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Les évolutions de la frontière entre la province romaine de Germanie supérieure et la Germanie des Sévères à Dioclétien : stratégies et mutations / The evolutions of the border between Upper Germany and Germany from Severe to Diocletian : strategies and mutations

Wallerich, Yves 23 September 2016 (has links)
Cette thèse a pour objet de mener une réflexion sur les différentes fonctions entre la frontière de Germanie supérieure et celle de Germanie, en insistant plus particulièrement sur sa dimension militaire et sa place dans la stratégie de défense de l’Empire. L’étude de ce limes est particulièrement intéressante des Sévères à Dioclétien, car c’est une période où il connaît de nombreuses transformations et adaptations jusqu’à son abandon et le retour sur la 'ripa ' du Rhin. Après avoir défini le limes et ses fonctions, nous verrons que les échanges y sont limités entre le monde romain et germanique et qu’il est efficace pour lutter contre les raids de faible intensité. Son abandon s’explique à la fois par les guerres civiles et par les mutations dans le monde germanique. Après l’unité retrouvée de l’Empire, les empereurs créent une nouvelle ligne de défense sur le Rhin qui est complétée par la création d’un Etat-tampon, l’Alamannia. / This thesis aims to reflect on the different functions between the upper border of Germany and that of Germany, with particular emphasis on its military dimension and its place in the Empire defense strategy. The study of the limes is particularly interesting from the Severi to Diocletian, because this is a period when it has many changes and adjustments to its abandonment and the return on the 'ripa' the Rhine. After defining the limes and its function, we will see that trading is limited between the Roman and Germanic world and that effective against low-intensity raids. Its abandonment is explained both by civil wars and by changes in the Germanic world. After the rediscovered unity of the Empire, the emperors created a new line of defense on the Rhine which is complemented by the creation of a buffer state, the Alamannia.
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Le combat de cavalerie dans le monde romain du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C. / Cavalry warfare in the Roman world from the 1st century BC to the 6th century AD

Petitjean, Maxime 09 December 2017 (has links)
L’étude a pour objet le combat de cavalerie dans le monde romain du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C. Il s’agit d’un travail de synthèse, traitant de la doctrine d’emploi de la cavalerie aux époques impériale et proto-byzantine. Les questions organisationnelles et stratégiques sont abordées, mais la focale est surtout mise sur la tactique et la physionomie du combat. L’objectif de cette recherche est de rendre compte de l’évolution de l’art de la guerre durant la fin de l’Antiquité en analysant spécifiquement les enjeux liés au développement et à l’utilisation de la cavalerie. L’importance croissante des troupes montées dans la stratégie impériale marque en effet une rupture importante dans l’histoire de l’armée romaine. Au primat des guerres offensives, de la bataille rangée et de l’infanterie lourde succède progressivement celui de la temporisation, de la guérilla frontalière et des cavaliers-archers. Ces changements, qui n’ont jamais fait l’objet d’une analyse approfondie, sont ici situés dans le temps long de l’Antiquité romaine. Le dialogue des sources narratives, techniques, figurées et archéologiques permet de dégager un schéma évolutif cohérent, un « développement organique des formes de combat » (Hans Delbrück) que nous nous efforçons de réinscrire dans le contexte plus large de l’évolution de la culture militaire impériale, en attachant une importance particulière au rapport des Romains à la guerre et à leur perception idéale des rôles respectifs de l’infanterie et de la cavalerie. / This study is about cavalry warfare in the Roman world from the 1st century BC to the 6th century AD. It is a work of synthesis dealing with the employment doctrine of cavalry in the imperial and early Byzantine eras. Organizational and strategic issues are discussed, but the focus is mainly put on tactics and battle mechanics. The aim of this research is to account for the evolution of the art of war during the end of Antiquity by analyzing specifically the stakes involved in the development and use of cavalry. The growing importance of mounted troops in the imperial strategy marks an important change in the history of the Roman army, with a gradual shift from offensive warfare, pitched battle and heavy infantry toward deception, frontier warfare and mounted archery. These changes, which have never been the subject of a thorough analysis, are here reviewed in the overall context of Roman history. The cross-analysis of narrative, technical, iconographic and archaeological sources reveals a coherent evolutionary pattern, an "organic development of forms of combat" (Hans Delbrück), which we endeavor to reinsert in the wider context of a changing Roman military culture, attaching particular importance to the Romans' relationship to warfare and to their ideal perception of the respective roles of infantry and cavalry.
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La défense et l'organisation militaire des Gaules de 284 au repli sur Arles des services administratifs romains au début du Ve siècle

Gauthier, François 12 1900 (has links)
L’armée de Gaule sous le Bas-Empire fut une des trois armées principales de l’Empire romain. Son évolution de la fin du IIIe siècle jusqu’au début du Ve fut marquée par une réorganisation graduelle dans le commandement, ainsi que dans l’organisation des troupes et des fortifications. Ces réformes ont fait l’objet d’études qui ont dressé un schéma de déploiement des troupes resté longtemps populaire. À ce schéma s’est ensuite ajoutée l’idée de la stratégie à grande échelle qui y aurait été associée. Ce mémoire tâche de dresser une synthèse des derniers travaux sur l’armée romaine tardive en Gaule. L’approche choisie repose sur une réévaluation des sources sans l’influence d’un schéma défensif préconçu, ainsi que sur une critique de certaines idées reçues concernant l’armée romaine du IVe siècle. / The army stationed in Gaul during the Later Empire was one of the three main armies available to the Roman Empire. Its evolution from the late IIIrd century to the early Vth century was marked by reforms applied gradually to the high command, and to the organization of troops and fortifications. These measures have interested scholars who established a model of troop deployment which enjoyed great popularity over a long period of time. The idea of strategy applied on a great scale was later included in this concept. This thesis proposes a synthesis of the latest research on the late Roman army in Gaul. The selected approach of analysis is based on a reevaluation of the sources without the bias of a preconceived defensive model. Some obsolete ideas regarding the late Roman army will also be subject to criticism.
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Recherches sur les fédérés et l'armée romaine (de la fin du IIe siècle après J.-C. au début du VIIe siècle après J.-C) / Research on Federates and the Roman army (from the end of the second century AD to the beginning of the seventh century AD)

Sartor, Guillaume 08 December 2018 (has links)
La présente recherche sous la direction de J.-M. Carrié, a porté sur les fédérés (foederati), ces combattants barbares servant dans leurs contingents ethnico-tactiques sous commandement de leurs chefs ethniques. Les fédérés étaient fournis par des groupes ethniques alliés de l’Empire dans le cadre de traités (foedus/foedera, spondê/spondai, synthêkê/synthêkai) : des gentes foederatae, enspondoi, hypospondoi, ces termes soulignant le lien diplomatique entre l’Empire et la gens. A la dimension diplomatique, s’ajoute la dimension militaire exprimée dans le vocabulaire de l’alliance (societas, symmachia), de l’auxiliariat (auxilium) ainsi que dans celui de l’amitié (amicitia/philia). L’analyse terminologique montre que les auteurs anciens utilisent le vocabulaire classique comme un filtre qu’il faut dépasser pour appréhender les fédérés. Une analyse fine et contextualisée des sources restituant une stratigraphie sémantique et révélant les anachronismes d'historiens décrivant d'après la situation de leur époque des phénomènes passés, a permis de souligner cette évolution masquée par la continuité terminologique. L’apparition des termes techniques foederati et phoideratoi au Ve siècle ne doit pas tromper. Il faut interpréter le terme foederati à partir des années 400 comme le recours à un terme républicain ancien pour désigner un nouvel aspect d’une réalité connue des Romains – celle des contingents fournis par les alliés selon des traités – notamment depuis le basculement stratégique des guerres danubiennes sous Marc Aurèle qui annoncent les difficultés à venir de l’Empire au IIIe siècle – puis aux Ve et VIe siècles – et la nécessité pour ce dernier de trouver des solutions aux périls pesant sur l’ordre impérial : le recours au substantif foederati permettait de nommer des combattants levés par traités auprès de gentes établies sur le sol impérial (gentes foederatae intra fines imperii), les Goths incarnant, après Andrinople, les premières gentes établies par traités dans l’Empire, alors que le terme désignait les contingents ethnico-tactiques fournis par des gentes foederatae extérieures au territoire impérial. Il faut distinguer les foederati extérieurs fournis par les gentes foederatae extérieures des foederati impériaux fournis par les gentes établies dans l’Empire à partir des années 380-400. Si le phénomène des foederati est ancien, les admissions territoriales de gentes par foedera/spondai lui conférèrent de nouveaux aspects. Par l’établissement territorial de gentes intra fines imperii, l’Empire appliquait à des groupes un mode de gestion de relations romano-barbares réservé aux gentes extérieures au territoire impérial : la conclusion de traités. Pris dans une logique de rapports de force, sur son sol et sur ses confins, l’Empire devait utiliser ces gentes selon ses intérêts. L’étude montre que l’Empire tenta de maîtriser le phénomène en intégrant les foederati au système militaire impérial suivant des besoins militaires, tactiques et stratégiques. Le recours aux chefs comme médiateurs entre leurs gentes, leurs fédérés et l’Empire a été fondamental. La volonté de contrôle de l’Etat impérial se mesure également à l’intégration des foederati au système logistique (ravitaillement, rémunérations, entretien) de la machine de guerre impériale. On peut se demander si l’Etat impérial n’a pas conçu les foederati comme un outil permettant de gérer différemment les ressources militaires, humaines et financières nécessaires à la défense de l’Empire. A cette fin, l’idéologie impériale a développé un discours justifiant l’emploi par l’Empire de ses gentes foederatae avec des objectifs stratégiques répondant aux défis auxquels l’Empire fut confronté de la fin du IIIe siècle au début du VIIe siècle. / The federates (foederati, symmachoi, auxiliares) were soldiers recruited among barbarian groups (gentes) – settled inside or outside the Empire – who committed by treaties (foedus/foedera ; spondê/spondai) to provide the Emperor with warriors serving on their owns.The study tries to show that the Empire attempted to control this phenomenon by including the foederati to the imperial military system in accordance with military needs and specific tactics.The will of control from the imperial state is also measured by the integration of the foederati into the imperial logistical system during military operations (food supplies, payment, and maintenance).One can wonder if the imperial state didn’t create the foederati as a tool allowing to manage – in a different way – the military, human, and financial resources required to the defense of the Empire.To that purpose, the imperial ideology seems to have set up a speech to justify and legitimate the employment by the Empire of these gentes foederatae (enspondoi, hypospondoi) with strategic goals/aims, in agreement with the challenges the Empire was confronted by from the end of the 3rd century to the beginning of the 7th (century).

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