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Inégalités de mobilité dans le Grand Santiago et la région Ile-de-France : politiques de logement, des transports et gouvernance métropolitaine / Mobility inequalities in Greater Santiago and the Ile-de-France region : housing and transport policies in metropolitan governance

Garreton, Matias 05 December 2013 (has links)
Notre époque est caractérisée par des enjeux globaux inédits qui exigent une critique et une reformulation des principes d'organisation socioéconomique, notamment dans le domaine de l'aménagement urbain. La concentration de la population dans des grandes agglomérations, leur ségrégation croissante et leur empreinte écologique, soulignent l'importance de faire évoluer les institutions métropolitaines. Au sein de ce vaste champ de recherche, cette thèse se concentre sur la problématique des inégalités de localisation et déplacements, et des limites de l'action publique face à ces enjeux. Ainsi, nous développons l'hypothèse que l'accumulation de désavantages de logement et déplacements constituerait une forme d'injustice sociale qui pourrait être objectivée par des mesures quantitatives à un niveau méso-social. Le corolaire éthique d'un tel constat, en termes d'action publique nous amène à proposer une hypothèse complémentaire. En effet, l'atténuation des inégalités urbaines nécessiterait d'institutions capables de coordonner diverses politiques sectorielles, avec cohérence territoriale et en réponse aux demandes sociales. Ces deux hypothèses s'articulent dans une dialectique qui développe des concepts et des méthodologies pour l'étude du droit à la ville, que nous concevons comme une synthèse de capacités socioéconomiques et politiques. En particulier, la mobilité urbaine est définie dans ce travail comme l'imbrication des pratiques de localisation résidentielle et de déplacements quotidiens, à niveau des ménages. Cet ensemble de capacités est nécessaire pour l'épanouissement des citoyens, mais la connotation d'injustice des différences statistiques est difficile à démontrer. Ainsi, le principal objectif de cette thèse consiste au développement et application d'une méthodologie d'analyse quantitative à l'échelle métropolitaine, qui permettrait d'affirmer s'il existe, ou pas, une limitation injuste de la mobilité urbaine de certains groupes sociaux. Avec cet objectif, nous analysons quatre indicateurs complémentaires, chacun mesurant une dimension différente des arbitrages spatio-temporels des ménages. Il s'agit de l'usage du temps quotidien, des efforts en transport et logement, de l'accessibilité aux emplois et autres destinations, et de l'utilité de la mobilité urbaine. Au total, des désavantages simultanés parmi ces mesures suggèrent que certains groupes sociaux sont privés de mécanismes d'ajustement qui leur permettrait de bénéficier des ressources urbaines, ce que nous qualifions d'injuste. Nous montrons notamment que l'effet des politiques sociales en Ile-de-France semble être confondu par l'extension de son aire urbaine, qui présente des niveaux d'inégalités socio-spatiales proches à ceux observés dans le Grand Santiago, où les mécanismes redistributifs sont très faibles. Cette convergence souligne l'intérêt d'analyser les limites des systèmes de gouvernance métropolitaine pour résoudre ce type d'iniquités. Cette question est adressée par l'observation de deux controverses publiques récentes, l'implémentation du Transantiago et les débats autour du Grand Paris, et par l'étude de l'évolution des instruments d'aménagement. Cette analyse institutionnelle est appuyée sur la synthèse des règles et ressources de l'action publique et sur des entretiens à des experts et autorités. Dans les deux cas d'étude et par des mécanismes différents, ils existeraient des défaillances de représentation des groupes vulnérables dans les arènes de gouvernance métropolitaine, ce qui contribuerait au creusement des inégalités socio-spatiales. Finalement, la garantie du droit à la ville dans le Grand Santiago et la Région Ile-de-France nécessiterait d'innovations techniques et politiques complémentaires. Celles-ci pourraient être implémentées dans un niveau méso-social, visant à l'amélioration des conditions de mobilité urbaine et de représentation politique des ménages vulnérables, selon les spécificités de chaque sous-territoire métropolitain / Our era is characterized by unprecedented global challenges that require a critical review and a reformulation of the principles of social and economic organization, particularly in the field of urban planning. The concentration of population in major conurbations, their growing segregation and their ecological footprint, stress the importance of adapting metropolitan institutions. Within this large field of research, this thesis focuses on the problem of inequalities of residential location and daily travel, and on the limits of public action to address these challenges. Thus, we develop the hypothesis that the accumulation of residential and travel handicaps constitute a form of social injustice that could be objectified by quantitative measures at a mesosocial level. The ethical corollary of this observation in terms of public action leads us to propose a complementary hypothesis. Indeed, mitigation of urban inequalities would require institutions having the capacity to coordinate various sectoral policies, with territorial coherence and in response to social demands. These two hypotheses are articulated in a dialectical argument that develops operative concepts and methodologies for the study of the right to the city, which we conceive as a synthesis of socio-economic and political empowerment. In particular, urban mobility is defined in this work as the interweaving practices of residential location and daily travel at the household level. This set of capabilities is necessary for the blooming of citizens, but the unjust connotation of differences measured by this kind statistics is difficult to demonstrate. Thus, the main objective of this thesis is the development and application of a methodology for quantitative analysis at the metropolitan level, capable to assert if there is or not an unfair limitation of urban mobility for a certain social group. With this purpose, we analyze four complementary indicators, each measuring a different dimension of space-time tradeoffs at household level. This are: the daily use of time, travel and housing efforts, accessibility to jobs and other destinations, and utility of urban mobility. In sum, simultaneous disadvantages among these measures would suggest that some social groups are deprived of adjustment mechanisms that would allow them to benefit from urban resources, what we qualify as being unfair. In particular, we show that the effect of social policies in Ile-de-France seems to be antagonized by the extension of its urban area, attaining levels of socio-spatial inequalities close to those observed in Greater Santiago, where redistributive mechanisms are extremely weak. This convergence emphasizes the importance of analyzing the limits of metropolitan governance systems to resolve such inequities. This issue is addressed by the observation of two recent public controversies, the implementation of Transantiago and the debates around the Grand Paris, and by the study of the evolution of planning instruments. This institutional analysis is based on a synthesis of the rules and resources of public action, and on interviews with experts and authorities. In both study cases and by different mechanisms, there would be failures of representation for vulnerable groups in the arenas of metropolitan governance, thus contributing to the widening socio-spatial inequalities. Finally, guaranteeing the right to the city in the Greater Santiago and the Ile -de- France would require complementary technical and policy innovations. These could be implemented in a mesosocial level, aiming for the improvement of urban mobility and political representation of vulnerable households, according to the specificities of each sub-metropolitan territory
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Les politiques du développement durable. : Gouverner l'environnement dans les villes françaises et britanniques (1970-2010) / The politics of sustainable development : Governing the environment in French and British cities (1970-2010)

Béal, Vincent 30 November 2011 (has links)
Ce travail explore le rôle des enjeux environnementaux dans les transformations de l'action publique urbaine.Basé sur quatre études de cas (Nantes et Saint-Étienne en France, Leicester et Manchester au Royaume Uni),il analyse l'émergence des questions environnementales sur les agendas urbains et leur influence sur latransformation des politiques urbaines et des modalités de gouvernement des villes. En croisant lesperspectives théoriques de la sociologie de l'action publique et des travaux portant sur le gouvernement desvilles et l'économie politique urbaine, cette thèse montre que trois emblèmes se sont succédé dans la gestionurbaine de l'environnement : l'emblème "écologie urbaine" avec son cadrage militant dans les années 1970et 1980, l'emblème "développement durable" avec son cadrage entrepreneurial dans les années 1990 et2000 et, enfin, l'emblème « changement climatique » avec son cadrage néo-managérial depuis 2005. Cettepériodisation de la gestion de l'environnement en ville et de ses transformations souligne l'importancecroissante des villes en tant qu'échelles de régulation et de construction de la problématiqueenvironnementale. Toutefois, cette montée en puissance des villes ne s'accompagne pas du renforcementdes espaces publics locaux dans le domaine de l'environnement. Si on assiste bien à une recomposition desrapports politique/société, elle prend plus la forme d'une distanciation des liens entre élites politiques etsociétés urbaines. En participant au recentrement des activités des élus urbains sur la production despolitiques urbaines et au filtrage des acteurs considérés comme n'étant pas« responsables», les politiquesurbaines d'environnement accompagnent la mise en place de formes oligarchiques et post-démocratiques degouvernement des villes. / This dissertation provides an analysis of the influence of environ mental issues on the transformation of urbanpolicy-making. Based on four case studies (Nantes and Saint-Etienne in France, Leicester and Manchesterin the United Kingdom), it examines the rise of environ mental issues on urban agendas and its influence inthe transformation of urban policies and urban governance. Built around three main theoretical perspectives- public policy analysis, urban political science and urban political economy -, this work shows that urbanenviron mental management has been shaped by three different emblems : the emblem of« urban ecology »with its grass roots frame in the 1970s and 1980s, the emblem of « sustainable development » with itsentrepreneurial frame in the 1990s and 2000s, and, finally, the emblem of « climate change » with its newmanagerial and control frame since 2005. This periodisation of urban environmental management stressesthe rise of cities as prominent scales of environ mental regulation and construction. However, this rise has notbeen synonymous of a strengthening of local public spaces around environ mental issues. It is argued thatthe reshaping of state/society relationships has led ta a gap between urban political elites and urbansocieties. By helping ta reshape political elites' activities towards the production of urban policies and tamarginalise actors who are not considered as «responsible», urban environmental policies have supportedthe roll out of oligarchie and post-democratie patterns of urban governance.
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RELIEF, une démarche d'évaluation des processus de concertation : adaptation au contexte des organismes de bassin versant du Québec

Jobin, Bernard H. January 2013 (has links)
On associe souvent d'emblée les approches collaboratives à la gestion intégrée de l'environnement et parmi celles-ci on évoque la concertation à titre de moyen privilégié pour rallier les divers groupes d'acteurs autour d'une définition collective des objectifs, des actions à entreprendre ou du partage de responsabilités. La concertation suggère donc que son usage peut avoir un effet structurant en permettant à ceux-ci de revisiter certains de leurs rôles ou manières de faire ainsi que les relations qu'ils entretiennent entre eux de manière à établir une nouvelle cohésion favorable à la préservation ou l'amélioration d'écosystèmes naturels. En témoignent plusieurs politiques gouvernementales en matière de développement régional, d'occupation des territoires, de développement durable, de gestion de l'environnement, parmi d'autres, tant en France qu'au Québec, qui lient fréquemment l'exercice de la concertation à une volonté de promouvoir la démocratie de proximité et de prise en main par les acteurs locaux du développement territorial intégré. Cependant, malgré une volonté clairement exprimée en faveur de la concertation, plusieurs facteurs entravent couramment la réalisation des bénéfices annoncés, tels que les luttes de pouvoir ou d'influence, les reliquats d'anciens conflits, la marchandisation du processus, les difficultés de communication, l'illégitimité du porteur de projet, l'absence de certains acteurs clés, l'inadéquation avec les actions du gestionnaire public, ou encore, un processus désordonné, sans méthode et ne disposant pas des moyens nécessaires. Pour ces raisons et considérant que la concertation constitue une approche souhaité [i.e. souhaitée] tant par nos instances gouvernementales que la société civile, il convient de nous doter d'outils appropriés pour mieux comprendre les processus de concertation à l'échelle locale ou régionale, ce qui nous permettrait d'identifier les forces, les lacunes et les écarts de toute initiative de concertation dans le but d'améliorer l'efficience de ces efforts collectifs au profit de tous et des générations futures. Cette étude se concentre sur une démarche d'évaluation de la concertation et ses outils élaborés autour des années 2000 par une équipe de chercheurs français. Cette méthode porte le nom de RELIEF, acronyme signifiant REseau support de la concertation, LIens entre catégories d'acteurs, Espaces d'action collective et EFfets sur l'objet de la concertation. Sa conception trouve ses origines dans un projet de recherche qui avait pour objectif de répertorier, puis d’analyser sur une base comparative diverses initiatives de gestion concertée en milieu rural, et dans les espaces littoraux. Durant trois années, une équipe de l’École nationale supérieure agronomique de Rennes (ENSAR) dirigée par Jean-Eudes Beuret, en collaboration avec d’autres chercheurs, ainsi que les acteurs du milieu, observa les dynamiques relationnelles au sein des concertations locales étudiées et tenta d’élucider les facteurs qui en influencent le cours et en favorisent le développement. Pour mieux comprendre le contexte général entourant leur recherche, un survol historique est fait de la question de la concertation environnementale, et plus précisément en matière de gestion intégrée de l'eau depuis les années 1970 en France. L'analyse présentée ici débute par une mise en contexte général des approches collaboratives en gestion intégrée de l'environnement et de l'évaluation des [i.e. de] leurs effets, car la question des facteurs déterminants dans la réussite des initiatives de concertation pose plus de questions qu'elle ne donne de réponses. Pourtant, nombreux sont ceux et celles qui considèrent que la concertation est nécessaire pour promouvoir l'établissement de nouvelles normes respectueuses des principes du développement durable, de manière démocratique et suscitant l'adhésion des individus et des collectivités. Bien sûr, de nombreuses recherches font état d'effets directs et indirects de la concertation, et le besoin de recherches complémentaires est souligné. Cependant, à l'exception de RELIEF, aucune autre méthode d'évaluation du processus de concertation élaborée sur la base d'expériences menées sur le terrain n'a été recensée. La concertation souffr en effet de ses nombreuses mésinterprétations et mise en pratiques désordonnées, c'est pourquoi il est primordial de se doter des connaissances appropriées et d'outils adaptés pour guider l'évolution des processus et dresser le portrait des parcours afin d'appuyer les divers groupes d'acteurs et augmenter leur capacitation en termes de dialogue délibératif. Dans cet ouvrage, on s'attarde également à préciser le concept de concertation ainsi que ses divers modes d'expression et d'évolution, car cette compréhension est essentielle à l'obtention d'une vision claire de l'outil et de son utilité. Enfin, une description approfondie des différentes phases d'application de la méthode est donnée: préparation de la recherche, collecte des données par des entretiens, composition du questionnaire, interprétation des résultats, discussions et présentation des résultats. Différents apports théoriques sont intégrés dans cette approche, comme la sociologie de l’innovation et la théorie de l’acteur réseau. L'étude se termine par une analyse de la pertinence d'utiliser l'approche RELIEF dans le cadre du mandat de concertation confié aux organismes de bassin versant (OBV) du Québec. Dans cette perspective, un regard est porté sur les adaptations nécessaires qui doivent être apportés [i.e. apportées] à ses outils, ainsi qu'aux contraintes et difficultés pressenties pour son utilisation concrète dans le cadre d'initiatives de gestion intégrée de l'eau à l'échelle des bassins versants, ou plus précisément, du territoire des sous-bassins. Les OBV du Québec sont connus comme étant les acteurs dont le principal rôle est de promouvoir et de faciliter la concertation et la capacitation des acteurs en matière de développement intégré respectueux de la ressource eau. Cette tâche constitue un exercice de cohésion, de transparence, qui supporte les territoires dans leurs efforts de développement durable démocratique concerté, et ouvre la porte à une action collective innovante.
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Quelle gestion intégrée du fleuve Niger au Mali ? : Normes, usages, régulations, territorialités locales dans les Communes riveraines des Cercles de Ségou et de Mopti / Which integrated management for niger river in Mali ? : Standards, uses, regulations, local territorialities in neighboring municipalities of Circles Segou and Mopti

Coulibaly, Baba 02 December 2013 (has links)
Le fleuve Niger est aujourd’hui confronté à des menaces naturelles et anthropiques dont la solution relève à la fois d’arbitrages locaux et de considérations d’ordre international. Sa riche histoire montre une succession de régulations et de logiques locales de gestion selon le temps et l’espace. Le fleuve Niger a été au cœur des stratégies de dominations locales et coloniales. Ces modes de régulations locales laissent de plus en plus la place à des systèmes de gestion plus intégrés. Cette recherche porte sur la gouvernance de l’eau du fleuve Niger à Ségou et à Mopti. Elle vise à comprendre les dynamiques d’acteurs, notamment les stratégies, les rapports et les interactions des acteurs autour de l’eau dans le contexte de décentralisation, mais aussi leurs perceptions concernant l’eau du fleuve. Les résultats montrent la complexité de la gouvernance de l’eau notamment en ce qui concerne la régulation et les articulations étroites entre des dynamiques globales et locales. La méconnaissance et l’inapplication des textes régissant le domaine de l’eau caractérisent la gouvernance du fleuve Niger. La multiplicité des acteurs entraine le chevauchement des rôles et les risques de conflits de compétences. Ensuite, la mise en œuvre de cette gouvernance implique des relations complexes entre les multiples acteurs. Cette complexité renvoie à des questions de territoires et de territorialités notamment dans le Delta intérieur. Enfin, la décentralisation a favorisé l’implication directe des acteurs locaux dans la gestion des ressources locales. Mais elle a également exacerbé les risques de conflits entre les multiples acteurs en quête de leadership et de légitimité autour du fleuve. / The Niger River is now facing natural and anthropogenic threats; the solution is both in local arbitrage and in international considerations. Its rich history shows a series of regulation and local management logics depending on time and space. The Niger River has been at the center of strategies for local and colonial dominations. These modes of local controls lead more and more place for some more integrated management systems. This research focuses on the governance of the Niger River waters in Segou and Mopti. It aims to understand the dynamics of actors, especially strategies, relationships and interactions of actors around the water in the context of decentralization, but also their perceptions of the River water. The results show the complexity of water governance especially with regard to regulation and the narrow articulations between global and local dynamics. Ignorance and lack of implementation of laws governing the field of water characterize the governance of Niger River. The multiplicity of actors leads to the overlap of roles and potential conflicts of competence. The implementation of the governance involves complex relationships between multiple actors. This complexity returns to issues of territories and territorialities in particular in the interior Delta. Finally, decentralization has encouraged the direct involvement of local stakeholders in the management of local resources. But it has also exacerbated the risk of conflicts between multiple actors, in search of leadership and legitimacy around the river.
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La gouvernance d'entreprise en Thaïlande, en France et en Chine / The corporate governance in Thailand, France and China

Rattanakaset, Patrawan 31 October 2013 (has links)
L'objectif du principe de gouvernance d'entreprise de l'OCDE défini des recommandations en matière d'organisation et de transparence des entreprises afin d'obtenir le meilleur équilibre entre le surveillance, l'efficacité de la direction et la participation des parties prenantes. Aujourd'hui, ce principe est un ligne directrice essentielle pour gagner la confiance des investisseurs et constitue le standard minimum de la gestion des entreprises. L'efficacité de ce principe est non seulement dépend de la politique, l'économie et la connaissance des législation, mais aussi, dépend d'application des loi en Thaïlande, en France et en Chine. Notre étudie analyser les différences qui amènera pour créer une connaissance qui peut permettre l'adaptation d'un nouveau système de gestion d'entreprise afin d'améliorer le meilleur développement d'économique durable. / The principe of corporate governance of the OECD define recommendations for the organization and transparency of companies to obtain the best balance between the surveillance, the effective of leadership and the participation of stakeholder. Today, this principe is a guideline essential to gain the confidence of investors and its the minimum standard of corporate governance. However, the effectiveness of this principle depend on the politics, the economy and the legislation. And the varies according in Thailand, in France and in China. The study of these differences will lead then to create knowledge that may enable the adaptation of a new business management for better sustainable economy development in each country.
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La gouvernance dans l’océan Indien à travers la lutte anti-vectorielle / Governance in the Indian Ocean through the vector control

Andriamihamina, Felana 22 November 2013 (has links)
La gouvernance se définit comme étant une organisation sociale élaborée par la société elle-même. Autrement dit, cette notion suppose la reconnaissance de la suprématie de la volonté des membres de chaque société qui peut être civile, commerciale, ou politique qui évolue selon l’intérêt général de chaque société. Elle se présente sous différentes formes, entres autres, la démocratie, la décentralisation ou la centralisation, la solidarité internationale ou nationale, l’État de droit. Cependant, parmi les pays membres de la Commission de l’océan Indien, notamment La France (Réunion et Mayotte), Madagascar, Comores, île Maurice, les ex-colonies anglophones ou francophones ont reconnu juridiquement des organisations sociales héritées de génération en génération comme les traditions (les us et coutumes, les lois divines), et les droits coloniaux. En se basant sur la lutte anti vectorielle, une des mesures de la police administrative, qui est un concept nouveau issu du progrès de la médecine. Le droit comparé des États membres de la Commission de l’océan Indien régissant cette filière, nous permet à élucider si la défaillance de certains États dans ce domaine est-elle liée au conflit entre les traditions et les droits modernes, apports des ex colons ? / Governance is defined as a social organization established by itself society. In other words, the concept means recognition of the willingness supremacy each society member, may be civil, commercial, policy, change according to the general interest. The different forms of governance are democracy, centralization and decentralization, international or national solidarity. However, the member of the Committee on the Indian Ocean State, especially, France, Madagascar, Comoros, Mauritius, the former French or English colonies recognized legally the social organization inherited from generation to generation as traditions (customs, divine laws), colonial rights. Based on the vector control, one of the administrative police measures, which is a new concept from the advances in medicine science. The comparative law of the member of the Committee on the Indian Ocean State help to elucidate if did the failure of some States relate to the conflict between tradition and modern law?
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La question de la bonne gouvernance et des réalités sociopolitiques en Afrique : le cas de la Côte d'Ivoire

Zadi, Jonas 18 February 2013 (has links)
Après une analyse sémantique de la notion de Bonne Gouvernance, afin d'éclairer le sens de cette notion assez complexe, notion dont les origines remontent à une époque assez lointaine. Ce principe, qui s'est construit à travers les siècles, a d'abord concerné le monde des entreprises, avant d'envahir le champ de la politique, dans la quête de la meilleure gestion des affaires publiques, afin de satisfaire au mieux les affaires de l'Etat. En tant que thérapie, mise en place par les institutions internationales, afin de sortir les Etats africains, souvent corrompus, du tunnel de la misère et du sous-développement, elle s'est révélée inefficace. La bonne gouvernance dans sa mise en place, en Afrique et en Côte d'ivoire, fait face à un monde où le jeu politique est influencé par des liens claniques, familiaux, tribaux… qui mettent l'intérêt des groupes au dessus de l'intérêt général, engendrant une déliquescence de l'Etat, avec une absence d'éthique , de responsabilité , de clarté dans la prise de décision, dans des sociétés où la quête de la démocratie est marquée du sceau de la démagogie, avec une prime accordée à l'opacité dans la gestion des affaires publiques. Cette quête d'efficacité est contrebalancée par le poids des traditions et des pratiques inhérentes au monde du tiers-monde, choses qui rendent la gestion des affaires publiques difficilement efficace. Cependant, le champ politique n'échappe pas à l'emprise du monde extérieur, qui influence les prises de décisions, avec des acteurs publics souvent soumis aux injonctions de ce monde capitaliste, dans un monde marqué du sceau de la globalisation et de la mondialisation. / After a semantic analysis of the notion of Good Governance, to light the sense of this complex notion, notion the origins of which go back up to a rather distant time. This principle, which built itself through centuries, concerned at first the world of companies, before invading the field of the politics, in the quest of the best management of the public affairs, to satisfy at best the affairs of the State. As therapy, organized by the international institutions, to bring out the African states, often corrupted States, of the tunnel of the poverty and the underdevelopment, it showed itself ineffective. The good governance in its implementation, in Africa and in Ivory Coast, faces a world where the political game set, is influenced by clan, family, tribal links, which put the interest of the groups above the general interest, engendering a decay of the State, with an absence of ethics, responsibility of brightness in the decision-making, in the societies where the quest of the democracy is marked with the seal of the demagoguery, with a premium granted to the opacity in the management of the public affairs. This quest of efficiency is counterbalanced by the weight of the traditions and the practices inherent to the world of the Third World, the things which return the with difficulty effective management of the public affairs. However, the political arena does not escape the influence of the outside world, which influences decision-making, with public actors often subjected to the orders of this capitalist world, in a world marked with the seal of the globalization and with the globalization.
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Foreign aid and governance : to what extent political institutions matter / Aide au développement et gouvernance

Gary, Aurore 18 December 2014 (has links)
L’efficacité de l’aide au développement est aujourd’hui largement débattue au sein de la communauté des donateurs et dans la littérature académique (Rajan and Subramanian, 2008). Le contexte institutionnel des pays récipiendaires est au cœur de ce débat puisqu’il conditionnerait l’efficacité de l’aide en termes de croissance économique (Dalgaard and Hansen (2001), Collier and Dollar (2002) and Burnside and Dollar, 2004). L’aide serait efficace dans les pays pauvres et bien gouvernés. L’objet de ce travail de recherche est d’expliquer l’apparition de critères institutionnels dans l’allocation de l’aide au développement et de déterminer leurs effets en matière d’efficacité de l’aide. Il vise donc à appréhender le rôle joué par la gouvernance dans les pays receveurs (pays en développement) et dans les pays donateurs (pays de l’OCDE essentiellement) à la fois dans l’allocation et dans l’efficacité de l’aide au développement. Ce travail tente donc de répondre à plusieurs interrogations : (1) la reconnaissance de la nature institutionnelle de l’aide est-elle appropriée ? (2) l’aide est-elle- intrinsèquement politique ? (3) quelles sont les implications économiques de l’aide allouée selon des critères institutionnels ? / The recognition that political institutions matter is relatively recent and is the result of several interacting factors. The purpose of our research is to explain how foreign aid is related to governance issues both in recipient countries (developing countries) and in donor countries. Development aid is provided by: bilateral donors (29 DAC3 donors and 19 non-DAC donors), multilateral donors and private donors (e.g. Bill & Melinda Gates Foundation). Foreign aid differs according to the intended purposes: reforming national policies (economic policies or other types) and political institutions, and providing humanitarian assistance. The focus of our dissertation is on the emergence of non-strictly economic criteria (mainly institutional criteria) within the donor community as well as their impact on aid allocation and effectiveness. Therefore, we will address several questions: (1) Is the recognition of the institutional nature of aid appropriate?(2) Is aid political? (3) What are the economic implications of political aid (or aid based on institutional performance) ?
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Essays on the capital structure and insolvency in conventional and non-conventional banking systems / Essai sur la Structure du Capital et l'Insolvabilité dans les Systèmes Bancaires Conventionnels et Non-Conventionnels

Rajhi, Wassim 13 July 2011 (has links)
Cette thèse examine les canaux par lesquels la crise financière mondiale aurait une incidence sur les institutions financières islamiques et les instruments qui peuvent aider à contenir une crise dans un système bancaire dualiste. Notre échantillon couvre 467 banques conventionnelles et 90 banques islamiques dans 16 pays pour la période 2000-2008. Nous estimons la stabilité financière (z-score) dans les banques conventionnelles et les banques islamiques. Le z-score est devenu l’instrument le plus employé par les chercheurs en économie financière (Boyd et Runkle, 1993; Maechler, Mitra et Worrell, 2005; Beck et Laeven, 2006; Laeven et Levine, 2006; Hesse et Čihák, 2007, 2008, 2010; Mercieca, Laeven et Levine, 2009; Beck; Demirgüç-Kunt et Merrouche, 2010). A cette fin, nous utilisons un modèle d'estimation robuste et quantile. Cette thèse compare les causes de l’insolvabilité entre les banques islamiques et les banques conventionnelles dans les pays de la région du Moyen Orient et Afrique du nord (MOAN) et du Sud-est asiatique. À cet effet, nous utilisons différents facteurs microéconomiques, macroéconomiques et également un certain nombre d’autres indicateurs systémiques. / The international financial crisis naturally prompts the question of whether IIFS are robust and resilient or may be swept into crisis by a global wave and if so through what channels. This thesis considers channels through which the world financial crisis would affect IIFS, their features that may help contain it and those that may foster post crisis recovery in a dual banking system. Our sample covers 467 conventional banks and 90 Islamic banks in 16 countries for the period 2000-2008, a range advanced economies and emerging markets. We estimation the financial stability (z-score) in conventional and Islamic banks. The z-score has become a popular measure of bank soundness (Boyd and Runkle, 1993; Maechler, Mitra, and Worrell, 2005; Beck and Laeven, 2006; Laeven and Levine, 2006; Hesse and Čihák, 2007, 2008, 2010; Mercieca, Laeven and Levine, 2009; Beck; Demirgüç-Kunt and Merrouche, 2010). With a robust and a quantile estimation model, this empirical analysis explores causes of insolvency risk in Islamic and conventional banks in Middle East and North Africa (MENA) and Southeast Asian countries, by controlling for various factors, bank-by-bank data, macroeconomic and other system-wide indicators.
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La démocratie actionnariale : contribution à l'étude d'un mythe juridique / Shareholder democracy : contribution to the study of a legal myth

Crocquevieille, Mathieu 26 November 2018 (has links)
Slogan ou oxymore pour les uns, prix convoité ou formule vertueuse pour les autres, l’expression de démocratie actionnariale est présente dans les discours relatifs aux entreprises depuis les années 2000. l’étude ici présente s’intéresse à cette expression dans le cadre des discours juridiques portant sur les sociétés par actions. pour ce faire, la démocratie actionnariale a été considérée comme un mythe juridique, c’est-à-dire une représentation à la fois littéraire, politique et historique dans un contexte juridique. le mythe de la démocratie actionnariale incarne et véhicule une dynamique : celle de la rencontre entre la dimension démocratique et la dimension actionnariale. l’histoire et les sciences de gestion ont été parfois sollicitées pour le dévoiler dans son ensemble. le mythe de la démocratie actionnariale apparaît à la fois fondateur et structurant. fondateur, il accompagne les sources, les origines de la législation sur les sociétés par actions. dans sa forme traditionnelle, il est apparu au dix-neuvième siècle. il procède alors d’un rapport analogique assimilant sociétés par actions à une miniature politique. la société est une version réduite de la démocratie. dans sa forme moderne, il est né au vingtième siècle et rend compte de l’encastrement progressif des valeurs démocratiques de la communauté civique dans les sociétés par actions par le biais des mouvements rse. structurant, il participe à la pratique de ce type de société. autour de l’actionnaire, il nourrit ses droits politiques mais peine à rendre compte des droits financiers. autour des dirigeants, il s’associe à d’autres représentations pour en encadrer les pouvoirs. / Slogan or oxymoron for some, coveted reward or virtuous formula for others, the term shareholder democracy has been a part of the discourse on companies since the years 2000. this study discusses the term in the context of the legal discourse related to corporations. for the purposes of this discussion, shareholder democracy is considered a legal myth, meaning it is, at the same time, a literary, political, and historical representation in a legal context. the myth of shareholder democracy represents and conveys a dynamic: the junction between the democratic dimension and the shareholding dimension. history and managerial sciences have sometimes been solicited to unveil it in its entirety. the myth of shareholder democracy appears to be both foundational and structuring. foundational, it accompanies the sources, the origins of the laws and regulations on corporations. in its traditional form, it appeared during the nineteenth century. at that time, it was founded on an analogy assimilating corporations with a political scale model. a company is a smaller version of a democracy. in its modern form, it appeared during the twentieth century and is the product of the progressive inclusion of democratic values from society into the corporations through the csr movements. structuring, it participates in the life of such companies. as applied to the shareholder, it nourishes his political rights but struggles to advance his financial rights. as applied to the directors, it associates with other representations to monitor and provide a check on their powers.

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