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La poétique de la transparence dans les récits de voyage de Nicolas Bouvier /

Facal, Cécile January 2004 (has links)
This Master's Thesis offers a study of the works of Swiss travel narratives' writer Nicolas Bouvier (1929-1998). Bouvier develops a poetics that defines the practical rules of his travels as well as the aesthetic rules of his writing. / These rules form a whole that can be named poetics of transparency and divided into two complementary poles, each linked to themes and images of disappearance or apparition. Both are oriented towards one single goal: to make the world visible for the reader. Seemingly contradictory, the two movements of Bouvier's project are connected by a polyphonic worldview, mirrored in narratives by the interweaving of multiple voices. / Bouvier's work is a model of the travel narrative's evolution in the XXth century. Compared to travel writings of the classical and romantic periods, it appears as a reversed interpretation of the genre's codes, leading it to explore the possibilities of grasping a world poetic rather than objective.
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La poétique de la transparence dans les récits de voyage de Nicolas Bouvier /

Facal, Cécile January 2004 (has links)
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Le rapport à l'altérité comme dynamique du voyage et de l'écriture dans L'usage du monde de Nicolas Bouvier

Blanchet, Valérie 11 1900 (has links) (PDF)
Considéré comme l'un des grands auteurs de récit de voyage du 20e siècle, l'écrivain suisse Nicolas Bouvier publie L'Usage du monde en 1963, dans lequel il relate le voyage qu'il a accompli en compagnie de son ami, le peintre Thierry Vernet. Partis de Genève en juin 1953, au volant d'une petite Fiat Topolino, les deux voyageurs traversent l'Europe pour aller rejoindre l'Asie et atteignent Kaboul en décembre 1954. Pour Bouvier, le voyage implique une perte progressive de ce qui conforte l'identité afin d'accéder à une présence au monde plus spontanée. Dans l'écriture, cela se traduit par un « exercice de disparition » de la part du sujet d'énonciation qui tente de s'abstraire de son texte pour ne pas interférer entre celui-ci et le monde. Ce mémoire se propose de relever les prises de conscience qui conduisent Bouvier à développer cette stratégie narrative à l'aide de la notion d'altérité, envisagée ici comme principe dynamique du voyage et du récit. Dans le premier chapitre, nous exposons le cadre théorique qui sert à l'analyse en procédant à une synthèse de plusieurs théories sur l'altérité et à l'examen des principales caractéristiques du récit de voyage. Le deuxième chapitre s'intéresse à la manière dont le voyageur s'insère dans le monde. Le séjour dans des cultures dont il ne maîtrise ni les codes, ni la langue, ainsi que la proximité avec le dehors que favorise le déplacement à travers l'espace, conduisent le voyageur à développer une approche sensorielle qui lui permet de décoder les situations qui se présentent à lui. Cette lecture sensible contribue ainsi à ajuster les perceptions du voyageur à la réalité rencontrée et à prendre une distance avec son milieu d'origine. Dans le troisième chapitre, l'altérité est envisagée comme une force altérante, qui transforme peu à peu la perspective du voyageur sur le monde en le dépouillant des structures qui le déterminent. Le long séjour à Tabriz marque en effet une étape décisive dans le récit. Lorsque les voyageurs reprennent la route, les épreuves se succèdent et fragilisent le voyageur, qui, en contrepartie, semble plus réceptif au monde qui l'entoure. Enfin, le quatrième chapitre s'intéresse aux prises de conscience du voyageur à la toute fin du voyage ainsi qu'à la démarche d'écriture de Bouvier, notamment à cet exercice de disparition auquel l'auteur se prête dans son écriture et qui serait à notre avis une manière de provoquer le lecteur auquel il destine son texte. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nicolas Bouvier, L'Usage du monde, récit de voyage, altérité, exotisme, perception.
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Nicolas Bouvier ou l'usage du savoir. Essai d'épistémocritique / Nicolas Bouvier or the Use of Knowledge. An Epistemocritical Study

Bischoff, Liouba 28 September 2018 (has links)
Depuis les années quatre-vingt-dix et le succès croissant du Festival Etonnants Voyageurs, Nicolas Bouvier est devenu l’incarnation d’un art de voyager, et son premier livre, L’Usage du monde, s’est imposé comme un nouveau classique du genre viatique. Mais la critique sur son œuvre est encore très parcellaire, notamment parce qu’elle tend à se cantonner aux récits de voyage sans exploiter tout le corpus d’essais, à caractère historiographique ou iconographique, qui constitue une part essentielle de son œuvre. Car l’exploration du monde et celle des bibliothèques constituent les deux faces complémentaires d’un usage du savoir que ce travail de thèse se propose d’étudier, notamment grâce aux carnets inédits qui apportent un précieux éclairage sur sa méthode de travail, ses influences et ses conceptions. Dans une perspective épistémocritique, l’usage du savoir désigne à la fois la façon dont l’écrivain se positionne face à l’ignorance et à la connaissance, et le rapport qu’il entretient avec les savoirs extérieurs à la littérature. S’il fait l’éloge du non-savoir pour mieux recevoir les leçons de la route et tenir à distance, comme Montaigne et Michaux, le pédantisme et le dogmatisme, Bouvier n’en conçoit pas moins son œuvre comme une somme encyclopédique. Sans prétendre à l’autorité du spécialiste, il réinvestit la fonction épistémique que le romantisme avait évacuée du récit de voyage pour transmettre un savoir sur le monde issu de ses lectures et de ses observations, et contribue ainsi au rapprochement entre littérature et sciences humaines qui s’opère depuis plusieurs décennies : son rapport subjectif et spontané à l’histoire, à la géographie et à l’ethnologie témoignent de la capacité de la littérature à « fai[re] tourner les savoirs », sans en « fétichis[er] aucun », selon la formule de Barthes. / Since the 1990s and the increasing success of the Étonnants Voyageurs Festival, Nicolas Bouvier has become the incarnation of the art of travelling, and his first book, L’Usage du Monde (The Way of the World), has established itself as a contemporary classic of the travelogue. But the critique of his writings is still very fragmentary, particularly because it tends to confine them to travel writing, without exploiting the entire corpus of historiographic and iconographical essays, which constitute an essential part of his work. The exploration of the world and that of libraries form two complementary sides of a use of knowledge that this PhD dissertation proposes to examine, especially through unpublished notebooks, which shed valuable light on Bouvier’s working methods, influences and conceptions. In an epistemocritical perspective, the use of knowledge designates both the way in which the author positions himself faced with ignorance and knowledge, and the relationship he maintains with knowledge outside literature. Although he lauds ‘not knowing’ to better learn along the way and to keep pedantry and dogmatism at a distance, like Montaigne and Michaux, Bouvier nonetheless conceives his work as an encyclopaedic whole. Without claiming to be a special authority, he reinvests the epistemic function that Romanticism had drained from travel writing to transmit knowledge about the world from his readings and observations. He thus contributes to the coming together of literature and human sciences that has been occurring over several decades: his subjective and spontaneous relationship to history, geography and ethnology attests to literature’s capacity to “make knowledge go around”, without “fetichising any of it”, according to Barthes’ expression.
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Théocrite et la création de la pastorale : entre mime et idylle / Theocritus and the Creation of Pastoral Poetry : between Mimes and Idylls

Richer, Jean-Camille 11 December 2015 (has links)
Dans cette thèse est proposée une définition du genre poétique bien connu qu’est la poésie bucolique. Son point de départ réside dans le double statut qui la caractérise : c’est à la fois un titre (les Bucoliques) et un genre (la poésie bucolique). Le fait de privilégier l’un ou l’autre de ces statuts oriente la définition qui est retenue. Nous avons donc examiné les sources antiques et tenté d’inverser la perspective habituellement retenue : alors que l’on considère souvent que c’est le genre qui a engendré le titre, nous pensons que c’est le titre (Bucoliques) qui a engendré le genre. En d’autres termes, à l’origine, un poème bucolique n’est pas un « poème de bouviers », mais un poème contenu dans un recueil intitulé Βουκολικά. Ce n’est que dans un second temps que le sens du titre originel (Βουκολικά) se serait restreint au genre tel que nous le connaissons aujourd’hui (une « poésie de bouviers », souvent réduite à une « poésie de pâtres ») et qui aurait entraîné, à la fin de l’Antiquité, le remplacement de ce titre par les mots « idylles » et « églogues », qui à l’origine n’avaient aucun rapport avec la poésie bucolique. La définition du poème bucolique que nous proposons est fondée sur la rencontre entre deux personnes et l’interprétation d’un chant, car ce schéma s’observe dans la plupart des poèmes bucoliques, y compris post-théocritéens. Dès lors opère une loi de variation censée varier le genre des chants insérés. Cela créée une hiérarchie entre les genres : le poème bucolique n’est pas un poème de bouviers, mais un poème comportant l’interprétation d’un chant dont le genre est appelé à varier. La notion de « mime » n’est ici étudiée qu’à titre de variante de la bucolicité. En effet, trois poèmes de Théocrite sont ainsi décrits parce qu’ils n’appartiennent ni au monde de la campagne (poèmes bucoliques), ni au monde des héros (epyllia). Nous analysons la manière dont cette catégorie s’est constituée, puis sa pertinence : si elle permet à n’en pas douter de constater des codes communs entre les poèmes de Théocrite et ceux d’Hérondas, elle ne doit pas faire oublier que la différence métrique entre les deux auteurs implique une différence d’esthétique. / The aim of this study is a definition of Bucolic poetry. Nowadays it can be analized as a title (Bucolics) or as a poetry genre (bucolic poetry). The choice which is made between these two categories has consequences on the way bucolic poetry is theorised. I try to demonstrate that the genre was invented out of the title : at first, a bucolic poem was no more than a poem included in collection entitled Βουκολικά. At the end of Antiquity this title had been changed into Idylls in the Greek-speaking World and into Eglogues in the Latin-speaking world because the definition has changed. « Bucolicity » is based not on the cowherd, but on a scenario which is repeated from a poem to another : two people meet, a song is sung, and the people leave each other. Any poetic genre could be included in the song which is sung, so I distinguish the bucolic poem from the inserted song which lies inside. I then compare Theocritus to Herodas and Sophron because some bucolic poems are nowadays called « urban mimes ». The name of this categorie is modern, so it shows how new definitions (and new termes) are constantly proposed for poetic genres.
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Encountering maternal silence: writing strategies for negotiating margins of mother/ing in contemporary Canadian prairie women's poetry

Hiebert, Luann E. 11 April 2016 (has links)
Contemporary Canadian prairie women poets write about the mother figure to counter maternal suppression and the homogenization of maternal representations in literature. Critics, like Marianne Hirsch and Andrea O’Reilly, insist that mothers tell their own stories, yet many mothers are unable to. Daughter and mother stories, Jo Malin argues, overlap. The mother “becomes a subject, or rather an ‘intersubject’” in the text (2). Literary depictions of daughter-mother or mother-child intersubjectivities, however, are not confined to auto/biographical or fictional narratives. As a genre and potential site for representing maternal subjectivities, poetry continues to reside on the margins of motherhood studies and literary criticism. In the following chapters, I examine the writing strategies of selected poets and their representations of mothers specific to three transformative occasions: mourning mother-loss, becoming a mother, and reclaiming a maternal lineage. Several daughter-poets adapt the elegy to remember their deceased mothers and to maintain a connection with them. In accord with Tanis MacDonald and Priscila Uppal, these poets resist closure and interrogate the past. Moreover, they counter maternal absence and preserve her subjectivity in their texts. Similarly, a number of mother-poets begin constructing their mother-child (self-other) relationship prior to childbirth. Drawing on Lisa Guenther’s notions of “birth as a gift of the feminine other” and welcoming the stranger (49), as well as Emily Jeremiah’s link between “‘maternal’ mutuality” and writing and reading practices (“Trouble” 13), I investigate poetic strategies for negotiating and engaging with the “other,” the unborn/newborn and the reader. Other poets explore and interweave bits of stories, memories, dreams and inklings into their own motherlines, an identification with their matrilineage. Poetic discourse(s) reveal the limits of language, but also attest to the benefits of extra-linguistic qualities that poetry provides. The poets I study here make room for the interplay of language and what lies beyond language, engaging the reader and augmenting perceptions of the maternal subject. They offer new ways of signifying maternal subjectivities and relationships, and therefore contribute to the ongoing research into the ever-changing relations among maternal and cultural ideologies, mothering and feminisms, and regional women’s literatures. / May 2016

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