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Histoire culturelle du vin français en Pologne : moitié XVIIè-début XIXè siècle / Cultural history of French wine in Poland : from the middle of the 17th to the beginning of the 19th century / Historia kulturowa wina francuskiego w Polsce : od połowy XVII wieku do poczatku XIX wieku

Lewandowska, Dorota 05 April 2013 (has links)
Le projet concerne la culture et le rôle social du vin français en Pologne entre la moitié de XVIIe et le début du XIXe siècle. Le but de ce travail est la présentation du procès de réception, de différentes formes de perception et de rôle social du vin dans le pays qui n’appartient pas à la zone de la culture de vin.Le XVIIIe siècle, c’est le temps des grands changements sociaux. Les changements des attitudes, de l’aspiration, de la sensibilité et des façons de communication sont les symptômes de la révolution de consommation. Les valeurs contemporaines d’économies chrétiennes se mettent à la négociation. C’est ce phénomène de la consommation qui provoque leur remplacement par l’égalitarisme et l’individualisme. À partir des informations concernant la vente, la consommation et la production de vin on peut montrer les modifications de la société en Pologne.Ce n’est pas que la société qui est soumise aux changements, mais si dynamiquement se varie le vin. Les nouvelles méthodes de production et de conservation apparaissent. Elles facilitent l’exportation non seulement de seule boisson, mais également de mode, de goûts et de culture matérielle liée à cette boisson. Les goûts de dîneurs ont évolué ensemble avec les ustensiles et la façon de laquelle le vin a été servi à la table – française ou polonaise.L’observation de l’influence du vin, si important élément de la culture française, sur la création des goûts des Polonais et leurs imaginations liées avec France et les Français, s’inscrit identiquement dans l’idée de la coopération franco – polonaise et donne les chances d’apparition d'influence mutuelle de deux cultures. / The project concerns the cultural and social role of French wine in Poland from the middle of the 17th to the beginning of the 19th century. The aim of this work is to demonstrate the process of reception, different forms of perception and social role of wine in a country not belonging to the wine culture sphere.The 18th century is a time of major social transformations. Changes in attitudes, aspirations, sensitivity and ways of communicating are signs of a consumer revolution. Old Christian principles are becoming to be negated and it is the phenomenon of consumerism which replaces them with egalitarianism and individualism. The analysis of information regarding the sale, consumption and production of wine helps to demonstrate the transformation of the Polish society.Apart from society, the wine itself also changes dynamically, with the appearance of new methods of its production and preservation enabling the export of not only the drink itself, but also of the fashion, taste and material culture connected with it. On its way from the cellar to the table, wine is accompanied by objects which become the inseparable elements of the drinking culture. The glasses and ways of serving wine evolve together with the taste of the banqueters.Research in the influence of wine on the development of Poles’ taste and their image of France and the French is naturally compatible with the idea of Polish-French cooperation and provides an opportunity to demonstrate the mutual influence of the two cultures.
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Corps et âme en mouvement. Expression et signification du mouvement dans la peinture de vases en Grèce ancienne (VIe-IVe s. av. J.-C.). Ivresse, possession divine et mort

Toillon, Valérie I. 01 1900 (has links)
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La poïétique de l'ivresse : discours et pratiques modernes interpellés par l'intoxication créatrice

Lachance-Provençal, François 12 1900 (has links)
« Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire [de cette thèse] a été dépouillée de certains documents visuels et audio‐visuels. La version intégrale du mémoire [de la thèse] a été déposée à la Division de la gestion des documents et des archives » / Cette thèse s’intéresse à la présence opérante, dans plusieurs discours fondateurs du modernisme et dans certaines de ses pratiques, de l’ivresse comme concept, c’est-à-dire comme façon de penser la création artistique, ou comme méthode concrète d’intoxication permettant d’y accéder. Dans la première partie de la thèse, nous observons comment, au 19e siècle, les spéculations sur les états de conscience modifiés (alcool, opium, haschich, etc.) ont croisé les considérations poïétiques et esthétiques. Pour ce faire, nous mettons en rapport le développement d’un imaginaire de l’ivresse nourri de références à la peinture et des écrits sur la création artistique faisant bon accueil aux dérèglements psychophysiologiques. Afin de problématiser ce rapport de l’art et de l’ivresse qui est pour nous constitutif de l’esprit du modernisme, nous sollicitons les points de vue de quatre auteurs qui ont adopté une perspective physiologique sur l’art : Stendhal, Balzac, Baudelaire et Nietzsche. Notre traitement vise à préciser le développement d’une pensée de l’ivresse spécifique à chacun sans perdre de vue le contexte sociohistorique élargi dans lequel ils ont respectivement évolué. Il nous est ainsi possible de retracer l’émergence de la figure de l’artiste intoxiqué et d’en déterminer les résonances idéologiques. Dans la seconde partie de la thèse, nous observons les incidences de cette construction sur les pratiques artistiques elles-mêmes au cours du 20e siècle. En premier lieu, nous constatons les défis et les problèmes concrets qu’ont pu poser les états d’intoxication dans l’exercice du métier de peintre. Nous mettons ainsi à jour les raisons qui ont conduit les artistes des premières avant-gardes à tenir l’ivresse à distance. Nous nous intéressons ensuite à des peintres qui, à partir de l’entre-deux-guerres, ont plutôt recherché les états d’ivresse et développé des stratégies pour les exploiter à des fins créatrices : S.I. Witkiewicz, Josef Sima, André Masson, Jackson Pollock et Kazuo Shiraga. Nous remarquons d’abord que ces démarches tendent à se détacher d’un formalisme pictural rigoriste en accordant plutôt une fonction déterminante à l’empathie dans la création et dans la réception de l’œuvre d’art. Nous proposons ensuite de distinguer deux types d’expressions picturales de l’ivresse : l’une qui nécessite encore l’expédient de la figuration, l’autre qui s’appuie sur une mise en mouvement spontanée du corps de l’artiste. Les notions de trace et d’aura théorisées par Walter Benjamin nous permettent de rattacher ces deux façons de pratiquer l’ivresse à des manières d’envisager la création artistique à une époque marquée par le taylorisme ainsi que par les technologies de reproduction de l’image. / This thesis examines the operating presence of intoxication as a concept in many of modernism’s founding discourses as well as in some of its practices. Intoxication is considered both as a way to understand artistic creation and as a chemically-induced state allowing artists to access a specific kind of creativity. The first part of the thesis shows how, in the 19th century, speculations about altered states of consciousness (alcohol, opium, hashish, etc.) intersected with poietic and aesthetic considerations. To demonstrate this, we link the development of an imaginary construct of intoxication that is filled with references to painting with writings on artistic creation that celebrate psychophysiological disorders. To support our hypothesis that the relationship linking art and intoxication is constitutive of the spirit of modernism we solicit the points of view of four writers who have adopted a physiological perspective on art: Stendhal, Balzac, Baudelaire and Nietzsche. Our aim is to elaborate notions of intoxication that are specific to each without losing sight of their respective sociohistorical contexts. By doing so, it becomes possible to delineate the emergence of the figure of the intoxicated artist and to analyze its ideological character. In the second part of the thesis, we observe the implications of this construct on artistic practices during the 20th century. We begin by attesting to the challenges and material difficulties which states of intoxication can pose to painters. We thereby identity reasons why artists from the early avant-gardes kept their distance from intoxication. We then turn to painters who, from the inter-war period on, instead sought states of intoxication and developed strategies to exploit them to creative ends: S.I. Witkiewicz, Josef Sima, André Masson, Jackson Pollock and Kazuo Shiraga. First, we observe how these processes tend to detach themselves from a rigorist pictorial formalism, granting instead a determining function to empathy in the creation as well as the reception of the artwork. We go on suggest two distinct types of pictorial expression of intoxication: one which still requires the expedient of figuration, the other which is grounded in a spontaneous involvement of the artist's body. The notions of trace and aura theorized by Walter Benjamin allow us to tie these two modes of practicing intoxication to ways of conceiving artistic creation during a period distinguished by Taylorism as well as by image reproduction technologies.
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La foi en l’obscur : le sacré sale et le mysticisme du jeu chez Georges Bataille

Lavoie, Vincent 11 1900 (has links)
C’est durant la première moitié du vingtième siècle, c’est en étant contemporain des deux guerres mondiales, dans une France qui se sécularise, que Georges Bataille (1897 – 1962) construit une pensée – profondément nietzschéenne – scandaleuse. Conceptuellement, le corps n’est pas seulement au centre des préoccupations de Bataille, il se pense maintenant dans sa réalité outrancière : l’érotisme, l’ivresse et la souillure. On assiste à une sacralisation des débauches de toutes sortes. Et c’est ainsi que s’opère la singularité philosophique de Bataille puisque ce qui est sacré ne loge plus, selon lui, dans un sublime céleste, dans une divinité ou, en d’autres mots, dans les hauteurs, mais bien dans son exact contraire, c’est-à-dire dans le bas, dans l’excès, dans l’érotisme et dans le sale. Devant cette inversion de l’ordre du monde, ce qui est sacré, c’est la profanation même. C’est pourquoi, à partir de Mary Douglas, j’ai pu relier deux idées qui paraissent contraires : la souillure et le sacré. Ainsi, étant donné que Bataille est aussi écrivain (Sade fut l’une de ses influences majeures), j’ai pu inclure des récits de l’auteur qui illustrent parfaitement ces deux antinomies. C’est d’ailleurs l’un des traits les plus fondamentaux de son œuvre que j’ai aussi soulevé : toute l’œuvre de Bataille est paradoxale et antinomique. C’est justement à partir de ce même constat que j’aborde la question du mysticisme chez Bataille. Mais comme avec la question du sacré, la conception du mysticisme implique une critique implicite du christianisme (opposition du ciel contre la terre, par exemple). Nécessairement, c’est l’instant et son hasard – l’absence de but – qui ouvrent la voie à l’expérience, alors que l’écriture communique son essence tout en la rendant davantage intelligible. De là provient justement, par le caractère arbitraire de l’expérience, l’idée de chance que Bataille établit en diapason avec Nietzsche. À ce sujet, Nietzsche devient très présent dans le mysticisme bataillien, pensons à la figure du surhumain qu’on peut associer à celle de l’homme souverain ou encore à la volonté de puissance qu’on peut relier à celle de la volonté de chance. Dès lors, Bataille met de l’avant une mystique du jeu, celle-ci étant une mise en jeu radicale de soi-même d’où émerge la chance que Bataille évoque et qui n’est rien d’autre que la possibilité de l’expérience même. Somme toute, force est de constater que la fragilisation mentale et physique du mysticisme bataillien cache également un sacrifice de soi au nom de la jouissance, certes, mais aussi au nom du texte. / It was in the first half of contemporary 20th century when France was well secularized that Georges Bataille (1897 - 1962) constructed a scandalous - deeply Nietzschean - thought. The body is then conceptually not only at the center of Bataille's preoccupations, it now thinks of itself through its scandalous reality: eroticism, exhilarating and dirty. We are witnessing a sacralization of debauchery of all kinds and this is how Bataille's philosophical singularity operates. Indeed, a sacred thing does not exist in the sublime sky, in any deity or, in other words, in the heights, but in its exact opposite wich his the low, the excess, the eroticism and the dirty. This inversion in the order of the world is the desecration itself. This is why, with Mary Douglas, I was able to link two ideas that seemed contradictory to me: the dirty and the sacred. Knowing that Bataille is also a writer (Sade is a major influence), I can include a few stories to perfectly illustrate these two opposites. This is one of the most fundamental characteristics of the work I have mentioned: all of Bataille's works are paradoxical and antinomic. It is precisely from this same observation that I approach the question of mysticism in Bataille works. With the question of the sacred, the conception of mysticism involves an implicit critique of Christianity (opposition of sky and earth, for example). It is the instant and its hazard - the absence of purpose - that opens necessarily the way to experience as writing communicates its essence while making it more intelligible. From there precisely, Bataille developed the idea of chance in agreement with Nietzsche. Nietzsche becomes at the same time very present in the conception of the mysticism of Bataille. We can just think about the figure of the superhuman that we can associate with the sovereign man or even the will of power that we can compare to the will of chance. From then on, Bataille puts forward a mystic game, by placing himself in this radical game, from which the luck evoked by Bataille can emerge and which is nothing else than the possibility of experience itself. Finally, it is clear that the mental and physical fragility that are triggered in Bataille mystical experience also hide a form of self-sacrifice in the name of enjoyment but also in the name of the text.
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Plongeons, précipitations et projections d'offrandes : mort et mouvement dans la poésie grecque archaïque

Sakellarides, Thalia 05 1900 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier l’expression du mouvement dans la poésie grecque ancienne et plus particulièrement le lien qui unit la mort au mouvement de chute dans la poésie homérique. La question du mouvement apparaît en filigrane dans toutes les études qui se préoccupent de la mort en Grèce ancienne et de ses différentes représentations. À travers non seulement différentes expressions métaphoriques, mais aussi via la chute des corps sur le champ de bataille, la chute de certains objets et le plongeon de différents personnages, le mouvement illustre la mort ou son imminence. Loin de figurer seulement le plongeon de l’âme vers les Enfers, le mouvement de chute figure aussi un large éventail d’états émotionnels et s’avère un moyen efficace d’exprimer des états altérés de conscience, par exemple le passage entre la vie et la mort, le sommeil, la folie et l’ivresse, mais aussi des émotions d’une grande intensité telles que la colère, la douleur et la tristesse. Cette utilisation du mouvement de chute dans la poésie grecque s’exprime dans l’imaginaire poétique, mais également dans les pratiques rituelles recensées dans la poésie homérique. En effet, dans l’Iliade, le mouvement de chute, qui apparaît dans la libation, le serment rituel et les rites funéraires, ne signifierait pas seulement la mort, mais dans certains cas, la mort sans inhumation. Cette découverte nous permet de poser un regard nouveau sur les pratiques rituelles du poème qui mettent en lumière la véritable volonté des Achéens, explicitée au chant 3 (Il. 3. 276-301). Celle-ci consisterait non seulement à tuer les hommes et les enfants, et à mettre les femmes en esclavage, mais aussi à abandonner les corps de leurs ennemis aux éléments et donc de leur refuser l’inhumation, ce qui pose problème dans le contexte religieux de la Grèce ancienne. Le mouvement de chute, à travers le geste de projection, exprime une menace que le public grec devait parfaitement comprendre et qui s’avère centrale pour l’ensemble de l’intrigue. Il apparaît aussi que le mouvement posséderait une « efficacité magique » qui permettrait de déclencher et de sceller un serment. Durant toute l’Antiquité, la signification du mouvement change à travers le temps, s’approfondit, se complexifie et s’il permettait de représenter la mort et la tristesse chez Homère, durant toute la fin de l’époque archaïque jusqu’aux derniers jours de l’Empire romain, le mouvement prend parfois une connotation érotique. En raison de la capacité du mouvement à représenter différents états altérés de conscience et de ses liens étroits avec la mort et le deuil, le plongeon devient alors le modèle exemplaire de la souffrance amoureuse. Cette thèse permet donc d’observer l’évolution d’un motif qui conserve tout au long de l’Antiquité sa dimension mortifère, mais qui, encore aujourd’hui, exprime un lien poétique étroit entre la mort et l’érotisme. / This thesis proposes to study the expression of movement in ancient Greek poetry and particularly the link between death and the physical act of falling in Homeric poetry. The question of movement appears implicitly in all studies concerned with death in ancient Greece and its different representations. Through not only different metaphorical expressions, but also through the fall of bodies on the battlefield, the fall of certain objects and the plunge of different characters, human and divine, the movement illustrates death or its imminence. Far from representing only the plunge of the soul into the Underworld, the falling movement also represents a wide range of emotional states and proves to be an effective way of expressing altered states of consciousness, for example the passage between life and death, sleep, madness and drunkenness, but also emotions of great intensity such as anger, pain and sadness. This use of the movement in Greek poetry is expressed in the poetic imagination, but also in the ritual practices recorded in Homeric poetry. Indeed, in the Iliad, the movement of fall which appears in libation, ritual oath and funeral rites would not only mean death, but in certain cases, death without burial. This discovery allows us to take a new look at the ritual practices of the poem which bring to light the true will of the Achaeans, explicitly shown in the third book (Il. 3. 276- 301), which is not only to kill men and children, and to enslave women, but to abandon the bodies of their enemies to the elements and thus to refusing them burial, which is problematic in the religious context of the ancient Greece. The falling movement, through the gesture of projection, expresses a threat that the Greek audience had to fully understand and is central to the entire plot. It also appears that the movement would possess a "magical efficiency" which would make it possible to trigger and seal an oath. Throughout Antiquity, the meaning of the movement through time became more complex and if it represents death and sadness in Homer, throughout the end of the archaic period until the last days of the Roman Empire, the movement eventually took an erotic connotation. Because of his capacity to represent various altered states of consciousness and its close links with death and mourning, the plunge then becomes the exemplary model of the suffering in love. This thesis thus makes it possible to observe the evolution of a motive which preserves throughout Antiquity its mortiferous dimension, but which, even today, expresses a close poetic link between death and eroticism.

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