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Rythme veille-sommeil et dimensions cliniques dans le trouble de personnalité limite à l’adolescence

Huynh, Christophe 06 1900 (has links)
Cette thèse examine le rythme veille-sommeil et son association avec l’instabilité émotionnelle, l’agressivité et l’impulsivité dans le trouble de personnalité limite (TPL) à l’adolescence. Dans un premier temps, la revue de la littérature sur les perturbations objectives du sommeil dans le TPL a mis en lumière plusieurs difficultés similaires, évaluées par polysomnographie, à celles observées dans la dépression adulte. De 1980 à 2010, aucune recherche n’a examiné le rythme veille-sommeil, aucune n’a étudié les adolescents TPL et plusieurs n’ont pas contrôlé l’état dépressif comme facteur de confusion. De ce constat, il s’avérait pertinent de mener une étude sur le rythme veille-sommeil dans le TPL à l’adolescence en l’absence de dépression co-occurrente. L’adolescence comportant plusieurs caractéristiques physiologiques, psychologiques et sociales, tenir compte des aspects développementaux était essentiel. Dans un second temps, un protocole de recherche fût mis en place à la Clinique des troubles de l’humeur et le recrutement a été réalisé auprès d’adolescents souffrant d’un TPL et sans état dépressif actuel. Ils devaient porter pendant plus de neuf jours (période comprenant deux fins de semaine) un actigraphe, appareil non invasif évaluant l’alternance veille-sommeil dans l’environnement naturel. L’abandon précoce au traitement étant prévalent chez les patients TPL, la fiabilité de l’étude a été examinée afin de déterminer les raisons favorisant et celles nuisant au recrutement et à la collecte des données. La réflexion sur les aspects méthodologiques de l’étude actigraphique a permis d’expliquer les limites de ce type de protocole. Dans un troisième temps, le rythme veille-sommeil des adolescents TPL (n=18) a été caractérisé et comparé à celui des jeunes ayant un trouble bipolaire (n=6), trouble psychiatrique partageant plusieurs manifestations communes avec le TPL, et à celui des adolescents sans trouble de santé mentale (n=20). Les résultats suggèrent que l’adolescent TPL passe plus de temps en éveil durant la période de repos que les jeunes appartenant aux deux autres groupes. De plus, les adolescents TPL présentent une plus grande variabilité inter journalière des heures de lever et du temps total de sommeil que les autres adolescents. Ils se réveillent une heure de plus, et dorment donc une heure supplémentaire, que les adolescents sans trouble mental lors des journées sans routine. Dans un quatrième temps, les analyses corrélationnelles entre les données actigraphiques et les scores aux questionnaires auto-rapportés évaluant l’instabilité émotionnelle, l’agressivité et l’impulsivité suggèrent que plus l’adolescent TPL passe du temps éveillé alors qu’il est au lit, plus il déclare présenter des comportements agressifs, surtout physiques, durant le jour. En résumé, cette thèse contribue à la littérature scientifique en explorant pour la première fois le rythme veille-sommeil et son lien avec les manifestations symptomatiques dans le TPL à l’adolescence. Les résultats suggèrent fortement l’importance d’évaluer et de traiter les problèmes du rythme veille-sommeil que présentent ces jeunes lors de la prise en charge. / This dissertation examines sleep-wake patterns and their associations with emotional instability, aggressiveness, and impulsivity in adolescents with Borderline Personality Disorder (BPD). First, a literature review showed in BPD adults similar objective sleep disturbances, as assessed with polysomnography, to those observed in adult depression. Between 1980 and 2010, no study has examined sleep-wake patterns, none has recruited BPD adolescents, and many did not control depression as a confounding factor. Considering these limitations, it became relevant to conduct a study on sleep-wake patterns in euthymic adolescents with BPD. Having a developmental perspective in mind is crucial since adolescence presents many physiological, psychological and social characteristics. Second, a research protocol was set up at the Mood Disorders Clinic. Adolescents with BPD and without current depression were recruited. They wore for nine days or more (period covering two weekends) an actigraph, a non-invasive device assessing ecologically sleep-wake patterns. Because treatment dropout is highly prevalent in BPD adolescents, study feasibility was examined to determine the reasons promoting and those interfering with recruitment and data collection. Reflections on methodological aspects of this study allowed explaining the limits of this type of research protocol. Third, sleep-wake patterns in BPD adolescents (n=18) was characterised. They were compared to youth with Bipolar Disorder (n=6), a mental disorder sharing many common manifestations with BPD, and to adolescents without mental disorder (n=20). Results suggest that BPD adolescents spend more time awake during the rest interval than teenagers from the two other groups. Furthermore, BPD adolescents present higher interdaily variability for rising time and total sleep time than the other adolescents. They wake up an hour later, therefore sleeping one more hour, than adolescents without mental disorder on schedule-free days. Fourth, correlation analyses between actigraphy data and self-report questionnaire scores assessing emotional instability, aggressiveness, and impulsivity suggest that time spent awake during time in bed is associated with more daily physical aggressiveness in BPD adolescents. To summarise, this dissertation adds to the current scientific literature by exploring for the first time sleep-wake patterns and its associations with symptomatic manifestations of BPD in adolescents. From these results, it is highly recommended to assess and treat their sleep-wake disturbances during their therapeutic care.
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L'usage de cannabis et l'insécurité routière : étude par questionnaires et observations sur simulateur de conduite

Richer, Isabelle January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le rôle des symptômes d'hyperactivité- impulsivité dans la performance à une tâche de pointage manuel : quel rôle pour l'inattention?

Noué, Patrick 05 1900 (has links)
Une évaluation du nombre de symptômes d'hyperactivité-impulsivité et d'inattention a été faite sur 277 jumeaux au moyen d'une entrevue semi-structurée administré aux parents, basée sur une échelle validée et communément admise, et une tâche de pointage a été demandée à chacun d'eux. La tâche de pointage a été effectuée avec chaque main successivement vers une cible dont la position à 135° ou à 45° était déterminée aléatoirement. Les tracés ont été classés en trois catégories selon le type de la première correction volontaire qu'ils présentaient sur leurs profils cinématiques : absence de correction, correction de position, correction dynamique. Ce projet veut caractériser la relation entre le taux de chaque type de correction et le nombre de symptômes de TDAH chez une population d'enfants ne répondant majoritairement pas à un diagnostic clinique de TDAH. Il a été montré que la présence de corrections de position était fréquemment corrélée à la présence de symptômes d'hyperactivité-impulsivité, mais pas, ou rarement, de symptômes d'inattention. D'autre part, il a été aussi remarqué que le taux de correction augmentait significativement lorsque le mouvement de pointage était effectué de la main gauche, sans égard à la dominance manuelle du sujet. Le premier résultat n'était pas attendu, étant donné la littérature relativement épaisse montrant un lien entre l'inattention et les problèmes de coordination motrice. Le second résultat, par contre, laisse entendre que la différenciation fonctionnelle hémisphérique d'un point de vue de contrôle attentionnel, ou de la motricité de la main gauche, serait affectée par le TDAH. / Symptoms linked to ADHD were assessed on 277 twins according to the commonly recognized dimensions formed by hyperactivity-impulsivity and inattention. A semi-structured interview administered to parents was used for the assessment. Subjects were asked to perform a pointing task. Left and right hands were tested in turn, and to reach a target placed either at 135° or 45°. Order of appearance was randomly determined. All traces were categorized according to the first voluntary correction as shown in their kinematic profiles : no correction, position correction, and dynamic correction. This project proposes to characterize the link between each correction type frequency and hyperactivity-impulsivity and inattention symptoms. The population studied was mostly subclinical and did not reach ADHD diagnosis criteria. Position corrections were shown to be correlated quite reliably to hyperactivity- impulsivity symptoms, but not to inattention symptoms. Deficits were most reliably linked with left hand use. The first result was unexpected considering abundant literature confirming the link between inattention and fine motor deficits, but the second one is more in line with a less exploited hypothesis stating that hemispherical functional differentiation related to control of the hand, or control of attention is affected by ADHD. / L'intégralité de ce projet a été réalisé à l'aide de logiciels sous licence libre.
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De la sensibilité différentielle à la diathèse-stress dans la prédiction de la consommation de substances à l’adolescence : interactions entre l’environnement familial et le tempérament au cours du développement

Rioux, Charlie 02 1900 (has links)
No description available.
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La résistance à l’interférence proactive en situation de rejet social et le rôle de la propension au clivage

Saleh, Gasser 08 1900 (has links)
Le clivage est un mécanisme de défense dans lequel les représentations positives et négatives de soi-même et d’autrui sont séparées afin d’éviter de ressentir l’anxiété. Les stresseurs interpersonnels provoqueraient des comportements impulsifs chez les individus ayant une propension au clivage élevée. Ceci dit, les processus cognitifs associés à la propension au clivage sont inconnus. La capacité de résistance à l’interférence proactive est la capacité de résister à l’intrusion en mémoire de travail de pensées impertinentes pour la tâche en cours. Ainsi, cette capacité pourrait jouer un rôle important dans la gestion de représentations et être diminuée par les stresseurs de nature interpersonnelle. La présente étude avait pour but de vérifier l’hypothèse voulant que la résistance à l’interférence proactive diminue dans une condition d’exclusion sociale et que cet effet soit augmenté par la propension au clivage. L’échantillon comprenait 131 individus provenant d’une population non-clinique. D’abord, ils ont complété un questionnaire mesurant la propension au clivage. Ensuite, ils ont été assignés aléatoirement à une condition soit d’exclusion sociale, soit d’inclusion sociale. Finalement, ils ont effectué une tâche de résistance à l’interférence proactive. Dans la condition d’exclusion, les participants commettent davantage d’erreurs sur les cibles négatives non récentes que sur les cibles négatives récentes à la tâche de résistance à l’interférence proactive. Aucune interaction n’a été obtenue entre la propension au clivage et les conditions sociales. Conséquemment, les processus cognitifs associés à la propension au clivage demeurent inconnus, mais des pistes d’explication sont explorées du point de vue méthodologique pour les recherches futures. / Splitting refers to a defense mechanism by which the positively and negatively charged representations of self and others are separated in order to protect oneself from several anxiety. Interpersonal stresses play a major role in triggering impulsive behaviors among individuals with a high splitting usage. However, the cognitive processes associated with the usage of splitting are unknown. Resistance to proactive interference is the ability to resist memory intrusions from irrelevant previously learned information. This cognitive ability might, thus, play an important role in regulating representations and be decreased by interpersonal stress. It is hypothesized that the resistance to proactive interference would decrease during social exclusion and this effect would be function of splitting use frequency. The sample consisted of 131 nonclinical individuals from student and general population. They completed a self-report splitting questionnaire. Then, they were randomly assigned to rejection or inclusion conditions on an interpersonal task. Finally, they performed a resistance to proactive interference task. In the rejection condition, the error rate on negative probes trials was higher than recent negative probes trials. Splitting usage did not interact with social condition in predicting the error rate in the resistance to proactive interference task. Consequently, the cognitive processes associated to splitting usage remain unknown but explanations are explored in a methodological view for future researches.
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Étude exploratoire sur les effets de l’impulsivité et de l’incertitude sur les performances d’apprentissage et de renversement de l’apprentissage chez l’humain

Richard-Dionne, Étienne 12 1900 (has links)
Les individus diffèrent les uns des autres dans leur manière générale de se comporter au fil du temps et entre les contextes, ainsi que dans leur habileté à ajuster leurs comportements lorsqu’un changement environnemental survient. Encore aujourd’hui, les causes proximales et ultimes de ces différences ne sont pas bien comprises. Certains défendent que différents compromis de risque liant les types comportementaux rapide/proactif-lent/réactif aux styles cognitifs rapide/inflexible-exact/flexible pourraient en partie expliquer le maintien de ces différences. Toutefois, il semble y avoir des écarts dans la littérature quant à l’existence et la nature d’un tel compromis vitesse-exactitude. Une explication serait que ce genre de relations entre la personnalité et la cognition peuvent être modérées par différents facteurs. Ici, nous explorons la possibilité que l’impulsivité d’action, l’impulsivité de choix et l’incertitude attendue interagissent sur les performances d’apprentissage et de renversement de l’apprentissage chez l’humain. Pour évaluer leur impulsivité, les participants devaient remplir le questionnaire d’impulsivité de Barratt et effectuer une tâche de signal de stop ainsi qu’une tâche de dévaluation temporelle expérientielle. Puis, leurs performances d’apprentissage et de renversement de l’apprentissage ont été mesurées avec une nouvelle tâche de renversement de l’apprentissage, sous différents niveaux d’incertitude attendue. Les résultats démontrent que les patrons de performances d’apprentissage et de renversement de l’apprentissage associés à l’impulsivité d’action dépendent de l’incertitude attendue et de l’impulsivité de choix. Ils appuient également l’idée que l’impulsivité ne serait pas inadaptée per se, ce qui pourrait en partie expliquer le maintien des différences interindividuelles d’impulsivité et de flexibilité. / Individuals differ in how they each generally behave across time and contexts, as well as in their ability to acquire new information, and flexibly adjust their behavioral responses when a change in contingencies occurs. Still today, the proximal and ultimate causes of these differences are not well understood. In recent years, some advocate that divergent risk-reward trade-offs linking fast/proactive-slow/reactive behavioral types to fast/inflexible-accurate/flexible cognitive styles could partly explain the maintenance of these differences. However, it seems that there is a discrepancy in the literature about the existence and nature of such a speed-accuracy trade-off. One explanation could be that the link between personality and cognition is moderated by different factors. Thus, we propose here an exploratory study on how impulsive actions, impulsive choices, and expected uncertainty may interact altogether on learning and reversal learning performances in humans. To assess their impulsivity, participants had to fill out the Barratt impulsiveness scale questionnaire and to complete both a stop signal task and an experiential discounting task. Then, their learning and reversal learning performances were measured in a new reversal learning task, under different levels of reinforcer uncertainty. Results show that learning and reversal learning performances patterns linked to action impulsivity depend on expected uncertainty and choice impulsivity. In addition, they also support the idea that these dimensions of impulsivity are not maladaptive per se, which may provide another line of explanation for the maintenance of variation in impulsivities and flexibility.
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Les liens entre l’impulsivité et la coercition sexuelle : les apports d’un modèle multidimensionnel et de tâches comportementales

Carrier Emond, Fannie 09 1900 (has links)
No description available.
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Consommation de cannabis, impulsivité et comportements routiers à risque chez les jeunes conducteurs

Cordelier, Noémie 04 1900 (has links)
Malgré de nombreux efforts de prévention, les jeunes conducteurs sont surreprésentés dans les accidents routiers. Certaines études ont visé à mettre en évidence les facteurs pouvant influencer les jeunes conducteurs à adopter des comportements risqués. La consommation de cannabis et l’impulsivité ont été identifiées comme des facteurs importants. L’objectif de cette thèse vise à mieux comprendre les liens entre la consommation de cannabis et les comportements routiers risqués, tout en tenant compte de l’impulsivité. Pour ce faire, cette thèse se divise en deux articles. Le premier article vise à vérifier si la fréquence de consommation de cannabis prédit la prise de risque des jeunes conducteurs au-delà de l’effet de leur impulsivité. 209 participants âgés de 17 à 25 ans ont rempli des questionnaires sur leurs comportements routiers, leur impulsivité, et leur fréquence de consommation de cannabis. Les résultats montrent que la fréquence de consommation de cannabis prédit la prise de risque des jeunes conducteurs au-delà de l’effet de l’impulsivité. De plus, l’urgence positive est la seule facette de l’impulsivité qui prédit la prise de risque, indépendamment des habitudes de consommation. Plusieurs hypothèses pouvant expliquer ces résultats ont été proposées dont une qui nous semblait particulièrement pertinente : la probabilité de prendre le volant après avoir consommé est plus élevée dans le cas d’une consommation plus fréquente, ainsi l’effet direct de la substance pourrait expliquer les comportements risqués. C’est pourquoi dans notre deuxième étude, nous avons voulu vérifier si la consommation de cannabis était associée aux comportements risqués même lorsque le consommateur n’est pas sous l’effet du cannabis. Comme une consommation fréquente peut être symptomatique d’un trouble d’utilisation du cannabis (TUC), nous avons voulu vérifier son impact sur les comportements risqués. Le deuxième article compare donc un groupe de consommateurs ayant un TUC avec un groupe n’en ayant pas sur des comportements risqués tout en tenant compte de leur impulsivité. Pour ce faire, 76 participants masculins, consommateurs de cannabis, âgés de 18 à 25 ans, ont complété une tâche de simulation de conduite ainsi qu’une tâche stop-signal, s’étant abstenus de 6 consommer du cannabis dans les 12 heures précédant l’expérimentation. Ils ont aussi rempli des questionnaires sur les habitudes de consommation de cannabis, les traits d’impulsivité et la prise de risque. Les consommateurs ayant un TUC ont manifesté plus de comportements risqués dans le simulateur que ceux n’en ayant pas, quel que soit leur niveau d’impulsivité et sans être sous l’effet de la substance. Plusieurs explications ont été proposées : difficulté d’adaptation à la conduite sans l’effet de la substance; présence d’une autre variable confondante que l’impulsivité sous-jacente à la consommation et aux comportements risqués; effet résiduel de la substance, non détecté par la tâche stop-signal, qui influencerait les comportements routiers. En résumé, il ressort de cette thèse que la consommation de cannabis est un facteur contribuant aux comportements risqués des jeunes conducteurs, et ce indépendamment de l’impulsivité. De plus, les consommateurs ne constituent pas un groupe homogène, d’où la pertinence de cibler particulièrement les consommateurs problématiques dans les campagnes de prévention. / Despite many prevention efforts, young drivers are overrepresented in road crashes. Some studies show that cannabis use and impulsivity are significant predictors of risky driving behaviour among young drivers. The aim of this thesis is to better understand the association between cannabis use and risky driving behaviour, while considering the driver’s impulsivity. For this purpose, this thesis is divided into two articles. The first article aims to verify whether the frequency of cannabis use predicts risk-taking over and above the impulsivity traits of young drivers. 209 participants aged between 17 and 25 completed questionnaires on their driving behaviours, impulsivity, and frequency of cannabis use. Results show that the frequency of cannabis use is a significant predictor of risky driving over and above the five impulsivity traits. Furthermore, positive urgency is the only impulsivity trait which predicts risky driving, regardless of the frequency of cannabis use. Several explanations of these results are proposed, including one we found particularly relevant: the probability of driving under the influence is higher with more frequent use, so the substance effects could explain risky driving behaviour. Therefore, in our second study, we wanted to test whether cannabis use was associated with risky driving behaviour even if the user was not driving under the influence. Moreover, since frequent use can be symptomatic of a cannabis use disorder (CUD), we wanted to verify its impact on risky behaviours. The second article, therefore, compares two groups of cannabis users (with or without CUD) on several driving behaviours, while considering their impulsivity. A sample of 76 male participants, cannabis users, aged 18 to 25, completed a driving simulation task and a stop-signal task, abstaining from cannabis use in the 12 hours preceding the experiment. They also completed questionnaires about their cannabis use patterns, impulsivity traits and risk-taking. Results show that users with a CUD displayed more risky behaviours in the simulator than users without a CUD, regardless of their impulsivity level and without being under the effects of the substance. Several explanations have been proposed: difficulty adjusting to driving without the influence of the substance for users with a CUD; presence of a confounding variable different from the impulsivity; or residual effects of cannabis, not detected by the stop-signal task. In summary, this thesis emphasizes that cannabis use is a contributing factor to young drivers’ risky behaviours, regardless of their impulsivity. Moreover, cannabis users are not a homogeneous group, which is why it is important to specifically target problematic users in prevention campaigns.
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Impacts fonctionnels diurnes et corrélats psychopathologiques dans le somnambulisme adulte

Labelle, Marc-Antoine 12 1900 (has links)
No description available.
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L’inadaptation socio-affective des élèves hyperactifs-impulsifs-inattentifs lors de la transition primaire-secondaire : effet modérateur de l’agressivité-opposition

Langlois, Jessika 06 1900 (has links)
La transition primaire-secondaire est un événement qui occasionne beaucoup de stress aux élèves qui vivent en même temps une multitude de stresseurs biopsychosociaux, mais également environnementaux. Pour les élèves qui présentent des problèmes extériorisés, notamment des comportements d'hyperactivité, d'impulsivité et d'inattention (HII), la transition peut augmenter les risques d'inadaptation socio-affective (anxiété, dépression, isolement social, victimisation). Cette étude se penche sur le lien entre la présence de comportements d’HII en 4e et en 6e année, et l'inadaptation socio-affective en secondaire 1, en y incluant le rôle modérateur de l'agressivité-opposition. La présente étude compte 1 490 jeunes ayant participé à l'Étude longitudinale sur le développement des enfants québécois (ELDEQ) à 10 (4e année), 12 (6e année) et 13 ans (secondaire 1), comprenant 47,8% de garçons. Les résultats des régressions linéaires hiérarchiques suggèrent que les jeunes HII-élevé présenteraient une augmentation significative, comparativement à leurs pairs HII-faible, des problèmes sociaux, dont de la victimisation et de l'isolement social, lors de la transition au secondaire. Pour les élèves agressifs-oppositionnels, ceux-ci auraient davantage de symptômes anxieux et dépressifs et se disent être plus souvent victimisés. Un effet additif, mais non de modération, peut être observé uniquement pour la victimisation, suggérant que les élèves présentant de façon cooccurrente des comportements d'HII et d'agressivité-opposition, rapportent davantage de victimisation. Les résultats de cette étude soulignent l’importance d’adapter les façons de faire afin de rendre la transition au secondaire plus adaptée aux besoins des jeunes présentant des problèmes extériorisés. / The transition from elementary to secondary school is an event that causes a lot of stress for students who simultaneously experience a multitude of biopsychosocial and environmental changes. For students with externalizing problems, including hyperactive, impulsive and inattentive (HII) behaviors, this transition can increase the risk of socio-emotional adjustment difficulties (i.e., anxiety, depression, social isolation, victimization). This study aims to examine the link between the presence of HII in grade 4 and 6, and student socio-emotional maladjustment in secondary 1, including the moderating role of aggressiveness-opposition. The sample comprises 1,490 youth aged 10 (grade 4), 12 (grade 6), and 13 years old (grade 7), including 47,8 % boys, who participated to the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD). The results of the hierarchical linear regressions suggest that youth with HII exhibit a significant increase in social problems, including social isolation and victimization during the transition to high school as compared to their low-HII peers. Aggressive-oppositional behaviors were also associated with higher levels of emotional (i.e., anxiety and depression) and social (i.e., victimization) problems. Although we did not identify the expected moderation effect, we found an additive role of HII and aggressiveness-opposition such that youths presenting both problems experienced more victimization. The results of this study highlight the importance of adapting interventions to youth’s unique adjustment characteristics in order to ensure a positive transition to secondary school more suited to the needs of young HII.

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