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Gotická móda v českých zemích ve 14. století. Vývoj oděvních prvků v českých zemích v letech 1330 -1410 / Gothic Fashion in the Czech Lands in the 14th Century. Development of Clothing Features in the Czech Lands in the Years 1330 -1410Kuběnová, Veronika January 2015 (has links)
1 ABSTRACT This thesis presents a study of a field of everyday culture - medieval fashion and its development during the reign of Charles IV of Luxembourg and his son Wenceslas in the Czech lands in the years 1330 - 1410. As these fashion trends and changes were exhibited primarily through the clothing of nobility, this thesis focuses exclusively on the environs of the aristocracy and royal court. In addition to written sources and archaeological finds, the fine arts also serve to advance our knowledge of Gothic fashion trends, whose works authentically capture the contemporary clothing styles and changes in all of Europe. This thesis therefore examines, through a methodical analysis, how wall paintings, panel paintings and book illuminations of Czech provenance reflect changes in clothing fashions and tastes in courtly environs during the period of time known as Luxembourg Gothic. This study of primary iconographic sources in authentic historical buildings and galleries was further aided by the creation of an extensive photo archive. This thesis presents a representative sampling of the works from this archive which documents a basic transformation of Czech clothing culture and the creation of a Bohemian style of Gothic fashion, culminating at the turn of the 14th and 15th century and enriching European...
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L’illustration de La Cité de Dieu de saint Augustin, dans sa traduction française par Raoul de Presles, à Paris à la fin du Moyen Âge : les manuscrits attribués à Maître François / Illuminations of Raoul de Presles’ translation of st. Augustine’s City of God, at the end of the Middle Ages : manuscripts attributed to Master FrançoisRuf-Fraissinet, Valérie 02 December 2016 (has links)
La Cité de Dieu, initiée par Charles V et réalisée vers 1375 par Raoul de Presles, est une référence importante à la fin du Moyen Âge. L’iconographie de trois manuscrits illustrés par l’enlumineur parisien Maître François, dans le dernier tiers du XVe siècle (Paris, BnF, fr. 18-19 ; Paris, Bibl. Sainte-Geneviève, ms 246 ; La Haye, Meermanno-Westreenianum Museum 10 A 11 et Nantes, Bibl. munic., ms 8), livre un éclairage particulièrement intéressant sur la manière dont ce texte pouvait être lu. Après un chapitre préliminaire rappelant la place du De civitate Dei dans la pensée médiévale, la première partie analyse comment la première mise en français, assortie de commentaires, infléchit le texte augustinien vers une dimension encyclopédique et politique. Toutefois, sa tradition illustrée, entre 1375 et 1370, révèle les modalités propres de son appropriation par les laïcs. La deuxième partie se focalise sur le corpus. Leur présentation historique et codicologique établie, l’étude s’attache à définir la cohérence du cycle commun aux trois témoins dans un rapport texte et images ; puis à établir le caractère unique du codex La Haye- Nantes dont l’exhaustivité permet d’approfondir la part respective de la traduction et des commentaires, mais aussi d’autres sources textuelles, dans la conception de l’illustration. La troisième partie aborde la question même des procédés mis en œuvre et des modèles utilisés par l’artiste pour réaliser cette imagerie complexe ; et cette analyse permet de déceler l’ascendant du commanditaire dans l’élaboration de l’unicum, ainsi que son appropriation du texte. La Cité de Dieu est alors devenue un emblème, un « miroir du prince » et, de ce fait, la série retenue annonce la fin de tradition illustrée du texte. / The City of God, commissioned by Charles V and completed around 1375 by Raoul de Presles, is an important reference to the late Middle Ages. The iconography of three manuscripts illustrated by the Parisian illuminator Maître François, in the last third of the fifteenth century (Paris, BNF, fr 18-19;. Paris, Bibl Sainte-Geneviève, 246 ms;. The Hague, Meermanno-Westreenianum Museum 10 a 11 and Nantes, Biblio. munic., 8 ms), delivers a particularly interesting light on how this text could be read. After a preliminary chapter recalling the role of the De Civitate Dei in medieval thought, the first part analyzes how the first French translation with matching commentaries inflects the Augustinian text toward an encyclopaedic and political dimension. However its illustrated tradition, between 1375 and 1370, reveals the particular modalities of appropriation by the laity. The second part focuses on the corpus. Their historical and codicological presentation established, the study seeks to define the coherence of the common cycle to the three witnesses in a text and image rapport; and to establish the uniqueness of the codex The Hague-Nantes whose completeness deepens the respective share of the translation and commentaries, but also other textual sources in the design of the illustration .The third part addresses the issue of the processes involved and models used by the artist to realise this complex imaging; and this analysis can detect the influence of the sponsor in the development of the "unicum" and its appropriation of the text. The City of God then became an emblem, a "mirror of the prince" and therefore the chosen series heralds the end of tradition illustrated text
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“Grant peine et grant diligence:” Visualizing the Author in Late Medieval ManuscriptsIacobellis, Lisa Daugherty 12 December 2017 (has links)
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Visualizing apocalypse: image and narration in the tenth-century Gerona Beatus commentary on the apocalypsePoole, Kevin Ray 14 September 2006 (has links)
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Réjouissances monarchiques et joie publique à Paris au XVIIIe siècle : approbation et interrogation du pouvoir politique par l'émotion (1715-1789) / Rejoicings and popular joyfulness : asserting and questioning political power through feelings (1715-1789)Valade, Pauline 03 December 2016 (has links)
Dans la société d’Ancien Régime, les réjouissances monarchiques et les manifestations de joie publique avaient une fonction essentielle pour le pouvoir politique. Leur organisation, ainsi que leur déroulement, démontraient une attention soutenue aux manières d’émerveiller, d’amuser et de susciter des démonstrations de joie parmi la population parisienne. Privée de toute parole politique, celle-ci était néanmoins convoquée pour acclamer et approuver le pouvoir royal et le gouvernement. Toutefois, les réjouissances étaient avant tout un espace de dialogue entre les élites et la population de la capitale parce que cette dernière se réservait le droit de témoigner ou non sa joie, dans le but de critiquer ou d’interroger les vertus du pouvoir politique. Par l’étude des décisions, des modalités de l’organisation et de l’encadrement des réjouissances, il s’agit de comprendre dans quelle mesure le pouvoir monarchique avait besoin des réjouissances pour manifester sa puissance et ses vertus dans un espace public normalisé et contrôlé. Il apparaît alors que se réjouir était un devoir des sujets. L’analyse des moyens mis en œuvre pour réjouir la population permet de rendre compte des perceptions élitaires de la population, strictement réduite à ses capacités sensorielles. L’étude des feux d’artifice, des jets d’argent ou des gestes de charité du pouvoir royal révèle néanmoins un intérêt certain pour s’assurer des acclamations bien calculées. La dernière partie s’interroge sur les manières dont la population répondait aux sollicitations du pouvoir. L’analyse des expériences de la joie publique, des princes aux plus humbles Parisiens, permet de comprendre que l’obéissance n’excluait jamais une appropriation personnelle des événements. Les manifestations officielles de la joie étaient autant des objets de négociations que de détournement, à des fins contestataires ou plus transgressives, surtout dans le dernier tiers du XVIIIe siècle. Ainsi, la culture de l’approbation, inculquée tout au long du siècle, servit paradoxalement une culture de la contestation puisque le devoir de se réjouir était devenu un droit à se réjouir. / In the society of Ancient Regime, the monarchical festivities and public manifestations of joy had an essential function for political power. Their organization and their progress, demonstrated a sustained attention to ways to amaze, amuse and provoke demonstrations of joy among the Parisian population. Deprived of any political speech, this one was convened to applaud and approve the royal power and government. However, the celebrations were primarily a space for dialogue between the elites and the population of the capital because it reserved the right to show or not his joy, in order to criticize or question the virtues of political power. By studying the decisions, rules for the organization and supervision of the festivities, this is to understand how the monarchy needed the festivities to show his power and virtues in a public space under political and police control. It appears that rejoicing was a duty of the subjects. Analysis of the means used to delight the population can reveal the elite perceptions of the population, strictly reduced sensory abilities. The study of fireworks, throwing money or charitable gestures of royal power nevertheless throws new light on interests to ensure well-calculated cheers. The final part examines the ways in which people responded to the demands of power. The analysis of the experiences of the public joy, helps understand that obedience never excluded a personal appropriation of events, for princes to the humblest Parisians. As official events of joy were subjects of negotiations as they were diversion for protester or transgressive purposes, especially in the last third of the eighteenth century. Thus, the culture of assertion, instilled throughout the century, paradoxically served a culture of protest since the duty to cheer became a right to rejoice.
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E Rimbaud se fez RimbaudsSilva, Claudio Everton Martins da 28 March 2010 (has links)
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Previous issue date: 2010-03-28 / Rimbaud, de 16 ? 20 ans, a promu le nouveau des id?es et formes de la
po?sie, en abandonnant la tradition par la recherche de l'inconnu, du nouveau
verbe po?tique o? ?je est un autre? et contient Rimbauds, multiple. Selon cette
perspective, nous limitons la premi?re partie de ce travail, un profil de ce
Rimbauds qui concerne: son ?Adieu? ? la po?sie sous la forme de silence: ?Je
est un autre? - dans laquelle nous avons ?galement parl? du style, l'innovation
et caract?ristiques, la question - projet po?tique?, et, enfin, le mim?tisme
litt?raire de ses premiers po?mes. Dans la seconde partie, on aborde sa
po?sie, en particulier ses deux proses majeures ?Une saison en enfer? et
?Illuminations?. De la Saison, ont fait des consid?rations sur ses proses, les
proses narratives pr?c?dants et les sept proses centrales, dont d?taill?e de la
?Nuit de l'enfer? et illustrent deux caract?ristiques de Rimbaud: ind?cidabilit? et
incompossibilit?. Des ?Illuminations? on a saisi les po?mes Ville et Villes ?I et
II? pour les ?tudier sous l optique du non-lieu. On travaille encore un autre
concept, de la fa?on dont il est pr?sent?, sept fois dans les Proses, la notion de
l Orient :commme il appara?t dans chaque livre, ce qu il signifie et o? Rimbaud a
cherch? ces repr?sentations / Rimbaud, dos 16 aos 20 anos, promoveu o novo de ideias e formas da poesia,
abdicando a tradi??o em busca do desconhecido, do novo verbo po?tico no
qual Eu ? um outro e cont?m o m?ltiplo Rimbauds. De acordo com essa
perspectiva, procuramos circunscrever, na primeira parte deste trabalho, um
perfil desse Rimbauds, abordando: seu Adeus ? poesia em forma de sil?ncio;
Eu ? um outro em que discutimos tamb?m o estilo, as inova??es e
caracter?sticas; a quest?o projeto po?tico?; e, por fim, os mimetismos
liter?rios de seus primeiros poemas. Na segunda parte, direcionamos o olhar
mais atento para a sua po?tica, em especial suas duas prosas m?ximas Uma
estadia no inferno e Ilumina??es . Daquela, tecemos considera??es acerca de
suas prosas, das narrativas precedentes ?s sete prosas centrais; destas,
minuciamos a Noite do inferno e exemplificamos duas grandes caracter?sticas
de Rimbaud: a indecidibilidade e incompossibilidade. De Ilumina??es
destacamos a(s) Cidade(s) sob a ?tica do n?o-lugar. Trabalhamos ainda outro
conceito, da forma como se apresenta, atravessando sete vezes as Prosas, o
conceito de Oriente: como se apresentam em cada livro, o que significa e de
onde Rimbaud buscou essas representa??es
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The Monster In My ClosetNeves, Mariana January 2024 (has links)
In waking life, in dreams. As Leonor attends the last year of catholic school in Leiria, Portugal, a new girl joins the class, and Rita is plagued by visions of a dragon following her relentlessly. The Monster in My Closet is a graphic novel about confronting one’s inner demons against the backdrop of a wider belief system. It depicts a journey of acceptance and realization of one’s queerness while living in a conservative, Catholic city; wrestling with lack of references, teenage insecurities, internalized homophobia, compulsive heterosexuality, and religious upbringing. The comics draw inspiration from medieval illuminations and marginalia, subverting Christian aesthetics by exploring the tension between the Word of God and the margins, insiders and outsiders, heteronormativity and queerness, and the process of othering. / <p>Mariana Neves</p><p>Artist Name: <strong>Mariana Sou</strong></p>
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