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L'évolution des pratiques rédactionnelles et de l'identité discursive des journalistes pratiquant dans le domaine de l'information judiciaire de nature criminelle et pénale de 1950 à 2010

Moreau, Lise 27 August 2019 (has links)
Notre thèse vise d’abord à démontrer que, de 1950 à 2010, il y a eu des changements dans les représentations journalistiques de la justice et des magistrats et ensuite, à expliquer ces transformations. Un corpus de 350 articles de presse, soit cinquante textes publiés la première année de chaque décennie, sélectionnés de manière aléatoire dans le journal La Presse, est étudié par l’intermédiaire de l’analyse critique du discours. Selon cette méthode, l’analyse et la compréhension d’un discours requièrent de prendre en compte les conditions dans lesquelles il est produit, puisque ces conditions déterminent la nature des représentations qui y sont inscrites. En effet, les journalistes ne possèdent pas une totale liberté leur permettant de décider des sujets à traiter et de la manière de le faire. Ce sont les rapports qu’ils entretiennent avec la source de leur discours, les collègues, l’employeur, les lecteurs, etc., qui le déterminent. C’est la raison pour laquelle l’analyse critique d’un discours dans une perspective diachronique ne peut être complète sans le situer dans l’environnement, lui aussi changeant, dans lequel il prend forme, car des « rapports de force » (entendus comme la possibilité d’agir sur autrui en fonction des ressources et des contraintes de chacun) se jouent derrière son élaboration et en forgent la signification. Chaque sous-environnement (dans notre cas, particulièrement les sous-environnements judiciaire et médiatique), se compose effectivement de structures (par exemple, les lois, les tribunaux, l’entreprise de presse, le marché des médias, etc.) ayant pour effet, soit de faciliter le travail des journalistes, soit de le contraindre en limitant leurs marges de manoeuvre. Ces structures, contribuant à établir ce qu’ils peuvent écrire, évoluent elles aussi. L’effet combiné des différents éléments structurants d’un même sousenvironnement, de même que les interactions entre sous-environnements et entre les individus, interviennent en jouant sur le rapport de force (ce dernier sera parfois à l’avantage des journalistes ou encore à leur désavantage), tout en contribuant à déterminer le statut social et professionnel dont disposent les journalistes et les juges. Il arrive que les changements dans ces conditions de production entraînent à leur tour des transformations plus ou moins prononcées dans les façons de faire des journalistes et, par la même occasion, dans leur discours. Lorsqu’ils écrivent, les journalistes laissent dans leurs textes, sans même le vouloir, des traces des rapports sociaux qu’ils entretiennent avec le sujet et l’objet dont ils traitent, ainsi qu’avec ceux à qui ils s’adressent. La notion d’identité discursive journalistique permet d’observer l’effet émergent de pratiques routinières à un moment précis de leur évolution, car inconsciemment, les journalistes rédigent leurs articles en conformité avec la manière constituant la norme au moment où ils écrivent leurs textes. Ce concept nous permet alors de déceler, à l’aide d’indicateurs microtextuels et macrotextuels, les conséquences de ces rapports dans la production de l’énonciation journalistique. L’institution judiciaire et les entreprises de presse sont deux organisations de nature discursive, chacune possédant son système de valeurs, ses propres significations, son public cible, ses objectifs, bref, son système sémiotique spécifique. En ce sens, lorsque les journalistes rendent compte de ce qui se produit devant les tribunaux, ils mettent en discours un discours déjà construit une première fois par la justice et ses représentants. Selon qu’ils possèdent une identité discursive plus ou moins forte, les journalistes se permettront de modifier ou au contraire de reproduire le plus fidèlement possible, l’énonciation originale. Ainsi, en 1950, sans qu’ils en soient nécessairement conscients, les journalistes s’appliquent à construire la nouvelle en privilégiant la logique énonciative et les intérêts de l’institution judiciaire, comme si le rôle attendu d’eux en était un de rapporteur. Les valeurs rattachées aux acteurs du premier niveau sémiotique demeurent donc prédominantes dans les articles de presse. À la fin de la période étudiée, il apparaît évident que l’identité discursive des journalistes se trouve renforcée. Ils se distancient de la sémiotique judiciaire en remaniant l’énonciation originale. La prédominance des valeurs associées à la justice va de plus en plus s’estomper au moment de la seconde sémiotisation, désormais construite en fonction de la logique énonciative des journalistes et de leur évaluation de ce que désirent les lecteurs, ce qui contribue par la suite à conforter, voire affermir, leur statut social et professionnel.
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Regards sur une francophonie locale : réimaginer l’imaginaire de la communauté bulgare francophone : une aspiration de francophonistes pour l’européanisation et la francophonisation

Crouton, Romain 12 1900 (has links)
Ce mémoire est une étude de cas sur une francophonie locale et sur la réinterprétation de l’imaginaire d’une communauté francophone. Nous nous sommes basés sur le cas de la Bulgarie et de sa communauté bulgare francophone. Nous avons alors questionné la réinterprétation de l’imaginaire communautaire bulgare francophone depuis 1989. Pour répondre à cette interrogation, nous avons analysé les programmes scolaires du Ministère de l’Éducation bulgare pour l’apprentissage du Français Langue Étrangère, les manuels scolaires utilisés dans les lycées bilingues bulgares francophones. Puis, nous nous sommes entretenus avec des personnalités politiques, diplomatiques et professeurs de français en Bulgarie. Nos résultats soutiennent que l’imaginaire communautaire bulgare francophone a été réinterprété selon deux logiques. D’abord, dans une volonté d’européaniser la langue française et le Bulgare francophone, c’est-à-dire, d’interpréter le français comme langue de l’Europe, et former ensuite un individu européen plurilingue. La seconde logique consiste à déployer l’imaginaire bulgare francophone et la langue française en Bulgarie vers d’autres francophonies locales à défaut d’une vision seulement francocentrée. Ces deux aspirations ont été soutenues par des francophonistes – des individus qui ont re-pensé les représentations de la langue française et la définition de la francophonie bulgare. Ces francophonistes ont été placés dans diverses institutions en Bulgarie, notamment au sein de l’Association des professeurs de et en français de Bulgarie. En parallèle des actions de ces individus, d’autres structures et individus en place ont soutenu ou modéré ces deux aspirations – maintenant alors parfois le francocentrisme au sein de l’imaginaire bulgare francophone. / This paper is a case study of a local francophonie and the reinterpretation of the imaginary of a Francophone community. We focused on the case of Bulgaria and its Bulgarian francophone community. Then we questioned the reinterpretation of the imaginary of the Bulgarian French-speaking community since 1989. To answer this question, we analysed the Bulgarian Ministry of Education's curricula for learning French as a foreign language and the textbooks used in bilingual French-speaking Bulgarian high schools. We also interviewed leading Bulgarian politicians, francophone diplomats and French teachers. Our results show that the Bulgarian francophone community imaginary has been reinterpreted according to two logics. On the one hand, into a desire to Europeanise the French language and French-speaking Bulgarian, meaning, to interpret French as the language of Europe, and then to form a plurilingual European individual. The second aim is to extend the French-speaking Bulgarian imaginary and the French language in Bulgaria to other local francophonies, rather than having only a francocentric vision. These two aspirations have been supported by francophonists - individuals who have rethought the representations of the French language and the definition of the Bulgarian francophonie. These francophonists were placed in various institutions in Bulgaria, notably within the Association des Professeurs de et en français de Bulgarie. Alongside the actions of these individuals, other structures and individuals in place have supported or moderated these two aspirations - sometimes maintaining Francocentrism within the Bulgarian Francophone imaginary.
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Le fleuve et la cité : représentations de l'immigration et esquisses d'une action de l'État québécois, 1945-1968

Pâquet, Martin 16 April 2018 (has links)
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'immigration appartient au registre de la réalité vécue de la société québécoise. Ces immigrants s'établissent en nombre important dans la société-hôte. Par leur présence, ils transforment certaines conditions économiques. De plus, ils préfèrent s'intégrer à la minorité anglophone, plutôt qu'à la majorité francophone. Cette réalité inquiète profondément les acteurs politiques de la Société civile et de l'État au Québec. En 1945, ils considèrent la communauté politique comme organique, dont les attributs relèveraient de l'ethnicité et de la religion. Dans cette perspective, l’Autre, sous les traits de l’immigrant, est représenté comme une menace à l'organicité. En leur procurant une certaine consonance avec leur environnement, ces acteurs politiques, notamment les nationalistes canadiens français, excluent cet Autre qui n'est pas conforme à Soi, dont la présence fait dissonance. Au début, pour les nationalistes, seul l'immigrant idéal, doté des attributs valorisés de la francité et du catholicisme, échappe au rejet. Au cours de la Révolution tranquille, cette représentation se modifie, afin de rétablir une consonance avec les conditions objectives présentes au Québec. Désormais, l'immigration devient un outil de développement national et économique. Ici, l'immigrant idéal acquiert une valeur instrumentale. D'une part, il doit être capable de communiquer dans la langue de la majorité de la population québécoise. D'autre part, il doit détenir un potentiel économique, que l'on peut jauger par la qualification professionnelle et le capital pour fins d'investissement. Suite à ce changement de représentations, les stratégies de ces acteurs politiques vont donc se modifier. De 1945 à 1965, certains entrepreneurs politiques de la Société civile proposent des aménagements à l'État provincial, afin de restreindre l'immigration non conforme au modèle qu'ils se font de la Cité. Toutefois, au sein du système de gouverne, ces projets de politiques se heurtent à un désintérêt des responsables. De 1965 à 1968, les entrepreneurs énoncent de nouveaux projets, qui témoignent de cette remise en cause. Pour eux, l'État québécois doit intervenir en occupant son champ de compétence dans ce domaine. Dès 1965, par la création d'infrastructures administratives, les responsables politiques manifestent leur intention d'agir. La conjonction de plusieurs priorités politiques favorise ainsi la création d'un ministère québécois de l'Immigration, dès novembre 1968. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le rapport à l'écrit d'élèves québécois de sexe féminin de 4e année de secondaire

El Bakkar, Amina 12 April 2018 (has links)
Les difficultés de nombreux élèves francophones en lecture et en écriture ont fait l'objet de plusieurs recherches qui ont ouvert des pistes de solutions. Dans le cadre de la didactique du français, des chercheurs ont porté un intérêt particulier au rapport à l'écrit. Les recherches actuelles en didactique du français, de leur côté, ont mis l'accent sur l'importance de l'appropriation de l'écrit, non seulement comme moyen de transcription, mais encore en tant qu'outil d'élaboration et de structuration de la pensée. Plusieurs raisons d'ordre psychologique, social, familial et économique ont été invoquées pour expliquer un rapport plus favorable ou plus défavorable à l'écrit des élèves. La présente recherche a pour objet le rapport à l'écrit de trois élèves québécoises de sexe féminin de 4 e année du secondaire. Pour mieux cerner l'objet de notre étude, nous avons mené des entretiens semi-directifs afin de laisser émerger les catégories pouvant nous éclairer sur la part du social, du familial, du scolaire et de l'individuel dans la formation et le développement de ce rapport. Ce mémoire conclut que le rapport à l'écrit des trois sujets est un rapport social et singulier. Il est le résultat de l'imbrication, à travers le temps, de plusieurs facteurs familiaux, sociaux, scolaires et individuels.
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Fonction épistémique de l'écrit : pratiques et conceptions d'enseignants de sciences et d'histoire du secondaire

Blaser, Christiane 12 April 2018 (has links)
Dans un contexte scolaire où les enseignants de toutes les disciplines doivent contribuer au développement des habiletés à lire et à écrire de leurs élèves - ces habiletés étant reconnues comme un facteur de réussite scolaire, de bien-être personnel et d'insertion professionnelle-, cette recherche en didactique du français vise à analyser le rapport à l'écrit d'enseignants de sciences et d'histoire de 2e (13-14 ans) et de 4e (15-16 ans) secondaire, au Québec. Les objectifs de la recherche sont de comprendre, d'une part, quelles sont les conceptions des enseignants au sujet de l'écrit et de son rôle dans la construction des savoirs et savoir-faire disciplinaires; et, d'autre part, quelles sont les activités de lecture et d'écriture qu'ils mènent dans leurs classes. Trois outils méthodologiques complémentaires ont permis de recueillir les données : un questionnaire (100 répondants); des enregistrements vidéo de séquences d'enseignement dans quatre classes (sciences et histoire); des entrevues avec les enseignants filmés. Ces données ont fait l'objet d'analyses quantitative et qualitative. Les résultats montrent que les enseignants ont une conception traditionnelle du rôle de l'écrit et de l'apprentissage de la lecture et de l'écriture. Bien que beaucoup de temps soit consacré à des activités impliquant des tâches de lecture et d'écriture dans les classes de sciences et d'histoire, les écrits lus et produits pendant ces activités sont plutôt minimes. La plupart du temps, les activités impliquant l'écrit sont dirigées par les enseignants qui finissent par donner ou dicter les réponses attendues. Très peu de textes sont produits par les élèves en 4e secondaire; les tâches d'écriture demandées sont peu variées et consistent essentiellement à transcrire des réponses du manuel au cahier d'exercices. Les interventions des enseignants avant, pendant ou après les tâches de lecture et d'écriture montrent qu'en dehors de la correction orthographique, les enseignants sont peu outillés pour contribuer au développement des compétences langagières des élèves. Il ressort de cette recherche qu'une intervention s'impose auprès des futurs enseignants et des enseignants en exercice pour les amener à réfléchir sur leurs conceptions de l'écrit, les convaincre de l'importance du rôle de l'écrit dans la construction des savoirs et les outiller pour qu'ils puissent mieux contribuer à augmenter le niveau de littéracie des élèves.
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Évaluation à grande échelle de l'écriture : validité des comparaisons entre les scores holistiques d'élèves canadiens anglophones et francophones

Sévigny, Serge 11 April 2018 (has links)
Lors d'évaluations holistiques pancanadiennes de l'écriture, il existe une situation de bilinguisme où les différences inhérentes aux deux langues écrites se doivent d'être considérées lors de l'interprétation des résultats des évaluations. Ainsi, le but de cette recherche consiste à identifier des éléments qui permettraient de confirmer ou d'infirmer la légitimité des inférences faites à partir des comparaisons entre les scores d'élèves anglophones et francophones. À cet effet, plusieurs questions de recherche se répartissant en deux volets traitent respectivement et de façon inédite, (1) des liens entre les scores analytiques, orthographiques et holistiques et (2) de la validité des inférences provenant des comparaisons interlangues des résultats obtenus dans le contexte pancanadien. Plus de 3000 productions écrites par des filles et des garçons âgés de 13 et 16 ans étudiant dans différentes régions du Canada ont permis de donner suite à cette quête d'évidences empiriques de validité. Les résultats rapportent des corrélations positives entre les scores holistiques et analytiques ainsi que des corrélations négatives entre les scores holistiques et le nombre de fautes d'orthographe. Les résultats permettent également de dresser une liste d'évidences qui confirment qu'un score holistique ne représente pas les mêmes compétences d'une langue à l'autre et, par conséquent, que les inférences issues de la comparaison des scores holistiques interlangues en écriture manquent de validité. En plus d'informer les instances ministérielles et gouvernementales sur la validité des comparaisons entre des scores holistiques et de cerner la qualité des inférences faites à partir des scores, cette recherche permet d'identifier quelques différences en écriture entre francophones et anglophones et d'examiner sous un nouvel angle la pertinence des scores holistiques rendus par les juges. De plus, quelques recommandations émises à l'attention des responsables des évaluations visent à mieux les outiller lors de la préparation et de la réalisation des prochaines évaluations. Finalement, des suggestions constructives pavent la voie à des recherches futures dont certaines pourraient investiguer la mesure des compétences en écriture, la représentativité des scores et la validité des interprétations.
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Pratiques linguistiques des familles d’origines burundaise et sénégalaise à Québec

Ntore, Iris 24 February 2021 (has links)
Au Québec, l’usage de la langue française est favorisé et encadré par la loi. Cet encadrement est plus spécifiquement circonscrit au milieu du travail. La littérature montre cependant que l’usage du français n’est pas garanti dans les familles immigrantes. Or, le français est garant de l’identité québécoise, de la cohésion sociale et de l’intégration de ceux qui ont fait du Québec leur projet de vie. C’est dans le but de décrire et de comprendre les pratiques linguistiques des familles d’origines burundaise et sénégalaise vivant à Québec que nous avons mené cette recherche. Cette dernière s’est déclinée en deux volets quantitatif et qualitatif. Au travers du volet quantitatif, nous avons démontré les spécificités linguistiques des communautés burundaise et sénégalaise au Québec en les comparant à celles des communautés ivoirienne et camerounaise. Cet objectif a mené à des analyses descriptives du recensement de 2016 suivant quatre indicateurs linguistiques (langue maternelle, langue parlée le plus à la maison, langue officielle parlée et langue de travail). Les résultats montrent que bien que les immigrants originaires de ces quatre pays parlent plus souvent français à la maison, ceux originaires du Burundi et du Sénégal vont davantage pratiquer le bilinguisme langue africaine-française. Le but de notre volet qualitatif a été de proposer une compréhension des pratiques linguistiques au sein des familles d’origines burundaise et sénégalaise en analysant les données sous la lentille de l’interactionnisme symbolique. Pour ce faire, nous avons rencontré 20 parents d’origines burundaise (10) et sénégalaise (10) pour des entrevues semi-dirigées. Nous avons relevé dans les discours des parents que les pratiques familiales résultent de négociation entre leur vécu et celui des enfants. Cette négociation donne à voir les enjeux identitaires auxquels ces familles sont confrontées. Ainsi, les pratiques linguistiques au sein de ces familles représentent l’expression de leurs identités, de leurs cultures et de leurs valeurs. / In Quebec, the use of the French language is encouraged and regulated by law. Thisregulation is specifically limited to the workplace. However, the literature shows that the useof French is not guaranteed in immigrant families. French is the foundation of Quebec'sidentity, social cohesion and the integration of those chose Quebec for their life project.We conducted this research with the aim of describing and understanding the linguisticpractices of families of Burundian and Senegalese origin living in Quebec City. The researchwas divided into two quantitative and qualitative components.Through the quantitative component, we demonstrated the linguistic specificities of theBurundian and Senegalese communities in Quebec by comparing them to those of the Ivorianand Cameroonian communities. This objective led to descriptive analyses of the 2016 censusaccording to four linguistic indicators (mother tongue, language most spoken at home,official language spoken and language of work). The results show that although immigrantsfrom these four countries speak French more often at home, those from Burundi and Senegalare more likely to practice African-French bilingualism.The goal of our qualitative component was to provide an understanding of language practicesamong families of Burundian and Senegalese origin by analyzing the data through the lensof symbolic interactionism. To do so, we met with 20 parents of Burundian (10) andSenegalese (10) origin for semi-structured interviews. We noted in the parents' speeches thatfamily practices are the result of negotiations between their experiences and those of theirchildren. This negotiation reveals the identity issues facing these families. Thus, linguisticpractices within these families represent the expression of their identities, cultures andvalues.
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Etude comparative du développement des compétences métaphonologiques et orthographiques d'enfants bilingues scolarisés en langue seconde

Goetry, Vincent January 2001 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Expériences littéraires de la créativité et créativité en didactique du français enseigné comme langue étrangère. : un printemps du FLE / Literary experiments of creativity and creativity in the teaching of French as a foreign language. : a spring of “FLE”

Thivin, Viviane 14 January 2015 (has links)
Avancer que le texte littéraire a joué un rôle dans l’évolution des pratiques d’enseignement / apprentissage du FLE peut paraître une évidence. Pourtant, la place accordée aux textes littéraires diffère dans le temps. Or, c’est à un moment où les manuels de cours se détournaient le plus de ces textes que des didacticiens spécialistes du FLE se sont servi presque paradoxalement de la littérature pour élaborer de nouvelles activités qui devaient révolutionner la façon d’enseigner et d’apprendre la matière. Élaborées dans la période des années post soixante-huit, ces activités ont modifié à la fois le rôle de l’enseignant et la place de l’apprenant dans la classe. À l’instar de la littérature qu’il enseignait jusqu’alors, le premier perdait de son influence et se muait en animateur bienveillant. Quant au second, il devenait désormais actif et gagnait en autonomie. Libérées des méthodes du passé, les deux parties poussées à plus d’investissement personnel, devaient également trouver plus de plaisir dans leurs nouveaux rôles.Les littératures à l’origine de ce bouleversement sont dites « créatives ». Leurs modes de production reposent soit sur des techniques visant à libérer les auteurs des règles enclavant leur inventivité, soit sur des contraintes favorisant la production d’énoncés répondant à des modèles préétablis. Il va sans dire qu’appliquées dans les cours de FLE, les deux façons de procéder devaient conduire les apprenants à produire des textes dits créatifs à leur tour. La présente recherche porte sur les textes littéraires utilisés et les exercices qu’ils ont engendrés. / To advance that the literary text has always played a part in the evolution of the practices of teaching/training of French as Foreign Language (FFL) is an obviousness. The place granted to it differs of course in time. However, it is at the moment when the handbooks were turning away from these texts that the didacticians, specialists in FFL, made use of the literature to work out new activities. The latter were to revolutionize the way of teaching and learning the matter. Worked out during the years of post-68, these activities modified the role of the teacher as well as the place of the learner in the class. Following the example of the literature which he taught hitherto, the first lost of its influence and turned into a benevolent instructor. As for the second, from then it became active and gained in autonomy. Released from the methods of the past, the two thorough parts with more personal investment were to also find more pleasure in their new roles.The literatures at the origin of this upheaval are known as «creative». Their modes of production rest either on techniques aiming at releasing the authors of the rules wedging their inventiveness or on constraints supporting the production of types based on prerequisites. It goes without saying that, applied to the FFL courses, the two ways of proceeding should lead learners in turn to produce texts known as «creative». The present research relates to the various literary techniques used and the exercises which they generated.

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