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la ville méditerranéenne : approche spatiale d'une aire géographique multiculturelle de proximité à travers un concept producteur d'espace : la propreté

Jacob, Frederique 06 December 2006 (has links) (PDF)
Approcher les villes de l'aire méditerranéenne occidentale à travers le concept de propreté permet de révéler, à partir d'indicateurs non habituels, la diversité culturelle, civilisationnelle, géographique... de cet espace. Ce concept de propreté, dont l'usage devient récurrent, nécessite réflexion : pourquoi, où, pour qui, comment, par qui, à quel coût, dans quel but. ? Révélateur des conceptions de chacun, il joue un rôle important sur nos actions d'aménagement de l'espace et détermine une valeur au lieu et le qualifie positivement ou négativement : il est, ainsi, producteur d'espace. La prise en compte de la complexité émanant des nombreux critères de lisibilité révélant les multiples niveaux d'acteurs (décideurs, habitants, touristes, hommes, femmes etc.) associée à de nouvelles méthodologies est susceptible de conforter la prise de décision concernant des lieux publics (plus ou moins de propreté dans un lieu). Le second volet, plus pragmatique, initie une approche se référant aux jeux et aux systèmes multi-agents. La connaissance des relations hommes, territoires, actions et de leurs interactions peuvent faciliter l'aide à la décision, tout en assurant une information de qualité : les deux volets d'une gouvernance réussie.
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La mise en tourisme de l'Ardenne belge (1850-1914) Genèse et évolution d'un espace touristique. Processus, acteurs et territoires.

Quériat, Stéphanie 27 October 2010 (has links)
Ce travail sur la mise en tourisme de l’Ardenne se veut une première pierre sur laquelle, nous l’espérons, des recherches ultérieures, relatives à l’Ardenne mais aussi à d’autres espaces, pourront venir s’appuyer mais aussi se confronter. Pour poser les fondements, il fallait tenir compte du système touristique dans son ensemble et l’attaquer sur plusieurs fronts : celui des représentations, de la perception, celui correspondant à la réalité plus physique du territoire, celui de ses acteurs et en particulier des touristes qui le pratiquent. C’est que nous avons tenté. Notre travail s’est prioritairement basé sur les ouvrages touristiques (guides touristiques, récits de voyage et leurs multiples combinaisons), source, injustement décriée par certains scientifiques mais pourtant incontournable pour le chercheur, pour autant qu’il s’attache à la questionner de manière approfondie et avec des outils renouvelés. Ces outils, nous les avons trouvés dans la cartographie numérique, empruntée à la géographie. Elle a ici été employée de manière innovante et dynamique pour traduire dans l’espace les données présentes dans les sources et ainsi clarifier, illuminer les processus et les transformations qui s’opèrent au sein des espaces considérés. Dans une perspective interdisciplinaire, notre approche historique, s’est nourrie d’autres disciplines pour aiguiser ses méthodes. Elle s’en est aussi inspirée pour structurer ce travail. Le concept de mise en tourisme, créé par les géographes, exprime le passage, pour un territoire, d’un état non touristique vers un état touristique. Nous l’avons combiné, de manière souple, au concept d’artialisation, conçu par le philosophe Alain Roger et qui exprime quant à lui le passage pour un espace de l’état de territoire à celui de paysage, soit grâce aux transformations, aux modifications physiques opérées sur le territoire lui-même par divers acteurs – on parle alors d’artialisation in situ –, soit grâce aux transformations opérées dans (et par) le regard collectif posé sur cet espace et induites par des modèles ou des schèmes de perception – l’artialisation est alors dite « in visu ». L’intérêt des deux concepts résidait notamment dans la place particulièrement significative que chacun d’eux accordent aux acteurs. Un cadre qui s’envisageait selon trois grands axes était ainsi donné à nos résultats : Le premier de ces axes est celui de la mise en tourisme in visu, qui correspond aux transformations opérées dans le regard collectif posé sur l’espace considéré, qui transforme cet espace en territoire touristique, à travers des modèles ou des schèmes de perception. Nous y avons analysé l’origine de l’imaginaire associé à l’Ardenne, son contenu et son évolution ainsi que la construction de l’espace touristique ardennais comme un espace cohérent à travers les représentations et perceptions qui lui sont associées dans une série de médias (ouvrages touristiques, peintures, photographies, etc.). Le second axe choisi est celui de la mise en tourisme in situ qui correspond aux modifications opérées de manière plus physique sur le territoire. Nous y avons privilégié une approche basée sur l’analyse approfondie des implantations hôtelières touristiques et de leurs exploitants, sur celle des curiosités touristiques et enfin, dans une moindre mesure de la résidence secondaire. De manière générale, cette partie insiste sur le caractère progressif et l’ancrage local des infrastructures touristiques ardennaises qui contrastent avec la mise en tourisme in situ de la côte belge, réalisée à coup de projets de grande ampleur avec des capitaux extérieurs. Le troisième axe correspond aux acteurs : ceux qui interviennent dans les processus décrits ci-dessus mais aussi et surtout les touristes. Nous nous sommes intéressée dans le dernier chapitre à leurs origines géographiques, à leur profil socio-économique (petite et moyenne bourgeoisie essentiellement), à leurs pratiques, etc. L’analyse de la source particulièrement exceptionnelle que constitue le livre d’or des grottes de Rochefort a notamment permis de mettre en évidence, aux côtés d’une sociabilité familiale classique, la présence en nombre de touristes (environ 30% des visiteurs de la grotte) venant par le biais de diverses associations créées dans le but d’encadrer les loisirs mais aussi de protéger et consolider les fondements de la nation. Elles constituent l’une des bases sur lequel s’appuie le tourisme en Ardenne mais aussi, pour certaines, les prémices d’un tourisme social. Notre étude sur la mise en tourisme de l’Ardenne belge s’attache donc à expliquer comment ce territoire devient progressivement synonyme d’espace touristique, d’espace culturel et de loisirs. Elle en donne le sens. Elle permet sans aucun doute de mieux comprendre la genèse du tourisme en Ardenne, les liens profonds qui existent entre cette nouvelle activité et le territoire dans lequel elle s’insère. Elle lui donne un cadre spatial et explicite les processus actifs en son sein. Elle permet également certainement de mieux comprendre l’articulation et les différences entre le champ des représentations et celui des pratiques et de leurs infrastructures. Elle s’est intéressée de près aux acteurs de ces différentes sphères. A une autre échelle, elle éclaire une facette particulière de l’histoire de la Belgique.
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La mise en tourisme de l'Ardenne belge, 1850-1914: genèse et évolution d'un espace touristique :processus, acteurs et territoires

Queriat, Stéphanie 27 October 2010 (has links)
Ce travail sur la mise en tourisme de l’Ardenne se veut une première pierre sur laquelle, nous l’espérons, des recherches ultérieures, relatives à l’Ardenne mais aussi à d’autres espaces, pourront venir s’appuyer mais aussi se confronter. Pour poser les fondements, il fallait tenir compte du système touristique dans son ensemble et l’attaquer sur plusieurs fronts :celui des représentations, de la perception, celui correspondant à la réalité plus physique du territoire, celui de ses acteurs et en particulier des touristes qui le pratiquent. C’est que nous avons tenté. <p><p>Notre travail s’est prioritairement basé sur les ouvrages touristiques (guides touristiques, récits de voyage et leurs multiples combinaisons), source, injustement décriée par certains scientifiques mais pourtant incontournable pour le chercheur, pour autant qu’il s’attache à la questionner de manière approfondie et avec des outils renouvelés. Ces outils, nous les avons trouvés dans la cartographie numérique, empruntée à la géographie. Elle a ici été employée de manière innovante et dynamique pour traduire dans l’espace les données présentes dans les sources et ainsi clarifier, illuminer les processus et les transformations qui s’opèrent au sein des espaces considérés.<p><p>Dans une perspective interdisciplinaire, notre approche historique, s’est nourrie d’autres disciplines pour aiguiser ses méthodes. Elle s’en est aussi inspirée pour structurer ce travail. <p>Le concept de mise en tourisme, créé par les géographes, exprime le passage, pour un territoire, d’un état non touristique vers un état touristique. Nous l’avons combiné, de manière souple, au concept d’artialisation, conçu par le philosophe Alain Roger et qui exprime quant à lui le passage pour un espace de l’état de territoire à celui de paysage, soit grâce aux transformations, aux modifications physiques opérées sur le territoire lui-même par divers acteurs – on parle alors d’artialisation in situ –, soit grâce aux transformations opérées dans (et par) le regard collectif posé sur cet espace et induites par des modèles ou des schèmes de perception – l’artialisation est alors dite « in visu ». L’intérêt des deux concepts résidait notamment dans la place particulièrement significative que chacun d’eux accordent aux acteurs.<p>Un cadre qui s’envisageait selon trois grands axes était ainsi donné à nos résultats :<p><p>Le premier de ces axes est celui de la mise en tourisme in visu, qui correspond aux transformations opérées dans le regard collectif posé sur l’espace considéré, qui transforme cet espace en territoire touristique, à travers des modèles ou des schèmes de perception.<p>Nous y avons analysé l’origine de l’imaginaire associé à l’Ardenne, son contenu et son évolution ainsi que la construction de l’espace touristique ardennais comme un espace cohérent à travers les représentations et perceptions qui lui sont associées dans une série de médias (ouvrages touristiques, peintures, photographies, etc.).<p><p>Le second axe choisi est celui de la mise en tourisme in situ qui correspond aux modifications opérées de manière plus physique sur le territoire. Nous y avons privilégié une approche basée sur l’analyse approfondie des implantations hôtelières touristiques et de leurs exploitants, sur celle des curiosités touristiques et enfin, dans une moindre mesure de la résidence secondaire.<p><p>De manière générale, cette partie insiste sur le caractère progressif et l’ancrage local des infrastructures touristiques ardennaises qui contrastent avec la mise en tourisme in situ de la côte belge, réalisée à coup de projets de grande ampleur avec des capitaux extérieurs. <p><p>Le troisième axe correspond aux acteurs :ceux qui interviennent dans les processus décrits ci-dessus mais aussi et surtout les touristes. Nous nous sommes intéressée dans le dernier chapitre à leurs origines géographiques, à leur profil socio-économique (petite et moyenne bourgeoisie essentiellement), à leurs pratiques, etc. L’analyse de la source particulièrement exceptionnelle que constitue le livre d’or des grottes de Rochefort a notamment permis de mettre en évidence, aux côtés d’une sociabilité familiale classique, la présence en nombre de touristes (environ 30% des visiteurs de la grotte) venant par le biais de diverses associations créées dans le but d’encadrer les loisirs mais aussi de protéger et consolider les fondements de la nation. Elles constituent l’une des bases sur lequel s’appuie le tourisme en Ardenne mais aussi, pour certaines, les prémices d’un tourisme social. <p>\ / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Formes et fonctions du paysage dans l'épopée hellénistique et tardive / The forms and functions of the landscape in hellenistic and late epic

André, Laury Nuria 08 December 2012 (has links)
Notre travail se propose d'analyser les formes et les fonctions que peut revêtir le paysage dans un corpus de textes épiques posthomériques. Les Argonautiques d'Apollonios de Rhodes et leur réécriture tardive anonyme, les Argonautiques Orphiques, les Posthomériques de Quintus de Smyrne, la Prise d'Ilion de Triphiodore et les Dionysiaques de Nonnos de Panopolis nous offrent un champ d’investigation fructueux pour analyser les représentations littéraires du paysage de manière transhistorique. Nos textes opèrent une première transformation du paysage épique archaïque qui est d'abord l'image du monde avec laquelle il se confond (adéquation posée entre bouclier, île et monde) en détachant de cette équation le paysage pour lui conférer une plus grande autonomie. Le monde devient une mosaïque de paysages autonomes qui gagnent en épaisseur du fait qu'ils se chargent d'une dimension identitaire. La polymorphie du paysage donne alors sa texture mouvante au monde des Grecs : c'est la dimension plastique et artiste que le texte de poésie épique emprunte pour mettre en mots ces images du monde qui révèle les formes du paysage épique. Une diversité de schèmes paysagers émergent et ouvre l'intertexte littéraire à l'hétérogénéité des formes artistiques. De cette fusion de processus et de formes naît une singularité bien antique de perception et de traduction du paysage : la merveille. Paysage et merveille s'entremêlent étroitement au point de se substituer l'un à l'autre : c'est là une définition possible du paysage antique à partir de la période hellénistique. Mais le paysage ainsi identifié et construit appartient aussi au monde dont il contribue à imager la forme. Il est clairement localisé d'un point de vue géographique : image vivante d'une partie du monde il lui offre son identité par ses caractéristiques topiques singulières. Il est une forme d'identification régionale et confine au vernaculaire. Le paysage devient un instrument de promotion intellectuelle et culturelle. Entre diversité formelle et singularité locale, le paysage voyage entre fiction et réel : ses modalités de construction empruntent au littéraire et à l'artistique et s'étendent ensuite grandeur nature. Le genre épique, marqué par l'intertextualité innovante, fait du paysage l'image même du processus de transposition et d'adaptation. Manifestation de l'exercice d'une subjectivité antique singulière puis collective, instrument de mesure du travail de l'imaginaire à l’œuvre dans les processus complexes de réception littéraire et culturelle, le paysage antique entre transmission et invention, s'ouvre à l'expérience quotidienne et sociale. Son existence antique est effective. / The undertaking of this work is to analyze the forms and functions that the landscape can take in a corpus of posthomeric epic texts. The Argonautica of Apollonius of Rhodes and its late anonymous rewriting The Orphic Argonautica, the Posthomerica of Quintus Smyrnaeus, the Ilioupersis of Triphiodorus, and The Dionysiaca of Nonnus Panopolitanus provide us with a fruitful field of investigation for the analysis of the literary representations of the landscape as transhistorical. Firstly, our texts operate one transformation of the archaic epic landscape that is first the image of the world with which it merges (the conformity placed between shield, island, and world) by separating the landscape from this equation and giving it greater autonomy. The world is a mosaic of autonomous landscapes that gain texture as they take on a dimension of identity. The polymorphism of the landscape then gives its moving texture to the world of the ancient Greeks : the plastic and artist dimension is borrowed by the Epic text to put into words the images of the world, which reveal epic landforms. A variety of landscape patterns emerges and opens the literary intertext to the heterogeneity of artistic forms. From this fusion of process and forms, a singularity arises, a singularity particularly antique of the perception and the translation of the landscape : wonder. Landscape and wonder mingle so narrowly as to substitute one for the other : this is a possible definition of the ancient landscape from the Hellenistic period. But the landscape as thus identified and constructed also belongs to the world the image of which it contributes to form. It is clearly localized in a geographical perspective : the landscape becomes a vivid picture of the world and the former offers the latter its identity by its unique topical characteristics. It is a form of regional identification and it is sometimes confined to the vernacular. The landscape becomes an instrument for intellectual and cultural promotion. Between formal diversity and local singularity, the landscape travels between fiction and reality : its construction methods borrow from the literary and artistic and then extend to nature. The epic genre, characterised by innovative intertextuality, makes the landscape the image of the process of transposition and adaptation. As a manifestation of the exercise of a singular and then a collective ancient subjectivity, the landscape is an instrument for measuring the unfolding of the imagination at work in the complex process of literary reception and cultural transmission ; the ancient landscape between transmission and invention, opens itself up to the everyday and social experience. Its ancient existence is effective.

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