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Development of distributed optical fibre chemical sensorsElliott, Nicholas James January 2002 (has links)
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Présences de la marionnette contemporaine : figure, figuration, défiguration / Presences of the contemporary puppet : figure, figuration, disfigurementPostel, Julie 29 March 2019 (has links)
Les arts de la marionnette contemporains interrogent les liens entre geste plastique et geste dramatique, redéfinissant les principes et les enjeux de l’acte de figuration. Les créations issues de ces expériences ont ouvert la voie à une difficile désignation de l’objet-marionnette fixe, matériel et unique, ne permettant plus d’envisager la spécificité marionnettique suivant la dualité entre humains et objets. Consacrée aux « présences de la marionnette contemporaine », la thèse examine la marionnette comme figure et lieu d’une mise en friction des matières, des corps humains, des espaces et des médiums ondulatoires (sons et lumières). Une telle figure, se refusant à toute fixation dans le visible, les formes et les corps, met en drame son procès de défiguration. La spécificité marionnettique tient alors à la persistance d’une présence dramatique, discontinue et fragile, malgré la dislocation du lien entre les deux corps de la figure (matériel et virtuel). Prenant appui sur un corpus central d’oeuvres contemporaines (des Ateliers du spectacle, du Clastic Théâtre, de Phia Ménard, du Morbus Théâtre, de La Mue/tte, de Marta Pereira, des Rémouleurs, de Benjamin Verdonck et de Gisèle Vienne), ainsi que sur de nombreuses installations, expositions et créations scéniques, qui dessinent un aperçu synchronique des marges du champ marionnettique, cette recherche analyse les effets de circulation et de spatialisation des présences dramatiques, découlant de cette défiguration marionnettique. Il s’agit d’y interroger le déploiement d’une écriture spectrale, par la mise en tension de l’opacité d’objets bruts et corps inanimés et de l’évanescence de figures dématérialisées. Suivant une approche esthétique et poïétique, la recherche examine à la fois les principes techniques d’élaboration de ces figures « entre » les corps, leur potentiel dramaturgique de mise en vision du rêve, de la folie, du doute et de l’hallucination, et le type de regard spectatoriel qu’implique le devenir défiguré de la marionnette contemporaine. / Contemporary puppetry reinvents the relationship between dramatic and plastic gestures, inviting us to reconsider the principles and the implications of the act of figuration. The performing art works, generated by these experiences, avoid the designation of a fixed, material and unique puppet-object, so that a binary approach, opposing humans and objects, is no longer sufficient to consider the specificity of puppetry arts. Addressing the “presences of the puppet”, the thesis examines the puppet as a figure and a place for frictions between materials, bodies, spaces and wave mediums (lights and sounds). Such a figure, refusing tobe fixed in the visible, in the forms and the bodies, dramatizes its own disfigurement. Thus, the specificity of puppetry is the persistence of a fragile and discontinuous dramatic presence, despite the dislocation of the two bodies of the figure (material and virtual). Built on a central body of performing art works (by Les Ateliers du spectacle, the Clastic Théâtre, Phia Ménard, the Morbus Théâtre, La Mue/tte, Marta Pereira, the Rémouleurs, Benjamin Verdonck and Gisèle Vienne), and extending to other theatrical creations, installations and exhibitions, which offer a synchronic view on the margins of contemporary puppetry, this research examines the effects of circulation and spatialization of dramatic presence, which derive from the puppet disfigurement. The question is how the artists develop a spectral stage approach, based on the tension between the opacity of inert and inanimate objects and the evanescence of dematerialized figures. From an aesthetic and poïetic perspective, the research looks at the technical principles of the conception of a figure “in between” the bodies and objects, and its dramaturgical capacity to make visible the dream, the madness, the doubt, the hallucination. Finally it considers the specificity of the spectators’ position and work in front of such disfigured puppets.
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The Aesthetics of Madame de Staël and Mary ShelleyMouratidis, Maria 12 1900 (has links)
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L'évanescence du corps chez quelques auteurs postmodernes : domaines francophone et anglophone : Marie-Claire Blais, Pascal Bruckner, Marcel Moreau, John Banville, Ian McEwan, Joyce Carol Oates / [The vanishing body in some postmodern authors] : [french and english-speaking fields] : Marie-Claire Blais, Pascal Bruckner, Marcel Moreau, John Banville, Ian McEwan, Joyce Carol OatesPop, Andreea 30 September 2016 (has links)
L’évanescence suppose un état de précarité qui se nourrit de sa propre incomplétude. Le corps qui s’éthérise est en permanente déperdition de matérialité et d’énergie, ce qui amènera le détachement de la conscience. L’acheminement de l’état « tout-corps » à celui de « dé-corps » passe par trois régimes visuels : par l’opacité, associée à la pierre et à la figure de Thanatos, par la translucidité, qui concerne la chair et le feu érotique et, enfin, par la transparence du verre et de l’air, marquant l’entrée sur les territoires de Narcisse. Le thème du corps évanescent est développé autour de ces trois axes selon une logique centrée sur l’existence d’un seuil – décliné comme mur opaque, paroi organique translucide ou écran transparent. Ce seuil signale la transgression d’ordres et d’interdits. Lors du passage, le corps perd graduellement son ancrage dans la réalité concrète, qui s’estompe à vite allure pour faire place à un complexe espace-temps construit graduellement, dans le malheur de la maladie et de la mort ou dans la joie de la projection heureuse. Le corps évanescent tend vers un ailleurs qui s’organise à mesure que le premier s’efface. Ce double conditionnement s’accompagne d’innombrables régressions temporelles qui réverbèrent au niveau de la conscience incorporée sous la forme de la fissure qui entraîne le détachement. Sous le régime de la pierre l’évanescence se cristallise autour de l’image de la statue qui parcourt le trajet symbolique entre figement et vivification. Le marbre, le plâtre et le sable sont les trois motifs qui expriment l’idée de fragilisation de la matière. Le retour à la vie se prolonge dans la tiédeur de la chair réchauffée. Alors qu’elle atteint le seuil de la liquéfaction dans la fugue érotique, l’intensité de la sensation commence à diminuer, ce qui amène à un nouveau refroidissement. Dans le domaine de la transparence le corps subit des formes de détachement selon une logique qui va de la réflexion dans le miroir en tant qu’expression d’un moi naissant à l’extrême affaiblissement du caractère réfléchissant qui altère l’image de soi. Fenêtre, vitrine et écran sous-tendent l’effacement sous le régime de la transparence tout en créant l’illusion d’une intériorité. Comble du processus évanescent, le corps éthérique est mis en rapport avec l’ineffable de l’élément aérien. Cette forme de corporalité ultime exprime le détachement de la conscience, dans la joie comme dans la souffrance. Elle décrit un état de précarité absolue, qui met en avant le fait que tout en se délivrant de ses amarres matérielles la conscience tend à conserver un engramme qui assure la réincorporation, et avec elle, la survie. L’envol, le survol et la descente décrivent trois formes d’évanescence « aérienne » qui marquent le retour symbolique à l’opacité à travers des images d’épaississement : par les motifs de la vapeur, du brouillard ou de la nuit « polie » on est ramené au point de départ de la réflexion. L’histoire du corps évanescent, qui commence et achève par des images de la mort, est également l’histoire d’un continuel retour à la vie, aux forces pulsionnelles, à l’euphorie de se sentir vivant. / The vanishing body depicts a state of extreme precariousness and reveals a progressive loss of substance and vitality which results in the disembodiment of the conscience. The way from being “all body” to being “out-of-body” is hallmarked by three visual categories, each one being assigned a certain classical element: stone, for opacity (the territory of Thanatos), erotic fire for the flesh representing translucency and air and glass for transparency, reminding Narcissus. In this structure water is always the transversal element. The theme is therefore sustained by a network of thresholds such as: the wall, the organic layer and the transparent or invisible screen. With every threshold comes the idea of transgression. Passing into another state or dimension interrupts the contact with reality which fades swiftly away and makes room for another time-space configuration gradually defined by death and illness, by joy and thrilling giddiness. The vanishing body tends to inhabit a no man’s land ever more present as the first one fades away. It is thus submitted to various temporal regressions which concern the embodied consciousness and evolves as a “crack” finally producing the separation body-conscience. Within the realms of Thanatos and the stone the evanescence concerns the representation of the statue which stiffens and then recovers the “flesh-state” progressively. The marble, the plaster and the sand present themselves as three “stages” of dematerialization. Coming back to life means entering a state of tepidness of the revived flesh. As the sexual temperature increases it reaches a threshold of erotic liquefaction which then diminishes to a new form of symbolic coldness represented by physical decay and loss of sexual interest. In the field of transparency the body suffers several forms of detachment stretching from the mirror reflection as expression of a newly-born ego to the extreme weakening of the reflexivity which alters the sense of self. Window, window display and transparent shield underlie the self-effacement and create the (illusion of) inhabitable space.Peak of the vanishing process, the ethereal body is finally connected to the air as classical element. This ultimate form of corporeality express the disembodiment of the conscience in symbolic projections of both joy and suffering. It shows a state of absolute precariousness which points out the fact that by loosening the grip on the immediate reality the consciousness tends to gradually build up an engram of the body which ensures the reincorporation and by that, the survival. The take-off, the overflight and the landing describe three forms of “aerial” vanishing which states a symbolic return to opacity declined through images of densification: the steam, the fog, and the “polished” opacity of the night represent a comeback to the starting point of reflection. The story of the vanishing body, which starts and ends through images of death, is nevertheless the story of the continuous return to life and its possibilities.
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Label-free mapping of near-field transport properties of micro/nano-fluidic phenomena using surface plasmon resonance (SPR) reflectance imagingKim, Iltai 01 December 2008 (has links)
My doctoral research has focused on the development of surface plasmon resonance (SPR) reflectance imaging technique to detect near-field transport properties such as concentration, temperature, and salinity in micro/nano fluidic phenomena in label-free, real-time, and full-field manner. A label-free visualization technique based on surface plasmon resonance (SPR) reflectance sensing is presented for real-time and full-field mapping of microscale concentration and temperature fields. The key idea is that the SPR reflectance sensitivity varies with the refractive index of the near-wall region of the test mixture fluid. The Fresnel equation, based on Kretschmann’s theory, correlates the SPR reflectance with the refractive index of the test medium, and then, the refractive index correlates with the mixture concentration or temperature. The basic operation principle is summarized and the laboratory-developed SPR imaging/analyzing system is described with the measurement sensitivity, uncertainties and detection limitations of the implemented SPR reflectance imaging. Total five proposed uses of SPR reflectance imaging technique are presented: (1) micromixing concentration field development of ethanol penetrating into water contained in a micro-channel, (2) full-field detection of the near-wall salinity profiles for convective/diffusion of saline droplet into water, (3) full-field and real-time surface plasmon resonance imaging thermometry, (4) correlation of near-field refractive index of nanofluids with surface plasmon resonance reflectance, and (5) unveiling hidden complex cavities formed during nanocrystalline self-assembly.
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The Aesthetics of Madame de Staël and Mary ShelleyMouratidis, Maria 12 1900 (has links)
L’esthétique de Madame de Staël and Mary Shelley discute l’art de l’improvisation et le concept de l’enthousiasme dans les écrits de ces deux auteurs. Dans ce projet, j’explore l’esthétique d’improvisation et d’enthousiasme de Madame de Staël dans Corinne, en me référant à son autre roman Delphine, à sa pièce de théâtre Sapho, et à ses nouvelles ainsi qu’à ses textes philosophiques comme De l’Allemagne, De l’influence des passions, et De la littérature. J’argumente que Madame de Staël représente à travers le caractère de Corinne une esthétique anti-utilitaire. J’explique qu’elle évoque des valeurs cosmopolites qui valorisent une culture indigène qui est en opposition avec l’impérialisme de Napoléon. De plus, j’examine comment les improvisations de Corinne dérivent d’un enthousiasme qui est associé à la définition que Platon offre du terme. Ceci est évident par la signification que Madame de Staël présente du terme dans De L’Allemagne. J’interprète la maladie de Corinne comme étant d’origine psychosomatique qui est manifesté par la perte de son génie et par un suicide lent qui est une expression de colère contre la patriarchie. Le caractère de Corinne permet à Madame de Staël d’explorer le conflit que les femmes artistes éprouvaient entre ayant une carrière artistique et adhérant à l’idéologie domestique.
Chapitre deux se concentre sur l’intérêt que Shelley démontre sur l’art de l’improvisation comme elle l’exprime dans ses lettres à propos de l’improvisateur Tommaso Sgricci. Malgré sa fascination avec la poésie extemporanée, Shelley regrette que cette forme d’art soit évanescente. Aussi, j’examine son enthousiasme pour un autre artiste, Nicolò Paganini. Son enchantement avec se violoniste virtuose est lié à des discours concernant le talent surnaturel des improvisateurs. J’argumente qu’il y a un continuum d’improvisation entre les balades orales du peuple et les improvisations de culture sophistiqué des improvisateurs de haute société. J’estime que les Shelleys collaboraient à définir une théorie d’inspiration à travers leurs intérêts pour l’art de l’improvisation.
Chapitre trois considère le lien entre cosmologie et esthétique d’inspiration à travers la fonction de la musique, spécialement La Création de Joseph Haydn, dans The Last Man de Shelley. J’examine la représentation du sublime des Alpes dans le roman à travers de discours qui associent les Alpes avec les forces primordiales de la création. Les rôles de la Nécessité, Prophétie, et du Temps peuvent être compris en considérant la musique des sphères.
Chapitre quatre explore les différentes définitions de terme enthousiasme dans les écrits de Shelley, particulièrement Valperga et The Last Man. Je discute l’opinion de Shelley sur Madame de Staël comme suggéré dans Lives. J’analyse les caractères qui ressemblent à Corinne dans les écrits de Shelley. De plus, je considère les sens multiples du mot enthousiasme en relation avec la Guerre civil d’Angleterre et la Révolution française. Je présente comment le terme enthousiasme était lié au cours du dix-septième siècle avec des discours médicales concernant la mélancolie et comment ceci est reflété dans les caractères de Shelley. / The Aesthetics of Madame de Staël and Mary Shelley discusses the art of improvisation and the concept of enthusiasm in the writings of these two authors. In this project, I explore Madame de Staël’s aesthetics of improvisation and enthusiasm as represented in Corinne by drawing from her other novel Delphine, her play Sapho, and her short stories as well as her philosophical texts such as De l’Allemagne, De l’influence des passions, and De la littérature. I argue that Madame de Staël embraces through Corinne an anti-utilitarian aesthetic. I maintain that she represents a cosmopolitanism that values indigenous culture as opposed to Napoleon’s Imperialism. Furthermore, I examine how Corinne’s improvisations derive from an enthusiasm that can be associated to Plato’s elucidation of the term in Phaedrus and in Ion. This is evident by Madame de Staël’s own definition of enthusiasm as presented in the closing chapters of her De l’Allemagne. I interpret Corinne’s illness that is manifested in the loss of her genius as having psychosomatic origins and as being a slow suicide that is an expression of anger against patriarchy. The character of Corinne allows Madame de Staël to explore the conflict that women artists faced between having an artistic career and adhering to the domestic ideology.
Chapter two focuses on the interest that Shelley takes in the art of improvisation as is manifested in her letters about the improvisator Tommaso Sgricci. Despite her fascination with extempore poetry, she regrets that this art form is evanescent. Moreover, I examine her enthusiastic response to another artist, Nicolò Paganini. Her fascination with this virtuoso violinist is linked to discourses about the unnatural talent of improvisatores. I argue there is a continuum of improvisation from the ballad form of the common people to the high-cultured improvisatore. I hold that the Shelleys were collaborating in defining the theory of inspiration through their interest in the art of improvisation.
Chapter three considers the link between cosmology and aesthetics of inspiration through the function of music, especially Joseph Haydn’s The Creation, in Shelley’s The Last Man. I examine the representation of the sublimity of the Alps in the narrative through discourses that associate the Alps with the primordial forces of creation. The roles of Necessity, Prophecy, and Time can be understood in the novel by taking into account the notion of the music of the spheres.
Chapter four explores the different meanings of the word enthusiasm in Shelley’s writings, primarily in Valperga and The Last Man. I discuss Shelley’s views on Madame de Staël as presented in Lives. I analyze Corinne-inspired characters in Shelley’s texts. In addition, I consider the meaning of enthusiasm in Shelley’s writings in relation to the English Civil War and the French Revolution. I present how enthusiasm was linked in the seventeenth-century to medical discourses about melancholia and how this is reflected in Shelley’s characters.
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