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Casualties of the new world order : the causes of failure of UN missions to civil wars /

Wesley, Michael. January 1997 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--University of St Andrews. / Bibliogr. p. 162-188. Index.
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Madrid en guerre dans la littérature de la transition démocratique : Juan Iturralde et Juan Eduardo Zúñiga, témoins du conflit / Madrid during the civil war in literature of the transition period : Juan Iturralde and Juan Eduardo Zúñiga, witnesses of the conflit

Mourot, Marine 13 November 2015 (has links)
Les publications de romans ou nouvelles en espagnol au cours des vingt dernières années ont fait émerger un engouement pour ce qui peut être considéré comme un sous-genre du roman historique, le roman de la mémoire. Celui-ci met en scène l’Histoire récente de l’Espagne en particulier celle de la Guerre civile. Les auteurs de ces ouvrages sont souvent nés dans les années 50 ou 60 et n’ont donc pas de mémoire directe des événements. Il est habituel de considérer que les romans Luna de lobos (1985) et Beatus Ille (1986), constituent des signes précoces de ce phénomène qui ne se généralise que dix ans plus tard et atteint son apogée au tournant du XXIème siècle notamment à partir de la parution de Soldados de Salamina de Javier Cercas en 2001. Pourtant, entre la fin du franquisme (1975) qui entraîne la disparition de la censure (1977) et 1985, des textes narratifs fictionnels majeurs portant sur la guerre et le franquisme, ont été écrits et publiés. Ainsi, Días de llamas de Juan Iturralde est édité en 1979 et Juan Eduardo Zúñiga publie Largo noviembre de Madrid en 1980. L’étude de ces deux œuvres permettra de mettre en question l’idée souvent exprimée que la littérature des premières années de la Transition n’a pas privilégié le thème de la guerre et de s’intéresser aux stratégies narratives choisies par ces auteurs, témoins directs des événements, pour mettre en fiction cette période noire de l’Histoire d’Espagne. Leur approche littéraire des faits est, en effet, nécessairement différente de celle des écrivains qui ont accepté la contrainte de la censure et de celle des générations suivantes qui n’ont qu’une mémoire indirecte de la guerre. Le traitement particulier que Juan Iturralde et Juan Eduardo Zúñiga réservent au référent et notamment la mise en place d’une illusion de réalité très forte les désignent à la fois comme des dissidents par rapport aux récits traitant du conflit publiés à la même période et comme des héritiers de la tradition réaliste qu’ils exploitent et dépassent dans le but de transmettre une version vraisemblable mais limitée car totalement médiatisée des événements survenus au cours des années 1936 à 1939. Malgré l’ancrage des intrigues dans un contexte historique précis, la réalité ne va pas toujours de soi dans les récits. Dans les circonstances extrêmes de la guerre, le réel est davantage un motif d’interrogations qu’un objet de connaissance univoque et définitive. Un seul élément ne fait jamais l’objet d’aucun questionnement : l’horreur du conflit civil dont la mise en fiction est pleinement apte à traduire la dimension problématique du réel. De par le thème qu’elles abordent et les distances qu’elles prennent avec la volonté d’amnésie collective qui s’est pernicieusement installée en Espagne, les deux œuvres deviennent des « lieux de mémoire » susceptibles de permettre la revendication de l’importance du « devoir de mémoire », la réhabilitation de mémoires marginales trop longtemps réduites au silence et la résilience de certains traumatismes grâce à la fictionnalisation des désordres psychiques liés à l’horreur du conflit. / Novels or short stories published in Spanish over the last twenty years have revealed a keen interest in what can be considered as a subgenre of the historical novel, the novel for the memory. This subgenre stages the recent History of Spain, particularly the Civil War. Its authors were born in the 50s or 60s, and have no direct memory of the events. It is usual to consider that Luna de lobos (1985) and Beatus Ille (1986) are the novels showing early signs of this phenomenon, which only became widespread ten years later and peaked at the turning point of the 21st century, in particular after the publication of Soldados de Salamina by Javier Cercas in 2001. Nevertheless, between the end of the Francoism in 1975 which led to the disappearance of censorship in 1977 and 1985, several fictional narrative texts relating the war and the Francoism were written and published. Días de llamas by Juan Iturralde was edited in 1979 and Juan Eduardo Zúñiga published Largo noviembre de Madrid in 1980. The study of these two books will question the often expressed idea that the literature from the first years of the Transition period did not favor the theme of war. It will also focus on the narrative strategies that these authors, who were direct witnesses of the events, chose in order to fictionalize this period from the History of Spain. Indeed, their literary approach to the facts was inevitably different from that taken by the writers who accepted being restricted by censorship and that taken by the following generations who only indirectly experienced the war. The particular treatment which Juan Iturralde and Juan Eduardo Zúñiga reserved to the referent, in particular the setting of an illusion of reality, denotes them both as dissidents compared to the narratives about the conflict published during the same period, and as heirs of the realistic tradition which they exploited and surpassed in order to relate a plausible but limited version of the events taking place from 1936 to 1939, due to their subjective perspective. In spite of the intrigues being anchored within a precise historical context, the reality is not necessarily self-evident in these narratives. In the extreme circumstances of war, the reality becomes a motive for questioning rather than an object of unequivocal and irrevocable knowledge. A single element is never questioned: the horror of the civil conflict whose fictionalization is fully able to translate the problematic dimension of reality. By the theme addressed by these books and the way they distanced themselves from the will of collective amnesia which has perniciously settled in Spain, they both have become “commemorative sites”, leaning toward the claim for the importance of the “duty of remembrance”, the rehabilitation of marginal memories which has been silenced too long, and the resilience of various traumas through fictionalizing psychic disorders caused by the horror of this conflict.
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Evacuation et assistance à la population civile espagnole pendant la guerre d'Espagne (1936-1939) / Evacuation of, and assistance to the spanish civil population during the spanish civil war (1936-1939)

Guilloteau, Virginie 04 March 2011 (has links)
Lorsque se produisit le soulèvement militaire les 17-18 juillet 1936 en Espagne contre le gouvernement du Frente Popular de la Deuxième République, l’ordre établi fut alors bouleversé ; et c’est cette rupture dans le processus historique qui déclencha la Guerre Civile espagnole (1936-1939). Comme dans le cas de nombreux conflits qui ont marqué l’histoire de l’Humanité, le déclenchement des hostilités en Espagne donna lieu à des déplacements forcés de la population non combattante qui, le plus souvent, s’effectuèrent sous la forme d’évacuations « en débandade » ou d’évacuations « organisées » des zones en guerre.Dans la mesure où la Guerre Civile de 1936-1939 fut le premier conflit européen où apparut le besoin de déplacer un nombre considérable de personnes – en particulier des femmes, des enfants, des personnes âgées et des malades – face au danger que représentaient les combats, les pouvoirs publics républicains durent élaborer et mettre en place une politique d’évacuation et d’assistance sans précédent. Néanmoins, les autorités républicaines ne furent pas seules à agir car nombreuses furent les organisations politiques, syndicales ou associatives, tant à l’échelle nationale qu’internationale, qui collaborèrent avec elles. Il ne faut pas oublier que la Guerre Civile espagnole fut un conflit fratricide qui connut une mobilisation internationale sans précédent ; un certain nombre de pays acceptèrent d’ailleurs de recevoir sur leur territoire des réfugiés espagnols, notamment les enfants. En raison de sa proximité géographique, la France fut de loin le pays qui accueillit le plus de réfugiés. / When the military uprising against the Popular Front leading the Second Republic took place in Spain on the 17th-18th July, 1936, the status quo was upset. This break in the historical process triggered the Spanish Civil War (1936-1939). Like in many other conflicts that marked the history of mankind, the beginning of hostilities in Spain forced civilians to move and leave their homes. In most cases, these people left the war areas either in great disorder or in an organized way. Since the Civil War (1936-1939) was the first European conflict in which there was a need to move a large number of people – particularly women, children, elderly people and the sick – in order to avoid war dangers, the Republican power had to devise and implement unprecedented evacuation and assistance measures. However, the Republican authorities were not alone in this, since many national and international political organizations, trade unions and associations cooperated with them. It should not be forgotten that the Spanish Civil War was a fratricidal conflict that triggered unprecedented international action ; besides, some countries agreed to welcome Spanish refugees, especially when they were children. Due to its proximity to Spain, France was, by far, the country which accepted the largest number of refugees.
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Étude de l’effet d’interaction de la température et du potentiel agricole sur l’incidence des conflits armés

Smaoui, Maroua January 2018 (has links)
Un nombre croissant de conflits armés dans le monde est relié à une origine climatique. Les études sur les causes du conflit tiennent le climat, et plus spécifiquement le réchauffement, pour un multiplicateur de menaces. Mais, de par leurs résultats divergents, ces études répondent peu au défi posé par les perspectives alarmantes du réchauffement. Dans ce sillage, l’objectif de ce mémoire est d’étudier l’effet de la hausse de la température sur les conflits armés. Pour ce faire, le prisme de l’agriculture a d’emblée été privilégié, en raison de la dépendance des économies en proie aux conflits au secteur agricole. Suivant une approche de panel, et dans le cadre d’un modèle à effets fixes, un potentiel agricole a été défini pour chaque pays par sa capacité à cultiver des céréales d’une part et par une mesure de la rareté de l’eau dans les bassins versants, d’autre part. Les résultats des estimations confirment l’hypothèse d’un impact plus grand de la hausse des températures sur les pays à faible potentiel agricole. Ces résultats démontrent qu’un bon potentiel agricole, et notamment une bonne mesure de la rareté de l’eau, peuvent agir comme rempart contre l’incidence des conflits. Parmi les chiffres phares, il est à indiquer par exemple qu’un bon indice d’aptitude à la culture céréalière inhibe de plus de 4 % la probabilité d’incidence d’un conflit armé dans un pays donné. Inversement, un niveau très élevé de la rareté des ressources en eau, cette fois, exacerbe les conflits à hauteur de 21,53 %. Cette étude invite dès lors à prendre plus en compte le rôle de l’agriculture comme rempart contre l’incidence des conflits. Une meilleure gestion des ressources hydriques est tenue pour primordiale dans l’anticipation des hausses de température. Par ailleurs, il serait tout aussi approprié d’intégrer les mesures d’atténuation des crises alimentaires dans la réflexion sur les conséquences du changement climatique, surtout pour les pays les plus vulnérables. Cette estimation de l’effet de l’interaction du climat et de l’agriculture sur les conflits au niveau étatique est une première étape dans l’élaboration de modèles plus précis, intégrant des estimations davantage géo-localisées, à la fois de la violence armée et des variables agro-climatiques.
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Analyse du mal dans le roman Petit Pays de Gaël Faye / Analysis of evil in Gaël Faye's novel Petit Pays

Inamako, Moshak January 2023 (has links)
This paper analyses Gaël Faye's novel, Petit Pays. The focus is on evil in the novel. The research question is how the author denounces the civil war in Rwanda. To do this, the narrative device of focalisation and Hannah Arendt's concept of the banality of evil is used.  Focalisation is the point of view adopted by the author in his narrative to avoid any confusion between the narrative mode (who sees?) and the narrative voice (who speaks?). The banality of evil is a philosophical concept of unprecedented importance because it raises the possibility of the inhuman in all of us. The novel is set against the backdrop of the civil war in Rwanda and told by the narrator, Gabriel, the protagonist a ten-year-old child. The analysis shows that the author denounces Rwanda's civil war by using the focalization, point of view, and sensibility of an innocent boy. Moreover, the concept of the banality of evil helps to understand the crimes committed during the war, that we have studied in several passages of the novel. The result points out that the author shows the atrocity of war in order to denounce it.
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Narrating violence and the nation in Nigeria in the fiction of Anthonia Kalu and Sefi Atta

Zouaghi, Mayssa January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Civil War resolution : the private military industry, asymmetric warfare, and ripeness

Bode, Daisy-Ivy January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'humanitaire en guerre civile : une histoire des opérations de secours au Nigeria-Biafra (1967-1970) / Humanitarianism in civil war : a history of the relief operations in the Nigeria-Biafra conflict (1967-1970)

Desgrandchamps, Marie-Luce 18 December 2014 (has links)
Lors de l’été 1968, des images d’enfants décharnés, souffrant de maladies dues à la malnutrition affluent dans les médias occidentaux. Elles proviennent de la région sud orientale de la Fédération du Nigeria, qui a déclaré son indépendance une année auparavant sous le nom de République du Biafra, où se déroule une guerre civile qui oppose les troupes fédérales aux indépendantistes biafrais. L’émotion suscitée en Occident par les représentations du conflit et de la famine qui l’accompagne engendre la mobilisation de diverses organisations humanitaires, qui mettent sur pied des opérations de secours internationales destinées aux populations civiles. Encore peu étudiées par l’historiographie, la crise du Biafra et les réponses qui y sont apportées par les acteurs occidentaux sont l’objet de cette thèse. La recherche examine tout d’abord comment une guerre civile africaine prend la dimension d’une crise humanitaire internationale. Pour ce faire, elle analyse tant la situation sur place que les acteurs de son internationalisation et ses représentations. Ensuite, afin d’appréhender les opérations de secours dans leur complexité la thèse étudie le processus d’élaboration et le déploiement des réponses occidentales à la crise, ainsi que leur réception au Nigeria dans un contexte post-colonial. Enfin, la thèse questionne les principaux éléments qui ont fait du Biafra un moment charnière de l’histoire de l’humanitaire et met en lumière les reconfigurations des discours et des pratiques de l’aide humanitaire qui s’opèrent à la fin des années 1960. / In the summer of 1968, pictures of emaciated children, suffering from diseases due to malnutrition, poured in western medias. They came from the eastern region of the Federation of Nigeria, which had proclaimed its independence one year before and taken the name of the Republic of Biafra. War and famine that were taking place in the region generated widespread concern in the West, where humanitarian organizations decided to set up international relief operations to help alleviate the suffering of the civilian population. Still understudied by the historiography, the crisis in Biafra and the mobilization of western organizations are the subjects of this PhD. Firstly, the dissertation examines how an African civil war became an international humanitarian crisis. To this purpose, it analyses the situation in the ground, the actors of its internationalization and how it was represented. Secondly, in order to grasp the complexity of humanitarian aid, the dissertation studies the elaboration and the deployment of the relied operations, as well as their reception in Nigeria in a post-colonial context. Finally, the thesis questions why Biafra is usually considered as a turning point in the history of humanitarianism. By so doing, it sheds light on the reconfigurations of the discourses and practices of humanitarian aid that took place in the late 1960’s.
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Littérature engagée : Une nouvelle perspective sur la guerre civile au Nigéria (1967-1970) / Committed Writing : A New Perspective On The Nigerian Civl War (1967-1970)

Goubali Talon, Odile 19 January 2018 (has links)
Le thème de la guerre civile au Nigéria de 1967 à 1970, aussi appelée guerre du Biafra reste un thème majeur de la littérature nigériane. Les évènements qui ont amené au conflit au lendemain de l’indépendance du pays montrent une période post-coloniale encore marquée par les maux de la construction nationale des anciennes colonies que sont le régionalisme, la religion et le problème ethnique. La fin du conflit en 1970 inaugure une ère de mutation des problèmes d’avant la guerre qui perdurent avec la succession des différents régimes au pouvoir. De plus, le conflit devient un sujet tabou à effacer des mémoires autant que de la mémoire collective nigeriane.Après la première vague des écrivains à majorité Igbo qui ont écrit sur le conflit, tels que Chukwuemeka Ike avec Sunset at Dawn (1979), Buchi Emecheta (1983), Chimamanda Ngozi Adichie reprend le thème de cette guerre sans apologie. Cette nouvelle façon d’écrire le sujet de la guerre du Biafra se veut thérapeutique et réconciliatrice.Ce travail analyse le traitement de la guerre du Biafra à travers le prisme de la Déesse Mammy Water, divinité de la cosmologie Igbo. Chimamanda Ngozi Adichie appartient à la communauté Igbo. / The theme of the Nigerian civil war which lasted from 1967 to 1970, also called the Biafra war remains one of the major theme of the nigerian literature. The events that led to the war after the country’s independance point to a post-colonial period where national building is still worked up on along ethnic and religious lines. In 1970, the end of the conflict starts a new era still affected by all the issues that led to the war still visible in the different regimes leading the federation. Moreover, the conflict became a taboo topic that needed to be erased from individual as well as the nigerian collective memory.After the first wave of writers mainly from Igbo descent who wrote about the war such as Chukwuemeka Ike with Sunset at Dawn (1979), Buchi Emecheta (1983), Chimamanda Ngozi Adichie takes up the theme of the war unapologetically. Her way of writing the war ultimately wants to be the therapeutical and inclusive for all nigerians.This study analyzes the Biafran war through the prism of Mammy Water, the water goddess in the Igbo cosmology. Chimamanda Ngozi Adichie belongs to the Igbo community.
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Histoire du football au Liban : à la recherche d’une indépendance / The history of the Lebanese football : a quest for independence

Soutou, Antonio 09 March 2015 (has links)
Libéré de l'occupation Ottomane en fin de première Guerre Mondiale et placé sous mandat français jusqu'à son indépendance en 1943, le Liban va réussir à trouver une stabilité sécuritaire et économique jusqu'en 1975. En effet le 13 avril 1975, le Liban entre dans une longue période de guerre civile durant laquelle la capitale Beyrouth est divisée en deux parties : Beyrouth Est pour les Chrétiens et Beyrouth Ouest pour les Musulmans. L'Accord du Taëf signé en 1990 va mettre fin à cette guerre civile et place le pays sous une tutelle syrienne qui va durer jusqu'à l'assassinat de l'ancien premier ministre Rafic Hariri en 2005. Au moment où l'emplacement géographique du Liban, qui le place au centre du conflit arabo-israélien, vient s'ajouter aux différences inter/intra-communautaires, nous nous demandons dans quelle mesure le développement et l'extension du football, modeste élément de cette grande histoire, en subissent les effets. Nous nous interrogeons plus précisément, comment ce sport s'est-il développé au Liban, quelles institutions ont été impliquées et la spécificité de la situation libanaise autorise-t-elle d'éventuelles comparaisons avec le développement du football ailleurs dans le monde ? Cette thèse, appuyée sur les archives locales, la presse spécialisée et divers entretiens avec des dirigeants et des joueurs libanais, tente de répondre à ces questions en montrant comment, en premier temps, le football va passer d'un sport universitaire à un sport populaire, puis en traçant l'histoire de l'institutionnalisation du football en 1933 et des années de gloire jusqu'à l'éclatement de la guerre civile en 1975. Et en montrant en dernier lieu comment la période de la guerre civile s'inscrit en réalité dans un temps long qui voit le confessionnalisme, c'est-à-dire le partage des pouvoirs en fonction de la communauté confessionnelle, s'imposer au Liban dans tous les secteurs de la société et en montrant comment le Liban va continuer à subir les conséquences de cette guerre / After being liberated from the Ottoman occupation in the end of the First World War and placed under the French mandate until its independence in 1943, Lebanon succeeded to maintain a certain stability on both economic and security levels until the outbreak of the civil war in 1975, and more specifically on April 13 of this year, when Beirut was divided into two clans: the Eastern clan inhabited by Christians and the Western clan inhabited by Muslims. The Taif Agreement (officially, the Document of National Accord) was the document that provided the basis for the ending of the civil war and agreed on the Syrian trusteeship that will last until the assassination of the Prime Minister Rafic Hariri in 2005. Since Lebanon’s geographical location inserts him in the heart of the Israeli Arab conflict and comes along with the inter and intra community differences, we wonder to what extent the development and the expansion of the football, a humble element in this large History, would undergo the effects. We wonder how has this sport developed in Lebanon, which institutions were involved? Does the situation in Lebanon allow such comparisons with the development of football elsewhere in the world? This paper tries to answer these questions thanks to local archives, specialized press and various interviews with Lebanese sport leaders and players. It shows in first place how the football has moved from being a university sport to a popular one, it traces in the second place the history of the football institutionalization in 1993 and during the years of glory until the outbreak of the civil war in 1975. It also shows that the civil war was rooted in reality in a long-term period during which confessionalism, i.e. the share of power based on the belonging to a religion, became the rule in most sectors of the Lebanese society

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