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L'univers romanesque de Calixthe Beyala pour une illustration des orientations actuelles du roman féminin d'Afrique noire francophone /

Manfoumbi Mve, Achille-Fortuné Diop, Papa Samba. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Lettres : Paris 12 : 2007. / Thèse uniquement consultable au sein de l'Université Paris 12 (Intranet). Titre provenant de l'écran-titre. Pagination : 370 p. Bibliogr. p. 342-357.
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Réception en France des romans d'Ahmadou Kourouma, Sony Labou Tansi et de Calixthe Beyala

Mombo, Charles Edgar Diop, Papa Samba. January 2004 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Littérature francophone : Paris 12 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. Index.
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Prostitution chez Calixthe Beyala race, corps, regard /

Mouflard, Claire Angélique. January 2007 (has links)
Thesis (M.A.)--University of Montana, 2007. / Title from title screen. Description based on contents viewed Aug. 7, 2007. Includes bibliographical references (p. 28-29).
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Freedom of female sexuality in Calixthe Beyala's C'est le soleil qui m'a brûlée: a critical analysis in translation

Chomga, Annick Vanessa Magne January 2016 (has links)
A research report submitted to the Faculty of Humanities, University of the Witwatersrand, Johannesburg, in partial fulfilment of the requirements for the degree of Master of Arts in Translation Johannesburg, March 2016 / The study provides a comparative and contrastive analysis of Calixthe Beyala’s novel, C'est le soleil qui m'a brûlée, and its translation, The Sun Hath Looked upon Me, by Marjolijn de Jager focusing on textual, paratextual and metatextual elements of these two texts. The analysis shows how the translator dealt with the disruptive stylistic effects of a postcolonial text and the themes around which the novel is centred. Problems and solutions related to postcolonial translations and relevant theories are approached in the analysis. The textual analysis is done using Gérard Genette’s (1997) model of analysis of the elements of the paratext and Vinay and Darbelnet’s (1995) model of comparative analysis of French and English. / GR2017
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Disqualification de l'homme et (en)jeux symboliques dans l'œuvre romanesque de Calixthe Beyala

Ngolwa, Moïse 19 April 2018 (has links)
Se fondant sur un corpus de huit romans de Calixthe Beyala (C'est le soleil qui m'a brûlée, Le petit prince de Belleville, Maman a un amant, Les honneurs perdus, La petite fille du réverbère, Comment cuisiner son mari à l'africaine, L'homme qui m'offrait le ciel et Le roman de Pauline) publiés entre 1987 et 2009, notre recherche a voulu interroger la disqualification de l'homme au-delà des clichés et des stéréotypes de lecture, en relation avec les enjeux symboliques de l'institution. Écrivaine polymorphe, Beyala, à travers ruses, dénégations, marque son entrée fracassante dans le champ par le meurtre de l'homme. Et, d'un roman à l'autre, la romancière accentue sa singularité par le rabaissement de l'homme. Celui-ci déserte généralement le couple conjugal, abandonne les enfants, ou alors il est pris en charge par la femme qui le soumet. La femme, quant à elle, est pleine de belles initiatives, mène une vie enviable et c'est elle qui pourvoit aux besoins des enfants. Mais ces thématiques sociales permettent à Beyala d'observer de préférence les petites circonscriptions de la vie quotidienne et à les traiter en données immédiates de la conscience sociale au niveau des rapports, à s'attacher à peindre la condition des gens de peu (les minorités, les démunis, les banlieues, l'Afrique) et celle des marginaux ou de ceux qu'on peut prendre pour tels, comme les relations mixtes sur le plan social, la polygamie, les enfants issus de ces relations. Ces sociologies qu'on appellerait de terrain sont, pour Beyala, fort instructives, pour autant qu'on veuille bien en dépasser le particularisme. En effet, la romancière ne saurait penser la réalité globale que construite, en dépit des contingences et incongruités dont elle fait son miel à l'ordinaire, et qui lui a valu une farouche levée de boucliers. Ainsi elle verra dans des formes très excentriques de positionnement de soi des occurrences très banales des stratégies distinctives inhérentes à tout groupement humain. Mais ces formes ne la retiennent que si elle peut s'élever à une conception plus générale des rapports sociaux entre dominants et dominés.
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De l’éclatement du noyau familial au discours sur la collectivité dans l’œuvre romanesque de Calixthe Beyala

Mansiantima Nzimbu, Clémentine 20 April 2018 (has links)
Reposant sur un corpus de huit romans -C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– la recherche doctorale montre que l’éclatement du noyau familial est une constante des fictions de Calixthe Beyala. De l’éclatement du noyau familial en jeu, les romans de Beyala disent le discours sur la collectivité. Ainsi, l’hétérogénéité discursive et textuelle étant une caractéristique capitale, la problématique de l’éclatement du noyau familial est reliée aux faits énonciatifs en tant que mise en œuvre d’un discours polyphonique. Le « je-narrateur », utilisé comme une stratégie rhétorique pour parler d’un « nous », ne serait que l’allégorie ou l’emblème d’une conscience collective. On observe que ce n’est pas seulement un « je » individuel qui s’y exprime mais un «je » préoccupé par la condition de la femme ou de l’enfant. Le désir de représenter la collectivité supplante l’intensité du discours individuel de revendication ou de dénonciation qui hante l’écriture de Beyala. La fiction intègre souvent le littéraire, se construit sur un fond des textes antérieurs, favorise le dialogue avec d’autres genres. Beyala réinvestit également les stéréotypes et clichés sociaux dans sa fiction. Les discours des protagonistes explorent les rapports sociaux, les mécanismes de défense d’attitudes ou de comportements par rapport au réel sociohistorique. Les romans de notre corpus déjouent donc les discours de la doxa pour se poser comme textes multiples. Ce sont des récits de vie qui fictionnalisent les souvenirs racontés par un « je » polyvocal. L’implicite se fonde sur une adhésion à une certaine vision du monde, à un ensemble d’opinions et de croyances. Entre locuteur et interlocuteur, scripteur et lecteur s’instaure une sorte de complicité. Dans l’ensemble, le « je-narrant » est multidimensionnel : enfant, adolescente, femme, africaine, immigrée, romancière, etc. Il s’ensuit que la plupart des textes de Beyala se modulent autour de sa propre identité psychologique, de ses expériences vécues. / Based on a eight-novels corpus –C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– this doctoral research shows that the breakdown of the family unit is a constant theme in the fictions of Calixthe Beyala. From the breakup of the family unit, Beyala’s novels tell the discourse about community. Discursive and textual heterogeneity being a capital characteristic, the dilemma (the problem) of family-unit (family-nucleus) fragmentation is connected to the enunciation facts as implementing a polyphonic discourse. The "I-narrator" used as a rhetorical strategy to talk about a "We" is a mere allegory or emblem of a collective consciousness. One observes that it is not only an individual "I" that is expressed, but an "I" concerned about the status of women or children. The desire to represent community supersedes the intensity of that claim or denunciation individual speech which haunts Beyala’s writing. Often, fiction incorporates literature, is built upon a background of previous texts, and promotes dialogue with other genres. In his fiction, Beyala also reinvests social stereotypes and clichés. The speeches of protagonists explore social relationships, namely the defense mechanisms inside attitudes or behaviors compared to the socio-historical reality. Thus, the novels of our corpus thwart the doxa discourse and stand as multiple texts. These life stories fictionalize the memories told (narrated) by a polyvocal "I". What is implicit is based on adhering to a certain worldview, to a set of opinions and beliefs. Between the speaker and the interlocutor, the writer and the reader, is self-created a kind of complicity. The "narrating I" is overall multidimensional: female child, female teenager, woman, female African, female immigrant, female novelist etc.. Consequently, most of Beyala’s texts are modulated around her own psychological identity, her own experiences.
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Intra muros representations urbaines dans le roman francophone subsaharien et antillais Ousmane Sembène, Calixthe Beyala, Patrick Chamoiseau et Maryse Conde /

Golumbeanu, Adriana. January 2006 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Ohio State University, 2006. / Full text release at OhioLINK's ETD Center delayed at author's request
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Empowering new identities in postcolonial literature by Francophone women writers

Schleppe, Beatriz Eugenia. January 2003 (has links) (PDF)
Thesis (Ph. D.)--University of Texas at Austin, 2003. / Vita. Includes bibliographical references. Available also from UMI Company.
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Corps noir et intersubjectivité chez Beyala, Gordimer et Morrison

Jean-Louis, Lorrie January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude porte sur le corps noir et l'intersubjectivité dans Ceux de July de Nadine Gordimer (1981), Tar Baby de Toni Morrison (1981) et Tu t'appelleras Tanga de Calixthe Beyala (1988). Dans chacun des récits, la représentation du corps noir est le pivot des relations qui unit les personnages noirs et blancs. L'évolution des différentes trames narratives dépend de la réinscription permanente de la figure du Noir dans les rapports intersubjectifs entre les Noirs et Blancs. Le premier objectif de ce mémoire de maîtrise est donc d'exposer la mise en scène littéraire de cette figure, avant tout, discursive, à travers les déplacements poétiques qu'effectue chacune des auteures. Cette analyse se fait principalement à partir de trois approches: organique, narratologique et sémiologique. Elle met aussi à contribution certaines notions relatives à la subjectivité dans l'énonciation. D'une part, cette analyse illustre les moyens par lesquels les personnages parviennent à construire des dichotomies qui, de prime abord, sont présentées comme étant indépassables à travers une série d'espaces où les différences sont démultipliées. D'autre part, ce travail de mémoire cherche à rendre compte de la nature intimement fictionnelle et sociale des corps, tout en démontrant une différence notoire de l'articulation du corps noir constamment chargé d'un « poids » métaphorique péjoratif qui efface le sujet. À travers leur écriture, les trois auteures parviennent à mettre en évidence les lieux communs de la représentation du corps noir, tout en réinscrivant ces derniers dans une polysémie déroutante et éclairante sur les communautés de sens qui enferment ou qui ouvrent les sujets sur eux-mêmes et sur les autres. En ce sens, les trois microcosmes déconstruisent -chacun dans son contexte respectif -la représentation du Noir. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Figure du Noir, Corporéité, Intersubjectivité, Stéréotype, Altérité, Roman, Mythe.
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Comparative analysis of autofictional features in the works of Amelie Nothomb, Calixthe Beyala and Nina Bouraoui.

Ferreira-Meyers, Karen Aline Francoise. 30 October 2013 (has links)
30 years after the coining of autofiction (Doubrovsky, 1977), there is still no general consensus about its exact meaning. This research set out to discover autofiction, whether there is a need for this term, why the public has taken such an interest in autofiction. Research questions were divided into two major categories: 1. What is autofiction? What is its origin? How has it evolved? Which differences are there, if any, between autobiography and autofiction? Is there a need for the separate genre of autofiction? Why/why not? What are its general characteristics? 2. Do the three analysed women authors – Nothomb, Beyala and Bouraoui – incorporate these elements in their writing? If so, how and why? Is autofictional writing a stage/posture in the personal writing development of an author? Is there any link between the writing of the own persona and the obsession with the public persona? Concentrating on terminological and theoretical issues, extensive literature review was done in the first part of the research. Starting from main literary criticism regarding fiction and autobiography/autofiction, the theoretical side of my research dealt with narrative identity and the true/false dichotomy of fact/fiction. Together with qualitative research about intertextuality as applied by autofictional writers (difference plagiarism and intertextual borrowing) led to a functional definition of autofiction, the basis for the comparative study of the three authors. For the research into their public persona, extensive internet research and analysis of newspaper articles were undertaken to show: 1. how the authors portray themselves; 2. how they are perceived by the media; 3. how this possibly influences their writing style. Autofiction requires analysis of: 1. why authors write 2. about what they write 3. how they incorporate the Self and the world in their writing. Bouraoui compares writing to an almost sexual act of love, the most intimate possible. Writing was the only way she could deal with childhood memories and repressed homosexuality. Beyala writes to communicate with others, while Nothomb considers writing as a means to live more intensely, after anorexia. The specificities and distinctive characteristics of the texts and authors were discovered through narrative analysis (factual research into the authors’ public persona + textual analysis of literary oeuvres). In Chapter 3 (Calixthe Beyala), feminine literary criticism as well as postcolonial theories guided my reading. Chapter 4 (Nina Bouraoui) allowed reflexion on the links between memory, identity, truth and autofictional writing. All chapters included research on Doubrovsky’s link between psychoanalysis and autofiction. In conclusion, there is a strong indication that one should speak of autofictions in the plural. This research explains some of the differences between autobiography and autofiction while underlining the importance of the existence of this new, separate sub-genre. The researcher had an opportunity to reflect on human memory and re-interpretation of facts. Where does the dividing line between truth and falsehood fall when the author puts the reader deliberately on a false track by introducing his/her work as « a novel »? Recent, post-modern writing has deliberately transgressed the fine dividing line between fact/fiction. The present research corroborates this view. / Thesis (Ph.D.)-University of KwaZulu-Natal, Pietermaritzburg, 2011.

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