3.2 Discussion - 71 -
3.2.1 Climate variability and extreme events - 71 -
3.2.2 Human capital - 71 -
3.2.3 Social capital - 71 -
3.2.4 Natural capital - 71 -
3.2.5 Physical capital - 71 -
3.2.6 Financial capital - 71 -
3.2.7 Livelihood strategies following the S-LVI and LVI-IPCC indices - 86 -
3.3 Conclusion - 92 -
4 Agroforestry systems and agricultural droughts - 95 -
4.1 Results - 96 -
4.1.1 Farmers’ experience and perception on climate variability and agricultural droughts - 96 -
4.1.2 Agricultural droughts in the farm household systems - 97 -
4.1.3 Farming forestry systems and land-use decision-making - 102 -
4.1.4 Influence of trees in the soil moisture and yield - 104 -
4.2 Discussion - 110 -
4.2.1 Climate change and agricultural droughts - 110 -
4.2.2 Farm forestry systems and land-use decision-making - 115 -
4.2.3 Influence of trees in the soil moisture and yield - 117 -
4.3 Conclusion - 121 -
5 Modeling small farm production systems: optimization of resource allocation - 123 -
5.1 Methodology - 124 -
5.1.1 Optimization Model - 126 -
5.1.2 Plan of optimization - 128 -
5.1.3 Production systems - 131 -
5.1.4 Constraints - 134 -
5.2 Results - 138 -
5.2.1 Model - 138 -
5.2.2 Interest rates - 142 -
5.2.3 Sensitivity analyses - 146 -
5.3 Discussion - 151 -
5.3.1 Cash flows - 151 -
5.3.2 Model outcomes - 152 -
5.3.3 Interest rates - 155 -
5.3.4 Sensitivity analyses - 159 -
5.4 Conclusion - 169 -
6 Synthesis - 171 -
6.1 Lessons learned - 171 -
6.1.1 Research step I - 172 -
6.1.2 Research step II - 175 -
6.1.3 Research step III - 176 -
6.2 Conclusions & outlook - 179 -
6.2.1 General conclusions - 179 -
6.2.2 Outlook - 181 -
References - 185 -
Appendix - 199 -
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