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Valle popullore : Tanz und Tanzmusik der Albaner im Kosovo und in Makedonien /Hoerburger, Felix, Emmerig, Thomas. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Universität Erlangen/Nürnberg, 1963. / Contient la transcription musicale des danses (pp. 157-279). Bibliogr. p. 281-285. Index.
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Romaani katsoo peiliin : mise en abyme -rakenteet ja tekstienvälisyys Marko Tapion Aapo Heiskasen viikatetanssissa /Makkonen, Anna. January 1991 (has links)
Texte remanié: Väitöskirja--historiallis-kielitieteellinen osasto--Helsinki--Helsingin yliopisto, 1991. / Résumé en anglais. Bibliogr. 194-211.
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Théorie et pratique sociale de la danse noble en Italie centro-septentrionale au XVeme siècle / Theory and social practice of noble dance in fifteenth-century central northern ItalyAcone, Ludmila 23 March 2013 (has links)
Objet d'histoire à part entière, la danse est un « fait social total » à l'interface du corps et de l'esprit de l'individuel et du collectif : du féminin et du masculin, du religieux et du profane, du technique et du spontané. Au XVe siècle, Domenico da Piacenza, Antonio Comazzano et Guglielmo Ebreo da Pesaro, incarnent l'émergence d'une nouvelle figure intellectuelle, artistique et technique, celle du maître à danser, élevant la danse au rang d'art libéral. Ils construisent l'esthétique d'une danse noble en opposition à celle des danses dites populaires établissant des normes à la fois artistiques, sociales et genrées, conformes à la morale de la cour et répondant aux anathèmes religieux. La danse, vecteur d'une idéologie de cour et d'une communication entre les cours et la société, est tout autant instrument d'une évolution des disciplines du corps, voire d'une thérapeutique fondée sur l'harmonie du corps et de l'esprit. Les fondements philosophiques, techniques et pédagogiques de la danse noble s'inscrivent dans la culture des cours italiennes de la fin du Moyen Age et créent un nouveau langage du corps en mouvement, s'inscrivant de manière novatrice dans de la culture humaniste de l'époque. Une lecture attentive des sources (littéraires, iconographiques théâtrales, et musicales...) rend visible ce qui est apparemment invisible, voire caché et permet de comprendre, interpréter et restituer la richesse de l'activité chorégraphique d'une époque. Il ne s'agit pas d'histoire de la danse, mais de danse dans l'histoire de révéler un aspect de la civilisation de la fin du Moyen Age, également par tout ce que le corps en mouvement est capable de nous révéler. / Dance, a fully historical subject, is a 'total social fact' at the interface between body and soul, between individual and collective, feminine and masculine, religions and profane, and between technique and spontaneity. In the fifteenth century, Domenico da Piacenza, Antonio Cornazzano and Guglielmo Ebreo da Pesaro represent the rise a new intellectual, artistic and technical figure, that of the master of dance, thus promoting dance as a liberal art. The construct the aesthetics of a noble dance in opposition to those of the so-called popular dances, by creating artistic as we as social and gender norms in conformity with courtly ethics, and by offering a response to religious anathemas. Dance vector of a courtly ideology and a communication between courts and society, remains the instrument of evolving corporeal disciplines, and even a therapy founded on conceptual harmony between body and soul. The philosophical technical and pedagogical foundations of noble dance are inscribed in the culture of Italian courts from the end of the Middle Ages and create a new language of the moving body, innovating it and making it part of the humanistic culture those times. An attentive reading of the sources -literary, iconographical, theatrical and musical- makes visible what seems invisible even hidden, and enables us to understand and interpret, as well as summon up the richness of the chorographical activity of a certain period. This is not a history of dance but a history of dance in history, or rather the illumination of an aspect of late-medieval civilization, thanks, also, to what the body and movement are capable of revealing to us.
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Corpos possíveis : corpo, dança e análise do discursoRehm, Alyne January 2015 (has links)
Le corps qui danse et ses images provoquent des interprétations, suscitent des sens. Proposée par le philosophe français Michel Pêcheux comme discipline d’interprétation, l’analyse du discours permet, avec ses présupposés théorico-pratiques, de penser à la manière dont se constitue le corps en tant que matérialité signifiante et les sens possibles du corps sur la/de la/qui danse. Le présent travail part de la constitution et de la formulation de sens sur la danse, sur le corps et sur le corps qui danse pour analyser les discours s’interrogeant sur le corps dans la/de la/qui danse. Il vise à comprendre comment des images de la danse et du corps qui danse se forment au fur et à mesure de ce qui se dit, se montre et se danse, constituant ainsi des sens, des sujets et des corps. Pour ce faire, l’accent est mis sur les concepts de l’analyse du discours à mobiliser pour pouvoir travailler le corps dans la/de la/qui danse comme un objet analytique et avoir accès au discours. Le corpus de la recherche est expérimental et se compose d’entretiens appliqués à deux groupes sociaux de sujets. À partir de là, il est possible d’observer : i) l’interprétation, qui actualise les dires à travers le travail de la mémoire discursive ; ii) le rapport sujet/corps/sens, parfois par le biais de l’image même du corps ; iii) les répétitions et les ruptures entre le corps qui doit et le corps qui peut danser. En somme, ce travail observe les discours possibles à partir d’images et de corps possibles qui mènent à des sens possibles, lesquels conduisent à d’autres discours, à d’autres images, à d’autres corps et à d’autres sens, et ainsi de suite – et permet de penser sur ce qui est possible à partir de ces observations. / O corpo que dança e suas imagens provocam interpretações, suscitam sentidos. A Análise do Discurso (AD) de vertente francesa, proposta pelo filósofo Michel Pêcheux enquanto disciplina de interpretação, possibilita, pelos seus pressupostos teórico-analíticos, que pensemos em como se constitui o corpo enquanto materialidade significante e os sentidos possíveis para o corpo na/da/que dança. A partir da constituição e da formulação de sentidos sobre a dança, sobre o corpo e sobre o corpo que dança, a presente pesquisa investiga os discursos que circulam acerca da questão qual é o corpo na/da/que dança. O trabalho busca compreender como imagens da dança e do corpo que dança vão se formando na medida em que se diz, em que se mostra, em que se dança, constituindo, assim, sentidos, sujeitos e corpos. Para tanto, são pensados quais conceitos da AD devem ser mobilizados para que se possa trabalhar com o corpo na/da/que dança como objeto analítico, dando acesso ao discurso. O corpus da pesquisa se constrói de forma experimental, constando de entrevistas aplicadas a dois grupos sociais de sujeitos. A partir disso, é possível observar i) a interpretação, atualizando os dizeres através do trabalho da memória discursiva; ii) a relação sujeito/corpo/sentido, por vezes, através da própria imagem do corpo; iii) as repetições e as rupturas entre o corpo que deve e o corpo que pode dançar. Assim, este trabalho observa os discursos possíveis a partir de imagens e de corpos possíveis que levam a sentidos possíveis, que levam a outros discursos, a outras imagens e a outros corpos, a outros sentidos, incessantemente, abrindo à reflexão acerca do que é possível a partir dessas observações.
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CoreogeografiasMunhoz, Angélica Vier January 2009 (has links)
Presque une scène. La chorégraphie matérialise un trait. Ce qu'on écoute ce sont des mouvements et des mélodies. Un jeu d'astuce. Ce qui vient ensuite ne pourrait pas être inattendu. Devant les voilements et les opacités, face au lugubre de la nuit, la scène s'ouvre au soleil d'autres parages. Les corps parlent une autre langue, comme si c'était possible de courtiser une santé. La fin du spectacle. La fin de partie de la danse. Il n'y existe qu'une fantaisie qui se déguise dans la répétition infinie parmi le déjà dansé, le déjà vu et le déjà dit. Tout procède dans l'extrême résistance de faire mourir sa propre conscience. Tout est si léger et si vif dans l'extase du mouvement. Au plus haut de la fête, quand les solitudes s'ouvrent aux magmas et les passions regrettent ses flammes, les corps sont revisités par les dieux. Et pendant que les lueurs se croisent, les dieux les invitent à une condition glorieuse: devenir un être de lumière et de beauté. Mon écriture est volée d'un autre. J'y potentialise le faux. Et la dévore anthropophagiquement. Entre les bruits et les mélodies emmêlées, il y a des syllabes, des couleurs, des mots et des sons. J'essaie les échos en moimême. Et les déforme dans une conjonction amoureuse. / Quase um palco. A coreografia materializa um traço. São movimentos e melodias o que se escuta. Um jogo de astúcia. O que vem a seguir não poderia ser inesperado. Diante de veladuras e opacidades, diante do lúgubre da noite, o palco se abre no sol de outras paragens. Os corpos falam uma outra língua, como se fosse possível cortejar uma saúde. O final do espetáculo. O fim de partida da dança. Não existe aí senão uma fantasia que se dissimula na repetição infinita entre o já dançado, o já visto e o já dito. Tudo procede na extrema resistência de fazer morrer a sua própria consciência. Tudo é tão leve e tão vivo no êxtase do movimento. No mais alto da festa, quando as solidões se abrem às misturas e as paixões lamentam suas flâmulas, os corpos são revisitados pelos deuses. E enquanto os clarões se cruzam, os deuses os convidam a uma condição gloriosa: tornar-se um ser de luz e de beleza. Minha escrita é roubada de outro. Nela potencializo o falso. E a devoro antropofagicamente. Entre os ruídos e as melodias emaranhadas, há sílabas, cores, palavras e sons. Experimento os ecos em mim. E os deformo numa conjunção amorosa.
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Corpos possíveis : corpo, dança e análise do discursoRehm, Alyne January 2015 (has links)
Le corps qui danse et ses images provoquent des interprétations, suscitent des sens. Proposée par le philosophe français Michel Pêcheux comme discipline d’interprétation, l’analyse du discours permet, avec ses présupposés théorico-pratiques, de penser à la manière dont se constitue le corps en tant que matérialité signifiante et les sens possibles du corps sur la/de la/qui danse. Le présent travail part de la constitution et de la formulation de sens sur la danse, sur le corps et sur le corps qui danse pour analyser les discours s’interrogeant sur le corps dans la/de la/qui danse. Il vise à comprendre comment des images de la danse et du corps qui danse se forment au fur et à mesure de ce qui se dit, se montre et se danse, constituant ainsi des sens, des sujets et des corps. Pour ce faire, l’accent est mis sur les concepts de l’analyse du discours à mobiliser pour pouvoir travailler le corps dans la/de la/qui danse comme un objet analytique et avoir accès au discours. Le corpus de la recherche est expérimental et se compose d’entretiens appliqués à deux groupes sociaux de sujets. À partir de là, il est possible d’observer : i) l’interprétation, qui actualise les dires à travers le travail de la mémoire discursive ; ii) le rapport sujet/corps/sens, parfois par le biais de l’image même du corps ; iii) les répétitions et les ruptures entre le corps qui doit et le corps qui peut danser. En somme, ce travail observe les discours possibles à partir d’images et de corps possibles qui mènent à des sens possibles, lesquels conduisent à d’autres discours, à d’autres images, à d’autres corps et à d’autres sens, et ainsi de suite – et permet de penser sur ce qui est possible à partir de ces observations. / O corpo que dança e suas imagens provocam interpretações, suscitam sentidos. A Análise do Discurso (AD) de vertente francesa, proposta pelo filósofo Michel Pêcheux enquanto disciplina de interpretação, possibilita, pelos seus pressupostos teórico-analíticos, que pensemos em como se constitui o corpo enquanto materialidade significante e os sentidos possíveis para o corpo na/da/que dança. A partir da constituição e da formulação de sentidos sobre a dança, sobre o corpo e sobre o corpo que dança, a presente pesquisa investiga os discursos que circulam acerca da questão qual é o corpo na/da/que dança. O trabalho busca compreender como imagens da dança e do corpo que dança vão se formando na medida em que se diz, em que se mostra, em que se dança, constituindo, assim, sentidos, sujeitos e corpos. Para tanto, são pensados quais conceitos da AD devem ser mobilizados para que se possa trabalhar com o corpo na/da/que dança como objeto analítico, dando acesso ao discurso. O corpus da pesquisa se constrói de forma experimental, constando de entrevistas aplicadas a dois grupos sociais de sujeitos. A partir disso, é possível observar i) a interpretação, atualizando os dizeres através do trabalho da memória discursiva; ii) a relação sujeito/corpo/sentido, por vezes, através da própria imagem do corpo; iii) as repetições e as rupturas entre o corpo que deve e o corpo que pode dançar. Assim, este trabalho observa os discursos possíveis a partir de imagens e de corpos possíveis que levam a sentidos possíveis, que levam a outros discursos, a outras imagens e a outros corpos, a outros sentidos, incessantemente, abrindo à reflexão acerca do que é possível a partir dessas observações.
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CoreogeografiasMunhoz, Angélica Vier January 2009 (has links)
Presque une scène. La chorégraphie matérialise un trait. Ce qu'on écoute ce sont des mouvements et des mélodies. Un jeu d'astuce. Ce qui vient ensuite ne pourrait pas être inattendu. Devant les voilements et les opacités, face au lugubre de la nuit, la scène s'ouvre au soleil d'autres parages. Les corps parlent une autre langue, comme si c'était possible de courtiser une santé. La fin du spectacle. La fin de partie de la danse. Il n'y existe qu'une fantaisie qui se déguise dans la répétition infinie parmi le déjà dansé, le déjà vu et le déjà dit. Tout procède dans l'extrême résistance de faire mourir sa propre conscience. Tout est si léger et si vif dans l'extase du mouvement. Au plus haut de la fête, quand les solitudes s'ouvrent aux magmas et les passions regrettent ses flammes, les corps sont revisités par les dieux. Et pendant que les lueurs se croisent, les dieux les invitent à une condition glorieuse: devenir un être de lumière et de beauté. Mon écriture est volée d'un autre. J'y potentialise le faux. Et la dévore anthropophagiquement. Entre les bruits et les mélodies emmêlées, il y a des syllabes, des couleurs, des mots et des sons. J'essaie les échos en moimême. Et les déforme dans une conjonction amoureuse. / Quase um palco. A coreografia materializa um traço. São movimentos e melodias o que se escuta. Um jogo de astúcia. O que vem a seguir não poderia ser inesperado. Diante de veladuras e opacidades, diante do lúgubre da noite, o palco se abre no sol de outras paragens. Os corpos falam uma outra língua, como se fosse possível cortejar uma saúde. O final do espetáculo. O fim de partida da dança. Não existe aí senão uma fantasia que se dissimula na repetição infinita entre o já dançado, o já visto e o já dito. Tudo procede na extrema resistência de fazer morrer a sua própria consciência. Tudo é tão leve e tão vivo no êxtase do movimento. No mais alto da festa, quando as solidões se abrem às misturas e as paixões lamentam suas flâmulas, os corpos são revisitados pelos deuses. E enquanto os clarões se cruzam, os deuses os convidam a uma condição gloriosa: tornar-se um ser de luz e de beleza. Minha escrita é roubada de outro. Nela potencializo o falso. E a devoro antropofagicamente. Entre os ruídos e as melodias emaranhadas, há sílabas, cores, palavras e sons. Experimento os ecos em mim. E os deformo numa conjunção amorosa.
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Corpos possíveis : corpo, dança e análise do discursoRehm, Alyne January 2015 (has links)
Le corps qui danse et ses images provoquent des interprétations, suscitent des sens. Proposée par le philosophe français Michel Pêcheux comme discipline d’interprétation, l’analyse du discours permet, avec ses présupposés théorico-pratiques, de penser à la manière dont se constitue le corps en tant que matérialité signifiante et les sens possibles du corps sur la/de la/qui danse. Le présent travail part de la constitution et de la formulation de sens sur la danse, sur le corps et sur le corps qui danse pour analyser les discours s’interrogeant sur le corps dans la/de la/qui danse. Il vise à comprendre comment des images de la danse et du corps qui danse se forment au fur et à mesure de ce qui se dit, se montre et se danse, constituant ainsi des sens, des sujets et des corps. Pour ce faire, l’accent est mis sur les concepts de l’analyse du discours à mobiliser pour pouvoir travailler le corps dans la/de la/qui danse comme un objet analytique et avoir accès au discours. Le corpus de la recherche est expérimental et se compose d’entretiens appliqués à deux groupes sociaux de sujets. À partir de là, il est possible d’observer : i) l’interprétation, qui actualise les dires à travers le travail de la mémoire discursive ; ii) le rapport sujet/corps/sens, parfois par le biais de l’image même du corps ; iii) les répétitions et les ruptures entre le corps qui doit et le corps qui peut danser. En somme, ce travail observe les discours possibles à partir d’images et de corps possibles qui mènent à des sens possibles, lesquels conduisent à d’autres discours, à d’autres images, à d’autres corps et à d’autres sens, et ainsi de suite – et permet de penser sur ce qui est possible à partir de ces observations. / O corpo que dança e suas imagens provocam interpretações, suscitam sentidos. A Análise do Discurso (AD) de vertente francesa, proposta pelo filósofo Michel Pêcheux enquanto disciplina de interpretação, possibilita, pelos seus pressupostos teórico-analíticos, que pensemos em como se constitui o corpo enquanto materialidade significante e os sentidos possíveis para o corpo na/da/que dança. A partir da constituição e da formulação de sentidos sobre a dança, sobre o corpo e sobre o corpo que dança, a presente pesquisa investiga os discursos que circulam acerca da questão qual é o corpo na/da/que dança. O trabalho busca compreender como imagens da dança e do corpo que dança vão se formando na medida em que se diz, em que se mostra, em que se dança, constituindo, assim, sentidos, sujeitos e corpos. Para tanto, são pensados quais conceitos da AD devem ser mobilizados para que se possa trabalhar com o corpo na/da/que dança como objeto analítico, dando acesso ao discurso. O corpus da pesquisa se constrói de forma experimental, constando de entrevistas aplicadas a dois grupos sociais de sujeitos. A partir disso, é possível observar i) a interpretação, atualizando os dizeres através do trabalho da memória discursiva; ii) a relação sujeito/corpo/sentido, por vezes, através da própria imagem do corpo; iii) as repetições e as rupturas entre o corpo que deve e o corpo que pode dançar. Assim, este trabalho observa os discursos possíveis a partir de imagens e de corpos possíveis que levam a sentidos possíveis, que levam a outros discursos, a outras imagens e a outros corpos, a outros sentidos, incessantemente, abrindo à reflexão acerca do que é possível a partir dessas observações.
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CoreogeografiasMunhoz, Angélica Vier January 2009 (has links)
Presque une scène. La chorégraphie matérialise un trait. Ce qu'on écoute ce sont des mouvements et des mélodies. Un jeu d'astuce. Ce qui vient ensuite ne pourrait pas être inattendu. Devant les voilements et les opacités, face au lugubre de la nuit, la scène s'ouvre au soleil d'autres parages. Les corps parlent une autre langue, comme si c'était possible de courtiser une santé. La fin du spectacle. La fin de partie de la danse. Il n'y existe qu'une fantaisie qui se déguise dans la répétition infinie parmi le déjà dansé, le déjà vu et le déjà dit. Tout procède dans l'extrême résistance de faire mourir sa propre conscience. Tout est si léger et si vif dans l'extase du mouvement. Au plus haut de la fête, quand les solitudes s'ouvrent aux magmas et les passions regrettent ses flammes, les corps sont revisités par les dieux. Et pendant que les lueurs se croisent, les dieux les invitent à une condition glorieuse: devenir un être de lumière et de beauté. Mon écriture est volée d'un autre. J'y potentialise le faux. Et la dévore anthropophagiquement. Entre les bruits et les mélodies emmêlées, il y a des syllabes, des couleurs, des mots et des sons. J'essaie les échos en moimême. Et les déforme dans une conjonction amoureuse. / Quase um palco. A coreografia materializa um traço. São movimentos e melodias o que se escuta. Um jogo de astúcia. O que vem a seguir não poderia ser inesperado. Diante de veladuras e opacidades, diante do lúgubre da noite, o palco se abre no sol de outras paragens. Os corpos falam uma outra língua, como se fosse possível cortejar uma saúde. O final do espetáculo. O fim de partida da dança. Não existe aí senão uma fantasia que se dissimula na repetição infinita entre o já dançado, o já visto e o já dito. Tudo procede na extrema resistência de fazer morrer a sua própria consciência. Tudo é tão leve e tão vivo no êxtase do movimento. No mais alto da festa, quando as solidões se abrem às misturas e as paixões lamentam suas flâmulas, os corpos são revisitados pelos deuses. E enquanto os clarões se cruzam, os deuses os convidam a uma condição gloriosa: tornar-se um ser de luz e de beleza. Minha escrita é roubada de outro. Nela potencializo o falso. E a devoro antropofagicamente. Entre os ruídos e as melodias emaranhadas, há sílabas, cores, palavras e sons. Experimento os ecos em mim. E os deformo numa conjunção amorosa.
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Quelques aspects de la danse folkloriqueSköld, Lovisa January 2006 (has links)
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