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Erzählen nach Darwin : die Krise der Teleologie im literarischen Realismus : Friedrich Theodor Vischer und Gottfried Keller /

Ajouri, Philip, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Neugermanistik--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 2005. / Bibliogr. p. 345-367. Index.
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Nietzsche's physiological philosophy of history

Soderstrom, Lukas January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Über den praktischen Malthusianismus, Neomalthusianismus und Sozialdarwinismus.

Baum, Fritz, January 1900 (has links)
Inaug.-Diss.--Leipzig. / Cover title. Includes bibliography.
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Die relative Vollständigkeit und Hinlänglichkeit der Entwickelungs-Ethik und der Christlichen Ethik

Earp, Edwin Lee, January 1901 (has links)
Inaugural-Dissertation zur Erlangung der Doktorwürde bei der Hohen Philosophischen Fakultät der Universität Leipzig. / Lebenslauf: p. [73]-74. Includes bibliographical references.
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Between poetry and science Wilhelm Bölsche as scientific popularizer /

Kelly, Alfred, January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Wisconsin--Madison, 1975. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves [221]-236).
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Approche endodarwinienne de la variabilité de l'expression génétique

Heams, Thomas 05 1900 (has links) (PDF)
La biologie moléculaire repose sur des bases déterministes qui ont longtemps été fécondes mais sont désormais un handicap pour la compréhension des phénomènes biologiques. Le déterminisme en génétique est un concept robuste mais dont les fondations apparaissent de plus en plus fragiles, notamment le concept de spécificité et l'importance centrale accordée au génome. À partir de ces constats, nous faisons une proposition théorique. Nous proposons une nouvelle grille de lecture des relations intercellulaires, que nous appelons endodarwinienne. Il s'agit de postuler que les cellules ont un comportement aléatoire a priori, notamment dans leur expression génétique et que seules celles qui adoptent un profil d'expression adapté à leur environnement sont dans un second temps sélectionnées. Dans ce modèle, les cellules ne répondent pas à des "signaux" de manière prévisible. Dans une large mesure, les cellules sont mues par leur intérêt immédiat. Ce modèle est une réponse à la crise du déterminisme car il rend inutile de postuler une spécificité des interactions moléculaires, et permet de sortir de la notion rigide de "programme génétique", sans pour autant nier le rôle évident des gènes. Il y a un paradoxe à proposer que des phénomènes reproductibles soient fondés sur des dynamiques stochastiques, c'est pourquoi nous cherchons à montrer que ce paradoxe n'est qu'apparent, que l'aléa de réactions individuelles est précisément une force structurante, et que l'approche probabiliste englobe l'approche déterministe. Une synthèse de données expérimentales met en évidence l'importance sous-évaluée de la variabilité intercellulaire de l'expression génétique, dans des situations très diverses. Dans celles-ci, de toute évidence, des cellules clonales se comportent de manière aléatoire et ne répondent pas de manière homogène à des signaux. Cette variabilité peut être la base d'une sélection. Par ailleurs, des données récentes confirment que la dynamique même des échanges moléculaires au sein du noyau rend nécessaire d'intégrer comme un acquis la dimension intrinsèquement stochastique de l'expression génétique, qui provoque ainsi une variété phénotypique. Le développement embryonnaire, classiquement envisagé comme la concrétisation d'un programme génétique à l'œuvre, peut être abordé selon une logique endodarwinienne. Le déterminisme y est très relatif, les devenirs cellulaires sont très plastiques, et les signaux échangés par les cellules semblent souvent pouvoir être étudiés sous l'angle d'une relation trophique. L'apoptose, souvent appelée mort programmée, ne semble pas pourtant répondre de manière satisfaisante à cette caractérisation. Cependant il peut sembler contradictoire, dans l'approche endodarwinienne, que des cellules engagent leur propre destruction. Des observations montrent que malgré les apparences, ce phénomène avéré ne contredit pas l'approche endodarwinienne. Pour tester les hypothèses endodarwiniennes, il faut en passer par une étude sur cellules isolées car travailler sur des populations cellulaires provoque des effets de moyenne qui masquent la variabilité intercellulaire. Des techniques d'études de l'expression génétique sur cellules isolées existent. Parmi celles-ci, une adaptation particulière de la RT-PCR, l'amplification par l'extrémité 3' (TPEA) a été simplifiée et rationalisée pour être compatible avec une approche globale. Les premiers résultats issus de ce travail de mise au point, quoique préliminaires, peuvent déjà être lus selon une grille sélective plutôt qu'instructive et confirment l'existence d'une expression aléatoire des gènes. Une autre approche possible est celle de l'étude des variations de la méthylation des gènes, que l'on sait corrélée à des variations d'expression. Au cours d'une cinétique de différenciation, un gène est étudié sous cet angle et révèle une variabilité importante, dans le temps et de cellule à cellule. Par ailleurs, le profil de différentes sous populations au cours de cette cinétique va dans le sens d'une expression aléatoire et d'une sélection des cellules ayant le profil adapté. Ces approches expérimentales et bibliographiques incitent à penser que la proposition théorique initiale est pertinente, économe et généralisable, même si, bien sûr, la question reste ouverte.
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Causalité dans la théorie darwinienne

Dubé, Jean-Philippe 16 January 2019 (has links)
La théorie de l’évolution de Charles Darwin est une des plus importantes théories scientifiques. Plus particulièrement, sa théorie de la sélection naturelle a permis l’élimination des explications téléologiques et de l’impression d’intention en biologie. Cet apport du darwinisme est remis en question par la parution en 2010 de What Darwin Got Wrong. Dans cet ouvrage, Jerry Fodor présente une critique philosophique de la théorie de la sélection naturelle comme processus causal de l’évolution. Cette critique donna naissance à une grande polémique entre biologistes et philosophes sur la légitimité de la théorie darwinienne. Cette thèse avance que ce débat tourne autour d’un dialogue de sourds. La conception de la causalité des interlocuteurs varie et est rarement explicitée. Mettre au jour ces présuppositions causales permet de dissoudre certains problèmes et de réorienter le débat. La causalité en est le concept central et son analyse est impérative pour justifier la légitimité du darwinisme.
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Les implications morales du darwinisme : une lecture de l'oeuvre de James Rachels / The moral implications of Darwinism : a reading of James Rachels' work

Couturier, Florian 28 October 2014 (has links)
L'éthique de J. Rachels, qu'il en viendra à présenter comme un utilitarisme « à stratégies multiples », concilie la maximisation du bien-être global sur Terre avec une attention pour la variété des éléments qui le composent. De plus, le jugement moral relève des caractéristiques pertinentes des individus impliqués, eu égard au traitement envisagé, et non des espèces auxquelles ils appartiennent. Un tel Individualisme Moral fait donc dépendre le bénéfice de considérations morales, non plus seulement de facultés mentales développées, mais d'une variété de capacités, telle la sensibilité, dont sont dotés de nombreux animaux. À travers cela, l'auteur s'oppose, plus fondamentalement, à la tendance en éthique à vouloir poser des limites a priori à l'ensemble des êtres susceptibles de bénéficier de considérations morales pour eux-mêmes (les patients moraux). Ces limites sont généralement rapprochées de capacités telles que la rationalité ou la sensibilité – tout ce qui existe au-delà de cette « frontière » présentant une valeur moindre ou étant réduit à l'état de chose. Pour Rachels, en revanche, le statut moral ne dépend pas d'une caractéristique unique à portée générale : nous devrions plutôt convenir qu'il existe une variété de critères pertinents pour une variété de circonstances. C'est dans le cadre de cette réflexion autour de la considérabilité morale des objets de la nature, outre ses travaux sur l'euthanasie, que l'auteur publie Created from Animals: the Moral Implications of Darwinism (1990). « Darwinisme » s'entend ici comme une pensée tant proche de celle de C. Darwin en son temps qu'informée des derniers progrès dans notre compréhension de l'évolution des espèces, où la sélection naturelle joue un rôle clef : une pensée du changeant, du progressif et de la contingence qui succède à un monde ordonné et finalisé, où l'homme a une valeur spéciale, et à la conception essentialiste des espèces. Il ne s'agit rien plus que de s'assurer, sur le modèle d'une cohérence globale de la connaissance (naturalisme inspiré de W.O. Quine), de la compatibilité de la réflexion philosophique avec notre compréhension la plus complète des origines du vivant. Or, avec Darwin, plutôt que des ruptures brutales entre espèces, se découvre un motif complexe de similitudes et de différences qui reflète une ascendance commune. Un tel continuisme biologique, s'il n'en établit la fausseté, vient saper les bases de la « logique de frontières » sur le plan éthique, c'est-à-dire de cette stratégie consistant à justifier des régimes de traitement entièrement différents pour des individus d'espèces distinctes en arguant d'une radicale différence de nature. Cet argument essentiel consolide donc la pensée animaliste, notamment l'argument des « cas marginaux ». Mais on voit à travers lui que l'éthique animale elle-même est susceptible d'entretenir un biais anthropocentriste : étendu aux êtres sensibles, le statut moral demeure attaché à une caractéristique unique, que l'homme valorise d'autant plus volontiers qu'il en fait l'expérience intime. Cette démarche extensionniste ne ferait donc jamais que recréer de nouveaux critères d'exclusion, dont on peut désormais soupçonner le caractère arbitraire. Pour P. Taylor ou H. Rolston, en effet, une attitude de respect envers la vie en général n'a rien d'absurde. On devrait pouvoir envisager ainsi, dans le prolongement de la pensée de Rachels, de ne pas resserrer la communauté morale autour de la seule faculté sensible ; de mettre un terme au mouvement d'expansion de la communauté morale constaté à travers les siècles, non pas par une nouvelle frontière, mais en envisageant la dissolution de toute frontière. Ne rien considérer de ce qui appartient à la biosphère seulement comme une ressource, et se disposer à entretenir envers tout existant un rapport respectueux en adéquation avec ses propriétés réelles, en tenant compte de l'ensemble des circonstances : ce serait là le principe d'une « éthique de toutes choses ». / James Rachels' ethics, which he will finally present as a « multiple strategies utilitarianism », reconciles maximisation of global welfare on Earth and attention for the variety of elements which compose it. Furthermore, the moral judgement is related to the relevant characteristics of the individuals who are involved, in view of the considered treatment, not the species of which they belong. According to such Moral Individualism, the benefit of moral considerations will depend, not of developed mental faculties only, but of a variety of capacities, such as sensibility, which many animals have. Through this, the author opposes, more fundamentally, the tendency in ethics to define a priori limits to the beings which are likely to benefit from moral considerations for themselves (moral patients). These limits are generally associated with capacities such as rationality or sensibility – any existing being beyond this “frontier” having a lesser value or being reduced to a mere thing. For Rachels, however, moral status cannot depend on a unique characteristic with general scope: rather, it should be admitted that there is a variety of relevant criteria for a variety of circumstances. It is in the context of this reflection about the moral considerability of natural objects, besides his work on euthanasia, that the author publishes Created from Animals: the Moral Implications of Darwinism (1990). “Darwinism” shall be understood here both as a thought close to Darwin's in his days and informed of the last progresses in our understanding of species evolution, where natural selection plays a key role: ideas of changingness, gradualness and contingency are succeeding to an organized and finalized world where man has special value, and to the essentialist understanding of species. The point is nothing more than to ensure, on a global coherence of knowledge model (naturalism inspired by W.O. Quine), of the compatibility of the philosophical thinking with our most complete understanding of the origins of life. But now, after Darwin, rather than sharp breaks among species, we discover a complex pattern of resemblances as well as differences that reflect common ancestry. Such a biological continuism, if not proving its falsity, is undermining the basis of the “logic of frontiers” on the ethical field, that is to say, of this strategy which consists in justifying entirely different schemes of treatment for individuals belonging to distinct species by putting forward a radical difference in nature. This crucial argument makes stronger indeed the discourse in favour of animals, notably the argument from “marginal cases”. But we can see through this that animal ethics itself is likely to reproduce an anthropocentric bias: while extended to sentient beings, moral status remains associated with a unique characteristic that man is all the more likely to value since he experiences it intimately. This extensionnist approach, then, is nothing else than recreating new criteria of exclusion, which now we can suspect of being arbitrary. For P. Taylor or H. Rolston, indeed, a respectful attitude toward life in general is nothing like an absurdity. We should be able to consider then, in the wake of Rachels' thought, not to restrict the moral community to the sentient faculty only. And we should consider the possibility of putting an end to the expansion movement of the moral community observed throughout the centuries, not with another frontier, but in contemplating the dissolution of all frontiers. Do not consider anything of what belongs to the biosphere only as a resource, and be prepared to develop toward any being a respectful relationship in alignment with its real properties, taking into account the entirety of the circumstances: this would be the principle of an “everything ethics”.
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La représentation de la théorie de l'évolution chez des étudiant-e-s en biologie à l'université

Zaïm-Idrissi, L. Khadija 25 April 2018 (has links)
Notre problématique de recherche a découlé de la mise en relation des préoccupations suivantes: d'une part, nous avons remarqué l'usage croissant des modèles biologiques, notamment du modèle darwinien, pour interpréter certains rapports sociaux tels la xénophobie et l'agressivité. D'autre part, en tant qu'enseignante en biologie, nous nous interrogions sur la représentation que se font les étudiant-e-s à l'égard de la théorie de l'évolution. Ces interrogations nous ont conduite à nous pencher sur les conditions socio-historiques qui ont présidé à l'élaboration de la théorie de l'évolution et à examiner ses fondements scientifiques. Nous avons ainsi pu établir que certains concepts de la théorie de l'évolution, tels ceux de la sélection naturelle, de survie du plus apte, ne sont pas sans rappeler les valeurs de libre concurrence et d'élitisme de la société victorienne. Par ailleurs, les débats actuels au sujet de ladite théorie nous apprennent que, si le concept de sélection naturelle ne peut pas être rejeté, il ne peut cependant être considéré comme central dans tout processus évolutif. En effet, eu égard à la complexité des êtres vivants, ceux-ci sont capables de créer du nouveau, de l'imprévisible, à partir des perturbations aléatoires. Or, l'intervention du hasard nous empêche à la fois de reconstituer et de prédire rigoureusement les étapes évolutives d’une population donnée: elle nous impose un raisonnement probabiliste. Ces constats nous ont amenée à mieux cerner l'objet de cette étude qui est la représentation que se font les étudiant-e-s en biologie à l'université à l'égard de la théorie de l'évolution, et à concevoir une étude concrète faisant usage d'instruments de cueillette qui s'articulent autour du concept de hasard et de l'importance que lui accordent les étudiant-e-s dans leurs raisonnements. Nous avons ainsi mis au point des entrevues semi-structurées, un jeu de simulation et un questionnaire. Pour aborder les discours obtenus, nous avons opté pour une analyse qui nous a permis de mettre au jour diverses facettes de la représentation que se font les étudiant-e-s interrogé-e-s à l'égard de la théorie de l'évolution. Nous avons ainsi constaté que si la plupart des étudiant-e-s se font une représentation déterministe de la théorie de l'évolution, et tendent, parfois, à adhérer aux thèses sociobiologiques, d'autres étudiants font intervenir le hasard dans leur raisonnement sur le processus évolutif et dénoncent le sociobiologisme. Enfin, quelques étudiant-e-s ont manifesté des contradictions au cours de leur raisonnement sur les processus évolutifs proposés: tantôt ils tiennent compte du hasard, tantôt ils l'excluent de leur raisonnement. Ces conclusions nous ont permis de signaler l'intérêt de l'exploration des représentations des étudiant-e-s à l'égard de la théorie de l'évolution et la nécessité d'en tenir compte dans un enseignement qui a, entre autres, comme but de former à l'esprit critique. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
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Parcours et pensée d'un intellectuel français de la première moitié du 20ème siècle : Ernest Seillière (1866-1955) : l'incarnation nouvelle de la figure du médiateur dans le champ intellectuel / The intellectual journey of a french thinker from the first half of the 20th century : Ernest Seillière (1866-1955) : the new embodiment of mediator in the intellectual sphere

Le Goff, Silvin 16 May 2017 (has links)
La carrière intellectuelle d'Ernest Seillière de Laborde (1866-1955) s'étendit de l'affaire Dreyfus (son premier essai remarqué, une étude consacrée à Ferdinand Lassalle récompensée du prix Marcellin-Guérin de l'Académie française, parut en 1897) à la fin de la Seconde Guerre mondiale (il fit son entrée sous la Coupole en 1946). Parce qu'il considérait que tout bon représentant de l'élite avait pour mission de guider l'ensemble de la civilisation sur la voie du progrès, ce polytechnicien de formation dédia sa vie à l'élaboration d'une doctrine. Sa philosophie de l'Impérialisme, appuyée sur une vision organiciste de la société et une conception disciplinaire de la religion, imprégnée de darwinisme, de nietzschéisme et de gobinisme, et marquée par la mode des sciences psychologiques ainsi que par certains courants de la pensée allemande de son temps, n'avait pour autre but que de permettre à une bourgeoisie déclinante de répondre de manière adaptée à la montée en puissance et aux revendications sociales et politiques des masses. Le Romantisme, d'abord perçu comme un facteur de dégénérescence, fut progressivement envisagé par Seillière comme le pourvoyeur d'une formidable énergie qu'il importait de canaliser dans un sens impérialiste utilitaire. Opposant un Romantisme allemand énergique et virile à un Romantisme français féminin et anémiant, le germaniste en vint à faire la promotion d'un Socialisme rationnel que lui-même et certains de ses commentateurs crurent identifier dans les différents régimes totalitaires qui se développèrent au cours de l'Entre-deux-guerres. Celui qui se présentait comme un historien-psychologue se garda de jouer les premiers rôles dans les grands débats qui agitèrent le monde intellectuel français de son temps. La pensée de cet auteur prolifique ne fut pas pour autant ignorée de ses contemporains, et fit même quelques émules aux sensibilités et trajectoires diverses, mais dont les pensées demeuraient animées par une même obsession du déclin. / French thinker Ernest Seillière de Laborde (1866-1955) pursued a long career from the affaire Dreyfus (his first notable study dealing with Ferdinand Lassalle, rewarded by the prix Marcellin-Guérin of the Académie française, was published in 1897) to the end of the World War II (he entered the Académie française in 1946). The polytechnicien dedicated his entire life in developping a doctrine, claiming that an authentic member of the elite had to lead the whole civilization on the path to progress. His philosophy of Imperialism, based upon an organicist outlook of society and a constraining approach of religion, imbued with Darwinism, Nietzscheanism and Gobinism, and affected by a growing interest for psychological sciences and a number of contemporary german thinking movements, aimed to enable a decaying bourgeoisie to respond efficiently to the issu of the political rise and social demand of the masses. At first, Romanticism was seen by Seillière as a degeneration factor. But it was soon considered by the thinker as a provider of a great power that had to be controlled in an imperialistic utilitarian way. Drawing a comparison between a virile and dynamic Germanic Romanticism and a feminine and weakening French one, the Germanist promoted a rationalitic Socialism he and some of his commentators foresaw in the totalitarian regimes that emerged during the interwar period. He who described hisself as an historian-psychologist did not play the first part in the various intellectual debates of his time. However, the thought of this prolific writer was not ignored by his contemporaries, and raised interest within various thinkers obsessed with the idea of decline.

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