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Conceptions of the self : a theoretical, fictional, and analytical investigationBurt, Heather L. I. January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Où sont nos chefs? L’absence de généraux canadiens-français combattants durant la Deuxième Guerre mondiale (1939-1945)Sawyer, Alexandre 18 March 2019 (has links)
Le nombre d’officiers généraux canadiens-français qui ont commandé une brigade ou une division dans l’armée active durant la Deuxième Guerre mondiale est presque nul. On ne compte aucun commandant de division francophone dans l’armée outre-mer. Dans les trois premières années de la guerre, seulement deux brigadiers canadiens-français prennent le commandement de brigades à l’entrainement en Grande-Bretagne, mais sont rapidement renvoyés chez eux. Entre 1943 et 1944, le nombre de commandants de brigade francophones passe de zéro à trois.
L’absence de généraux canadiens-français combattants (à partir du grade de major-général) durant la Deuxième Guerre mondiale s’explique par plusieurs facteurs : le modèle britannique et l’unilinguisme anglais de la milice, puis de l’armée canadienne, mais aussi la tradition anti-impérialiste et, donc, souvent antimilitaire des Canadiens français.
Au début de la Deuxième Guerre mondiale, aucun officier canadien n’est réellement capable de commander une grande unité militaire. Mais, a-t-on vraiment le choix? Ces officiers sont les seuls dont dispose le Canada. Quand les troupes canadiennes sont engagées au combat au milieu de 1943, des officiers canadiens, plus jeunes et beaucoup mieux formés prennent la relève.
À plus petite échelle, le même processus s’opère du côté francophone, mais plus maladroitement. Il est plus difficile de dénicher, en raison du petit nombre d’officiers de langue française qualifiés, des chefs canadiens-français capables de commander un bataillon ou une brigade. Les efforts soutenus de la part du gouvernement fédéral et de l’armée permettront de former et d’instruire un bon nombre d’officiers francophones. Ces mesures ont donné quelques résultats, mais ils arrivent trop tard pour voir un Canadien français prendre le commandement d’une division avant la fin de cette guerre. Quel rôle ont joué les chefs militaires francophones durant la Deuxième Guerre mondiale? Quels postes ont-ils occupés? La réponse à ces questions permet de faire un portrait type de l’officier canadien-français entre 1939 et 1945. Elle tend aussi à expliquer les raisons de l’absence de généraux francophones combattants. Enfin, elle permet de mieux comprendre le cheminement que les jeunes officiers subalternes canadiens-français de 1939-1941 ont dû suivre – le même d’ailleurs que les anglophones — pour obtenir le commandement d’une brigade dans les dernières années de la guerre.
Les difficultés sont les mêmes, mais elles sont sans doute accentuées pour les Canadiens français par le caractère britannique et anglophone de l’armée canadienne et le particularisme du Canada francophone. L'insensibilité au fait francophone du système militaire canadien de l'époque a eu des répercussions. Pourtant, les cadres n'étaient pas systématiquement anti-francophones; ils ne bloquaient pas leurs progressions à cause de leur langue.
Pour le démontrer, nous avons reconstruit à partir d’une approche biographique les expériences des officiers francophones des grades supérieurs de l’armée outre-mer. L’étude des officiers francophones apporte une nouvelle perspective sur la présence et la participation canadienne-française dans les rangs de l’armée active pendant la Deuxième Guerre mondiale. Au final, nous usons d'un angle novateur pour améliorer nos connaissances le problème des officiers francophone dans l’armée canadienne pendant la guerre de 1939 à 1945.
Notre étude démontre que l’absence de commandant de division francophone s’explique par l’âge avancé, la mauvaise santé ou l’incompétence des officiers supérieurs francophones dans les premières années de la guerre. Cette absence n’a pas été causée par une discrimination directe de la part des hauts gradés anglophones basée sur la langue ou l’ethnicité. Par contre, il est clair que l’institution militaire canadienne, calquée sur le modèle britannique et anglophone, n’a pas aidé la cause des officiers francophones. À partir de 1943, des officiers canadiens-français, plus jeunes et mieux formés, réussiront beaucoup mieux que leurs prédécesseurs.
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La condition constitutionnelle des Canadiens dans l'oeil de la science politique canadienne - 1982-2010Racine, Jean-Claude 22 August 2011 (has links)
Comment la littérature politologique relative à la réforme constitutionnelle de 1982 rend-elle compte de la condition constitutionnelle des Canadiens ? L’auteur apporte une réponse originale à cette question en proposant une typologie qui fait découler la pluralité des récits politologiques sur la réforme constitutionnelle de 1982 de la déclinaison d’un même paradigme discursif, le paradigme contractualiste, en vertu duquel la constitution du Canada est un contrat entre gouvernements souverains. Le paradigme contractualiste se décline en quatre trames explicatives distinctes : la trame institutionnaliste, qui explore l’effet paralysant du double conflit inscrit dans la Loi constitutionnelle de 1982 entre une constitution des citoyens fondée sur la Charte canadienne des droits et libertés et une constitution des gouvernements, fondée sur la procédure formelle de modification de la Constitution ; la trame réformiste, qui cherche à surmonter ce double-conflit sans modifier formellement la Loi constitutionnelle de 1982 ; la trame organiciste, qui s’intéresse au pourvoir « constituant » des tribunaux ; et la trame idéaliste, qui propose la renégociation du contrat constitutionnel canadien à partir de nouveaux principes. L’auteur termine cet exercice d’interprétation en constatant l’épuisement du paradigme contractualiste et son remplacement prévisible par un paradigme successeur en devenir.
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Le concept de la qualité de vie : représentation dans les revues infirmières francophones du QuébecNazon, Evy Aude 05 October 2011 (has links)
Ce mémoire porte sur l’évolution des conditions de travail des infirmières selon le concept de la qualité de vie. Sur un intervalle d’un demi-siècle, nous avons étudié le discours des élites infirmières à travers deux revues professionnelles francophones, La Garde-Malade Canadienne-Française de 1928 à 1938 et L’infirmière du Québec de 1993 à 2003. À partir des articles et rubriques publiés, le discours des élites témoigne du peu d’importance qu’elles accordent à la qualité de vie des infirmières tout en montrant leur volonté de faire valoir les acquis de la profession notamment la reconnaissance professionnelle des infirmières. Par ailleurs, la récurrence de certains thèmes de publication, l’absence d’articles sur la qualité de vie et la persistance de l’image vocationnelle de l’infirmière indique une lenteur dans l’évolution des mentalités quant à la perception sociale des femmes au tournant du XXIe siècle.
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La condition constitutionnelle des Canadiens dans l'oeil de la science politique canadienne - 1982-2010Racine, Jean-Claude 22 August 2011 (has links)
Comment la littérature politologique relative à la réforme constitutionnelle de 1982 rend-elle compte de la condition constitutionnelle des Canadiens ? L’auteur apporte une réponse originale à cette question en proposant une typologie qui fait découler la pluralité des récits politologiques sur la réforme constitutionnelle de 1982 de la déclinaison d’un même paradigme discursif, le paradigme contractualiste, en vertu duquel la constitution du Canada est un contrat entre gouvernements souverains. Le paradigme contractualiste se décline en quatre trames explicatives distinctes : la trame institutionnaliste, qui explore l’effet paralysant du double conflit inscrit dans la Loi constitutionnelle de 1982 entre une constitution des citoyens fondée sur la Charte canadienne des droits et libertés et une constitution des gouvernements, fondée sur la procédure formelle de modification de la Constitution ; la trame réformiste, qui cherche à surmonter ce double-conflit sans modifier formellement la Loi constitutionnelle de 1982 ; la trame organiciste, qui s’intéresse au pourvoir « constituant » des tribunaux ; et la trame idéaliste, qui propose la renégociation du contrat constitutionnel canadien à partir de nouveaux principes. L’auteur termine cet exercice d’interprétation en constatant l’épuisement du paradigme contractualiste et son remplacement prévisible par un paradigme successeur en devenir.
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Le concept de la qualité de vie : représentation dans les revues infirmières francophones du QuébecNazon, Evy Aude 05 October 2011 (has links)
Ce mémoire porte sur l’évolution des conditions de travail des infirmières selon le concept de la qualité de vie. Sur un intervalle d’un demi-siècle, nous avons étudié le discours des élites infirmières à travers deux revues professionnelles francophones, La Garde-Malade Canadienne-Française de 1928 à 1938 et L’infirmière du Québec de 1993 à 2003. À partir des articles et rubriques publiés, le discours des élites témoigne du peu d’importance qu’elles accordent à la qualité de vie des infirmières tout en montrant leur volonté de faire valoir les acquis de la profession notamment la reconnaissance professionnelle des infirmières. Par ailleurs, la récurrence de certains thèmes de publication, l’absence d’articles sur la qualité de vie et la persistance de l’image vocationnelle de l’infirmière indique une lenteur dans l’évolution des mentalités quant à la perception sociale des femmes au tournant du XXIe siècle.
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Familles et propriété foncière à Noëlville : 1895-1919Quesnel, Denise January 2006 (has links)
No description available.
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La performance financière des rachats d'actions au Canada : 1999-2004Foddha, Anis January 2006 (has links) (PDF)
L'objectif de cette étude est d'examiner le marché des rachats d'actions au Canada et d'évaluer la performance à court et à long terme suite à l'annonce des programmes de rachats d'actions ordinaires par les entreprises canadiennes pour la période de janvier 1999 à décembre 2004. Notre analyse des programmes de rachats d'actions versus la distribution des dividendes, révèle que l'activité des rachats d'actions au Canada a connu une profonde transformation durant les 19 dernières années. Dans un deuxième volet, nous estimons la performance anormale en utilisant deux approches: une approche en temps événementiel et une approche en temps calendaire. Premièrement, on estime la performance anormale des titres en utilisant la méthode des rendements anormaux cumulés (approche en temps événementiel). Nous constatons que la performance anormale est de 0,89% et statistiquement significative au niveau de 5% sur une période de (0; 2) jours suivant la date d'annonce. Autrement dit, le marché boursier canadien réagit positivement sur une courte période suite à l'annonce des rachats d'actions ordinaires. Deuxièmement, nous analysons la performance des rachats d'actions à moyen et long terme en utilisant les rendements anormaux cumulés, le modèle à trois facteurs de Fama et French (1993) et le modèle de Carhart (1997) (approche en temps calendaire). Nous constatons un rendement anormal positif jusqu'à la troisième année de l'annonce. Par ailleurs, notre analyse par facteurs, montre que la contre-performance des rachats d'actions touche essentiellement les entreprises de croissance et celles des industries du commerce de détail et des services. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rachats d'actions, Performance anormale, Approche calendaire, Approche événementielle.
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L'exposition au risque de change des firmes canadiennesRafik, Badre 04 1900 (has links) (PDF)
Le but de cette recherche est de mesurer l'exposition des multinationales canadiennes au risque de change et de vérifier si ces firmes se protègent contre celui-ci. Aussi, nous voulons cerner l'existence ou non de certaines caractéristiques communes chez les firmes exposées et donc faire ressortir des facteurs pouvant expliquer cette exposition. Les tests effectués auprès des multinationales canadiennes suggèrent que certaines firmes sont contraintes par le risque de change. En analysant l'exposition au risque de change par type d'industrie, nous avons pu constater que les entreprises exposées au risque de change sont principalement dans le secteur des métaux et minerais suivis de l'industrie manufacturière. De plus en procédant à une subdivision des entreprises dans l'industrie des mines et minerais, il semble que le groupe 10 (mines et métaux) assume le plus grand risque de change suivi des entreprises spécialisées en extraction du pétrole et du gaz. En ce qui concerne les déterminants de l'exposition, nous avons pu identifier certains facteurs caractérisant les firmes exposées au risque de change. En effet, la variable étendue, le ratio des actifs à l'étranger sur les actifs totaux, l'utilisation de produits dérivés et la variable taille mesurée par les actifs totaux se sont tous avérés comme des facteurs caractérisant les multinationales canadiennes exposées aux fluctuations des taux de change. Les firmes exposées semblent être de plus grande taille, détenir moins de filiales, avoir moins d'actifs à l'étranger par rapport aux actifs totaux et utilisent peu (ou pas) de produits dérivés.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : exposition au risque de change, multinationales canadiennes, déterminants de l'exposition, fluctuations des taux de change.
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La disparition des entreprises canadiennes dédiées à la biotechnologieMoustakbal, Ayoub 10 1900 (has links) (PDF)
Certes la littérature scientifique est très riche en termes de publications abordant la création et la croissance des entreprises de biotechnologie. En revanche les études ayant déjà examiné la disparition de ce genre d'entreprises sont très rares à notre connaissance. Nous avons donc mené la présente étude pour jeter plus de lumière sur le phénomène de la disparition des entreprises dédiées à la biotechnologie (EDB), en se fixant comme objectifs de recherche la distinction entre les différentes formes de disparition ainsi que la détermination des facteurs qui peuvent être à l'origine de ce phénomène. Vu la complexité et l'aspect multidimensionnel de la problématique en question, nous énonçons un nombre considérable d'hypothèses de recherche en se basant sur trois grandes écoles de la pensée théorique, notamment la théorie de l'écologie des populations organisationnelles, les théories institutionnelles ainsi que la théorie des ressources internes. Autrement dit nous faisons appel à une revue de la littérature assez exhaustive pour sélectionner un certain nombre de variables explicatives correspondant aux réalités internes des EDB telles que l'âge, la taille, la présence de dirigeants expérimentés et de chercheurs étoiles, les stratégies de brevetage et l'intensité des activités de R-D ainsi que les alliances stratégiques pour l'exploration et/ou l'exploitation des projets. De plus nous avons retenu d'autres variables explicatives découlant de l'environnement externe des EDB telles que : les conditions macroéconomiques, les crédits d'impôt, l'implantation géographique dans les grandes zones urbaines et le support des sociétés de capital de risque. Pour mettre à l'épreuve les différentes hypothèses de recherche, nous avons mené une étude longitudinale unique suite à laquelle nous avons pu constituer une base de données de plus de 500 EDB ayant été en activité entre 1996 et 2010. Au niveau des résultats empiriques, notre recherche affirme que les formes de disparition des EDB ne se limitent pas à des faillites économiques, mais il y a aussi les transactions des fusions et acquisitions (F&A) qui représentent un pourcentage important. De plus, nos différents tests statistiques révèlent que les facteurs explicatifs varient en fonction de la forme de disparition (les faillites versus les fusions et acquisitions). Ainsi les EDB en faillites se distinguent surtout par la petite taille (moins de 50 employés), par l'absence du support du capital de risque et par le manque des ressources humaines qualifiées, notamment les chercheurs étoiles et les dirigeants expérimentés. Par ailleurs les EDB ayant disparu via les transactions de F&A se caractérisent principalement par la présence du support de capital de risque, par l'implantation géographique dans les grandes métropoles canadiennes (Montréal, Toronto et Vancouver) et par la présence des dirigeants expérimentés dans l'industrie biopharmaceutique et/ou de capital de risque. En dépit de la mise en relief des contributions théoriques, la conclusion de la présente thèse soulève d'autres tentatives d'explication du phénomène de disparition des EDB et propose quelques recommandations en termes de politiques publiques afin de maximiser les retombées socioéconomiques de la biotechnologie canadienne.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : entreprise dédiée à la biotechnologie, faillite, fusion et acquisition, capital de risque, brevet de qualité, alliances stratégiques, scientifiques étoiles.
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