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Contribution à la structuration des échanges de connaissances dans le cadre de relations de collaboration des chaînes logistiquesBuzon, Laurent 08 December 2006 (has links) (PDF)
La notion Chaîne Logistique Globale fait l'objet d'une attention accrue de la part des entreprises depuis l'arrivée du phénomène de globalisation et de l'organisation de la production en " Juste à temps ". Ces deux phénomènes ont renforcé de manière significative les contraintes qui s'imposent sur la chaîne de production et ont obligé les logisticiens à répercuter ces contraintes sur leurs fournisseurs. A cela s'ajoute aujourd'hui de nouveaux types de contraintes, concernant la flexibilité, la gestion des flux synchrones et la traçabilité de la production pour satisfaire un marché de plus en plus volatile et exigeant. Dans ce contexte, la gestion des connaissances joue un rôle important en permettant de mieux appréhender la complexité, l'incertitude et les différentes dynamiques auxquelles l'organisation doit faire face. Les connaissances sont à la source des décisions car elles permettent de comprendre les différents éléments d'un problème à résoudre. Si on considère cette définition de la connaissance, l'échange de connaissances peut participer à l'amélioration de la maîtrise et de l'efficacité de la Chaîne logistique. Nous avons proposé, une démarche de mise en œuvre de l'échange de connaissances entre les partenaires de la chaîne logistique au niveau des relations et des projets entre acteurs. Cette démarche a fait l'objet d'un cas d'étude des relations d'un fabricant de mobilier Design avec ses fournisseurs, ses sous-traitants et ses clients. De plus, une proposition d'instrumentation informatique support basé sur les technologies du web sémantique a été proposée.
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INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DISTRIBUÉE ET GESTION DES CONNAISSANCES : ONTOLOGIES ET SYSTÈMES MULTI-AGENTS POUR UN WEB SÉMANTIQUE ORGANISATIONNELGandon, Fabien 07 November 2002 (has links) (PDF)
Ce travail considère les systèmes multi-agents pour la gestion d'un web sémantique d'entreprise basé<br>sur une ontologie. Dans le projet CoMMA, je me suis focalisé sur deux scénarios d'application:<br>l'assistance aux activités de veille technologique et l'aide à l'insertion d'un nouvel employé dans une organisation. Trois aspects ont été développés dans ce travail :<br>- la conception d'une architecture multi-agents assistant les deux scénarios, et l'approche organisationnelle descendante adoptée pour identifier les sociétés, les rôles et les interactions des agents ;<br>- la construction de l'ontologie O'CoMMA et la structuration de la mémoire organisationnelle en exploitant les technologies du Web sémantique ;<br>- la conception et l'implantation (a) des sous-sociétés d'agents chargées de la maintenance des annotations et de l'ontologie et (b) des protocoles supportant ces deux groupes d'agents, en particulier des techniques pour la distribution des annotations et des requêtes entre les agents.
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Graphes RDF et leur Manipulation pour la Gestion de ConnaissancesGandon, Fabien 05 November 2008 (has links) (PDF)
Le premier chapitre montre que nos scénarios d'usages sont issus de problèmes de capitalisation, de gestion et de diffusion de connaissances. Nous étudions donc des mémoires individualisées (rattachées à un utilisateur donné), organisationnelles (rattachées à une organisation, notamment une entreprise) ou plus généralement communautaires (rattachées à une communauté d'intérêt ou de pratique). Nous donnons dans le premier chapitre des contextes d'application de nos travaux que nous utiliserons comme des scénarios motivants pour les chapitres suivants. Nous y définissons aussi notre positionnement en représentation des connaissances, notamment pour ce qui est de la représentation d'une mémoire à base d'ontologies.<br />Dans le deuxième chapitre, nous rappelons comment les formalismes à base de graphes peuvent être utilisés pour représenter des connaissances avec un degré variable de formalisation en fonction des besoins identifiés dans les scénarios d'application et des traitements à effectuer notamment pour la mise en place de webs sémantiques. Nous identifierons brièvement les caractéristiques de certains de ces formalismes qui sont utilisés dans nos travaux et les opportunités d'extensions qu'ils offrent. Nous synthétiserons aussi une initiative en cours pour factoriser la définition des structures mathématiques partagées par ces formalismes et réutiliser l'algorithmique des traitements communs à ces structures.<br />Dans le troisième chapitre nous expliquons que l'ontologie offre un support à d'autres types de raisonnement que la dérivation logique. Par exemple, la hiérarchie de notions contenue dans une ontologie peut être vue comme un espace métrique permettant de définir des distances pour comparer la proximité sémantique de deux notions. Nous avons mis en œuvre cette idée dans plusieurs scénarios comme l'allocation distribuée d'annotations, la recherche approchée ou le clustering. Nous résumons dans ce troisième chapitre diverses utilisations que nous avons faites des distances sémantiques et discutons notre position sur ce domaine. Nous donnons les scénarios d'utilisation et les distances utilisées dans un échantillon représentatif de projets que nous avons menés. Pour nous, cette première série d'expériences a permis de démontrer l'intérêt et le potentiel des distances, et aussi de souligner l'importance du travail restant à faire pour identifier et caractériser les familles de distances existantes et leur adéquation respective aux tâches pour lesquelles nos utilisateurs souhaitent être assistés.<br />Dans le quatrième chapitre, nous rappelons qu'un web sémantique, tel que nous en utilisons dans nos scénarios, qu'il soit public ou sur l'intranet d'une entreprise, repose généralement sur plusieurs serveurs web qui proposent chacun différentes ontologies et différentes bases d'annotations utilisant ces ontologies pour décrire des ressources. Les scénarios d'usage amènent souvent un utilisateur à formuler des requêtes dont les réponses combinent des éléments d'annotation distribués entre plusieurs de ces serveurs.<br />Ceci demande alors d'être capable :<br />(1) d'identifier les serveurs susceptibles d'avoir des éléments de réponse ;<br />(2) d'interroger des serveurs distants sur les éléments qu'ils connaissent sans surcharger le réseau;<br />(3) de décomposer la requête et router les sous-requêtes vers les serveurs idoines ;<br />(4) de recomposer les résultats à partir des réponses partielles.<br />Nous avons, avec le web sémantique, les briques de base d'une architecture distribuée. Le quatrième chapitre résume un certain nombre d'approches que nous avons proposées pour tenir compte de la distribution et gérer des ressources distribuées dans les webs sémantiques que nous concevons.<br />Les ontologies et les représentations de connaissances sont souvent dans le cœur technique de nos architectures, notamment lorsqu'elles utilisent des représentations formelles. Pour interagir avec le web sémantique et ses applications, le cinquième chapitre rappelle que nous avons besoin d'interfaces qui les rendent intelligibles pour les utilisateurs finaux. Dans nos systèmes d'inférences des éléments de connaissances sont manipulés et combinés, et même si les éléments de départ étaient intelligibles, l'intelligibilité des résultats, elle, n'est pas préservée par ces transformations.<br />Actuellement, et dans le meilleur des cas, les concepteurs d'interfaces mettent en œuvre des transformations ad hoc des structures de données internes en représentations d'interface en oubliant souvent les capacités de raisonnement que pourraient fournir ces représentations pour construire de telles interfaces. Dans le pire des cas, et encore trop souvent, les structures de représentation normalement internes sont directement mises à nu dans des widgets sans que cela soit justifié et, au lieu d'assister l'interaction, ces représentations alourdissent les interfaces.<br />Puisqu'elles reçoivent les contributions d'un monde ouvert, les interfaces du web sémantique devront être, au moins en partie, générées dynamiquement et rendues pour chaque structure devant rentrer en contact avec les utilisateurs. Le cinquième et dernier chapitre souligne cette opportunité croissante d'utiliser des systèmes à base d'ontologies dans l'assistance aux interactions avec nos utilisateurs.
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Un portail sémantique pour la gestion des connaissances en cancérologieD'Aquin, Mathieu 14 December 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse présente une application et des extensions des principes et des technologies relatives au Web sémantique pour la construction d'un portail dédié à la gestion des connaissances en cancérologie. OWL, langage de représentation d'ontologies, est notamment employé pour la représentation des connaissances contenues dans les référentiels, sortes de protocoles de décision médicaux. Les inférences associées à OWL sont utilisées pour l'aide à la décision dans le cadre de l'application des référentiels. Mais les connaissances contenues dans les référentiels ne permettent pas de prendre en compte toutes les situations et nécessitent d'être adaptées pour certains cas particuliers. Pour cette raison, nous proposons une extension des technologies du Web sémantique afin de permettre la représentation de connaissances d'adaptation et l'implémentation d'un mécanisme de raisonnement à partir de cas (RÀPC) intégré à l'infrastructure du Web sémantique. Par ailleurs, dans des domaines complexes tels que la cancérologie, coexistent différents points de vue, c'est-à-dire différentes façons de considérer les connaissances du domaine et différentes façons de les utiliser. La notion d'ontologie ne permet pas de prendre en compte cette multiplicité de points de vue. Pour cette raison, nous avons étudié les formalismes de représentation des connaissances intégrant de façon explicite la notion de point de vue. Nous nous appuyons sur le langage C-OWL afin d'établir une représentation multi-points de vue des connaissances contenues dans les référentiels en accord avec les technologies du Web sémantique. Sur la base de cette représentation multi-points de vue en C-OWL, un mécanisme de RÀPC décentralisé est défini. Celui-ci exploite les multiples points de vue pour distribuer le RÀPC en différents processus. Les relations existant entre les points de vue sont quant à elles utilisées pour l'échange de connaissances et la collaboration entre ces différents processus. Au travers de l'application en cancérologie, la représentation multi-points de vue montre ainsi des apports concernant les difficultés inhérentes à l'ingénierie des connaissances (acquisition, évolution), la mise en oeuvre du mécanisme de RÀPC (utilisation de plusieurs cas, combinaison de points de vue) et le « passage à l'échelle » des mécanismes de raisonnements pour le Web sémantique, RÀPC compris.
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Qualité, Fouille et Gestion des ConnaissancesGuillet, Fabrice 08 December 2006 (has links) (PDF)
Qualité, Fouille et Gestion des Connaissances Lorem ipsum dolor sit amet, consectetuer adipiscing elit. Sed non risus. Suspendisse lectus tortor, dignissim sit amet, adipiscing nec, ultricies sed, dolor. Cras elementum ultrices diam. Maecenas ligula massa, varius a, semper congue, euismod non, mi. Proin porttitor, orci nec nonummy molestie, enim est eleifend mi, non fermentum diam nisl sit amet erat. Duis semper. Duis arcu massa, scelerisque vitae, consequat in, pretium a, enim. Pellentesque congue. Ut in risus volutpat libero pharetra tempor. Cras vestibulum bibendum augue. Praesent egestas leo in pede. Praesent blandit odio eu enim. Pellentesque sed dui ut augue blandit sodales
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Extraction automatique de connaissances pour la décision multicritèrePlantié, Michel 29 September 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse, sans prendre parti, aborde le sujet délicat qu'est l'automatisation cognitive. Elle propose la mise en place d'une chaîne informatique complète pour supporter chacune des étapes de la décision. Elle traite en particulier de l'automatisation de la phase d'apprentissage en faisant de la connaissance actionnable--la connaissance utile à l'action--une entité informatique manipulable par des algorithmes.<br />Le modèle qui supporte notre système interactif d'aide à la décision de groupe (SIADG) s'appuie largement sur des traitements automatiques de la connaissance. Datamining, multicritère et optimisation sont autant de techniques qui viennent se compléter pour élaborer un artefact de décision qui s'apparente à une interprétation cybernétique du modèle décisionnel de l'économiste Simon. L'incertitude épistémique inhérente à une décision est mesurée par le risque décisionnel qui analyse les facteurs discriminants entre les alternatives. Plusieurs attitudes dans le contrôle du risque décisionnel peuvent être envisagées : le SIADG peut être utilisé pour valider, vérifier ou infirmer un point de vue. Dans tous les cas, le contrôle exercé sur l'incertitude épistémique n'est pas neutre quant à la dynamique du processus de décision. L'instrumentation de la phase d'apprentissage du processus décisionnel conduit ainsi à élaborer l'actionneur d'une boucle de rétroaction visant à asservir la dynamique de décision. Notre modèle apporte un éclairage formel des liens entre incertitude épistémique, risque décisionnel et stabilité de la décision.<br />Les concepts fondamentaux de connaissance actionnable (CA) et d'indexation automatique sur lesquels reposent nos modèles et outils de TALN sont analysés. La notion de connaissance actionnable trouve dans cette vision cybernétique de la décision une interprétation nouvelle : c'est la connaissance manipulée par l'actionneur du SIADG pour contrôler la dynamique décisionnelle. Une synthèse rapide des techniques d'apprentissage les plus éprouvées pour l'extraction automatique de connaissances en TALN est proposée. Toutes ces notions et techniques sont déclinées sur la problématique spécifique d'extraction automatique de CAs dans un processus d'évaluation multicritère. Enfin, l'exemple d'application d'un gérant de vidéoclub cherchant à optimiser ses investissements en fonction des préférences de sa clientèle reprend et illustre le processus informatisé dans sa globalité.
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Contribution à la continuité des flux d'informations et de connaissances dans le lien conception-productionCheutet, Vincent 11 December 2012 (has links) (PDF)
Dans un contexte de la révolution de l'information numérique, les entreprises doivent proposer dans un temps court un système innovant de qualité et à moindre coût, et ce défi ne peut être relevé qu'avec des acteurs qui soient motivés et qui collaborent ensemble. Les présents travaux de recherche visent donc à faciliter cette collaboration et le travail à valeur ajoutée, en contribuant à la continuité des flux d'informations et de connaissances. Au sein du LISMMA, nous avons décliné ces travaux sur trois axes. Le premier axe vise à assurer les flux par l'interopérabilité des systèmes d'information par la médiation et l'unification à base de standards. Le deuxième axe se focalise sur la gestion des connaissances permettant aux flux d'être compris et interprétés par les acteurs. Enfin, nous avons proposé l'utilisation des ontologies pour assurer la cohérence des informations transitant dans les flux. Ces travaux ont donné lieu au développement de démonstrateurs, testés sur des cas industriels et/ou in-situ dans une entreprise.
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L'adaptation réciproque de la culture locale et du management en tant que création et partage de connaissances : le cas d'une filiale appartenant à un groupe français dans le domaine des NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) : Orange MaliKomah, Djenêbou 10 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche porte une attention sur les cultures et le management. L'influence bidirectionnelle qui a cours entre les deux, et aussi les raisons qui font que cette influence peut être source de création et de partage des connaissances dans l'entreprise en contexte africain. Premièrement, il y a la culture locale, dans le cas présent au Mali. Deuxièmement, il y a la culture de la firme, Orange Mali, qui est une filiale appartenant au groupe France Télécom opérant dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication, donc la culture française. Enfin, il y a la culture organisationnelle, étant donné que nous sommes en milieu organisationnel. En faisant ressortir les particularités de la culture malienne, pays situé en Afrique Subsaharienne, il sera possible d'étudier d'une part, les similitudes avec la culture française et d'autre part, les divergences et quels en sont les réelles répercussions sur la gestion de l'entreprise. Ainsi, nous avons eu recours à la théorie de la gestion des connaissances basée sur le modèle de Nonaka et Takeuchi (1997) pour expliquer comment la rencontre de ces cultures pouvait être source de création et de partage des connaissances au sein de l'entreprise. Des éléments tels que l'informel, le formel, la socialisation, le dialogue, etc. ont concouru au choix de ce modèle pour asseoir notre analyse. Le choix du terrain s'est fait chez Orange Mali, dans la ville de Bamako qui est la capitale économique, où une série de 10 entretiens et 3 semaines d'observation sur place ont pu alimenter la compréhension de notre sujet.
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La veille informationnelle en éducation pour répondre au défi de la société de la connaissance au XXI ème siècle :<br />Application à la conception d'une plateforme de veille et de partage de connaissance en éducation : Commun@uticePinte, Jean-Paul 18 December 2006 (has links) (PDF)
Il est désormais admis que le potentiel des technologies de l'information et de la communication (TIC) apporte un nouveau défi au monde moderne et favorise un accès de masse au savoir conforté depuis le début des années 90 par l'avènement du réseau Internet. Appréhender cette nouvelle donne et y adhérer pour accompagner le progrès humain restent au XXI° siècle des défis de taille.<br />Les diverses transitions de notre société du stade industriel au stade de société de l'information et de la connaissance démontrent aujourd'hui que la richesse la plus importante n'est plus matérielle, ni physique. Elle est désormais fondée sur l'immatériel et conduite par le savoir. <br />Comme pour toutes les étapes de vie d'une transition en général, nous nous trouvons en 2006 en fin de cycle et nous ne savons pas vraiment quelle sera la direction dans laquelle nous allons nous diriger. Dans ces conditions, la constance millénaire qui doit être prise en compte est celle du savoir. <br />Parmi les nombreux acteurs qui se trouvent interpellés par cette question du devenir, il faut citer l'université, endroit par excellence où s'élabore et se vulgarise le savoir selon une viabilité prouvée depuis le XIII° siècle avec une aptitude à s'adapter, à évoluer et à engendrer le changement et le progrès dans notre société. <br />Aujourd'hui, l'avènement des TIC dans l'enseignement a totalement bouleversé notre rapport au savoir et au pouvoir. Hier, l'information était disponible dans les ouvrages, les revues, ... Aujourd'hui elle est sur la toile et l'école se trouve concurrencée par d'autres formes d'accès au savoir et à l'information dont les ressources augmentent chaque jour un peu plus. Cette massification de l'information rend ainsi les recherches et la distinction de la pertinence de l'information plus difficiles pour l'enseignant comme pour l'étudiant.<br />Dans ce contexte qui n'a de précédent, l'université a un rôle central à jouer. Trait d'union entre la recherche, les entreprises, les étudiants et les citoyens, elle est au cœur du dispositif de production et de transmission des savoirs et se doit de réagir de façon urgente afin de demeurer encore une composante essentielle du développement culturel, socio-économique et écologiquement viable des individus, des communautés et des nations.<br />De ce fait, une société qui prendrait en compte les savoirs implicites permettrait une valorisation des individus. Dans cette toile de fond, le management des connaissances et la veille informationnelle permettent de valoriser des pistes nouvelles dans l'utilisation de la connaissance.<br />C'est sur ce postulat et sur cette même toile de fond que cette recherche est fondée.<br />Elle présente le management des connaissances, la culture et la veille informationnelle comme des outils qui permettent de mettre en avant des pistes nouvelles dans l'utilisation de la connaissance, ce qui nous permet de quitter les aspects strictement techniques, pour aller vers une utilisation plus conceptuelle du savoir.<br />Le problème se pose ici avec une acuité toute particulière, plus stratégique que strictement instrumentale car cette recherche met en valeur la nécessité pour les enseignants comme pour les étudiants d'acquérir des compétences informationnelles et par là même des compétences dans la maîtrise de l'usage de l'information devenue de plus en plus dense et diversifiée sur le réseau.<br /><br />La plateforme de veille et de partage de connaissances « Commun@utice » dont le fonctionnement est inspiré des pratiques de veille en entreprise selon une approche intégrée et continue tout au long du cheminement académique, ouvre ici le chemin du concept de veille informationnelle en éducation.
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Une approche collaborative de gestion des connaissances - Application à une PME du secteur de l'ingénierie mécaniqueBeylier, Cyril 16 October 2007 (has links) (PDF)
Ces travaux portent sur la définition d'une démarche de gestion des connaissances métier, adaptée aux PME de l'ingénierie mécanique. Notre démarche vise à formaliser les connaissances contextuelles associées aux objets techniques manipulés par les acteurs au lieu de chercher à formaliser les connaissances techniques spécifiques au métier. Ceci se traduit par la définition d'une approche collaborative de gestion des connaissances s'appuyant sur des outils légers de collecte de connaissances tout en essayant d'instaurer une culture de partage de connaissance. Nous proposons KALIS (Knowledge about Activities as a Link to Information Sharing), un outil informatique permettant de partager et d'identifier les informations utiles au cours des projets grâce à un dispositif d'évaluation de la maturité des informations support et des pratiques. La mise en œuvre de cette approche sur le terrain s'est déroulée de manière itérative (proposition de solution, retour d'expérience, amélioration) au sein d'une petite entreprise spécialiste du calcul mécanique et partenaire de ce travail. Une longue période de mise en œuvre permet de conclure aujourd'hui sur la pertinence d'une telle approche collaborative de gestion des connaissances car elle impacte positivement la réactivité de l'entreprise et la fiabilité des résultats de calcul fournis. Les éléments clés mis en évidence dans ces travaux peuvent se résumer ainsi : définition du concept d'information support comme soutien à la capitalisation des connaissances dans un contexte PME, concept de vitrine et d'espace de travail pour le partage des connaissances, apports sur le processus d'évaluation de la maturité des connaissance, mise en œuvre d'une démarche de recherche intervention et retour d'implémentation dans un contexte industriel.
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