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The fairy tale intertext in Margaret Atwood's Alias Grace and Anne Hébert's Kamouraska

Li Sheung Ying, Melissa S. Unknown Date
No description available.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.

Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.

Lamontagne, Lydia January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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La théâtralisation du pâtir dans la pièce de théâtre L’Île de la Demoiselle et dans le roman Kamouraska d’Anne Hébert

Léger-Bélanger, Eve 08 1900 (has links)
La passion est un élément central dans les œuvres d’Anne Hébert. Chez les personnages hébertiens, la passion se traduit par une rhétorique distinctive: la rhétorique du pâtir. L’Île de la Demoiselle, pièce de théâtre radiophonique diffusée en 1974, ainsi que Kamouraska, roman publié en 1970, sont des exemples de la construction textuelle du pâtir. Cette forme de souffrance est particulière dans le cas des deux œuvres, car elle semble à la fois subie et voulue par les protagonistes. Notre mémoire porte sur un outil de théâtralisation spécifique, la parole dans le texte, et ce, principalement celle des héroïnes Marguerite de Notron et Elisabeth d’Aulnières. Nous étudions comment le discours construit un pâtir en partie subi, mais aussi maîtrisé et voulu par les protagonistes par le biais de la théâtralisation de la parole. À l’image du théoricien Jean-Pierre Richard, nous effectuons pour chacune des œuvres des microlectures d’extraits, afin de montrer comment le pâtir se déploie dans la parole au fil des phrases. Ces microlectures servent de tremplin à une ouverture sur l’ensemble du texte. Nous appuyant sur la théorie du langage d’Austin, nous analysons le discours, afin de montrer comment il y a performativité de la parole chez les protagonistes, même si les personnages en proie à la passion semblent inactifs. Notre objectif est de montrer comment la mise en scène de la parole est la même dans les deux œuvres. / Passion is a vital element in Anne Hebert’s work. This passion results in a peculiar rhetoric for the characters: the rhetoric of suffering. L’Île de la Demoiselle, theater radio broadcast in 1974, and Kamouraska, novel published in 1970, are prime examples of the textual construction of suffering. In the case of those two works, this kind of suffering is distinctive because it seems to be altogether sustained and desired by the protagonists. This master thesis focuses on one specific tool of dramatization, speech, primarily by the main characters Marguerite de Notron and Elisabeth d’Aulnières. We study how the speech builds sustained, mastered and desired suffering of the main characters via dramatization. For each work, we make microlectures, like the theorician Jean-Pierre Richard did, to study how the suffering unfolds in the speech throughout the text. We use the theory of Austin on language to analyze with various textual themes how there is performativity of speech even if the main characters seem inactive. Our goal is to show how speech staging is the same in both works.
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La théâtralisation du pâtir dans la pièce de théâtre L’Île de la Demoiselle et dans le roman Kamouraska d’Anne Hébert

Léger-Bélanger, Eve 08 1900 (has links)
La passion est un élément central dans les œuvres d’Anne Hébert. Chez les personnages hébertiens, la passion se traduit par une rhétorique distinctive: la rhétorique du pâtir. L’Île de la Demoiselle, pièce de théâtre radiophonique diffusée en 1974, ainsi que Kamouraska, roman publié en 1970, sont des exemples de la construction textuelle du pâtir. Cette forme de souffrance est particulière dans le cas des deux œuvres, car elle semble à la fois subie et voulue par les protagonistes. Notre mémoire porte sur un outil de théâtralisation spécifique, la parole dans le texte, et ce, principalement celle des héroïnes Marguerite de Notron et Elisabeth d’Aulnières. Nous étudions comment le discours construit un pâtir en partie subi, mais aussi maîtrisé et voulu par les protagonistes par le biais de la théâtralisation de la parole. À l’image du théoricien Jean-Pierre Richard, nous effectuons pour chacune des œuvres des microlectures d’extraits, afin de montrer comment le pâtir se déploie dans la parole au fil des phrases. Ces microlectures servent de tremplin à une ouverture sur l’ensemble du texte. Nous appuyant sur la théorie du langage d’Austin, nous analysons le discours, afin de montrer comment il y a performativité de la parole chez les protagonistes, même si les personnages en proie à la passion semblent inactifs. Notre objectif est de montrer comment la mise en scène de la parole est la même dans les deux œuvres. / Passion is a vital element in Anne Hebert’s work. This passion results in a peculiar rhetoric for the characters: the rhetoric of suffering. L’Île de la Demoiselle, theater radio broadcast in 1974, and Kamouraska, novel published in 1970, are prime examples of the textual construction of suffering. In the case of those two works, this kind of suffering is distinctive because it seems to be altogether sustained and desired by the protagonists. This master thesis focuses on one specific tool of dramatization, speech, primarily by the main characters Marguerite de Notron and Elisabeth d’Aulnières. We study how the speech builds sustained, mastered and desired suffering of the main characters via dramatization. For each work, we make microlectures, like the theorician Jean-Pierre Richard did, to study how the suffering unfolds in the speech throughout the text. We use the theory of Austin on language to analyze with various textual themes how there is performativity of speech even if the main characters seem inactive. Our goal is to show how speech staging is the same in both works.
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Forsythe ; suivi de Résistance et aveu dans Les fous de Bassan d’Anne Hébert : le chemin vers la révolution

Laurent-de Chantal, Aude 04 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / L’écriture implique invariablement le désir de dire, sans pour autant aboutir à un aveu. Mais, lorsque cet aveu constitue la source ou l’obsession de l’écriture, l’acte de dire ou de taire transcende le texte, matérialisant ainsi l’aveu lui-même. Ce mémoire de maîtrise en recherche-création s’intéresse à ce geste de révélation scripturale qui suit un événement traumatique, à partir des idées avancées par Michel Foucault dans l’Histoire de la sexualité, ouvrage publié en quatre tomes entre 1976 et 2018 . Le moteur de l’aveu au cœur de la création réside dans la culpabilité de la narratrice associée à la mort accidentelle de son père, mais un désir contraire freine cet élan, celui de passer sous silence la vérité, de celer l’histoire à raconter. C’est un texte composé de fragments, un collage hétérogène qui hésite non seulement à paraître, mais dans sa manière de paraître. L’essai quant à lui porte sur Les fous de Bassan d’Anne Hébert, roman où l’aveu est motivé par un sentiment de responsabilité né du double assassinat des cousines Atkins et partagé entre les membres de leur communauté, soit celle de Griffin Creek, lieu imaginaire situé sur la côte de la Gaspésie. Outre le sujet de l’aveu, les deux parties de ce mémoire croiseront les mêmes chemins – dont ceux de la hantise, de la foi et de la folie – pour cependant parvenir à des destinations différentes. / The act of writing invariably implies a desire to say without necessarily resulting in a confession. However, when the desire to confess constitutes the main motivation for writing, or even an obsession, the act of saying or hushing transcends the text, materialising the confession itself. This master’s thesis in Research-Creation looks at this gesture of scriptural revelation following a traumatic event, basing itself on ideas put forward by Michel Foucault in The History of Sexuality, a work published in four tomes between 1976 and 2018 . In the creation part, the guilt associated with the accidental death of the narrator’s father acts as the primary motive of confession but a contradictory desire of silencing and sealing the truth puts a halt to this impulse. The text is composed of fragments, a heterogeneous collage hesitating not only to reveal itself, but in its way to do it. The essay on the other hand, focuses on Anne Hébert’s Les fous de Bassan in which confession is motivated by a feeling of responsibility towards the double murder of the Atkins cousins, shared between the different members of Griffin Creek’s small imagined community, located somewhere on the Gaspesian Coast. Beside confession, the two parts of this thesis will intersect through many themes – notably haunting memories, faith and madness –, ultimately ending in different destinations.
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Filles d'Hécate ; suivi de Contamination et performativité de la parole dans Les Enfants du sabbat d'Anne Hébert

Bastien, Catherine 04 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création. / La figure de la sorcière et sa parole envoûtante sont au cœur de ce mémoire de recherche-création. Le roman Filles d’Hécate explore les effets d’une parole sorcière au sein d’une communauté carcérale. Dans un pénitencier pour femmes, la narratrice et terroriste « ratée », Sarah, est témoin de la révolte de ses consœurs, menées par une mère infanticide que toutes appellent ‘Ma. Le récit à la première personne, entrecoupé de rituels à la troisième personne du pluriel, gravite autour de cette femme autrefois docile qui s’est soudainement réclamée sorcière, entraînant toute sa communauté dans une confrontation avec l’ordre établi. Dans un univers hautement surveillé et réglementé, quel est le poids de cette parole de contre-pouvoir, se propageant par les rumeurs et les superstitions ? Quel est le potentiel libérateur de ces discours de la marge pour des femmes autrement privées d’agentivité ? L’essai Contamination et performativité de la parole sorcière dans Les Enfants du sabbat d’Anne Hébert propose, quant à lui, de penser les effets de la parole sorcière dans les structures de pouvoir qui régissent la vie au sein du couvent des Dames du Précieux-Sang. Comment la narratrice, Julie, arrive-t-elle à contaminer à la fois l’ordre établi, s’appropriant jusqu’aux pouvoirs de la mère supérieure et de l’abbé Flageole, mais aussi les discours des autorités religieuses ? Il apparaît que la parole performative mise en scène par Hébert opère un renversement des rôles nécessaire à la prise de pouvoir de Julie, conjurant par la même occasion les violences lui étant adressées. La voix transcendante de la jeune religieuse, qui traverse les lieux et les époques et qui est capable de se travestir, vient ouvrir un espace de doute et de profanité au cœur de l’apparente pureté de l’institution religieuse. La parole de Julie de la Trinité acquiert une puissance quasi divine permettant à la sorcière de revisiter son passé et de surpasser sa mère, sorcière désormais déchue. / The witch and her bewitching speech are at the center of this M.A. thesis combining research and creative writing. The novel Filles d’Hécate explores the effects of the witch speech on a carceral community. In a women’s penitentiary, the narrator and “failed” terrorist, Sarah, witnesses the revolt of her sisters, lead by an infanticidal mother that everyone calls ‘Ma. The story in the first person, punctuated with rituals in the third person, revolves around this once docile woman who suddenly has claimed to be a witch, bringing her whole community into a confrontation with the established order. In a highly supervised and regulated universe, what is the weight of this counter-power speech, mainly propagated by rumours and superstitions ? What is the liberating potential of these discourses of the margin for women otherwise deprived of agency ? The essay Contamination et performativité de la parole sorcière dans Les Enfants du sabbat d’Anne Hébert proposes to think about the effects of the witch speech in the power structures that govern life within the “Dames du Précieux-Sang” convent. How does the narrator, Julie, manages to contaminate both the established order, subverting through appropriation the power of the Superior Mother and Abbot Flageole, but also the very discourses of the religious authorities ? It appears that the performative speech written by Hébert operates a reversal of roles necessary for Julie’s empowerment, at the same time countering the violence directed at her. Her transcendent voice, which crosses places and eras and can disguise itself, opens a space of doubt and profanity within the apparent purity of the religious institution. The speech of Julie of the Trinity acquires a quasi-divine power, allowing the witch to revisit her past and surpass her mother, now a fallen witch.
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Entre fiction et histoire : la construction de la figure de la sorcière dans la littérature contemporaine

Sullivan, Maryse 08 July 2019 (has links)
Dans le cadre de cette thèse, nous nous intéressons aux représentations de la sorcière dans la littérature d’inspiration historique à partir des années 1970. Nous analysons la construction de cette figure protéiforme et les métamorphoses qu’elle connaît dans l’imaginaire social lors des dernières décennies du XXe siècle. Plus précisément, nous examinons les différentes facettes de la sorcière, telles qu’elles apparaissent dans quatre romans francophones d’inspiration historique, en relation avec les discours historiques, féministes et postcoloniaux, et les autres productions culturelles de la même période. En étudiant les interactions entre les représentations de la sorcière et d’autres œuvres, travaux et tendances de l’époque, notre thèse met en lumière les problématiques abordées à travers cette figure dans les textes littéraires. La figure de la sorcière reprend notamment des enjeux qui marquent les dernières décennies du XXe siècle, tels la place des femmes et des cultures minoritaires dans la société, la représentation du corps féminin, le recul des religions traditionnelles et l’écriture de l’Histoire. Au moyen des approches sociocritique et intertextuelle, nous explorons ces enjeux et analysons la façon dont les œuvres développent ou prolongent ces réflexions en abordant la figure de la sorcière. De manière à pouvoir tracer l’évolution de la figure et des questions qui lui sont liées, la thèse est divisée en trois parties, représentant chacune une décennie distincte. Après un préambule brossant un tableau de l’imaginaire de la sorcière au début des années 1970, une première partie se concentre sur la construction de la figure de la sorcière dans les romans Les Enfants du sabbat d’Anne Hébert et La Fontaine obscure de Raymond Jean, parus lors de la décennie 1970. Une deuxième partie, centrée sur la décennie 1980, se penche sur le roman Moi, Tituba sorcière... de Maryse Condé. Enfin, une troisième partie s’intéresse au roman Instruments des ténèbres de Nancy Huston, publié pendant les années 1990. En combinant différentes approches, cette thèse tend à mieux comprendre la fonction de la sorcière dans la littérature et les idées qui lui sont associées dans l’imaginaire social à partir de 1970.
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Espaces de retour : dynamiques spatiales, mémorielles et identitaires dans Le premier jardin d’Anne Hébert et Surfacing de Margaret Atwood

Vincent, Stéphanie 12 1900 (has links)
Mémoire réalisé grâce à l'appui du Conseil de recherche en sciences humaines. / Ce mémoire porte sur les interrelations entre les dynamiques spatiale, mémorielle et identitaire dans Le premier jardin d’Anne Hébert et Surfacing de Margaret Atwood. Ainsi, on cherche à savoir comment les concepts d’espace et de lieu permettent de mieux comprendre les dynamiques mémorielles et identitaires en jeu dans les récits de retour. En s’appuyant sur une expérience commune, celle du retour au pays natal, nous étudierons comment les difficultés qu’éprouvent les personnages à se remémorer, à se situer, à habiter ou tout simplement à être sont liées à leur relation conflictuelle à l’espace. Même si elles sont tentées par l’oubli, le retour aux lieux de l’enfance impose aux protagonistes une mémoire sensorielle. Le retour montre également comment les êtres sont liés au lieu, voire façonnés par lui, et comment ils peuvent cependant agir en retour sur lui. Le désir d’exister à travers une identité cohérente en est aussi un d’habiter et d’appartenir à l’espace. Finalement, nous verrons comment il est possible de repenser l’espace du retour à partir de la notion de non-lieu d’Alexis Nouss. / This work examines the interrelations between space, memory and identity in Le premier jardin by Anne Hébert and Surfacing by Margaret Atwood. We seek to know how the concepts of space and place can provide a better understanding of the memory and identity dynamics involved in return narratives. Based on a common experience, that of returning to homeland, we will study how the characters’ difficulties in recalling, situating, living or simply being are linked to their conflictual relationship to space. Even if they are tempted by oblivion, the return to the places of childhood imposes on the protagonists a sensuous memory. The return also shows how beings are linked to place, even shaped by it, and how they can however act on it. The desire to exist through a coherent identity is also one of dwelling and belonging to space. Finally, we will see how Alexis Nouss’ concept of non-place of makes it possible to rethink the space of return.

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