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The Effects of Immigrant Status and Ethnicity on the Propensity and Intensity of Informal Care Received in Canada

Ng, Carita 15 August 2012 (has links)
The literature on the effects of race and ethnicity on informal caregiving is sparse and incomplete. Furthermore, most caregiving studies do not control for immigrant status. In the few studies that have analyzed the impact of ethnicity on informal care, ethnicity was categorized as African American, Hispanic, or non-Hispanic White. In Canada, the relationship between informal care and immigrant status and ethnicity needs to be better understood as the country has a growing population of immigrants and individuals who will require informal care in the future. This thesis aims to understand how immigrant status and ethnicity affects the propensity and intensity of care received by using probit and ordinary least squares models. Throughout the thesis, immigrant status was measured as binary variable (0/1) and as year of immigration and region of origin.
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The Effects of Immigrant Status and Ethnicity on the Propensity and Intensity of Informal Care Received in Canada

Ng, Carita 15 August 2012 (has links)
The literature on the effects of race and ethnicity on informal caregiving is sparse and incomplete. Furthermore, most caregiving studies do not control for immigrant status. In the few studies that have analyzed the impact of ethnicity on informal care, ethnicity was categorized as African American, Hispanic, or non-Hispanic White. In Canada, the relationship between informal care and immigrant status and ethnicity needs to be better understood as the country has a growing population of immigrants and individuals who will require informal care in the future. This thesis aims to understand how immigrant status and ethnicity affects the propensity and intensity of care received by using probit and ordinary least squares models. Throughout the thesis, immigrant status was measured as binary variable (0/1) and as year of immigration and region of origin.
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Bullying in a Multicultural Context: The Influences of Race, Immigrant Status, and School Climate on the Incidence of Bullying in Canadian Children and Adolescents

LAROCHETTE, ANNE-CLAIRE 16 September 2009 (has links)
Strong group affiliations based on race have been found in children at a very young age (Aboud, 1988) and may lead to a higher risk of involvement in bullying for certain racial groups. Little research, however, has addressed the relationship among bullying, race, and immigrant status in a Canadian sample. As well, few studies have directly examined racial bullying and victimization. Thus, the two studies in the current project aim to examine race and immigrant status as individual risk factors for bullying involvement, while also examining the individual- and school-level factors associated with racial bullying. In Chapter Two, an empirical examination of the relationship among race, immigrant status, and bullying and victimization in adolescence reveals that racial minority adolescents experience racial bullying. Immigrant status, however, does not appear to predict victimization, but it may be a risk factor for bullying others. In Chapter Three, a multilevel investigation of racial bullying and victimization at the individual and school levels indicates that African-Canadian students are at risk of engaging in both racial bullying and victimization, and that being male is also associated with participation in this type of bullying. At the school level, school climate is not found to account for the differences in racial bullying and victimization across schools, but increased school support is associated with decreased racial bullying in schools with more teacher diversity. Together, the results of the current research clarify the roles of race and immigrant status in bullying and victimization, but these results also raise important concerns and further questions regarding possible interventions in schools for students who engage in racial bullying and racial victimization. / Thesis (Master, Psychology) -- Queen's University, 2009-09-16 12:29:46.885
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Who You Are and Where You Live: Immigrant Status, Context, and Adolescent Problem Behavior

Muccino, Lori A. 10 September 2008 (has links)
No description available.
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La symptomatologie dépressive prénatale : une étude comparative des femmes canadiennes et immigrantes à Montréal.

Miszkurka, Malgorzata 08 1900 (has links)
Contexte : Environ 20 % des femmes enceintes présentent un risque élevé de dépression prénatale. Les femmes immigrantes présentent des symptômes dépressifs élevés pendant la grossesse, le début de la période suivant l'accouchement et comme mères de jeunes enfants. Tandis que les disparités ethniques dans la symptomatologie dépressive pendant la grossesse ont été décrites, la combinaison de la longueur du séjour dans le pays d’accueil et la région d'origine sont rarement évalués dans des études qui portent sur la santé des immigrants au Canada. En outre, les études auprès des femmes immigrantes enceintes ont souvent un échantillon de taille qui ne suffit pas pour démêler les effets de la région d'origine et de la durée du séjour sur la santé mentale. De plus, au Canada, presque une femme sur cinq est un immigrant, mais leur santé mentale au cours de la grossesse, les niveaux d'exposition aux facteurs de risque reconnus pour la dépression prénatale et comment leur exposition et la vulnérabilité face à ces risques se comparent à celles des femmes enceintes nés au Canada, sont peu connus. De plus, le processus d'immigration peut être accompagné de nombreux défis qui augmentent le risque de violence subie par la femme. Néanmoins, les preuves existantes dans la littérature sont contradictoires, surtout en ce qui concerne le type de violence évaluée, les minorités ethniques qui sont considérées et l'inclusion de l'état de santé mentale. Objectifs : Tout d'abord, nous avons comparé la santé mentale de femmes immigrantes et les femmes nées au Canada au cours de la grossesse en tenant compte de la durée du séjour et de la région d'origine, et nous avons évalué le rôle des facteurs socio-économiques et du soutien social dans la symptomatologie dépressive prénatale. Deuxièmement, nous avons examiné la répartition des facteurs de risque contextuels de la symptomatologie dépressive prénatale selon le statut d'immigrant et la durée du séjour au Canada. Nous avons ensuite évalué l'association entre ces facteurs de risque et les symptômes de dépression prénataux et ensuite comparé la vulnérabilité des femmes nés au Canada et les femmes immigrantes à ces facteurs de risque en ce qui concerne les symptômes de la dépression prénatale. En troisième lieu, nous avons décrit la prévalence de la violence pendant la grossesse et examiné l'association entre l'expérience de la violence depuis le début de la grossesse et la prévalence des symptômes de la dépression prénatale, en tenant compte du statut d’immigrant. Méthodes : Les données proviennent de l'étude de Montréal sur les différences socio-économiques en prématurité. Les femmes ont été recrutées lors des examens de routine d'échographie (16 à 20 semaines), lors de la prise du sang (8-12 semaines), ou dans les centres de soins prénatals. L’échelle de dépistage Center for Epidemiologic Studies (CES-D) a été utilisée pour évaluer la symptomatologie dépressive à 24-26 semaines de grossesse chez 1495 immigrantes et 3834 femmes nées au Canada. Les niveaux d'exposition à certains facteurs de risque ont été évalués selon le statut d'immigrant et la durée de séjour à l'aide des tests Chi-2 ou test- t. L'échelle de dépistage Abuse Assessment screen (AAS) a été utilisée pour déterminer la fréquence et la gravité de la violence depuis le début de la grossesse. La relation avec l'agresseur a été également considérée. Toutes les mesures d'association ont été évaluées à l'aide de régressions logistiques multiples. Des termes d'interaction multiplicative furent construits entre chacun des facteurs de risque et statut d'immigrant pour révéler la vulnérabilité différentielle entre les femmes nés au Canada et immigrantes. Résultats : La prévalence des symptômes de dépression prénatales (CES-D > = 16 points) était plus élevée chez les immigrantes (32 % [29,6-34,4]) que chez les femmes nées au Canada (22,8 % (IC 95 % [21.4-24.1]). Des femmes immigrantes présentaient une symptomatologie dépressive élevée indépendamment du temps depuis l'immigration. La région d'origine est un fort indice de la symptomatologie dépressive : les prévalences les plus élevées ont été observées chez les femmes de la région des Caraïbes (45 %), de l’Asie du Sud (43 %), du Maghreb (42 %), de l'Afrique subsaharienne (39 %) et de l’Amérique latine (33 %) comparativement aux femmes nées au Canada (22 %) et celle de l'Asie de l’Est où la prévalence était la plus faible (17 %). La susceptibilité de présenter une dépression prénatale chez les femmes immigrantes était attenuée après l’ajustement pour le manque de soutien social et de l'argent pour les besoins de base. En ce qui concerne la durée du séjour au Canada, les symptômes dépressifs ont augmenté avec le temps chez les femmes d’origines européenne et asiatique du sud-est, diminué chez les femmes venant du Maghreb, de l’Afrique subsaharienne, du Moyen-Orient, et de l’Asie de l'est, et ont varié avec le temps chez les femmes d’origine latine et des Caraïbes. Les femmes immigrantes étaient beaucoup plus exposées que celles nées au Canada à des facteurs de risques contextuels indésirables comme la mésentente conjugale, le manque de soutien social, la pauvreté et l'encombrement au domicile. Au même niveau d'exposition aux facteurs de risque, les femmes nées au Canada ont présenté une plus grande vulnérabilité à des symptômes de la dépression prénatale en l'absence de soutien social (POR = 4,14 IC95 % [2,69 ; 6.37]) tandis que les femmes immigrées ont présentées une plus grande vulnérabilité à des symptômes de la dépression prénatale en absence d'argent pour les besoins de base (POR = 2,98 IC95 % [2.06 ; 4,32]). En ce qui concerne la violence, les menaces constituent le type de la violence le plus souvent rapporté avec 63 % qui ont lieu plus d'une fois. Les femmes immigrantes de long terme ont rapporté la prévalence la plus élevée de tous les types de violence (7,7 %). La violence par le partenaire intime a été la plus fréquemment rapportées (15 %) chez les femmes enceintes les plus pauvres. Des fortes associations ont été obtenues entre la fréquence de la violence (plus d'un épisode) et la symptomatologie dépressive (POR = 5,21 [3,73 ; 7,23] ; ainsi qu’entre la violence par le partenaire intime et la symptomatologie dépressive (POR = 5, 81 [4,19 ; 8,08). Le statut d'immigrant n'a pas modifié les associations entre la violence et la symptomatologie dépressive. Conclusion: Les fréquences élevées des symptômes dépressifs observées mettent en évidence la nécessité d'évaluer l'efficacité des interventions préventives contre la dépression prénatale. La dépression chez les femmes enceintes appartenant à des groupes minoritaires mérite plus d'attention, indépendamment de leur durée de séjour au Canada. Les inégalités d’exposition aux facteurs de risque existent entre les femmes enceintes nées au Canada et immigrantes. Des interventions favorisant la réduction de la pauvreté et l'intégration sociale pourraient réduire le risque de la dépression prénatale. La violence contre les femmes enceintes n'est pas rare au Canada et elle est associée à des symptômes de la dépression prénatale. Ces résultats appuient le développement futur du dépistage périnatal de la violence, de son suivi et d'un système d'aiguillage culturellement ajusté. / Background: Approximately 20% of childbearing women present a high risk of antenatal depression. Immigrant women present high depressive symptoms during pregnancy, the early post-partum period and as mothers of young children. While ethnic disparities in depressive symptomatology during pregnancy have been described abroad, the combination of length of stay and region of origin is rarely assessed in studies of immigrant health in Canada. Also, studies of pregnant immigrant women often have a sample size which is insufficient to disentangle the effect that region of origin and length of stay has on mental health. Moreover, in Canada, almost one in five women is an immigrant, but little is known about immigrant women’s mental health during pregnancy, their levels of exposure to recognized risk factors for antenatal depression, or how their exposure and vulnerability to these risks compares to that of Canadian-born pregnant women. There is also growing awareness that the immigration process may be accompanied by numerous challenges that increase the risk for intimate partner violence. Nevertheless, existing evidence in the literature is conflicting, especially with regard to the type of violence assessed, the extent to which specific immigrant minority populations are considered, and the inclusion of mental health status. Objectives: First, we compared mental health of immigrant and Canadian native-born women during pregnancy according to length of stay and region of origin, and we assessed the role of economics and social support in antenatal depressive symptoms. Second, we examined the distribution of contextual risk factors for antenatal depressive symptoms according to immigrant status and the length of stay in Canada, and assessed the association between these risk factors and antenatal depressive symptoms for Canadian-born and immigrant women, and then compared the vulnerability of Canadian-born and immigrant women to risk factors in relation to antenatal depressive symptoms. Third, we described the prevalence of violence during pregnancy, and examined the association between the experience of violence since the beginning of pregnancy and the prevalence of antenatal depressive symptoms, taking into account immigrant status. Methods: Data originated from the Montreal study on socioeconomic differences in prematurity. Women were recruited at routine ultrasound examinations (16-20 weeks), at antenatal blood sampling (8-12 weeks), or in antenatal care clinics. Using the Center for Epidemiologic Studies Depression scale, 3834 Canadian-born and 1495 immigrant women were evaluated for depression at 24-26 weeks of pregnancy. Levels of exposure to the selected risk factors according to immigrant status and length of stay were assessed using the Chi-square-test or the t-test. The Abuse Assessment Screen scale was used to determine the frequency and severity of violence since the beginning of pregnancy. Relationship with abuser was also considered. All measures of association were assessed using logistic regression. Multiplicative interaction terms were constructed between each of the risk factors and immigrant status to reveal differential vulnerability between Canadian-born and immigrant women. Results: Prevalence of antenatal depressive symptoms (CES-D >=16 points) was higher in immigrants (32% [29.6- 34.4]) than in Canadian-born women (22.8 % IC 95% [21.4- 24.1]). Immigrant women had higher depressive symptomatology independently of time since immigration. Region of origin was a strong predictor of depressive symptomatology: women from the Caribbean (45%), South Asia (43%), Maghreb (42%), Sub-Saharan Africa (39%) and Latin America (33%) had the highest prevalence of depressive symptomatology compared to Canadian-born women (22%) and women form East Asia the lowest (17%). The higher depression odds in immigrant women are attenuated after adjustment for lack of social support and money for basic needs. Time trends of depressive symptoms varied across origins. In relation to length of stay, depressive symptoms increased (European, Southeast Asian), decreased (Maghrebian, Sub-Saharan African, Middle Eastern, East Asian) or fluctuated (Latin American, Caribbean). Immigrant women were significantly more exposed than Canadian-born women to adverse contextual risk factors such as high marital strain, lack of social support, poverty, and crowding. At the same level of exposure to risk factors, Canadian-born women presented higher vulnerability to antenatal depressive symptoms when lacking social support (OR= 4.14 IC95% [2.69;6.37] ) while immigrant women presented higher vulnerability to antenatal depressive symptoms when lacking money for basic needs (OR=2.98 IC95% [2.06;4.32]). Threats were the most frequent type of violence with 63% happening more than once. Long-term immigrant women reported the highest prevalence of all types of violence (7,7%). Intimate partner violence was most frequently reported (15%) among the poorest pregnant women. Strong associations exist between more than one episode of abuse and depression (POR= 5,21 [3,73; 7,23], and intimate partner violence and depression [POR=5,81 [4,19;8,08]. Immigrant status did not change the associations between violence and depression. Conclusion: The observed high frequencies of depressive symptoms highlight the need to evaluate the effectiveness of preventive interventions against antenatal depression. Depression in minority pregnant women deserves more attention, independently of their length of stay in Canada. Important risk factor exposure inequalities exist between Canadian-born and immigrant pregnant women. Social support interventions favouring integration and poverty reduction could reduce the risk of antenatal depression. Violence against pregnant women is not rare in Canada and it is associated with antenatal depressive symptoms. These findings support future development of perinatal screening for violence, follow-up and a culturally sensitive referral system.
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La symptomatologie dépressive prénatale : une étude comparative des femmes canadiennes et immigrantes à Montréal

Miszkurka, Malgorzata 08 1900 (has links)
No description available.
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Statut d’immigrant et tabagisme dans l’étude des inégalités sociales de santé chez les jeunes adultes à Montréal

Tchouaga Tongambou, Zobelle 07 1900 (has links)
No description available.
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La precariedad laboral en inmigrantes en España y su relación con la salud: una aproximación cualitativa

Porthé, Victoria 20 January 2009 (has links)
El denominado proceso de "globalización" ha propiciado nuevos patrones de desarrollo en las relaciones económicas a nivel mundial, que no sólo se han traducido en una nueva organización del trabajo y cambios generales en la producción sino que, a su vez, han modificado las relaciones de poder entre el capital y el trabajo. Como consecuencia de esta profunda reorganización social y económica, la denominada "flexibilización" laboral se ha convertido en una de las características dominantes del mercado laboral que ha tenido diversos efectos negativos para los trabajadores en cuanto a su estabilidad, seguridad laboral, y pérdida de poder. En este contexto, surge la precariedad laboral que ha comportado profundos cambios en el empleo, transformando las relaciones de reproducción social y de las relaciones en el ámbito de la producción, acrecentando la vulnerabilidad de los trabajadores. Al mismo tiempo, la emergencia de la precariedad laboral ha coincidido históricamente con el aumento de los flujos migratorios de carácter principalmente económico.La precariedad laboral no afecta de la misma manera al conjunto de la fuerza de trabajo sino que perjudica especialmente a ciertos grupos vulnerables, entre los que se encuentran los inmigrantes. Así, la precariedad está estrechamente relacionada con los ejes de la desigualdad, que permiten explicar cómo las desigualdades sociales se traducen en distintos niveles de salud. No obstante, existe escasa evidencia que permita entender, con la profundidad suficiente, la relación entre los factores estructurales que configuran la precariedad laboral y su relación con la salud de los trabajadores. Aún menor es la evidencia disponible que analice específicamente la situación de los trabajadores inmigrantes. Esta tesis se propone conocer las características y dimensiones de la precariedad laboral específicas de los trabajadores inmigrantes y analizar su relación con la salud y bienestar de los mismos. Para conseguirlo, propone una metodología cualitativa, con dos orientaciones en el análisis. En una primera parte, el método de análisis utilizado fue la inducción analítica, a partir del marco teórico desarrollado por Amable (2006) sobre la precariedad laboral en asalariados españoles.La segunda parte del análisis es descriptiva e interpretativa siguiendo el método de la teoría fundamentada, utilizado para describir la relación de la precariedad con la salud y bienestar percibidos por los informantes. Los trabajadores inmigrantes caracterizan la precariedad laboral describiendo la elevada inestabilidad del empleo, escaso poder para negociar las condiciones de empleo, indefensión y una intensificación de la carga de trabajo. Perciben también, que sus ingresos son insuficientes para cubrir sus necesidades y que poseen escasos beneficios sociales que limitan su capacidad de ejercer derechos. Los trabajadores en situación irregular, comparten las características descritas de la precariedad, aunque perciben mayor indefensión y peores condiciones laborales. En la relación de la precariedad laboral con la salud, los informantes describieron no sólo problemas sobre su salud general (musculoesqueléticos, problemas alimentación, etc.) sino también problemas como la insatisfacción laboral, estrés, factores psicosociales, malas condiciones de vida y también hábitos poco saludables, como consumo de alcohol y medicamentos.A partir de este estudio hemos observado que la principal diferencia entre el colectivo de trabajadores españoles y el de inmigrantes reside en la extensión de la precariedad laboral. Entre los inmigrantes, la precariedad se presenta en niveles muy altos o incluso extremos, que exceden el ámbito laboral e incluyen aspectos de precariedad social, relacionados a sus condiciones de vida, marginación y exclusión. En el caso de los trabajadores en situación irregular necesariamente entran en la precariedad lo que los ubica como un colectivo muy vulnerable.Finalmente, si se considera que el trabajo es uno de los principales mecanismos de inserción en la sociedad, los inmigrantes que se hallan en situación de precariedad laboral podrían quedar expuestos a una inserción social igualmente precaria. Desde la perspectiva de Salud Pública es necesario considerar que aún y cuando la situación de la inmigración represente un impacto pequeño sobre la salud de los trabajadores, la magnitud de la inmigración a nivel mundial es muy elevada, por lo que el potencial impacto que ésta podría tener sobre la salud global de la población podría ser enorme.
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Interethnic conjugal unions among 1.5 and 2nd generations of Arab Canadians

Hassin, Fatima 12 1900 (has links)
Dans cette étude, j’examine la propension à former une union interethnique parmi les Canadiens arabes de seconde génération et de génération 1.5 en utilisant les données du recensement canadien de 2016. L’analyse descriptive montre que les unions interethniques sont fréquentes au sein de cette population. Environ la moitié des hommes (56%) et des femmes (49%) sont dans une union interethnique avec une personne non-Arabe d’origine immigrante ou un(e) Canadien(ne) de troisième génération ou des générations suivantes. La régression logistique multinomiale révèle que les hommes et les femmes avec un niveau d’éducation plus élevé, une ascendance partiellement arabe et un statut d’immigrant de deuxième génération sont significativement plus enclins à être en union interethnique qu’à être en union intraethnique avec un immigrant de première génération. Conformément à la théorie de l’assimilation segmentée, ces résultats suggèrent que l’intégration socioéconomique et l’acculturation contribuent à la propension des descendants arabes à former des unions avec des individus non-arabes. La propension des descendants arabes à être en union intraethnique avec des immigrants de première génération ou des descendants est aussi une problématique dont je discute. / In this study, I examine the propensity to form interethnic unions among the 1.5 and second generations of Arab Canadians using the 2016 Canadian census data. The descriptive analysis shows that interethnic unions are common within this population. About half the men (56%) and the women (49%) are in an interethnic union with a non-Arab person with an immigrant background or a Canadian of third generation or subsequent generations. The multinomial logistic regression reveals that men and women with higher educational attainment, part Arab ancestry and second-generation immigrant status are significantly more prone to be in an interethnic union than in an intraethnic union with a first-generation immigrant. In accordance with the segmented assimilation theory, these results suggest that socioeconomic integration and acculturation contribute to the propensity of Arab descendants to form unions with non-Arab individuals. The propensity of Arab descendants to be in intraethnic unions with first generation-immigrants or with descendants of immigrants (1.5 and second generations) is also discussed in this thesis.
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Immigrants, work and health: a qualitative study

Ahonen, Emily 17 April 2009 (has links)
Este estudio cualitativo, exploratorio y descriptivo en cinco ciudades examina las condiciones de trabajo, los riesgos, los factores influyentes y los efectos en salud experimentados por trabajadores inmigrantes en España. Se diseñó una muestra por criterio.El tamaño de la muestra final de 158 hombres y mujeres documentados e indocumentados se determinó por saturación del discurso. Los datos fueron recogidos entre septiembre del 2006 y mayo de 2007 mediante entrevistas individuales y grupos focales, ambos semiestructurados y con un guión de temas. Se empleó un análisis narrativo del contenido, siguiendo un esquema de generación mixta. Los datos muestran una exposición frecuente a una variedad de riesgos laborales, horas largas de trabajo y pocos días de descanso, además de prácticas discriminatorias en cuanto a la asignación de tareas. Los informantes carecían de formación en seguridad laboral y de experiencia en sus puestos de trabajo. La mayoría tenía poco control sobre su ambiente de trabajo. Finalmente, relataron abusos en términos de sus condiciones de empleo. Los efectos en salud relatados cubrían un rango, desde la experiencia o el miedo de sufrir lesiones agudas, lesiones de estrés crónico, problemas respiratorios y dermatológicos, la acumulación de fatiga, afectaciones del sueño, síntomas somáticos y síntomas de salud psicológica pobre tales como ansiedad y depresión. Se examinan las diferencias halladas por estatus administrativo y género. Estos resultados no dejan lugar a duda en cuanto a la necesidad de mejorar el apoyo a los inmigrantes trabajadores. También son necesarios mejores datos y vigilancia a la salud de esta población como elementos centrales de tal apoyo. Se discuten áreas específcas que requieren más atención desde la investigación y la polítca. / This qualitative, exploratory and descriptive study in five cities examines the working conditions, hazards, influencing factors and effects on health experienced by immigrant workers in Spain. A criterion sample was designed. The final sample of 158 documented and undocumented immigrant men and women was determined by saturation of the discourse. Data were collected between September 2006 and May 2007 through semistructured individual interviews and focus groups, using a topic guide. We employed narrative content analysis to examine data according to a mixed-generation scheme. The data demonstrated widespread exposure to a variety of occupational hazards, long work hours, and few days off, as well as discriminatory assignation of tasks. Informants lacked worker safety training, appropriate personal protective equipment, and experience in current jobs.Most had very little control over elements of their work environment. Finally, informants reported abuses in terms of employment conditions. Health effects reported ranged from the experience or fear of acute injuries, to chronic strain injuries, respiratory and dermatologic responses, to the accumulation of fatigue, sleep affectations, somatic symptoms, and mental health concerns such as anxiety and depressive mood. Differences by documentation status and gender are discussed. These results leave little doubt about the need for better outreach and support for immigrant workers in Spain. Better data collection and surveillance of this worker population is a centrally necessary element of stronger immigrant worker support. Specific areas in need of more study and policy consideration are discussed.

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