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Les ancrages des habitants des villes nouvelles franciliennes : des bassins de vie en constructionImbert, Christophe 09 December 2005 (has links) (PDF)
"Anchorages" in the Parisian new towns : building "living bowls"
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Des émigrants dans le passage. Une approche géographique de la condition de clandestin à Cherbourg et sur les côtes de la MancheThomas, Olivier 07 December 2011 (has links) (PDF)
Cette recherche apporte une contribution à la compréhension du passage, et plus largement du fait clandestin. La multiplication des camps informels et des squats d'émigrants aux frontières, mais aussi à l'intérieur de l'Europe depuis une vingtaine d'années marque une transformation du rapport à l'étranger dans nos sociétés. La figure de l'immigrant tend à se confondre aujourd'hui avec celle du "clandestin", et les conditions de séjour des émigrants, qualifiés "d'illégaux", au sein de l'Union européenne sont extrêmement précaires. En France, le long des côtes de la Manche, la plupart d'entre eux vivent sous des tentes et bénéficient du soutien des associations humanitaires qui leur apportent une aide d'urgence. Le déploiement de mesures sécuritaires et policières par l'Etat depuis la fin des années 1990 contribue à maintenir ces migrants à la marge. Le phénomène suscite de nombreux débats dans la société. Dès lors, il apparaît intéressant pour le chercheur en géographie sociale d'explorer les problématiques qui se cristallisent autour des migrants et de témoigner de ce qui est aujourd'hui une question sociale. Cette thèse propose d'étudier la géographie actuelle du fait clandestin qui constitue, selon nous, la dimension spatiale d'un rapport social entre les émigrants et la société. La recherche privilégie une démarche inductive et s'appuie sur un travail de terrain mené dans l'agglomération de Cherbourg-Octeville. La réflexion est nourrie de comparaisons dans les villes portuaires Transmanche (Dieppe, Calais, Dunkerque...) et dans la région Nord (St Omer, Norrent-Fontes, Angres, Steenvoorde). L'enquête qualitative utilise notamment la photographie et mobilise l'observation participante dans le cadre d'un engagement bénévole au sein de l'association Itinérance à Cherbourg.
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Le lieu et le mal-être, ou, L'habitabilité des cités HLM de FranceKoci, Simon January 2009 (has links) (PDF)
La ségrégation urbaine et l'exclusion sociale en France, tout comme aux États-Unis, sont des problématiques qui, le plus fréquemment, sont approchées d'un point de vue sociologique, sous les angles et thématiques usuels de son entendement, à savoir délinquance juvénile, chômage et précarité socioéconomique des ménages, intégration, déqualification scolaire, etc. Or, la réalité géographique et la condition habitante particulières, si ce n'est unique, en cité HLM, pour structurantes qu'elles soient, sont usuellement ignorées dans la compréhension de la nature et la genèse de cette situation, ce qui n'est pas sans causer des problèmes. Afin de les pallier et pour illustrer l'importance de ce point de vue géographique, ce mémoire s'attache à dévoiler, par le truchement d'une analyse de contenu du rap français, postulé tout spécialement révélateur, l'expérience intime des modalités de l'habiter qui prévaut dans ces grands ensembles. En somme, il se demande quelle est la part du lieu dans l'attisement du mal-être qui y prévaut, comme en ont récemment témoigné les émeutes françaises. Au final, c'est toute la question d'une éthique du bâtir HLM qui sera interrogée et débattue. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Logements sociaux (HLM), Banlieue, France, Sens du lieu, Habiter, Métaphore spatiale, Rap, Identité.
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La selva de concreto : procesos de urbanización y planificación urbana en Florencia (Caquetá, Colombia)Duque Fonseca, Claudia Alexandra 19 August 2024 (has links)
Cette thèse porte sur les processus d’urbanisation et de planification urbaine qui ont lieu dans le nord-ouest de l’Amazonie colombienne depuis le XIXe siècle. La métaphore de la « jungle de béton » propose une image ambivalente qui synthétise un processus de transformation spatiale, celui de l’urbanisation de la jungle, à partir de deux signes opposés, montrant que les imaginaires mêmes de la « jungle » et de l’« urbain » contribuent à occulter ce processus. Dans la région étudiée, les recherches sur l’urbanisation et la planification urbaine sont encore rares et n'ont pas été menées de manière systématique, dans la discipline anthropologique. De plus, les études urbaines se sont intéressées presque exclusivement à la dynamique qui prévaut dans les grandes villes et les mégalopoles, alors que la majorité de la population humaine vit dans des villes petites ou moyennes, comme Florencia, où j'ai mené mon travail de terrain. Dans les sciences sociales, ces villes sont devenues « invisibles ». Partant de la notion de ville invisible, cette thèse développe une proposition démétropolisante et dé-coloniale qui s'éloigne de l’habituel occidentalo-centrisme des études urbaines. Cela implique de cesser de considérer l’urbanisation comme un processus inévitable et lié au « développement » démographique et économique. En outre, une distinction analytique est proposée entre deux modes de planification urbaine : la planification « d’en haut » et la planification « d’en bas ». La planification « d’en haut » est une pratique rationnelle et politique découlant du projet urbain hégémonique issu de l’État nation. La planification « d’en bas », qui n’est actuellement pas reconnue, positionne les habitants comme sujets individuels et collectifs, agents transformateurs et créateurs d’espace urbain. La thèse montre comment, dans la planification urbaine « d’en haut » et « d’en bas », la volonté de modernisation, le désir de préservation des écosystèmes, la nécessité de stimuler l’économie locale et les particularités socio-économiques des habitants de la ville s’entrecroisent. Cependant, les différentes façons dont ces éléments sont conçus et valorisés aboutissent à des visions et des actions qui, dans certains cas, coïncident et dans d’autres s’opposent et qui, finalement, produisent socialement l’espace urbain. v La planification urbaine est également considérée, dans la thèse, comme un « site de recherche stratégique » car elle touche toute la ville. Dans cette perspective, une approche multi-échelle est utilisée pour montrer les interrelations entre dynamiques « globales » et « locales ». Deux quartiers aux histoires et temporalités distinctes, Yapurá Sur et Paloquemao, ont été sélectionnés pour approfondir les manières dont la planification « d’en bas » peut émerger et s’exprimer. Par ailleurs, la cartographie sociale s’avère constituer un outil pertinent pour saisir les visions que les habitants de Florencia ont du présent, du passé et du futur de leur ville. Les résultats du travail ethnographique et de cartographie sociale réalisés dans le cadre de mes recherches montrent que la ville est une coproduction qui combine différentes formes de gouvernement et de rapports sociaux. Sur la base des cartes représentant la ville dans le futur, il est possible de conclure que les habitants de Florencia invitent à (re)penser le modèle urbain hégémonique et démontrent qu’une planification participative est non seulement possible mais nécessaire. / This thesis addresses the processes of urbanization and urban planning that have occurred in the northwestern Colombian Amazon since the nineteenth century. The metaphor of the « concrete jungle » proposes an ambivalent image that synthesizes a process of spatial transformation, that of the urbanization of the jungle, starting from two contrasting signs, showing that imaginaries that oppose spatialities called the « jungle » and the « city » facilitate the concealment of this same process. In the region studied, research on urbanization and urban planning is still scarce and has not been systematic within the anthropological discipline. Moreover, urban studies have been interested almost exclusively in the dynamics that prevail in large cities and megalopolises, while the majority of the human population lives in small or medium-sized cities, such as Florencia, where I did my fieldwork. In the social sciences, these cities have become « invisible ». Starting from the notion of the invisible city, in this thesis, a de-metropolizing and decolonizing proposal is developed that distances itself from the usual western-centrism of urban studies. This implies stopping to consider urbanization as an inevitable process, linked to demographic and economic « development ». In addition, an analytical distinction is proposed between two modes of urban planning: « top-down » planning and « bottomup » planning. Planning « from above » is a rational and politically powerful practice related to the hegemonic urban project of the nation-state. Planning « from below », which is not currently recognised, positions inhabitants as individual and collective active subjects, transforming agents and creators of urban space. The thesis demonstrates how, in urban planning « from above » and « from below », the desire for modernization, the search for ecosystem preservation, the need to stimulate the local economy and the socioeconomic particularities of the city's inhabitants are intertwined. However, the different ways in which these elements are conceived and valued result in visions and actions that in some cases coincide and in others are opposed and that ultimately socially produce the urban space. vii Urban planning is also considered, in the thesis, as a « strategic research site » because it becomes an element that touches the whole city. Consequently, a multi-scale approach is used to show how global and local dynamics interact. Two districts of the city, Yapurá Sur and Paloquemao, were selected to explore in greater detail how planning « from below » is produced and expressed. Also, social cartography proved to be a relevant tool for capturing the visions of the present, past and future of the city from Florencia’s inhabitants. The results of the ethnographic and social cartography work carried out during my research show that the city is a co-production that combines different forms of government and social relations. Based on the maps representing the future of the city, it is possible to conclude that the inhabitants of Florencia invite us to (re)think about the hegemonic urban model and demonstrate that participatory planning is not only possible but necessary. / Esta tesis aborda los procesos de urbanización y planificación urbana que se han dado en la Amazonia noroccidental colombiana a partir del siglo XIX. La metáfora de la selva de concreto, propone una imagen ambivalente que sintetiza un proceso de transformación espacial, el de la urbanización de la selva, a partir de dos signos con significantes opuestos, poniendo en evidencia que los imaginarios que contraponen espacialidades denominadas « selva » y « urbana » facilitan el ocultamiento de este mismo proceso. En la región estudiada, las investigaciones sobre urbanización y planificación urbana son todavía escasas y no han sido sistemáticas dentro de la disciplina antropológica. Además, los estudios urbanos se han interesado casi exclusivamente en las dinámicas que imperan en las grandes ciudades y megalópolis, mientras la mayoría de la población humana habita en ciudades pequeñas o medianas, como es el caso de Florencia, donde realicé mi trabajo de campo. En las ciencias sociales, estas ciudades se han vuelto « invisibles ». A partir de la noción de ciudad invisible, en esta tesis, se desarrolla una propuesta desmetropolizadora y descolonizante que se distancia del occidentalocentrismo usual de los estudios urbanos. Esto implica desnaturalizar la urbanización vista como un proceso inevitable, ligada al « desarrollo » demográfico y económico. Además, se propone una distinción analítica entre dos modalidades de planificación urbana: la planificación « desde arriba » y la planificación « desde abajo ». La planificación « desde arriba » es una práctica racional y de poder político que tiene nexos con el proyecto urbano hegemónico vinculado al Estado-nación. La planificación « desde abajo », la cual no tiene reconocimiento en la actualidad, posiciona a los habitantes como sujetos individuales y colectivos activos, agentes transformadores y creadores del espacio urbano. En la tesis, se demuestra cómo, en la planificación urbana « desde arriba » y « desde abajo », se entrecruzan el deseo de modernización, la búsqueda por la preservación ecosistémica, la necesidad de incentivar la economía local y las particularidades socio-económicas de los habitantes de la ciudad. Sin embargo, las distintas maneras en que se conciben y se valoran estos elementos dan como resultado visiones y acciones que en algunos casos coinciden y en otros se contraponen y que finalmente producen socialmente el espacio urbano. iii La planificación urbana es también considerada, en la tesis, como « sitio estratégico de investigación » al constituirse en un elemento que toca al conjunto de la ciudad. Se utiliza un enfoque multiescalar para mostrar las interrelaciones globales y locales. La cartografía social es una herramienta pertinente para captar las visiones sobre el presente, pasado y futuro que tienen los habitantes de Florencia. Dos barrios de la ciudad, Yapurá Sur y Paloquemao, se seleccionaron para conocer con mayor detalle cómo se produce y expresa la planificación « desde abajo ». Los resultados del trabajo etnográfico y de cartografía social realizados en el marco de mi investigación permiten mostrar que la ciudad es una co-producción que ensambla diferente formas de gobierno y relaciones sociales. Con base en los mapas sobre el futuro de la ciudad, es posible concluir que los habitantes de Florencia invitan a (re)pensar el modelo urbano hegemónico y demuestran que una planificación participativa no sólo es posible sino necesaria.
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Le temps libre des enfants et des jeunes à l'épreuve des contextes territoriaux: les pratiques sociales, l'offre de services, les politiques locales : dossier en vue de l'habilitation à diriger des recherches en géographieOlivier, David 06 October 2010 (has links) (PDF)
Vol. 1 : Parcours de géographe : entre engagement professionnel et militant, un parcours fortement ancré dans la société - Vol. 2 : Le temps libre des enfants et des jeunes à l'épreuve des contextes territoriaux : les pratiques sociales, l'offre de services, les politiques locales - Vol. 3 : Recueil de productions : d'une géographie de la population à une géographie sociale.
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Migrations et division sociale de l'espace en Toscane : structures et dynamiques.Frantz, David 11 December 2010 (has links) (PDF)
L'objet de cette thèse est d'étudier les rapports entre la division sociale de l'espace d'une formation sociale d'accueil et la distribution spatiale de ses populations immigrées. À partir des années 1970, les migrations internationales de la Périphérie vers les pays du Centre se sont amplifiées et diversifiées ; de pays d'émigration, l'Italie est devenue un pays d'immigration. La distribution spatiale des populations immigrées est déterminée par la division internationale du travail, la division économique et fonctionnelle de l'espace hôte et les caractéristiques propres des communautés de migrants. Les filtres institutionnels mis en place (droit de séjour, droit au travail) commandent les conditions de vie et d'installation des migrants. Trois échelles sont mises en exergue pour analyser l'articulation entre immigration et économie territoriale : l'Italie pour le contexte de ses déséquilibres territoriaux, la Toscane pour le modèle de l'industrialisation diffuse typique de la “Troisième Italie”, et Florence, la capitale régionale, pour son économie urbaine du tertiaire inférieur. La méthodologie utilisée – bibliographie, statistiques, enquêtes, entretiens – permet de rendre compte d'une réalité mouvante et difficilement formalisable. La division sociale de l'espace intra- et péri-urbain de Florence témoigne du lien étroit entre l'espace des classes sociales et l'attribution spatiale des communautés étrangères selon leur fonction dans le système de production local. Discriminée et reléguée socialement et spatialement, la situation des Roms est prise comme exemple en tant que population en décalage de la formation sociale hôte.
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Le Champ Atlantique. Essai sur les relations entre les acteurs politiques locaux et l'océan sur la façade Atlantique française.Brulay, Fabien 17 October 2008 (has links) (PDF)
En posant l'hypothèse d'un Champ Atlantique, cette thèse propose de lire les relations océan/acteurs politiques locaux de la façade Atlantique française par le biais d'une approche stratégique : celle de la concurrence qui découle de l'existence d'une ressource « Atlantique » collective. Cette posture émane de l'engouement social contemporain pour le maritime et les littoraux, du déclin des activités maritimes et de l'existence d'un Arc Atlantique, dans un contexte de décentralisation croissante. Une telle hypothèse invite à mettre en lumière les enjeux de l'appropriation de cette ressource, les stratégies que les élus locaux déploient en ce sens et l'incidence de telles pratiques sur les espaces littoraux océaniques. Simultanément, sur un plan épistémologique, elle interroge la « géographicité » de la notion de champ et met à l'épreuve ses capacités à réunir des discours politiques « Atlantiques » multiscalaires, depuis l'échelle européenne (Arc Atlantique) jusqu'à l'échelle locale. Face à ces questionnements géographiques et épistémologiques, la méthodologie choisie repose sur la médiation de l'image territoriale élaborée par les élus, dans sa dimension maritime. La grille de lecture par le Champ Atlantique montre alors que l'appropriation de la ressource « Atlantique » par les pouvoirs politiques locaux se situe au croisement d'ambitions de développement territorial, de quête identitaire et de visées électorales ; à l'échelle régionale, elle offre un regard original sur des espaces littoraux soumis à d'importantes mutations sociospatiales (multiplication et diversification des mobilités, urbanisation).
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La dynamique spatiale des pratiques sportives. Des patronages à l'intercommunalité. L'exemple du basketball, du football et du rugby dans les Pays de la LoireTonini, Brice 14 December 2007 (has links) (PDF)
Omniprésentes dans la société contemporaine, les pratiques sportives participent à la construction des territoires par le double jeu du passé et de l'avenir. Leur dynamique peut être appréhendée à travers cette dialectique qui met en jeu des logiques propres. À un passé qui permet la mise en exergue du ressort identitaire répond le désir d'une offre sportive toujours accrue pour le futur. À travers cette double inscription dans le temps, le sport compose une entrée riche dans l'analyse des dynamiques spatiales grâce à son imbrication croissante dans la vie sociale. Appréhendé comme un système complexe, le phénomène sportif est alors analysé selon trois niveaux d'organisation considérés simultanément : le club, la discipline et le sport afin de rendre compte des modalités de son évolution spatiale et des enjeux qui lui sont lié. La recherche se structure autour de l'exemple du football, du basket-ball et du rugby dans les Pays de la Loire, de la fin du 19e siècle à nos jours.
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Dynamiques urbaines et sociales dans les quartiers péricentraux. L'exemple de trois métropoles régionales : Nantes, Bordeaux et Toulouse.Coudert, Laurent 26 October 2006 (has links) (PDF)
Espace urbain de transition entre le centre et la périphérie, la zone péricentrale des métropoles régionales se singularise par un profil urbain et social propre et en pleine revitalisation. Le centre proche, la diversité de l'habitat et la présence de services et commerces de proximité sont des atouts indéniables pour ces quartiers anciens. Toute la démonstration s'inscrit dans la double perspective de pouvoir considérer le péricentre comme un référent spatial pertinent pour des recherches en géographie sociale, tout en présentant des résultats à l'échelle de cet espace ainsi défini. La démarche s'appuie d'abord sur une analyse effectuée à l'échelle des couronnes péricentrales de Nantes, Bordeaux et Toulouse. Celles-ci sont marquées par l'arrivée de nombreux migrants, la présence de jeunes et de retraités, mais aussi par un processus de gentrification. L'ensemble de ces indicateurs révèle à quel point le péricentre constitue un lieu d'étape importante dans l'itinéraire résidentiel, notamment lors de la décohabitation juvénile. Ensuite, des études ciblées sur des quartiers montrent l'intérêt que représentent les pôles commerciaux de proximité, clairement identifiés par les habitants. Cet atout, additionné à une ambiance urbaine apaisée et un habitat constitué de petits collectifs et de maisons individuelles avec jardins, rend ces quartiers plus que jamais attractifs.
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- Parcours, HDR, vol. 1, août 2012 - Encadrements et mobilisations dans les villes africaines du patrimoine : l'exemple du religieux, HDR, vol. 2, août 2012 - Recueil de publications, HDR, vol. 3, août 2012Ouallet, Anne 25 March 2013 (has links) (PDF)
Volume 2 : Encadrements et mobilisations dans les villes africaines du patrimoine : l'exemple du religieux Ce volume principal de l'HDR commence par la présentation des contextes conceptuels et du cadre méthodologique d'une recherche qui s'effectue sur les terrains africains de villes à fort potentiel patrimonial et à forte identité religieuse. Il réinterroge les cadres de l'action publique entendue dans une acception large et les bases des fonctionnements sociaux et spatiaux en observant les logiques et les recompositions autour du religieux. Il montre comment au Mali l'islam devient progressivement un encadrement englobant. Les analyses sont essentiellement réalisées à partir de terrains maliens et secondairement d'exemples éthiopiens. Le travail s'inscrit dans une démarche de géographie sociale mettant en avant les différents encadrements et les mobilisations autour de ce religieux.
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