• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 66
  • 13
  • 4
  • 3
  • 2
  • Tagged with
  • 91
  • 45
  • 29
  • 29
  • 28
  • 26
  • 25
  • 23
  • 21
  • 20
  • 17
  • 16
  • 13
  • 12
  • 11
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

Évolution longitudinale des symptômes d'insomnie à la suite d'un traumatisme craniocérébral

Gervais, Frédérique 22 June 2021 (has links)
L’objectif de ce projet est d’évaluer l’évolution de l’insomnie durant les quatre années suivant un TCC, en comparant entre les différents niveaux de sévérité du TCC, ainsi que d’identifier les facteurs de risque pour l’évolution vers différentes trajectoires (insomnie chronique, fluctuante ou absence d’insomnie). Les participants inclus dans cette étude sont des adultes âgés entre 18 et 65 ans (n=429) ayant été hospitalisés à la suite d’un TCC. Des questionnaires autorapportés ont été administrés à 4, 8, 12, 24, 36 et 48 mois post-TCC pour évaluer les symptômes d’insomnie (ISI), d’anxiété (HADS-A), de dépression (HADS-D) et de douleur (SF-36). Les résultats indiquent que les taux de prévalence d’insomnie demeurent élevés au cours des quatre années qui suivent un TCC, variant entre 52 et 58% dépendamment du temps de mesure. Les individus ayant subi un TCC léger présentent des symptômes d’insomnie plus prévalents (entre 57% et 67%) et plus sévères comparativement aux TCC modérés-sévères (résultat moyen à l’ISI: TCC léger= 10.46; TCC modéré-sévère = 8.44; F= 14.74, p<.001). Le tiers de l’échantillon présente une trajectoire chronique des symptômes d’insomnie au cours des quatre années qui suivent le TCC. Les principaux facteurs de risque pour les trajectoires d’évolution des symptômes d’insomnie post-TCC sont la présence de symptômes anxieux et dépressifs ainsi que la sévérité du TCC. En conclusion, l’insomnie est une condition fréquente et persistante, et ce, plusieurs années après le TCC. Une attention particulière de la part des professionnels de santé doit être portée sur les individus présentant un TCC léger et ceux manifestant des symptômes dépressifs et anxieux puisqu’ils présentent un pronostic plus défavorable quant à l’évolution de leurs symptômes d’insomnie. / The aim of the study was to assess the evolution of insomnia during the first four years following a traumatic brain injury (TBI) and to compare between different levels of severity of the TBI. This study also aimed to identify risk factors for different insomnia trajectory (chronic, fluctuating or absence of insomnia). Participants included in this study were adults aged between 18 and 65 years (n=429) and were recruited in a hospital setting and rehabilitation center. They completed several self-reported questionnaires at different time points (4, 8, 12, 24, 36 and 48 months post-TBI) to assess insomnia symptoms (ISI), anxiety and depressive symptoms (HADS) and pain (SF-36). Results showed that prevalence rates of insomnia remained high across assessment times points, varying between 52 and 58%. Symptoms were more prevalent among participants who sustained a mild TBI compared to those with moderate to severe TBI (57% vs 67%) and those symptoms were more severe in the mild compared to the moderate-severe TBI group (ISI mean score: mild TBI= 10.46; moderate-severe TBI = 8.44; F= 14.74, p <.001). One third of individuals who sustained a TBI presented a chronic trajectory of insomnia over the 4-year follow-up period. Those with mild TBI were significantly more represented in the subgroup with a chronic trajectory of insomnia compared to those with moderate-severe TBI (37.7% vs 23.2%, p<.001) Individuals presenting a low level of depressive symptoms paired with moderate anxious symptoms were at greater risk for a chronic course of insomnia symptoms. In conclusion, insomnia is a frequent condition following TBI and may impede recovery and quality of life. Patients with mild TBI and presenting depressive and anxious symptoms following TBI should be followed closely since they have a less favorable prognosis regarding the evolution of their insomnia symptoms.
32

La relation entre l'insomnie, le fonctionnement immunitaire et l'occurrence d'infections chez des patients atteints de cancer

Ruel, Sophie 17 July 2018 (has links)
La présente thèse visait à évaluer la relation entre l’insomnie, le fonctionnement immunitaire et l’occurrence d’épisodes infectieux chez des patients atteints de cancer. Dans la première étude, le but consistait à évaluer la relation entre l’insomnie et l’occurrence d’épisodes infectieux chez près de 1000 patients atteints de divers types de cancer ayant participé à une étude épidémiologique plus large réalisée par notre équipe de recherche. Dans cette étude, les patients ont complété des mesures lors de la période péri-opératoire ainsi que 2, 6, 10, 14 et 18 mois plus tard. Les résultats ont indiqué que les patients souffrant d’un syndrome d’insomnie avaient un risque accru de développer un épisode d’infection au temps de mesure subséquent, comparativement aux bons dormeurs. Ce risque était également plus élevé, quoique de moindre importance, chez des patients rapportant des symptômes d’insomnie, comparativement aux bons dormeurs. Une fois l’anxiété et la dépression incluses comme covariables dans le modèle statistique, seule la présence d’un syndrome d’insomnie demeurait significativement associée à l’accroissement du risque infectieux. Quant à la deuxième étude, menée chez des patientes traitées en chimiothérapie pour un cancer du sein ou gynécologique, son but était de documenter l’évolution du sommeil avant, pendant et après des traitements de chimiothérapie, et d’évaluer la relation entre l’insomnie, le fonctionnement immunitaire et l’occurrence d’épisodes infectieux. Pour ce faire, un échantillon de 52 patientes a été recruté. Celles-ci ont complété des mesures avant l’initiation des traitements de chimiothérapie, à 4 moments en cours de traitement (phases d’immunosuppression et de récupération pour les deux premiers cycles de chimiothérapie), après la fin des traitements et lors de deux suivis 3 et 6 mois plus tard. Les résultats ont indiqué que l’ensemble des participantes, sans égard à leur statut d’insomnie au niveau de base, présentaient un accroissement des difficultés de sommeil pendant la chimiothérapie, suivi d’un retour progressif vers la qualité de sommeil initiale suite à la fin des traitements. Concernant la relation entre l’insomnie, le fonctionnement immunitaire et l’occurrence d’infections, il est ressorti que les patientes souffrant d’un syndrome d’insomnie au niveau de base présentaient significativement plus d’altérations immunitaires que les deux autres groupes à différents moments, notamment lors de la période suivant la fin des traitements. Les résultats ont également suggéré que les participantes ayant un syndrome d’insomnie au niveau de base étaient plus à risque de rapporter des symptômes infectieux en cours de chimiothérapie. Les résultats de la présente thèse suggèrent ainsi que le fait de souffrir de difficultés de sommeil, en particulier d’un syndrome d’insomnie, caractérisé par des difficultés plus sévères et plus persistantes, pourrait accroître le risque de vivre des altérations immunitaires et de rapporter des infections pendant la trajectoire de soins oncologiques. Bien que ces résultats nécessitent d’être répliqués, ils témoignent de la nécessité de détecter et traiter les difficultés de sommeil chez les patients atteints de cancer, considérant l’impact éventuel de ces dernières sur leur qualité de vie et leur santé.
33

Traitement cognitivo-comportemental de l'insomnie chronique

Beaulieu, Philippe. Ortho, Marie-Pia d' January 2006 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 12 : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 111-135.
34

Le rôle du complexe-K évoqué et spontané dans le sommeil chez des personnes souffrant d'insomnie et chez des bons dormeurs

Forget, Daniel 17 April 2018 (has links)
Le présent projet de thèse a pour objectif de cerner le rôle (activation ou protection) du complexe-k évoqué et du complexe-k spontané dans le sommeil chez de bons dormeurs et de déterminer si ce rôle se maintient chez des individus souffrant d'insomnie primaire. Les résultats indiquent un ralentissement de l'activité corticale suivant la présence d'un complexe-k spontané (augmentation de l'activité delta et diminution de l'activité theta, alpha, sigma et beta) et d'un complexe-k évoqué (augmentation de l'activité delta et diminution de l'activité theta, sigma, beta et gamma) chez de bons dormeurs. Ces changements dans l'activité EEG suggèrent que le sommeil est plus profond suivant ces deux types de complexe-k qu'à leur niveau de base. Ces résultats appuient le rôle de protection dans le sommeil du complexe-k spontané et du complexe-k évoqué. Également, contrairement à ce qui était prévu, des changements dans l'activité corticale similaires à ceux mesurés chez de bons dormeurs ont été observés chez des personnes souffrant d'insomnie primaire. En lien avec le modèle neurocognitif de l'insomnie, il semble ainsi que l'amplification du traitement de l'information présumée dans l'insomnie ne soit pas reflétée au niveau du complexe-k. Ces résultats suggèrent qu'il n'y a pas de déficit relié au complexe-k dans l'insomnie, tel que mesuré par les changements de l'activité corticale entourant leur présence. Plutôt, le rôle de protection dans le sommeil du complexe-k spontané et du complexe-k évoqué semble se maintenir chez des personnes souffrant d'insomnie primaire.
35

Histoire naturelle de l'insomnie et identification de facteurs de risque

LeBlanc, Mélanie 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Les objectifs de la présente thèse étaient d'estimer les taux de prévalence et d'incidence des symptômes et du syndrome d'insomnie dans la population générale et d'identifier les facteurs de risque associés à l'insomnie. En premier lieu, une enquête téléphonique menée auprès des adultes québécois francophones a montré que 30 % de la population adulte rapportent des symptômes d'insomnie et que 9.5% présentent les critères diagnostiques d'un syndrome d'insomnie. De plus, la comparaison d'individus présentant des symptômes d'insomnie, un syndrome d'insomnie et de bons dormeurs a démontré que les participants avec de l'insomnie présentent des caractéristiques psychologiques et une qualité de vie différentes des bons dormeurs (ex.: plus grande symptomatologie dépressive, anxieuse et névrotique et moins bonne santé générale). Les différences observées entre ces groupes suivent d'ailleurs un patron linéaire, les symptômes et les difficultés de fonctionnement étant plus importants à mesure qu'augmente la sévérité de l'insomnie. Enfin, le suivi longitudinal d'un groupe de bons dormeurs a démontré que sur une période d'un an, l'incidence des symptômes d'insomnie est de 31.2% et celle du syndrome de 8.6%. De plus, les individus qui développent un syndrome d'insomnie présentent dès le niveau de base une vulnérabilité psychologique se manifestant par une présence significativement plus élevée de symptômes dépressifs, de prédisposition à l'activation, d'ouverture à l'expérience ainsi que par une tendance à présenter plus de traits anxieux que les bons dormeurs dont la qualité de sommeil est stable. Les individus ayant développé un syndrome d'insomnie ont aussi vécu plus d'événements de vie négatifs que les bons dormeurs stables au cours des six mois précédant le développement de l'insomnie ainsi qu'une augmentation de leur douleur physique concomitante à l'apparition de l'insomnie. Les résultats obtenus dans ce projet confirment l'importance de l'insomnie dans la population générale, autant par sa fréquence que par les divers facteurs psychologiques qui lui sont associés. Il semble aussi que les individus présentant quelques symptômes d'insomnie s'avèrent une cible de choix pour des programmes de prévention ou d'intervention précoce. Enfin, les différents traitements pour l'insomnie pourront bénéficier des connaissances sur les facteurs de risque de l'insomnie tirées du présent projet de thèse / The objectives of the present thesis were to estimate the prevalence and incidence rates of insomnia symptoms and insomnia syndrome in the general population and to identify risk factors associated with insomnia. Results obtained to a telephone survey conducted among the French-speaking adult population of the province of Québec demonstrated that 30 % of the population reported insomnia symptoms and 9.5% met criteria for an insomnia syndrome. Second, the comparison of sub-groups of individual with insomnia symptoms, insomnia syndrome, and good sleepers demonstrated that participants with insomnia presented psychological characteristics and a quality of life different from those of good sleepers (e.g., higher symptom levels of depression, anxiety, and neuroticism, and a poorer general health). Moreover, differences between groups present a linear pattern, with degree of impairment increasing with insomnia severity. Lastly, the longitudinal follow-up of a group of good sleepers indicated that one-year incidence rates were 31.2% for insomnia symptoms and 8.6% for insomnia syndrome. Moreover, insomnia syndrome incident cases presented a premorbid psychological vulnerability to insomnia development, revealing significantly more depressive symptoms, arousability predisposition, openness to experience, and a tendency to display a higher anxiety trait at baseline. Insomnia syndrome incident cases also experienced significantly more negative life events than stable good sleepers within the six months preceding the insomnia development and an increment of bodily pain concomitant to the onset of their sleep difficulties. Results obtained in the present thesis confirm that insomnia is a common health difficulty in the general population and that several psychological factors are associated with the new onset of this sleep problem. Improved knowledge of the insomnia risk factors could guide the development of effective public health prevention and intervention programs to promote good sleep quality and to prevent chronic insomnia or mental health disorders development as soon as the first insomnia symptoms are noticed.
36

Types d'insomnie chronique primaire, indices neurophysiologiques (potentiels évoqués cognitifs) et traits de personnalité

Turcotte, Isabelle 18 April 2018 (has links)
L'objectif de cette thèse doctorale est de contribuer à une meilleure compréhension des bases neurophysiologiques de l'insomnie chronique pendant les périodes d'éveil, d'endormissement et de sommeil par le biais d'une mesure d'électrophysiologie cognitive. Les mécanismes corticaux sous-jacents à l'insomnie chronique sont investigués chez des personnes souffrant d'insomnie psychophysiologique et des personnes souffrant d'insomnie paradoxale en comparaison avec des bons dormeurs. L'insomnie est très prévalente au sein de la population générale et elle entraîne plusieurs conséquences néfastes chez les personnes qui en souffrent. Plusieurs modèles théoriques ont été proposés afin d'expliquer l'étiologie et la pathophysiologie de ce trouble du sommeil. Parmi ceux-ci, le modèle cognitif, le modèle neurocognitif et le modèle psychobiologique sont de plus en plus prédominants au sein de la littérature. Le modèle cognitif suggère que l'attention, les perceptions, les croyances erronées et les comportements de sécurité exacerbent les cognitions négatives et par conséquent l'activation physiologique et la détresse chez les personnes souffrant d'insomnie. Pour sa part, le modèle neurocognitif suggère que les personnes souffrant d'insomnie chronique développent une activation corticale conditionnée résultant en.un traitement de l'information facilité pouvant interférer avec l'initiation et le maintien du sommeil. Finalement, le modèle psychobiologique propose que l'activation corticale élevée, à elle seule, ne sort pas suffisante pour maintenir les difficultés de sommeil. Une inhabileté à inhiber cette activation corticale afin d'accéder aux processus normaux d'initiation du sommeil serait aussi en cause dans le maintien de l'insomnie chronique. Le présent projet a utilisé les potentiels évoqués cognitifs (PECs) afin de mesurer directement le traitement de l'information à l'éveil, à l'endormissement et en sommeil chez deux types de personnes souffrant d'insomnie chronique. Dans un premier temps, une étude corrélationnelle (article 1) a permis de remarquer que les paramètres des ondes Nl et P2 enregistrées chez les participants corrèlent avec certaines variables objectives de sommeil. Les résultats suggèrent que la qualité de la nuit a un impact sur le niveau d'activation du matin suivant, alors que les niveaux d'activation enregistrés le soir, avant le coucher influencent aussi la qualité de la nuit subséquente. Dans un deuxième temps, les PECs ont été enregistrés à l'éveil, à l'endormissement et en sommeil chez des personnes souffrant d'insomnie psychophysiologique, des personnes souffrant d'insomnie paradoxale et des bons dormeurs (article 2). Les résultats suggèrent une inhabilité à inhiber le traitement de l'information à l'endormissement chez les personnes souffrant d'insomnie psychophysiologique, alors que les personnes souffrant d'insomnie paradoxale présentent plutôt une hyperactivation de même qu'un besoin d'inhibition beaucoup plus élevé à l'éveil, à l'endormissement et en sommeil. Pendant la transition éveil-endormissement-sommeil, les personnes souffrant d'insomnie psychophysiologique sont celles qui démontrent le moins de modifications au niveau du traitement de l'information alors que les personnes souffrant d'insomnie paradoxale présentent des différences marquées au niveau de l'activité corticale. Finalement, une analyse de différents traits de la personnalité (article 3) a permis d'observer que les personnes souffrant d'insomnie psychophysiologique présentent plus de traits névrotiques que les bons dormeurs. De plus, les personnes souffrant d'insomnie chronique sont plus introverties que les bons dormeurs. Toutefois, il ne semble pas y avoir d'association entre le trait de personnalité d'Extraversion et les niveaux d'activation et d'inhibition corticale tels que mesurés par les PECs. Les résultats obtenus dans le cadre de ce projet ont permis de souligner l'importance de documenter la qualité de la nuit de sommeil précédent l'évaluation lorsque le traitement cognitif de l'information est mesuré. Les différences observées entre les groupes au niveau des résultats de PECs démontrent l'intérêt de bien distinguer les types d'insomnie pour les recherches futures. De plus, les résultats de cette thèse appuient empiriquement les modèles théoriques de l'insomnie chronique, tout en présentant divers traits de personnalité pouvant y être associés.
37

L'application d'un traitement cognitivo-comportemental de l'insomnie chez les enfants présentant un trouble réactionnel de l'attachement

Mourad, Nadine January 2016 (has links)
Le début de la fréquentation scolaire constitue, pour une partie des enfants, la première transition majeure du milieu familial vers un milieu public et pourrait représenter un défi pour le système d’attachement, surtout chez les enfants qui présentent un attachement insécurisant (El-Sheikh, Buckhalt, Cummings, & Keller, 2007). Les interventions comportementales qui sont le plus souvent utilisées pour remédier aux problèmes de sommeil sont difficiles à appliquer pour certains parents, qui présentent ou dont les enfants présentent une anxiété de séparation au moment du coucher. La présente étude consiste en l’ajout d’un volet cognitif (Erath & Tu, 2011) à la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) chez trois enfants d’âge scolaire qui présentent un trouble réactionnel de l’attachement et souffrent d’insomnie pédiatrique. Elle recourt à un protocole individuel impliquant des mesures quantitatives répétées, des données actigraphiques et des rapports subjectifs des parents consignés dans un agenda du sommeil. Les résultats recueillis suggèrent que les progrès dépendent de la constance des pratiques parentales, de la stabilité du milieu familial ou de l’état psychologique de la mère. Une intervention cognitive et comportementale de plus longue durée accompagnée d’une thérapie familiale serait des voies à explorer pour maintenir les comportements qui favorisent un bon sommeil.
38

Contribution à l’étude de la physiologie et de la physiopathologie du sommeil chez l’individu normal et chez les patients souffrant de dépression majeure et d’insomnie primaire.

Hein, Matthieu 15 May 2019 (has links) (PDF)
L’hyperéveil peut être défini comme une augmentation de l’activité émotionnelle, cognitive et physiologique interférant avec le désengagement naturel de l’environnement et réduisant la probabilité de sommeil. Il peut être divisé en 3 catégories étroitement liées et impliquées dans le modèle de l’insomnie chronique tant primaire que concomitante à la dépression majeure (l’hyperéveil somatique, l’hyperéveil cognitif et l’hyperéveil cortical) où il est associé à la présence d’un état d’hypervigilance présent tout au long du cycle de 24h. Cependant, l’hyperéveil semble n’être uniquement présent que dans certains sous-types de dépression majeure caractérisés par un pattern polysomnographique similaire à celui de l’insomnie primaire, tant au niveau de la totalité de la nuit que des tiers de nuit. De plus, chez les individus souffrant d’insomnie et déprimés majeurs, ces altérations polysomnographiques compatibles avec le modèle de l’hyperéveil (courte durée de sommeil, efficience réduite du sommeil et fragmentation du sommeil) sont associées à un risque cardio-métabolique accru par l’intermédiaire d’une action combinée des différentes composantes de l’hyperéveil. Enfin, chez les individus déprimés majeurs présentant une insomnie caractérisée par la présence d’altérations polysomnographiques compatibles avec le modèle de l’hyperéveil, il existe des altérations de la neurotransmission caractérisées par la présence d’une organisation small-world moins efficiente du réseau neuronal durant le sommeil paradoxal et delta. En conclusion, dans l’insomnie et la dépression majeure avec insomnie objective, l’hyperéveil semble être un mécanisme physiopathologique fondamental favorisant la survenue de complications cardio-métaboliques et d’altérations de la neurotransmission durant le sommeil ce qui justifie une prise en charge adaptée de ce phénomène afin de permettre une meilleure prévention cardio-métabolique et une meilleure évolution clinique tant sur le plan symptomatologique que sur le plan cognitif chez ces individus. / Doctorat en Sciences médicales (Médecine) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
39

NISAS-2000 - die "Nationwide Insomnia Screening and Awareness Study"

Wittchen, Hans-Ulrich, Krause, Petra, Höfler, Michael, Winter, Susanne, Spiegel, Barbara, Hajak, Göran, Riemann, Dieter, Pittrow, David, Steiger, Axel, Pfister, Hildegard 29 January 2013 (has links) (PDF)
ZIEL: Ermittlung der Stichtagsprävalenz von Insomnie und anderen Schlafstörungen in deutschen Allgemeinarztpraxen sowie Bestimmung hausärztlicher Erkennensraten. METHODIK: Bundesweite Zufallsauswahl von 539 Arztpraxen. Charakterisierung der Arzt- und Praxismerkmale mittels initialer Vorstudie. Darauf folgend eine Stichtagsbefragung aller Hausarzt-Patienten mittels Schlaffragebogen (PSQI) und klinischen Fragen (N = 19155 Fälle) sowie klinisch-ärztliche Beurteilung durch den behandelnden Artz mittels CGI und Fragebogen. ERGEBNISSE: 1. Trotz nur moderater Kompetenzeinschätzungen hinsichtlich Diagnose und Therapie behandeln Hausärzte Insomnien und andere Schlafstörungen vorwiegend selbst, auch wenn diese einen hohen Behandlungsaufwand erfordern. 2. Die Stichprobe kann als typisch für die Hausarzt-Klientel angesehen werden. 3. Schlafstörungen sind der dritthäufigste Konsultationsanlass. Nahezu jeder zweite Patient berichtete, in den vergangenen 2 Wochen unter Schlafbeschwerden gelitten zu haben, 26,5% erfüllten aufgrund der subjektiven Angaben die Studienkriterien (DSM-IV) für Insomnie. 4. Auch die Ärzte beurteilten 46,4% aller ihrer Patienten mittels CGI zumindest als Grenzfälle einer Schlafstörung, 85,6% wurden als chronisch eingeordnet. Die ärtzlich beurteilte Insomnieprävalenz betrug 25,9%, die anderer Schlafstörungen 13,7%. 5. Nur 54,3% aller Insomniepatienten wurden auch als solche vom Hausarzt diagnostiziert. DISKUSSION: Die Studie liefert erstmals bundesrepräsentative, differenzierte epidemiologische Daten zu der Prävalenz, dem Schweregrad, den Einschränkungen und den Verlaufsmustern von Insomnien und Schlafstörungen. Die außerordentlich große Häufigkeit und die zum Teil markanten Defizite hinsichtlich Erkennen und Diagnostik in der primärärztlichen Versorgungen werden diskutiert. / AIM: To estimate the point prevalence of insomnia, recognition and prescription behavior in primary care. METHODS: Nationwide sample of 539 primary care settings along with their characterization (stage 1). Standardized assessment of all attenders (N = 19.155 patients) on the NISAS target day using a sleep questionnaire (PSQI) and additional questions to cover psychosocial and additional clinical variables. All patients were evaluated by the primary care doctors using a standardized clinical appraisal questionnaire, including a CGI-rating. RESULTS: Prevalence insomnia according to DSM-IV was 26.5%. Recognition of presence of any clinically significant sleep disorder was 72%, recognition of insomnia was poor 54.3%. 85.6% of insomnia patients were rated as chronic. Close to 50% of all insomnia cases did not receive a specific insomnia therapy. Herbals, followed by hypnotics and sedatives and antidepressants were the three most frequent treatments applied, psychotherapy was only seldomly indicated. DISCUSSION: NISAS provides for the first time nationally representative estimates of interventions for insomnia in primary care. The relatively low treatment rates and the high proportion of chronic patients receiving longterm prescription of benzodiazepines seem to be critical. Priorities for future agenda to improve this situation are discussed.
40

Analyse coût-bénéfice de la thérapie cognitive-comportementale de l'insomnie

Hudon, Olivier 22 November 2018 (has links)
L’insomnie, en plus d’être invalidante pour les personnes qui en souffrent, peut engendrer des coûts pour la société. Le traitement de l’insomnie pourrait donc s’avérer rentable en diminuant les coûts associés à cette problématique. Le présent mémoire rapporte une analyse coût-bénéfice de la thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie (TCC-I). Une base de données recueillies entre 2002 et 2005 a été utilisée pour effectuer cette étude. Les résultats de 74 participants ayant complété six séances de TCC-I ont été analysés, afin d’observer si la rémission de l’insomnie pouvait engendrer une diminution de l’utilisation des soins de santé, du nombre d’absences au travail et de la consommation de médicaments pour dormir. L’objectif de l’étude était d’évaluer si la TCC-I pouvait engendrer une réduction des coûts associés à l’insomnie plus élevés que les coûts de la TCC-I, démontrant que le traitement est bénéfique monétairement chez les participants en rémission. Les analyses statistiques ont démontré que les personnes en rémission rapportaient significativement moins de consultations chez un professionnel de la santé et d’absences au travail attribuables à l’insomnie. Lorsqu’une valeur monétaire était attribuée aux variables de l’étude, les dépenses associées au groupe non-rémission totalisaient 1495 $, comparé à 744 $ pour le groupe rémission, ce qui représentait une différence de coûts de 751 $. Prenant en considération que les coûts d’une TCCI étaient estimés à 490 $, une économie de 261 $ était observée trois ans après la fin du traitement chez les personnes ayant atteint une rémission de leur insomnie. Les résultats de cette étude démontrent donc que la TCC-I peut s’avérer rentable à long-terme chez les participants ayant atteint une rémission.

Page generated in 0.1546 seconds