• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • Tagged with
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Les Maximes de la Rochefoucauld en anglais : pour une linguistique de l’aphorisme / La Rochefoucauld’s Maxims in English : towards a linguistic study of aphorisms

Degoute, Mathias 12 June 2010 (has links)
Cette thèse porte sur les traductions anglaises des Maximes de La Rochefoucauld et explore par ce prisme les propriétés linguistiques, pragmatiques et stylistiques de ces énoncés autonomes que sont les aphorismes. Notre étude compare la maxime à d’autres types d’aphorismes tels que les proverbes, adages, dictons et autres mots d’esprit que l’on trouve aussi dans la littérature anglophone. Une réflexion sur la forme des maximes est menée au travers de deux approches. L’une, contrastive, compare la version originale du livre de La Rochefoucauld à huit de ses versions anglaises. Une analyse des écarts entre formulations françaises et anglaises permet d’éclairer l’existence d’une vision très différente de l’aphorisme entre les deux langues. Ces conceptions de la maxime divergent du point de vue de la rhétorique mais aussi de la réception. L’autre approche est génétique : nous nous penchons sur l’élaboration de l’œuvre au travers d’une étude des variantes des maximes que nous livrent les manuscrits et la correspondance de l’auteur. Nous en tirons la conclusion que l’écriture des maximes est circonscrite par des contraintes énonciatives et grammaticales bien précises, qui confèrent aux énoncés autonomie discursive et statut citationnel. On peut ainsi considérer que La Rochefoucauld s’est attaché à approcher un canon aphoristique dont les proportions et les mesures sont à rattacher à la longue tradition littéraire des formes brèves. Ces considérations font la lumière sur les démarches très variées et parfois surprenantes des traducteurs (versification, narrativisation, proverbialisation…). / This dissertation deals with the English translations of La Rochefoucauld’s Maxims in order to address the question of the linguistic, pragmatic and stylistic properties of the autonomous sentences referred to as aphorisms. My study carries out a comparison of the literary form of the maxim with other types of aphorisms such as proverbs, adages, sayings and sentences associated with the English tradition of wit. The formal features of maxims are analysed through a twofold approach. First, the translations of La Rochefoucauld’s sentences are studied in contrast: eight different English versions of the book are compared with the French original. The differences between both idioms’ wordings of such particular sentences point to very different conceptions of aphorisms as far as their use and structure are concerned. These conceptions differ in terms of rhetoric but also in terms of reception. Secondly, heed is paid to the very elaboration of the Maxims through a study of the book’s numerous variants that survived in the form of manuscripts and letters. The conclusion that is drawn sheds light on enunciative and grammatical constraints that define how maxims are written, giving the latter discursive autonomy and status of quotation. La Rochefoucauld’s work may thus be considered to be an attempt at reaching the perfection of an aphoristic canon, the proportions and features of which are to be linked to the ancient tradition of brevity in literature. These considerations contribute to explain and justify the very diverse, even sometimes surprising approaches of English translators since versified, dramatised or proverbialised versions are attested.
2

Friedrich Nietzsche. Metteur en scène de la forme aphoristique

Roy-Desrosiers, Stéphane 08 1900 (has links)
Les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche (1844-1900) posent une évidente difficulté. Cette difficulté n’a pas échappé à l’auteur qui a recommandé à ses lecteurs, en 1887 dans sa préface à Zur Genealogie der Moral, qu’ils pratiquent en lisant ses aphorismes un « art de l’interprétation [Kunst der Auslegung] » [KSA, V, p. 255, § 8.]. Malheureusement, Nietzsche ne dit pas précisément en quoi consiste une telle lecture. Comment le lecteur doit-il alors interpréter les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche? Pour répondre à cette question herméneutique nous nous servirons de la « métaphore du théâtre », présente en filigrane dans l’œuvre du philosophe. Notre mémoire se propose d’abord d’examiner ce que Nietzsche a lui-même dit au sujet des « formes brèves » (la maxime, la sentence, mais surtout l’aphorisme), et en même temps ce qu’il attend plus particulièrement d’un lecteur de ces formes d’expression. Cette analyse philologique du corpus nietzschéen se fera aussi à la lumière des commentaires que Peter Sloterdijk (1947-) et Sarah Kofman (1934-1994) ont proposés de la philosophie nietzschéenne. Après avoir nous-mêmes analysé les propos de Nietzsche portant sur ce qu’il estime être un lecteur à la hauteur de ses écrits, il sera dès lors possible de porter un jugement critique sur la pertinence et la portée des études de Sloterdijk et Kofman qui abordent eux-mêmes la mise en scène de la pensée nietzschéenne au moyen de la métaphore du théâtre. Une part importante de notre critique portera notamment sur la nature synthétique de leurs interprétations philosophiques, menées dans une perspective thématico-synthétique et trans-aphoristique, qui marginalisent à bien des égards la particularité et l’autonomie des formes d’expression au moyen desquelles Friedrich Nietzsche s’exprime. / Reading Friedrich Nietzsche’s (1844-1900) aphoristic works poses an evident difficulty for any reader. This difficulty was not lost on the author of Menschliches, Allzumenschliches (1878), Morgenröthe (1881), Die Fröhliche Wissenschaft (1882) and explains why he recommended to his readers, subsequently in 1887 in his preface to Zur Genealogie der Moral, that they read him by means of a “art of exegesis [Kunst der Auslegung]” [KSA, V, p. 255, § 8.]. Unfortunately, Nietzsche remains ambiguous with regards to what such an art of reading involves. The present dissertation will nevertheless employ the ‘theatre metaphor’ recurrent throughout Nietzsche’s works in the aim of shedding light on this fundamental (hermeneutical) question: How can we, as readers of Friedrich Nietzsche’s aphoristic writings, correctly interpret our role? The first part of the present dissertation examines what Nietzsche has himself said on the subject of “short expressions” in his work (the maxim, the adage, and especially the aphorism), along with the expectations he has of a reader of such forms of expression. This philological analysis of Nietzsche’s writings will also be followed by the commentaries of his philosophy offered by Peter Sloterdijk (1947-) and Sarah Kofman (1934-1994). I will then conduct my own analysis of Nietzsche’s expectations regarding his readership, on the basis of which I will mount a critique of Sloterdijk and Kofman’s readings, both of whom also employ the ‘theatre metaphor’ in order to show how Nietzsche stages his thought. The brunt of this critique will be directed towards the synthetic nature of their philosophical interpretations. Sloterdijk and Kofman construct their readings thematically and trans-aphoristically and in so doing neglect the distinctiveness and autonomy of the individual aphorisms through which Friedrich Nietzsche expresses himself.
3

Friedrich Nietzsche. Metteur en scène de la forme aphoristique

Roy-Desrosiers, Stéphane 08 1900 (has links)
Les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche (1844-1900) posent une évidente difficulté. Cette difficulté n’a pas échappé à l’auteur qui a recommandé à ses lecteurs, en 1887 dans sa préface à Zur Genealogie der Moral, qu’ils pratiquent en lisant ses aphorismes un « art de l’interprétation [Kunst der Auslegung] » [KSA, V, p. 255, § 8.]. Malheureusement, Nietzsche ne dit pas précisément en quoi consiste une telle lecture. Comment le lecteur doit-il alors interpréter les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche? Pour répondre à cette question herméneutique nous nous servirons de la « métaphore du théâtre », présente en filigrane dans l’œuvre du philosophe. Notre mémoire se propose d’abord d’examiner ce que Nietzsche a lui-même dit au sujet des « formes brèves » (la maxime, la sentence, mais surtout l’aphorisme), et en même temps ce qu’il attend plus particulièrement d’un lecteur de ces formes d’expression. Cette analyse philologique du corpus nietzschéen se fera aussi à la lumière des commentaires que Peter Sloterdijk (1947-) et Sarah Kofman (1934-1994) ont proposés de la philosophie nietzschéenne. Après avoir nous-mêmes analysé les propos de Nietzsche portant sur ce qu’il estime être un lecteur à la hauteur de ses écrits, il sera dès lors possible de porter un jugement critique sur la pertinence et la portée des études de Sloterdijk et Kofman qui abordent eux-mêmes la mise en scène de la pensée nietzschéenne au moyen de la métaphore du théâtre. Une part importante de notre critique portera notamment sur la nature synthétique de leurs interprétations philosophiques, menées dans une perspective thématico-synthétique et trans-aphoristique, qui marginalisent à bien des égards la particularité et l’autonomie des formes d’expression au moyen desquelles Friedrich Nietzsche s’exprime. / Reading Friedrich Nietzsche’s (1844-1900) aphoristic works poses an evident difficulty for any reader. This difficulty was not lost on the author of Menschliches, Allzumenschliches (1878), Morgenröthe (1881), Die Fröhliche Wissenschaft (1882) and explains why he recommended to his readers, subsequently in 1887 in his preface to Zur Genealogie der Moral, that they read him by means of a “art of exegesis [Kunst der Auslegung]” [KSA, V, p. 255, § 8.]. Unfortunately, Nietzsche remains ambiguous with regards to what such an art of reading involves. The present dissertation will nevertheless employ the ‘theatre metaphor’ recurrent throughout Nietzsche’s works in the aim of shedding light on this fundamental (hermeneutical) question: How can we, as readers of Friedrich Nietzsche’s aphoristic writings, correctly interpret our role? The first part of the present dissertation examines what Nietzsche has himself said on the subject of “short expressions” in his work (the maxim, the adage, and especially the aphorism), along with the expectations he has of a reader of such forms of expression. This philological analysis of Nietzsche’s writings will also be followed by the commentaries of his philosophy offered by Peter Sloterdijk (1947-) and Sarah Kofman (1934-1994). I will then conduct my own analysis of Nietzsche’s expectations regarding his readership, on the basis of which I will mount a critique of Sloterdijk and Kofman’s readings, both of whom also employ the ‘theatre metaphor’ in order to show how Nietzsche stages his thought. The brunt of this critique will be directed towards the synthetic nature of their philosophical interpretations. Sloterdijk and Kofman construct their readings thematically and trans-aphoristically and in so doing neglect the distinctiveness and autonomy of the individual aphorisms through which Friedrich Nietzsche expresses himself.
4

O evangelho por escrever: uma leitura do desassossego nos fragmentos de Bernardo Soares.

Sousa, Claudia Simone Silva de 20 November 2009 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T15:06:47Z (GMT). No. of bitstreams: 1 ClaudiaSSS.pdf: 413525 bytes, checksum: 8c237813d7e879ce69413645ee7397bb (MD5) Previous issue date: 2009-11-20 / Coordena??o de Aperfei?oamento de Pessoal de N?vel Superior / Cette recherche a pour but d approfondir des ?tudes qui mettent en lumi?re des particularit?s inh?rentes au processus de l ?criture fragmentaire. Notre int?r?t pour ce th?me provient de la po?tique fragmentaire du Le livre de l intranquillit? compos? par Bernardo Soares, assistant de notaire et s?mi-h?t?ronime de l ?crivain Fernado Pessoa. Notre approche de ce genre textuel commencera par une m?thodologie comparative qui nous donnera des notions pour que nous puissions ?tablir quelques rapports de ressemblances et diff?rences entre fragments, maximes, aphorismes et r?flexions dont le corpus litt?raire sera le journal intime de l intranquilit? soarianne, ainsi que la fragmentation du simulacre d auteur au cours des ann?es pendant lesquelles le Livre a ?t? ?crit. Le livre de l intranquillit? lance des ? pulv?risations ? r?flexives, lesquelles demeurent actuelles, ?tant donn? que le processus de l ?criture fragmentaire semble ?tre toujours dans un mouvement constant et, donc, dans l ambiance du ? venir. ? partir de cela, nous avons pass?s pour quelques entraves pour essayer d ?tablir une d?finition pour ce qui serait l ?criture fragmentaire. Nous chercherons des points d intersection visant ? ?tablir des paradigmes pour obtenir des notions plus pr?cises sur ce genre textuel, concernant les maximes, aphorismes et sentences refl?xives. / Este trabalho de pesquisa busca verticalizar estudos que revelem particularidades inerentes ao processo da escritura fragment?ria. Nosso interesse por esse vi?s se deu a partir da po?tica fragment?ria do Livro do desassossego, composto por Bernardo Soares, ajudante de guardalivros na cidade de Lisboa e semi-heter?nimo do escritor Fernando Pessoa. Nossa abordagem acerca desse g?nero textual partir? de uma metodologia comparativa, a qual nos possibilite norteamentos, para que possamos estabelecer algumas rela??es de semelhan?as e diferen?as entre fragmentos, m?ximas, aforismos e reflex?es, cujo corpus liter?rio ser? o di?rio ?ntimo do desassossego soariano, bem como a pr?pria fragmenta??o do simulacro de autor no decorrer dos anos em que o Livro foi escrito. O Livro do desassossego lan?a pulveriza??es reflexivas, as quais permanecem atuais, posto que, o processo da escritura fragment?ria parece estar sempre num movimento cont?nuo e, portanto, no ambiente do porvir. Da? enfrentarmos certos obst?culos ao tentar estabelecer uma defini??o para o que vem a ser a escritura fragment?ria. Logo, buscaremos pontos de interse??es visando a estabelecer algum paradigma, para alcan?armos no??es mais delimitadas acerca desse g?nero textual, envolvendo m?ximas, aforismos e senten?as reflexivas.
5

Akutagawa Ryūnosuke : une écriture du fragment / Akutagawa Ryūnosuke and fragmentary writing

Beauvieux, Marie-Noelle 19 September 2016 (has links)
L’écriture fragmentaire est le lieu d’un flou théorique. Elle est tout d’abord le fruit d’une appréhension intuitive, pragmatique : est fragmentaire tout texte perçu comme tel. D’Héraclite aux surréalistes en passant par Montaigne ou les frères Schlegel, l’écriture fragmentaire est protéiforme. Cependant, dans le champ de la théorie littéraire française, elle n’est généralement envisagée que dans son versant aphoristique et définie à partir d’un corpus composé de textes au statut littéraire à la limite d’un autre champ disciplinaire (la critique, la philosophie), majoritairement en langues occidentales, relevant d’une énonciation sérieuse et factuelle dont la fragmentation relève d’une démarche consciente de pensée et d’écriture. Cette thèse a ainsi pour objectif de montrer, à travers le cas particulier de la poétique singulière du fragment chez Akutagawa Ryūnosuke, l’existence d’un fragment non purement factuel, provenant d’une aire culturelle non occidentale, qui s’inscrit plus largement dans cette écriture de la crise qu’est le fragment moderne selon Françoise Susini-Anastopoulos. Les textes d’Akutagawa qui font l’objet de cette étude sont de nature variée : narratifs, autobiographiques, factuels, fictionnels, aphoristiques ou encore poétiques, ils relèvent néanmoins d’une même esthétique fragmentaire. En confrontant ces textes d’un écrivain japonais du début du XXe siècle aux réflexions théoriques tant japonaises que françaises sur les écritures brèves discontinues, nous tentons de redéfinir les contours d’une écriture fragmentaire littéraire tout en proposant une nouvelle grille de lecture pour des textes divers pour lesquels la catégorisation générique est souvent problématique. Le fragment chez Akutagawa s’articulerait ainsi autour de deux pôles : un brouillage du cadre générique dans lequel s’inscrit le texte, ainsi qu’une énonciation ironique, souvent secondée par un usage prégnant de l’intertextualité. / Fragmentary writing is difficult to define. It is, first of all, the result of a pragmatic, intuitive understanding: a text is called fragmentary when it is perceived as such. From Heraclitus, Montaigne, the Schlegel brothers to the surrealists, fragmentary writing takes many forms. However, in French literary theory, it is often limited to aphoristic texts. Its corpus is made of literary texts mostly written in European languages, which could also belong to another field (like critic or philosophy), which are non-fictional, and where fragmentation is a conscious, voluntary process of thinking and writing.This thesis aims to show, through the concrete example of Akutagawa Ryūnosuke’s poetics of fragmentary writing, the existence of a fragment outside the fiction / non-fiction dichotomy, from a non-western cultural area, which belongs to the modern fragment as crisis literature defined by Françoise Susini-Anastopoulos.In this thesis, we look at various texts written by Akutagawa. Be they narrative, fictional, non-fictional, autobiographical, poetic or aphoristic: all these texts have a common fragmentary aesthetic, despite their diversity. By reading these texts written by a Japanese writer who lived at the beginning of the 20th century under the light of Japanese and French critical works on short and discontinuous writings, we are trying to redefine the outline of a literary fragmentary writing while suggesting a new way of reading them beyond the very different generic categories they are usually thought to belong to. Accordingly, two features could describe Akutagawa’s fragmentary writing: a problematical generic categorization deliberately constructed in the texts, and an ironic voice, which is often accompanied by intertextuality. This thesis aims to show, through the concrete example of Akutagawa Ryūnosuke’s poetics of fragmentary writing, the existence of a fragment outside of the fiction / non-fiction dichotomy, from a non-western cultural area, which belongs to the modern fragment as crisis literature defined by Françoise Susini-Anastopoulos.In this thesis, we look at various texts written by Akutagawa. Narrative, fictional, non-fictional, autobiographical, poetic, aphoristic: all the texts have, despite their diversity, a common fragmentary aesthetic. By reading these texts, written by a Japanese writer who lived at the beginning of the 20th century, under the light of Japanese and French critical works on short and discontinuous writings, we are trying to redefine the outline of a literary fragmentary writing while suggesting a new way of reading problematical texts in terms of literary genre. Accordingly, two features could describe Akutagawa’s fragmentary writing: a problematical generic categorization deliberately constructed in the text and an ironic voice, which is often accompanied by a prominent intertextuality.

Page generated in 0.0344 seconds