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Efficacité d'un auto-traitement pour l'insomnie

Beaulieu-Bonneau, Simon 07 May 2021 (has links)
À Cette étude évalue l’efficacité d’une intervention minimale pour l’insomnie prenant la forme d’un auto-traitement cognitivo-comportemental. Cent quatre-vingt-douze participants avec insomnie et provenant d’une étude épidémiologique ont été assignés aléatoirement à une condition d’auto-traitement ou à une condition contrôle sans traitement. Le traitement consistait en six modules, chacun couvrant un aspect essentiel du traitement cognitivo-comportemental de l’insomnie, envoyés par la poste de façon hebdomadaire. Les participants des deux groupes ont complété des agendas du sommeil et des questionnaires avant, immédiatement après et six mois après le traitement. Les résultats ont démontré une amélioration significative sur plusieurs variables reliées au sommeil pour le groupe traitement, alors que le groupe contrôle est demeuré inchangé. Les changements se sont maintenus au suivi de six mois pour le groupe traitement. Bien que les changements aient été modestes de façon générale, un nombre significativement plus élevé de participants du groupe traitement ont eu une amélioration cliniquement significative de leur sommeil. L’appréciation du traitement, l’observance des procédures et les prédicteurs potentiels du changement ont également été évalués. Les résultats de cette étude documentent les bienfaits d’une intervention minimale chez un échantillon hétérogène de personnes souffrant d’insomnie. / This study investigated the effects of a cognitive-behavioral self-help intervention for insomnia. Participants were 192 adults with insomnia randomly selected from a larger epidemiological study. They were randomized to either a self-help treatment condition or a no-treatment control condition. The treatment consisted of six booklets, each covering a component of cognitive behavior therapy, mailed weekly. All participants kept a daily sleep diary for two weeks and completed several measures before, after treatment, and for a six-month follow-up. Results showed significant improvements on many sleep-related variables for the treatment condition, while the control group remained stable. Changes were maintained at follow-up. Although improvements were generally modest, there were more participants with a clinically significant sleep improvement in the treatment group than in the control group. Treatment satisfaction and compliance, as well as potential predictors of sleep changes were also assessed. These results document the benefits of a minimal intervention for insomnia with an heterogeneous sample of insomnia sufferers.
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Analyse coût-bénéfice de la thérapie cognitive-comportementale de l'insomnie

Hudon, Olivier 22 November 2018 (has links)
L’insomnie, en plus d’être invalidante pour les personnes qui en souffrent, peut engendrer des coûts pour la société. Le traitement de l’insomnie pourrait donc s’avérer rentable en diminuant les coûts associés à cette problématique. Le présent mémoire rapporte une analyse coût-bénéfice de la thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie (TCC-I). Une base de données recueillies entre 2002 et 2005 a été utilisée pour effectuer cette étude. Les résultats de 74 participants ayant complété six séances de TCC-I ont été analysés, afin d’observer si la rémission de l’insomnie pouvait engendrer une diminution de l’utilisation des soins de santé, du nombre d’absences au travail et de la consommation de médicaments pour dormir. L’objectif de l’étude était d’évaluer si la TCC-I pouvait engendrer une réduction des coûts associés à l’insomnie plus élevés que les coûts de la TCC-I, démontrant que le traitement est bénéfique monétairement chez les participants en rémission. Les analyses statistiques ont démontré que les personnes en rémission rapportaient significativement moins de consultations chez un professionnel de la santé et d’absences au travail attribuables à l’insomnie. Lorsqu’une valeur monétaire était attribuée aux variables de l’étude, les dépenses associées au groupe non-rémission totalisaient 1495 $, comparé à 744 $ pour le groupe rémission, ce qui représentait une différence de coûts de 751 $. Prenant en considération que les coûts d’une TCCI étaient estimés à 490 $, une économie de 261 $ était observée trois ans après la fin du traitement chez les personnes ayant atteint une rémission de leur insomnie. Les résultats de cette étude démontrent donc que la TCC-I peut s’avérer rentable à long-terme chez les participants ayant atteint une rémission.
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Évaluation d'une bibliothérapie de l'insomnie avec sevrage des hypnotiques assisté chez des adultes souffrant d'insomnie

Belleville, Geneviève 12 April 2018 (has links)
Cette thèse doctorale vise l’évaluation d’une intervention minimale de sevrage chez des utilisateurs réguliers d’hypnotiques. Les résultats d’un essai clinique randomisé incluant 53 utilisateurs chroniques d’hypnotiques souffrant d’insomnie ont montré qu’une intervention brève guidant l’individu dans l’arrêt graduel de sa médication hypnotique est efficace pour cesser l’emploi de cette médication. L’addition d’une bibliothérapie résumant des recommandations psychoéducatives, comportementales et cognitives de gestion du sommeil, une modalité de traitement facilement accessible et relativement peu coûteuse, produit des améliorations significatives du sommeil. Par ailleurs, une diminution de l’insomnie et de la détresse psychologique, une amélioration de la santé perçue et une augmentation de l’efficacité personnelle en cours de sevrage ont été associées à un arrêt complet des hypnotiques. D’autre part, le sevrage des hypnotiques n’a pas été associé à une diminution de la qualité de vie dans le présent échantillon. Au contraire, les aspects de santé générale et mentale, vitalité et fonctionnement social se sont vus améliorés suite au sevrage. Pour plusieurs utilisateurs chroniques d’hypnotiques, il est donc possible, et même souhaitable, d’effectuer un arrêt graduel de la médication hypnotique, lequel peut être réalisé avec un minimum d’encadrement clinique. / This doctoral dissertation aimed to evaluate the efficacy of a hypnotic taper program with minimal clinical supervision. Results from a randomized clinical trial including 53 chronic hypnotic users suffering from insomnia showed that a brief intervention providing a systematic withdrawal schedule efficiently help chronic users stop their hypnotic medication. The addition of a self-help cognitive-behavior treatment focusing on insomnia, a readily accessible and cost-effective alternative to individual psychotherapy, produced greater sleep improvement relative to the taper condition alone. Decrease of insomnia symptoms and psychological distress, improvement of perceived health and increase of self-efficacy during withdrawal have been associated to complete hypnotic cessation. Furthermore, there has been no worsening of quality of life during the hypnotic taper. On the contrary, general and mental health, vitality and social functioning indicators showed an improvement after the withdrawal. For many chronic hypnotic users, it seems possible, and even desirable, to engage in a systematic hypnotic taper, which can be effectively realized with minimal clinical guidance.
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Les difficultés veille-sommeil chez les personnes suivies en soins palliatifs pour un cancer : aspects descriptifs et faisabilité d'une thérapie cognitive-comportementale et environnementale

Bernatchez, Marie Solange 24 April 2018 (has links)
Cette thèse doctorale, divisée en deux études, porte sur les difficultés veille-sommeil chez des personnes suivies en soins palliatifs pour un cancer présentant des altérations significatives dans leur fonctionnement quotidien (ECOG de 2 ou de 3) et demeurant toujours à leur domicile. La première étude de nature descriptive et transversale a été réalisée auprès de 57 patients. Elle avait pour premier objectif d'évaluer les taux de trouble veille-sommeil (ex., insomnie et hypersomnolence) et des symptômes sous-cliniques, de documenter les paramètres éveil-sommeil objectifs et subjectifs en fonction des diagnostics et de caractériser les cycles éveil-sommeil de cette population. Le second objectif était d'étudier l'association entre, d'une part, les paramètres éveil-sommeil subjectifs et objectifs, les cycles éveil-sommeil et, d'autre part, des symptômes physiques et psychologiques, la survie (temps écoulé entre le début des mesures de l'étude et le décès), des habitudes et croyances envers le sommeil, la qualité de vie et certains facteurs environnementaux. La seconde étude avait, quant à elle, pour objectif principal de développer et d'évaluer la faisabilité d'une thérapie cognitive-comportementale et environnementale (TCC-E) pour les plaintes (troubles ou symptômes sous-cliniques) d'insomnie et d'hypersomnolence chez cette clientèle. Elle avait aussi comme objectif secondaire de fournir des données préliminaires quant aux effets de la TCC-E. Pour ce faire, six participants ont reçu la TCC-E et ont pris part à une évaluation posttraitement. Les résultats de l'Étude 1 ont révélé des taux élevés de difficultés veille-sommeil et ont montré que celles-ci peuvent prendre différentes formes telles que l'insomnie, l'hypersomnolence ou une combinaison de ces deux plaintes. Des altérations marquées des cycles éveil-sommeil ont aussi été observées, et ce, plus particulièrement dans les derniers jours de vie. Les symptômes physiques, les comportements envers le sommeil et les facteurs environnementaux se sont avérés être des corrélats importants des difficultés veille-sommeil chez cette population. L'Étude 2 a, quant à elle, mis en lumière le défi que représente le développement d'une intervention non-pharmacologique, ciblant à la fois l'insomnie et l'hypersomnolence chez cette clientèle. La TCC-E a, néanmoins, connu certains succès pour le trouble persistant de l'insomnie et des pistes de recherches futures ont pu être dégagées. Il apparaît pertinent que de nouvelles études portent sur la faisabilité et l'efficacité d'un traitement combinant des stratégies comportementales et une luminothérapie.
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Jugements rétrospectifs et prospectifs d'intervalles temporels chez les personnes souffrant d'insomnie et les bons dormeurs

Belleville, Geneviève 21 February 2021 (has links)
Des écarts considérables existent lors de la comparaison des paramètres de sommeil objectifs et subjectifs chez les personnes souffrant d'insomnie: la sous-estimation du temps total de sommeil, du nombre et de la durée des éveils, ainsi que la surestimation de la latence de sommeil. Les bons dormeurs manifestent aussi ces erreurs, mais à un degré beaucoup moindre. Il est possible que les personnes souffrant d'insomnie manifestent un déficit au niveau de la perception du temps. Une hypothèse alternative serait que ces personnes perçoivent mal leur état de sommeil. La présente étude vise à comparer la perception du temps des personnes souffrant d'insomnie et des bons dormeurs. Trente bons dormeurs et trente personnes souffrant d'insomnie se sont soumis à quatre tâches d'estimation temporelle dans une condition non liée au sommeil (attente dans une chambre) et dans une condition liée au sommeil (sieste dans l'après-midi). Les résultats suggèrent que les personnes souffrant d'insomnie soient moins précises que les bons dormeurs pour les intervalles longs (12,5 minutes). De plus, ce déficit serait présent dans des contextes lié et non lié au sommeil lorsqu'elles estiment le temps rétrospectivement, mais seulement dans des situations liées au sommeil prospectivement. Ces résultats soulignent également l'importance de considérer les effets possibles de pratique et d'ordre de présentation lorsque la perception du temps est évaluée. En conclusion, il est possible que les personnes souffrant d'insomnie soient enclines à surévaluer leur latence de sommeil parce que leur perception du temps est imprécise en situation liée au sommeil. Toutefois, des limites méthodologiques soulignent le besoin de répliquer ces résultats au cours d'études futures.
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Combinaisons séquentielles des traitements pharmacologique et cognitivo-comportemental pour l'insomnie chronique

Vallières, Annie 15 April 2021 (has links)
No description available.
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Perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie associées à l'insomnie comorbide à un trouble psychiatrique ou médical

Perozzo, Cristina 24 April 2018 (has links)
Cette thèse visait à comparer les perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie associées à l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique ou médical à celles de l’insomnie seule. En premier lieu, une revue de littérature sur les perturbations du sommeil et du fonctionnement diurne caractérisant l’insomnie comorbide, comparativement à l’insomnie seule, a été effectuée. Celle-ci incluait 38 études et a révélé que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique n’était pas associée à des perturbations du sommeil subjectives plus sévères que l’insomnie seule, mais qu’elle était liée à une variabilité internuits du sommeil plus importante. L’insomnie comorbide à un trouble dépressif comportait une proportion plus élevée de sommeil paradoxal et moins d’activité électroencéphalographique à hautes fréquences au cours de la nuit que l’insomnie seule. L’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique (principalement dépressif) était liée à une utilisation accrue des soins de santé et à des perturbations plus sévères de l’humeur, de la cognition et des tâches quotidiennes. Peu de différences sur le plan du sommeil ont été observées entre l’insomnie avec et l’insomnie sans douleur chronique comorbide. La fréquence et la sévérité des perturbations de l’humeur ainsi que les risques d’absentéisme et d’invalidité au travail étaient plus élevés lorsque l’insomnie était accompagnée de douleur. Parmi les recherches recensées, la plupart portaient sur l’insomnie comorbide à un trouble dépressif ou à une condition douloureuse. Un nombre limité d’études a exploré la comorbidité médicale et celles qui ont évalué les perturbations objectives du sommeil dans l’insomnie avec et sans comorbidité psychiatrique ont obtenu des résultats mitigés. Plusieurs études comportaient des limites méthodologiques majeures, telles que l’utilisation de critères distincts afin de définir l’insomnie dans différents groupes au sein d’une même étude et le manque de contrôle des effets confondants d’autres troubles comorbides et de médicaments prescrits. Tenant compte de ces limites, une étude empirique visant à comparer les perturbations du sommeil, du fonctionnement diurne et de la qualité de vie qui caractérisent l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique et l’insomnie comorbide à un trouble médical à celles de l’insomnie seule a été réalisée. L’échantillon était composé de 84 adultes, répartis en cinq groupes : insomnie seule (INS; n = 22), insomnie comorbide à un trouble psychiatrique (INS+PSY; n = 16), insomnie comorbide à un trouble médical (INS+MED; n = 14), bons dormeurs avec un trouble médical (BD+MED; n = 17) et bons dormeurs en santé (n = 15). Des analyses multivariées suivies de corrélations canoniques pour des contrastes planifiés ont révélé que le groupe INS+PSY rapportait un sommeil non réparateur un plus grand nombre de nuits par semaine et des atteintes diurnes plus sévères (motivation, fatigue physique, fonctionnement physique et occupationnel, impacts de l’insomnie) que le groupe INS. Selon des agendas du sommeil, les participants du groupe INS+MED dormaient moins longtemps et se réveillaient plus souvent la nuit que ceux du groupe INS. Ces premiers étaient aussi moins productifs au travail. Comparativement aux BD+MED, le groupe INS+MED était plus déprimé et fatigué et avait un fonctionnement occupationnel plus perturbé, alors que le groupe INS avait un meilleur fonctionnement physique, mais plus de symptômes dépressifs, un niveau de fatigue plus élevé et moins de vitalité. Les résultats de la thèse suggèrent que la nature des difficultés de sommeil dans l’insomnie comorbide à un trouble dépressif et l’insomnie seule pourrait différer et que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique est caractérisée par des perturbations du fonctionnement diurne plus sévères, comparativement à l’insomnie seule. L’insomnie comorbide à un trouble médical est liée à un sommeil plus fragmenté et de courte durée et à plus de difficultés sur les plans de l’humeur et du fonctionnement occupationnel que l’insomnie seule. Ces observations soulèvent les possibilités que l’insomnie comorbide à un trouble psychiatrique soit un sous-type d’insomnie distinct de l’insomnie seule et que la comorbidité d’un trouble psychiatrique favorise le maintien de l’insomnie par le biais de processus cognitifs et comportementaux transdiagnostiques (p. ex., mode de pensée répétitif). Les résultats appuient la pertinence d’adapter les interventions pour l’insomnie chez les personnes qui ont un autre trouble, notamment psychiatrique, afin de les aider à surmonter le fardeau d’un double diagnostic et de leur assurer un meilleur sommeil et bien-être. / This thesis aimed to compare the disturbances in sleep, daytime functioning, and quality of life associated with insomnia with a comorbid psychiatric or medical disorder to those of insomnia alone. First, a review of the literature on the sleep disturbances and daytime impairments characterizing comorbid insomnia as compared to insomnia alone was conducted. The review included 38 studies and revealed that insomnia with a comorbid psychiatric disorder was not associated with more severe subjective sleep disturbances than insomnia alone, but that it was related to increased night-to-night sleep variability. Insomnia comorbid with a depressive disorder involved a higher proportion of rapid eye movement (REM) sleep and less high frequency electroencephalographic activity during the night than insomnia alone. Insomnia with a comorbid psychiatric (mainly depressive) disorder was linked to higher health care use and more severe daytime impairments in mood, cognition, and ability to complete daily activities. Few differences in sleep were observed between insomnia with and insomnia without comorbid chronic pain. The rate and severity of mood disturbances and risks of sick leave and disability were higher when insomnia was accompanied by pain. Among reviewed studies, most investigated insomnia with a comorbid depressive disorder or painful condition. A limited number explored medical comorbidity and those that compared objective sleep disturbances in insomnia with and without a comorbid psychiatric disorder yielded inconclusive results. Many studies had major methodological limitations, including the use of different criteria to define insomnia for subgroups within a same study and the lack of control for the confounding effects of other comorbid disorders and prescribed medications. Considering these limitations, an empirical study comparing the sleep disturbances and daytime impairments characterizing insomnia with a comorbid psychiatric disorder and insomnia with a comorbid medical disorder to those of insomnia alone was conducted. The sample included 84 adults, divided into five groups: insomnia alone (INS; n = 22), insomnia comorbid with a psychiatric disorder (INS+PSY; n = 16), insomnia comorbid with a medical disorder (INS+MED; n = 14), good sleepers with a medical disorder (GS+MED; n = 17), and healthy good sleepers (n = 15). Multivariate analyses followed by canonical correlations for a priori contrasts revealed the INS+PSY group reported more nights of nonrestorative sleep and more severe daytime impairments (motivation, physical fatigue, physical and occupational functioning, insomnia-related consequences) than the INS group. According to sleep diaries, participants in the INS+MED group had shorter nights of sleep and more nighttime awakenings than those in the INS group. The former were also less productive at work. Compared to GS+MED, the INS+MED group was more depressed and fatigued, and had poorer occupational functioning, while the INS group had better physical functioning, but more severe depressive symptoms, higher levels of fatigue, and less vitality. Results of the thesis suggest that the nature of sleep complaints differs in insomnia with and without a comorbid depressive disorder and that insomnia with a comorbid psychiatric disorder is characterized by more severe daytime deficits compared to insomnia alone. Insomnia with a comorbid medical disorder was associated with a shorter and more fragmented sleep, and with more impairments in mood and role functioning than insomnia alone. Findings raise the possibilities that insomnia with a comorbid psychiatric disorder is distinct from insomnia alone and that psychiatric comorbidity contributes to the maintenance of insomnia via transdiagnostic cognitive and behavioral processes (e.g., repetitive thinking). Results support the relevance of adapting interventions for insomnia among persons with another disorder, notably a psychiatric disorder, to help them overcome the burden of a dual diagnosis and insure improved sleep and well-being.
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Efficacité d'un traitement cognitif-comportemental pour l'insomnie auprès de femmes ayant été traitées pour un cancer du sein non métastatique

Quesnel, Catherine 03 March 2021 (has links)
Très peu de travaux empiriques ont porté sur le traitement de l'insomnie dans le contexte du cancer. La présente étude vise donc à vérifier l'efficacité d'un traitement cognitif-comportemental multimodal pour l'insomnie auprès de femmes ayant été traitées pour un cancer du sein non-métastatique. Un protocole expérimental A-B à niveaux de base multiples avec réplications directes et suivis est utilisé. Huit participantes complètent le traitement. L'inspection visuelle et les analyses de séries chronologiques portant sur les données de l'auto-enregistrement quotidien du sommeil montrent une amélioration significative du temps total d'éveil et de l'efficacité du sommeil. Ces résultats sont corroborés par les évaluations polysomnographiques. De plus, les résultats suggèrent que le traitement cognitif-comportemental pour l'insomnie améliore significativement l'humeur dépressive, la fatigue physique et les dimensions globale, cognitive et émotionnelle de la qualité de vie des patientes.
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L'exercice physique pour améliorer le sommeil chez les patients atteints de cancer : état de la littérature et comparaison avec la thérapie cognitive-comportementale

Mercier, Joanie 05 June 2018 (has links)
Cette thèse doctorale porte sur l’amélioration du sommeil de patients ayant reçu un diagnostic de cancer non métastatique. La visée principale de la thèse était d’étudier l’effet des interventions d’exercice physique pour traiter l’insomnie comorbide au cancer, et ce, dans une optique d’accroître les options de traitements non-pharmacologiques efficaces pour cette problématique. Un premier objectif spécifique de celle-ci était de documenter et d’analyser, de façon systématique, les essais cliniques sur les effets des interventions d’exercice physique pour améliorer le sommeil des patients en oncologie et d’effectuer une méta-analyse quantitative de leurs effets. Bien que les résultats de la recension systématique suggèrent un effet bénéfique possible des interventions d’exercice physique sur le sommeil d’un point de vue qualitatif, la méta-analyse n’a révélé aucun effet significatif. Néanmoins, les nombreuses limites méthodologiques notées amenuisent les conclusions et appuient la nécessité de mener des études plus rigoureuses sur le sujet. La présente thèse avait aussi pour but de comparer l’efficacité d’un programme d’exercices physiques aérobiques effectué à la maison (EX) à celle d’un traitement plus standard, soit une thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie (TCC-I) offerte en format autoadministré. Pour ce faire, 41 participants présentant des symptômes d’insomnie ont été recrutés et assignés aléatoirement à l’un des deux groupes à l’étude. Les deux interventions se déroulaient sur une période de 6 semaines. Un objectif secondaire de cette étude était de documenter l’efficacité de ces deux interventions sur l’amélioration de symptômes fréquemment associés à l’insomnie (anxiété, dépression, fatigue, qualité de vie). Les résultats montrent une supériorité de la TCC-I à améliorer les symptômes d’insomnie en post-traitement alors que l’EX s’avère non-inférieur à la TCC-I aux temps de mesure subséquents. En somme, la TCC-I demeure le traitement de choix pour l’insomnie associée au cancer bien que l’EX apparaît être une option de rechange intéressante en l’absence de disponibilité de cette intervention.
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Faisabilité d'une intervention préventive de l'insomnie chez des femmes traitées en chimiothérapie pour un cancer du sein

Marion, Louis-Philippe 19 September 2018 (has links)
Le présent mémoire doctoral avait pour objectif d’évaluer la faisabilité d’une intervention préventive de l’insomnie chez des femmes atteintes d’un cancer du sein débutant leur chimiothérapie, une population particulièrement à risque de développer des difficultés de sommeil. Cette intervention a été élaborée à partir du protocole de thérapie cognitivecomportementale de l’insomnie (TCC-I) développé par Morin (1993) et de la thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie comorbide au cancer autoadministrée développée par Savard, Villa, Simard, Ivers et Morin (2011). L’intervention développée prenait la forme d’un bref dépliant préventif (15 pages) qui se voulait simple, accessible et attrayant afin de susciter l’intérêt des patientes ne présentant pas initialement de difficultés de sommeil cliniquement significatives. Vingt participantes ont reçu le dépliant lors de leur premier traitement de chimiothérapie. Un mois plus tard, une entrevue téléphonique a été effectuée pour évaluer la satisfaction envers le dépliant préventif ainsi que l’adhérence aux stratégies proposées. Un objectif secondaire était de vérifier si la satisfaction et l’adhérence à l’égard de l’intervention préventive variaient selon certaines variables sociodémographiques (ex., l’âge, le revenu et le niveau de scolarité) ainsi que le niveau de littératie de la santé. Les résultats obtenus sont encourageants et confirment la faisabilité d’une intervention préventive de l’insomnie chez des femmes atteintes d’un cancer du sein au début de leur trajectoire de soins. En effet, un taux de satisfaction élevé et un taux d’adhérence modéré ont été observés et les commentaires recueillis sur l’intervention préventive étaient majoritairement positifs. Enfin, les résultats de cette étude de faisabilité, quoique préliminaires, soutiennent la pertinence d’adopter une approche préventive de l’insomnie afin d’éviter que cette problématique gagne en sévérité et nécessite le recours à des interventions moins accessibles et plus coûteuses.

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