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Iconographie de l'illustration de Flavius Josèphe au temps de Jean Fouquet /Deutsch, Guy N. January 1986 (has links)
Thèse de doctorat--Jérusalem--Université hébraïque, 1978. / Bibliogr. p. 187-201. Index.
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Blurring the Lines: The Intermingling of Garden and Theater in Seventeenth Century FranceRufener, Abbie Elizabeth 20 November 2008 (has links)
Seventeenth century French society was a time in which the arts flourished and were used to create an eminence of power and absolutism. The gardens of Vaux-le-Vicomte were commissioned by Nicolas Fouquet and designed by André Le Nôtre. The gardens created a political and social space through the characteristics of design and standards of order which together conveyed power and absolutism. Louis XIV, newly crowned king, recognized at Vaux the perfect vehicle for the portrayal of power. French theater at the same time was gaining popularity and establishing itself as a great art form. Similar to the gardens at Vaux which illustrated beauty and power through order and careful design, the theater also was subject to specific guidelines of order and design. Powerful men such as Cardinal Richelieu helped to establish the early acceptance and development of theater at this time. Principles set forth for the theater were followed in order to create the perfect theatrical illusion onstage. Standards such as those set forth by Scudéry, d'Aubignac and the Academy were closely followed while plays such as Pierre Corneille's Le Cid were criticized for their lack of adherence to the rules. Trends and elements of formal gardens aligned with similar trends in French theater to reflect the power of the king. This power was doubly manifested through the garden setting and the theatrical performances which took place within them. The festivities of The Pleasures of the Enchanted Isle presented numerous plays by Molière such as Les Fâcheux and Tartuffe. These works demonstrated the power of the king while the week-long festivities created a space in which real and the desire for reality combined.
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La vallée de la Loire à l’époque de Jean Fouquet : la carrière de trois enlumineurs actifs entre 1460 et 1480 / The Loire Valley at the time of Jean Fouquet : the career of three illuminatorS between 1460 and 1480Gras, Samuel 18 November 2016 (has links)
Cette thèse s’attache à mettre en lumière plusieurs peintres ayant mené carrière à l’époque de Jean Fouquet (vers 1415/20-1478/81), peintre et enlumineur actif durant le troisième quart du XVe siècle ayant passé la plus grande partie de sa carrière dans la vallée de la Loire, à Tours, au temps des rois de France Charles VII (1403-1461) et Louis XI (1423-1483). Une attention particulière a été portée sur les manuscrits rassemblés autour d’un maître anonyme dénommé tantôt le Maître du Mamerot de Vienne, tantôt le Maître du missel de Yale, tantôt encore le Maître de Christophe de Champagne depuis le premier regroupement effectué en 1974 par Otto Pächt et Dagmar Thoss. Ainsi, le corpus est désormais redistribué entre trois enlumineurs : le Maître de Jeanne de France et le Maître de Macé Prestesaille, dont les carrières inédites prennent forme pour la première fois, et le Maître du Mamerot de Vienne / Maître du missel de Yale / Maître de Christophe de Champagne, que nous proposons d’identifier à Guillaume Piqueau, enlumineur tourangeau connu par deux documents d’archives. L’objectif est de proposer de nouveaux regroupements de manuscrits qui font émerger trois carrières d’enlumineurs aux profils bien distincts, dans une volonté de mieux comprendre leur travail et plus globalement le métier de peintre à Tours entre les années 1460 et 1480. Un exemplaire Des cas des nobles hommes et femmes permet de baptiser un des enlumineurs le « Maître de Jeanne de France », du nom de la commanditaire. Une douzaine de manuscrits, réalisés vers le milieu des années 1460 jusqu’à la fin des années 1470, jalonnent très précisément la carrière de ce peintre. Sa trajectoire est des plus intéressantes dans la compréhension des relations professionnelles qui s’établissent entre certains ateliers d’enluminures du Centre-Ouest de la France. Un deuxième enlumineur peut être dénommé le « Maître de Macé Prestesaille » d’après un manuscrit exécuté en 1475 pour la famille Prestesaille, basée en Touraine. Au style plus sobre, il apparaît comme un peintre secondaire dans le panorama artistique tourangeau mais se rattache pleinement à la peinture de Tours au cours des années 1470-1480 comme en témoignent les sept manuscrits retrouvés qui donnent un aperçu de la production de son atelier. Un peu plus d’une vingtaine de manuscrits s’ancrent aujourd’hui autour des noms d’emprunt du Maître du Mamerot de Vienne / Maître du missel de Yale / Maître de Christophe de Champagne. Un réseau d’indices me conduiront, dans le présent mémoire, à identifier ces peintres comme étant Guillaume Piqueau, connu pour avoir enluminé en 1482 une Vita Christi destinée à la reine Charlotte de Savoie. Au cours de la seconde moitié du XVe siècle, la vallée de la Loire est le fief d’une production artistique importante. Des ramifications complexes et multiples se tissent au sein des ateliers d’enluminure. L’analyse de la production de ces artistes, dévoilée par l’étude d’une quarantaine de manuscrits, permet de mieux la comprendre. Elle fait se poser de nombreuses questions. Qui étaient ces enlumineurs ? Qu’ont-ils produit et que nous reste-t-il à voir ? Pour qui et comment ont-ils travaillé ? S’agissait-il de peintres d’atelier ou d’artistes indépendants dont la collaboration était davantage liée à des intérêts marchands plutôt qu’à une véritable organisation professionnelle ? La mise en lumière des trois carrières apporte de nouveaux éléments de réflexions et des points de vue inédits sur des peintres ayant connu l’œuvre, voire côtoyé, les plus illustres ateliers d’enluminures de la vallée de la Loire dont ceux du Maître de Jouvenel et de Jean Fouquet. Il s’agit de replacer dans le temps et dans l’espace ces peintres, de comprendre leur mode de fonctionnement et leur organisation interne dans la distribution du travail et dans les sources iconographiques. / This thesis deals with the career of some painters active during the peak of fame of Jean Fouquet (1415/20 - 1478/81), painter and illuminator active during the third quarter of the fifteenth century who spent most of his career in the Loire Valley, Tours, during the time of Charles VII (1403-1461) and Louis XI (1423-1483). Particular attention is given on manuscripts attributed to an anonymous master called the Master of the Vienna Mamerot / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne. It is necessary to review the work assigned to this illuminator and to reorganize the corpus now distributed between three illuminators: the Master of Jeanne de France and the Master of Macé Prestesaille, whose careers take shape for the first time, and the Master Mamerot Vienna / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne himself, that we propose to identify as Guillaume Piqueau, an illuminator based in Tours and known by two archives. The aim of this revaluation is to offer new groups of manuscripts which emerge three with distinct illuminator’s profiles. They offer the possibility to better understand their work and more generally the production painting in Tours between 1460 and 1480. A copy of Des cas des nobles hommes et femmes baptizes one of them the Master of Jeanne de France, in relation with the name of the owner. A dozen manuscripts, made between the 1460s until the late 1470s, mark precisely the career of the painter. Its trajectory shows the professional relationships developed between some of western illuminations French workshops. A second illuminator can be called the Master of Macé Prestesaille from a manuscript executed in 1475 for the Prestesaille family, based in Touraine. He appears as a secondary painter in Tours by a more sober style but his career can be highlighted by seven manuscripts that provide an overview of his production. More than twenty manuscripts are linked to the Master of the Vienna Mamerot / Master of the Yale Missal or Master of Christophe de Champagne. We propose to identify these unknown painters as Guillaume Piqueau, a painter based in Tours known to have illuminated a Vita Christi for Queen Charlotte de Savoie in 1482.
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Das Schloss als Zeichen des Aufstiegs. Die künstlerische Ausstattung von Vaux-le-Vicomte im Spannungsfeld repräsentativer Strategien des neuen Adels im französischen 17. Jahrhundert / Le château, emblème de réussite sociale. Le décor de Vaux-le-Vicomte et sa place dans les stratégies de représentation de la noblesse récente au XVIIe siècle / The château as a sign of ascendancy. The decoration of Vaux-le-Vicomte in the context of representative strategies of the new nobility in 17th-century FranceMüller, Marion 30 May 2016 (has links)
Dans le but de contribuer aux connaissances sur les formes de représentation des "nouvelles élites" à l’époque précédant le règne personnel de Louis XIV, notre thèse porte sur le décor du château de Vaux-le-Vicomte, celui-ci n’ayant dans son ensemble pas encore fait l’objet d’une étude approfondie. Les vastes décors, réalisés sous la responsabilité de Charles Le Brun pour Nicolas Fouquet entre 1657 et 1661, comptent parmi les plus célèbres de l’histoire de l’art français. Cependant, leur réception a été largement influencée par un regard mythique porté au Grand Siècle et de nombreuses légendes autour de la chute de Fouquet, ce qui nécessitait une approche différenciée. La précision des fonctions d’une "maison de plaisance" et de sa perception contemporaine est suivie d’une analyse iconographique et formelle des plafonds peints, du mobilier et des sculptures ornant les façades et le jardin. S’y ajoute une étude des stratégies de transmission littéraire développées parallèlement à la genèse du château. Le concept de représentation fonctionnait sur plusieurs niveaux, poursuivant des effets visuels éblouissants ainsi que la mise en place d’une iconographie complexe. Dans un contexte de distinction et de légitimation des "nouvelles élites", une approche comparative a révélé des stratégies très variées dans ce groupe social. Dans le cas de Fouquet, l’effort pour favoriser son ascension à travers des moyens artistiques présente un leitmotiv du décor. Le manque étonnant de gestes de modestie par rapport au roi mettait à l’épreuve le décorum d’un homme d’état et démontrait l’orientation de Fouquet à l’époque des premiers ministres puissants. / With the objective to contribute to the knowledge of forms of representation pursued by rising elites in seventeenth century France, preceding the personal reign of Louis XIV, the present dissertation focuses on the decoration of the château Vaux-le-Vicomte, which has so far been inadequately examined in its entire meaning. The decoration was realized under the responsibility of Charles Le Brun from 1657 to 1661 for the surintendant des finances Nicolas Fouquet. Its history of reception has been highly marked by a mythically transfigured perception and influenced by numerous legends about the rise and fall of Fouquet, which required an abstracting approach. A closer reflection on the functions of a ›maison de plaisance‹ and its contemporary perception was followed by an iconographic and formal analysis especially of the ceiling paintings, the interior furnishings and the sculptures in the gardens. Furthermore, we explored the literary transmitting strategies developed to promote Vaux-le-Vicomte and the respective objectives of its decoration. The concept of representation appeared to be very complex, also reflecting Le Brun’s artistic ambitions as well as several contemporary theoretical debates in an academical context. Concerning the legitimizing and approval strategies of the rising elites, a comparative perspective showed their very divergent access to art as a medium of distinction. The efforts of Fouquet to promote his further ascension were decisive for the decoration of Vaux-le-Vicomte, thereby entirely lacking signs of modesty regarding the king and therefore straining the decorum appropriate for a minister.
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Les demeures et collections d'un grand seigneur : René de Longueil, Président de Maisons (1597-1677) / The residences and collections of a great nobleman : Rene de Longueil, president of Maisons (1597-1677)Vivien, Béatrice 20 December 2014 (has links)
René de Longueil hérita de façon imprévue et presque simultanée de la seigneurie familiale de Maisons en 1629 et de l’héritage provenant de la famille de sa femme en 1630 qu’il sut par son habileté tourner à son avantage. Il entreprit dès lors la construction d’un château neuf, confié à François Mansart ainsi qu’à l’équipe de Jacques Sarrazin, célébré comme l’une des plus belles demeures de France. Mais il ne vit l’achèvement du projet que dix années avant sa mort, faisant de Maisons un chantier permanent, celui-ci ayant été conduit en plusieurs phases successives. A Paris, il habita rue de Béthisy, dans un hôtel hérité de Nicolas Chevalier, son oncle par alliance. Sa femme Madeleine, disparue très tôt, reste une figure mystérieuse, inspirant une partie du décor du nouveau château. Il eut également à coeur d’agrandir la seigneurie par l’achat de fiefs qui constituèrent un vaste territoire dans le Pincerais, entourant quasiment le domaine royal de Saint-Germain. Descendant d’une famille de robe, il acheta les charges de président de la cour des Aides, puis de président à mortier. Durant la Fronde, il joua un rôle important d’intermédiaire entre le Parlement et la Régence. Il eut l’honneur de servir le roi comme capitaine de ses châteaux de Versailles et Saint-Germain, avant d’être nommé surintendant des finances en 1650. Exilé quelques années en Normandie, il put, à son retour en grâce, accéder au rang de marquis en 1658 et recevoir le roi et la Cour. Ses demeures de Maisons et de Béthisy renfermaient un mobilier très riche et précieux, ainsi que de nombreuses oeuvres d’art. Homme de goût, dans l’esprit de son temps, il s’intéressa aux tapisseries, aux porcelaines et aux orangers. Les poètes célébrèrent les jardins de Maisons. Il fit de l’excellence une règle en n’employant que les meilleurs artisans et domestiques. Homme puissant, riche, célèbre, il transmit un patrimoine très important et son titre de marquis. / In an unexpected manner, and in a short time, Rene de Longueil inherited to the family seigneury of Maisons in 1629 and the heritage of his wife’s family in 1630 which he took advantage by his cleverness. Ever since Rene de Longueil undertook the construction of a new chateau, trusted François Mansart and Jacques Sarrazin’s team, and celebrated as one of the most beautiful residence in France. But he saw the finishing of the project only ten years before his death: Maisons was an endless building site, done one stage at a time. In Paris, he lived at rue de Béthisy, in a town house, inherited from Nicolas Chevalier, his uncle in-law. His wife, Madeleine, dead too early, stays a mysterious person who inspired the decoration of the new chateau. He had one’s heart set on extending the seigneury with the purchase of fief which constituted a huge territory in le Pincerais, surrounding nearly the crown estate of Saint-Germain. Descendant of a noble family, he baught the charges of la Cour des Aides and Président à mortier. During the Fronde, he played an important role as an agent between the Parlment and the Regency. He had the honour of serving the king as captain of his chateau in Versailles and Saint-Germain, before he’s promoted Superintendent of Finances in 1650. He lived in exile in Normandy a few years. Back in favour, he could assent to rank of Marquis in 1658 and welcoming the king and the Court. His places of residence in Maisons and Bethisy contained sumptuous and precious furniture, as well as many works of art. Man with a lot of taste and moving with the times, he took an interest in tapestries work, chinas, and orange trees. The poets celebrated the gardens of Maisons. Excellence became his rule employing the best craftmens and the best servants. Powerful, rich and famous man, he transferred a considerable heritage and his title of Marquis to his descendants.
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Charles Le Brun décorateur de fêtes et de cérémonies / Charles Le Brun designer of festivals and ceremoniesLafage, Gaëlle 22 November 2013 (has links)
Les fêtes et les cérémonies, de Cour, publiques ou privées, firent partie des grandes heures du règne de Louis XIV. Charles Le Brun, le Premier peintre du roi, magnifia quelques-unes de ces brillantes célébrations, associant apparat, musique, danse ou feux d’artifice. Les peintures, sculptures, tapisseries ou grandes structures, telles que des arcs de triomphe, étaient conçues ou disposées afin de s’adapter aux divertissements ou aux cérémonies, métamorphosant pendant quelques heures les édifices ou les jardins. Détruites à la fin des événements qu’elles accompagnaient, ces œuvres ont reçu peu d’attention jusqu’à présent. L’analyse des sources contemporaines et des images des décors permet de restituer ces ouvrages, mais également de les replacer dans leur contexte. La genèse de ces œuvres, leur conception et leur fabrication sont étudiées, redessinant les liens que Le Brun avait tissés avec les hommes d’État (le roi, Séguier, Fouquet et Colbert), avec les hommes de lettres, ainsi qu’avec ses principaux collaborateurs, notamment à la Manufacture des Gobelins. L’une des particularités de Le Brun dans ce domaine fut d’ordonner lui-même des fêtes et des cérémonies, ce qui constitue peut-être un cas unique pour un peintre à cette période. Ces œuvres oubliées complètent donc le portrait d’un des plus grands artistes français du XVIIe siècle. Plus que tout autre ouvrage, les décorations ordonnées par Le Brun donnent l’image la plus juste de ses recherches et de ses goûts. Enfin, l’étude de ces fêtes et de leur réception offre une meilleure compréhension de ces moments éphémères, tout en leur conférant la pérennité qu’ils méritent. / Religious ceremonies and festivals, courtly, public or private, constituted the most glorious moments of the reign of Louis XIV. Charles Le Brun, the King’s First Painter, enhanced some of these brilliant celebrations, involving pageantry, music, dance or fireworks. The paintings, sculptures, tapestries or great structures, such as triumphal arches, were designed or arranged to adapt to entertainment or ceremonies, transforming for a few hours gardens or buildings. Destroyed at the end of the events that required them, these works have received little attention until now. In this study, contemporary descriptions and reproductions of Le Bruns decorations are analyzed and brought to light to set them in the context of their day. The origin of these works, their conception and their making are studied, showing Le Bruns connections with statesmen (the King, Seguier, Fouquet and Colbert), with men of letters, and with other artists and workers, in particular those at the Gobelins Manufactory. One of the particularities of Le Brun in this domain was to commission himself festivals and ceremonies, which was perhaps a unique case for an artist at that time. These forgotten works round out the portrait of one of France’s greatest XVIIth Century artists. More than any other work, the decorations commissioned by Le Brun give the most accurate image of his research and taste. Finally, the study of these festivals and their reception offers a better understanding of these ephemeral moments, while giving them a permanence they deserve.
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