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La vision monoculaire acquise analyse des besoins perçus par les patients et les professionnels concernés

Gunter-Gagnon, Janet L. January 2011 (has links)
Il existe plusieurs études décrivant les effets psychologiques de la perte partielle ou totale de la vision des deux yeux. La réalité des personnes ayant une perte acquise complète de la vision d'un seul oeil a cependant été peu étudiée bien que les conséquences négatives à long terme sur le plan physiologique de cette perte soient manifestes. Les quelques études existantes montrent que les changements permanents sur le plan physiologique peuvent avoir des effets psychologiques et psychosociaux reliés aux difficultés dans les activités de la vie quotidienne, le travail et les activités de loisir. Parmi les effets observés, on note la dépression, l'anxiété et la perte d'estime de soi. Ce projet s'inscrit dans le cadre d'une analyse qualitative des besoins perçus de cette clientèle de manière à élaborer des modalités de soutien mieux adaptées à sa réalité. Plus spécifiquement, il vise à offrir des éléments de réponses aux questions suivantes : quels sont les principaux besoins des personnes ayant une perte acquise complète de la vision d'un seul oeil? Comment ces besoins sont-ils comblés par le système actuel de la santé et des services sociaux? Existe-t-il des besoins non comblés? Et, dans cette situation, quelles sont les conséquences pour ces personnes? La collecte de données a été faite lors d'entrevues menées auprès de personnes ayant une perte de vision d'un oeil. Les professionnels (optométristes et ophtalmologistes) qui côtoient cette clientèle ont également été consultés par un sondage papier transmis par la poste. Les résultats indiquent qu'il y a des effets physiologiques permanents qui entraînent des séquelles importantes sur les plans psychologique et social ainsi que sur la performance des activités. Autant les participants que les professionnels soulignent des besoins importants dont plusieurs de ceux-ci ne sont pas comblés par le système actuel. Les professionnels mettent l'accent sur la notion de risque et de danger pour l'oeil fonctionnel alors que les participants soulignent plutôt l'impact de cette perte sur les plans psychologique et psychosocial et ce, autant pour l'entourage que pour eux. Tous font ressortir l'importance de l'information et les lacunes existant dans la transmission de celle-ci. Pour les participants cette lacune génère une source de détresse émotionnelle. La discussion met ainsi l'accent sur le rôle clé de la transmission de l'information. Les résultats sont décrits à la lumière d'un modèle d'intervention à trois niveaux tenant compte des trajectoires potentielles de ces personnes [qui] est proposé. Ce modèle prend en considération l'ampleur du problème vécu et les connaissances en psychologie. Le rôle du psychologue dans ce modèle est discuté.
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Le développement de l'agression indirecte chez les filles : facteurs de risque à l'enfance et conséquences associées à l'adolescence

Boutin, Stéphanie January 2016 (has links)
La présente thèse par articles porte sur le développement de l’agression indirecte chez les filles, soit une forme de conduites agressives utilisées dans le but de nuire aux relations interpersonnelles et au statut social d’une victime. Par les deux articles empiriques qu’elle propose, la thèse vise plus particulièrement à approfondir les connaissances sur l’agression indirecte au plan des facteurs de risque à l’enfance et des conséquences associées à l’adolescence. Guidé par les principes énoncés dans les modèles du traitement de l’information sociale selon le genre, de la socialisation, de la théorie d’évolution et de la théorie à double trajectoire de Moffitt (1993, 2006), le premier article démontre que le développement de l’agression indirecte serait hétérogène chez les filles (n = 347) durant l’enfance. Selon des analyses de classes de trajectoires latentes contrôlant pour l’agression physique et effectuées à l’aide de quatre collecte de données à un an d’intervalle, les filles adopteraient trois trajectoires différentes d’utilisation d’agression indirecte de l’âge de 6-9 ans à l’âge de 9-12 ans : 18,9 % une trajectoire moyenne-croissante, 44,5 % une trajectoire moyenne-décroissante et 36,5 % une trajectoire faible-décroissante. Des analyses de régression logistique univariées démontrent ensuite que plusieurs facteurs de risque individuels, familiaux et sociaux, mesurés à l’entrée à l’étude, octroieraient un risque supérieur d’adopter la trajectoire moyenne-croissante. Or, lorsque considérés ensemble, un seul facteur de risque discriminerait les filles adoptant cette trajectoire, soit le trait tempéramental de l’extraversion. L’influence du tempérament dans l’utilisation croissante d’agression indirecte au cours de l’enfance chez les filles serait donc non négligeable tel que le propose notamment la taxonomie de Moffitt (1993, 2006). De par l’influence importante que peut avoir le statut social sur les comportements d’agression indirecte des filles (n = 250), particulièrement l’atteinte d’un statut de popularité perçue ou l’expérience de rejet social, les résultats de l’article 2 illustrent que la manifestation d’agression indirecte à la préadolescence (11-12 ans) mènerait au développement d’une prise de risque comportementale durant l’adolescence (de 13 à 16 ans). Précisément, des modèles autorégressifs contrôlant pour l’agression directe démontrent que plus une jeune fille recevrait de nominations à titre d’utilisatrice d’agression indirecte à la préadolescence, plus celle-ci adopterait des comportements délinquants, consommerait des psychotropes et aurait des activités sexuelles à risque durant son adolescence. Les résultats obtenus sont cohérents avec les processus interpersonnels, liés à la recherche de popularité ou de l’expérience de rejet, particulièrement en début d’adolescence, chez les filles. En somme, la mise en évidence d’associations significatives entre un tempérament extraverti et la manifestation croissante de conduites d’agression indirecte durant l’enfance chez un sous-groupe de filles, de même que l’augmentation de comportements de prise de risque à l’adolescence, suggère que l’utilisation d’agression indirecte n’est pas normative pour toutes les filles et qu’une meilleure connaissance des facteurs qui permettent de distinguer ces dernières est essentielle. En effet, la prévention de l’aggravation des conduites agressives indirectes passe par une meilleure identification des filles potentiellement à risque de manifester ces conduites de manière atypique. En particulier, l’efficacité de l’intervention pourrait dépendre d’une meilleure reconnaissance de l’importance du caractère extraverti de ces filles, et aussi, des comportements de prise de risque à l’adolescence. Enfin, l’utilisation de devis longitudinaux, multi-méthodes et multi-répondants, la considération de multiples facteurs de risque et conséquences, ainsi que le contrôle effectué des conduites d’agression de nature directe assurent à cette thèse une rigueur scientifique et lui confèrent son aspect novateur.
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Conséquences et résilience liées à l'apprentissage et à la recherche sur le génocide des Tutsis: Cas des étudiants et des professeurs

Kayitesi, Berthe 28 April 2014 (has links)
Cette étude porte sur les conséquences du génocide des Tutsis sur ses héritiers tiers. À partir d’une enquête et l’analyse de données qualitatives, elle met en exergue les défis auxquels se sont heurtés les professeurs et les étudiants diplômés qui ont étudié ce crime, au nombre desquels, le plus important est le traumatisme secondaire né de la confrontation avec les écrits portant sur le génocide, et la visite des lieux de mémoire. Cette confrontation a engendré les sentiments de solitude, de désespoir, de perte de confiance en soi et en l’humanité, ainsi que de culpabilité au regard de l’abandon des victimes de ce génocide. D’un autre côté, cette recherche identifie les moyens mis en place par les participants pour surmonter ces difficultés. Pour ce faire, les liens qu’ils ont tissés avec les rescapés et les différents types d’engagements et d’actions qu’ils ont pris leur ont permis de donner sens à leur démarche, notamment le fait pour eux d’être à l’écoute de l’expérience des rescapés et d’en rendre compte auprès de la société, qui est un élément essentiel. La prise de parole par le survivant, son écoute et sa transmission participent à la reconnaissance des victimes et le rétablissement de leur appartenance à la communauté humaine et ainsi à leur résilience. En côtoyant les rescapés, les participants ont pris conscience de la résilience de ces derniers, et ce constat les a appuyés dans leur démarche. D’où une construction mutuelle de la résilience. Lorsque la violence du savoir génocidaire s’est avérée insupportable, les participants ont décidé de prendre du recul avec leurs travaux, afin de pouvoir prendre soin d’eux. En confiant leur expérience à un proche où a un professionnel de la santé mentale, les participants ont pu surmonter le poids émotionnel lié à leur objet de recherche. Cette recherche soutient aussi l’importance de concilier la théorie et la pratique lorsqu’on fait la recherche sur la violence extrême.
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Conséquences et résilience liées à l'apprentissage et à la recherche sur le génocide des Tutsis: Cas des étudiants et des professeurs

Kayitesi, Berthe January 2014 (has links)
Cette étude porte sur les conséquences du génocide des Tutsis sur ses héritiers tiers. À partir d’une enquête et l’analyse de données qualitatives, elle met en exergue les défis auxquels se sont heurtés les professeurs et les étudiants diplômés qui ont étudié ce crime, au nombre desquels, le plus important est le traumatisme secondaire né de la confrontation avec les écrits portant sur le génocide, et la visite des lieux de mémoire. Cette confrontation a engendré les sentiments de solitude, de désespoir, de perte de confiance en soi et en l’humanité, ainsi que de culpabilité au regard de l’abandon des victimes de ce génocide. D’un autre côté, cette recherche identifie les moyens mis en place par les participants pour surmonter ces difficultés. Pour ce faire, les liens qu’ils ont tissés avec les rescapés et les différents types d’engagements et d’actions qu’ils ont pris leur ont permis de donner sens à leur démarche, notamment le fait pour eux d’être à l’écoute de l’expérience des rescapés et d’en rendre compte auprès de la société, qui est un élément essentiel. La prise de parole par le survivant, son écoute et sa transmission participent à la reconnaissance des victimes et le rétablissement de leur appartenance à la communauté humaine et ainsi à leur résilience. En côtoyant les rescapés, les participants ont pris conscience de la résilience de ces derniers, et ce constat les a appuyés dans leur démarche. D’où une construction mutuelle de la résilience. Lorsque la violence du savoir génocidaire s’est avérée insupportable, les participants ont décidé de prendre du recul avec leurs travaux, afin de pouvoir prendre soin d’eux. En confiant leur expérience à un proche où a un professionnel de la santé mentale, les participants ont pu surmonter le poids émotionnel lié à leur objet de recherche. Cette recherche soutient aussi l’importance de concilier la théorie et la pratique lorsqu’on fait la recherche sur la violence extrême.
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La compétition public-privé dans le secteur municipal : conséquences pour le syndicat et la main-d'oeuvre

Cyr-Racine, Cathy-Soleil January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Modulation cholinergique de l'activité épileptiforme dans le cortex de rat et conséquences à long terme de crise précoces expérimentales dans l'hippocampe et le cortex de rat

Potier, Soizic January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotions

Hurtubise, Mariève 02 April 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.
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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotions

Hurtubise, Mariève 02 April 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.
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The quantum of control : toward a theory of interaction design

Samuelson, Hans January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le développement de la compréhension des conséquences interpersonnelles des émotions

Hurtubise, Mariève January 2013 (has links)
Le but de la présente thèse de doctorat est d’examiner le développement de la connaissance des conséquences interpersonnelles des émotions au cours de l’enfance. Le premier objectif de cette thèse est d’examiner le développement de la justesse du raisonnement des enfants lorsqu’ils doivent choisir parmi trois choix de réponses celui qui explique le mieux les conséquences découlant de l’expression et de la dissimulation de la colère et de la tristesse chez leurs pairs. Le deuxième objectif est de mieux comprendre les types d’erreur commise par les enfants dans le contexte de la dissimulation. Deux études ont été menées afin de répondre à ces objectifs. Dans chacune d’elles, des enfants âgés de 5 à 10 ans ont écouté des histoires dans lesquelles des personnages décident d’exprimer ou de dissimuler l’émotion qu’ils ou qu’elles ressentent. L’enfant devait choisir ce que les pairs du personnage principal allaient faire et penser comme suite à l’expression et à la dissimulation de la tristesse et de la colère. Les résultats montrent que, dès le début de la période scolaire, les enfants ont une certaine connaissance des conséquences interpersonnelles de l’expression de la colère et de la tristesse, tant sur le plan du comportement que sur celui des pensées, c’est-à-dire du type d’évaluation qu’une personne est susceptible de faire. Cependant, les enfants ont plus de facilité à choisir correctement les conséquences interpersonnelles de ces émotions lorsque celles-ci sont exprimées plutôt que dissimulées. Les enfants âgés de 8 à 10 ans peuvent toutefois mieux se représenter l’effet que l’expression et la dissimulation d’une émotion peuvent avoir sur la pensée et le comportement d’un autre enfant. Les enfants de 5 à 6 ans ont plus de difficulté à comprendre l’effet trompeur que peut avoir l’expression d’une émotion. Les analyses montrent que le type de dissimulation semble contribuer à la représentation qu’ont les enfants des comportements et des pensées interpersonnels déclenchés par la dissimulation. Les enfants de nos études avaient plus de difficulté à choisir les comportements et les pensées des personnages lorsque le personnage principal de l’histoire neutralisait son émotion. Nos résultats montrent aussi qu’il est plus facile pour l’enfant de se représenter les conséquences interpersonnelles de la dissimulation lorsque le personnage principal connaît moins l’autre personnage.

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