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Jules Laforgue (1860-1887) : sa vie, son oeuvre, d'après des manuscrits inédits et des documents nouveaux : thèse... /Ruchon, François, Jean-Aubry, G., January 1924 (has links)
Thèse--Genève, 1924.
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René Laforgue, de la névrose à la psychopolitique / René Laforgue, from nevrosis to psychopolitics.Durand, Franck 12 December 2017 (has links)
Pionnier de la psychanalyse en France, René Laforgue semble avoir, aujourd'hui, sombré dans l'oubli. Pourtant, plusieurs éléments de son oeuvre ont influencé durablement certains aspects de la psychanalyse. Partant du constat qu'aucune monographie n'a encore été consacrée à René Laforgue et à son oeuvre, la présente thèse se fixe pour objectif de combler cette lacune. Cette recherche a pour ambition de rappeler quel fut le rôle de René Laforgue dans le développement et l'institutionnalisation de la psychanalyse en France et de replacer son oeuvre dans le champ de la théorie psychanalytique, en en soulignant la fécondité heuristique et en s'efforçant d'en mesurer les apports et les limites, ainsi que les aspects novateurs, en particulier s'agissant de l'extension de l'approche psychanalytique au domaine politique. L'oeuvre de laforgue est également remise en perspective par rapport à celle de Freud, dont elle procède à l'origine, avant de s'en différencier. / Pioneer of the psychoanalysis in France, René Laforgue seems to be, today, forgotten.Neverless, several elements of his works influenced durably certain aspects of psychoanalysis.Runner of the report that no monograph was again dedicated to René Laforgue and to its work, this present thesis settles for objective to fill this gap. This research has for ambition to call back what was René Lafarge's role in the development and the institutionalization of the psychoanalysis in France and to replace his work in the field of the psychoanalytical theory, by underlining the heursistical fertility and by trying to measure the contributions and the limits, as well as the innovative aspects, in particular as regards the extension of the psychoanalytical approach in the political domain. The work of Lafarge is also put in perspective with regard to that of Freud of which it proceeds originally, before differing from it.
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T. S. Eliot, Ezra Pound und der französische Symbolismus /Danzer, Ina Dorothea. January 1992 (has links)
Diss.--Heidelberg--Ruprecht-Karls-Universität, 1992.
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La Bibliothèque imaginaire de Jules Laforgue. Étude de la réécriture dans les "Moralités légendaires" / Jules Laforgue’s Imaginary Library. A Study of The Rewriting in The "Moralités légendaires"Guy, Madeleine 16 November 2015 (has links)
Jules Laforgue (1860-1887) envisage les nouvelles des "Moralités légendaires" comme de « vieux canevas brodés d’âmes à la mode ». Il inscrit ainsi son œuvre au cœur même de la Bibliothèque. Toutefois, contrairement à ce que sa formule pourrait laisser penser, il ne se contente pas d’y écrire des variantes parodiques de "Hamlet", de l’"Histoire de sainte Élisabeth de Hongrie", de "Lohengrin", d’« Hérodias » et des "Métamorphoses" : non seulement il puise la matière de ses récits dans plusieurs dizaines de textes – et pas uniquement dans ces hypotextes –, mais ceux-ci, pour la plupart, ne font pas l’objet d’une mise à distance critique à visée comique. L’impression première qui se dégage du volume, celle d’un ouvrage léger dans lequel les héros sont ridiculisés, les références mêlées et les traditions soumises à un relativisme généralisé, n’est qu’une façade destinée à duper un certain type de lecteur et à dissimuler le sens profond du texte. Ce dernier ne se révèle qu’à l’issue d’une lecture intertextuelle érudite qui, en acquérant une connaissance précise des livres lus par Jules Laforgue, met au jour un principe de réécriture reposant sur la reconnaissance préalable d’analogies entre les différentes œuvres. L’auteur pratique une lecture imaginative – au sens où l’imagination est, pour Charles Baudelaire, l’art de saisir les rapports – et retient des textes-sources les éléments qui résonnent en lui. Leur mise en présence dans les "Moralités" s’avère alors cohérente et le volume apparaît comme une véritable broderie intertextuelle ; chaque fil – chaque œuvre – conserve sa singularité mais tous participent à l’élaboration d’un motif unique : l’expression, par le truchement de la fiction et de la voix des autres, du questionnement existentiel de Jules Laforgue. / Jules Laforgue (1860-1887) said that the novellas of "Moralités légendaires" were « old canvasses embroidered with fashionable souls », thus placing his work at the heart of the Library. But, contrary to what we may think when reading his definition, he does not merely write parodies of "Hamlet", of the "Histoire de sainte Élisabeth de Hongrie", "Lohengrin", « Hérodias » and the "Metamorphoses" : the tales’ material comes not exclusively from these hypotexts, but from dozens of other texts, which are seldom rewritten from a critical and comical point of view. The reader’s first impression of a light work where heroes are ridiculed, references blended and traditions relativized is that of a mere charade intended to dupe a certain kind of reader and to prevent him from understanding the text thoroughly. However, the true meaning of such works only reveals itself through an intertextual reading, which requires precise knowledge of the books that Jules Laforgue read. Only then does one realise that he is rewriting texts amongst which he has seen various links. His own reading is an imaginative one – insofar as, according to Charles Baudelaire, imagination is the art of detecting connections that are not obvious – and he borrows from the intertexts the elements that call forth echoes in his mind. He then assembles them in the "Moralités" in a coherent way. Thus, the book can be seen as a true intertextual embroidery ; each thread – each work – retains its idiosyncrasy but they all contribute to a single design : the expression, through the art of fiction and the voices of others, of Jules Laforgue’s existential questioning.
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Jules Laforgue e Carlos Drummond de Andrade: a ironia e a construção do gauchePinezi, Aline Taís Cara [UNESP] 19 May 2015 (has links) (PDF)
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000851821.pdf: 1357389 bytes, checksum: 949f3fa5f5b728eecb25450bda4d6a29 (MD5) / Résumé: Jules Laforgue (1860-1887) a été considéré un auteur de la modernité littéraire dont les écrits s'inscrivent dans deux mouvements importants: le Décadentisme et le Symbolisme. Le Décadentisme, antérieur au Symbolisme se caractérise par le trait plus pessimiste des compositions, tandis que le Symbolisme, selon Edmund Wilson, se compose de deux tendances distinctes, la sérieuse-esthétique et la prosaïque-ironique, la première étant plus étudiée jusqu'à la moitié du XXème siècle et, Mallarmé en tête, représente la poésie de la suggestion destinée aux initiés. La poésie prosaïque-ironique se associe à Jules Laforgue qui travaille des questions quotidiennes et liées à l'oralité. Il, qui veut faire de l'originel à tout prix, subvertit les mouvements littéraires auxquels il fait allusion et travaille de l'ironie à travers les symboles et les alégories, tout en créant une nouvelle manière de faire de la poésie, fondée sur la rupture et sur la dissonance. Ainsi que Jules Laforgue, le poète brésilien Carlos Drummond de Andrade (1902 - 1986), lié au Modernisme, utilise dans ses textes des recours de ce mouvement au Brésil quand il ironise des modèles littéraires de son temps et crée une nouvelle manière de faire de la poésie. Dans ce sens, il adopte le vers libre, l'absence de rimes, l'humour et préfère pour les thèmes quotidiens de l'homme simple pour montrer les nombreux visages du moi inadapté, gauche dans le monde. Les deux poètes ont employé, dans les œuvres qui composent le corpus de ce travail, Les Complaintes et Alguma Poesia, un procédé important, l'ironie, qui est l'objectif de cette étude, qui analyse, donc, comment ce procédé a été utilisé dans des poèmes des ouvrages cités. Pour cela, on s'est servi des oeuvres qui étudient les mouvements littéraires dont ils font partie, ainsi que de celles qui ... / Jules Laforgue (1860-1887) foi considerado um autor da modernidade literária cujos escritos tocam dois importantes movimentos literários: o Decadentismo e o Simbolismo. O Decadentismo, anterior ao Simbolismo, caracteriza-se pelo tom mais pessimista das composições, enquanto que o Simbolismo, de acordo com Edmund Wilson, é composto por duas vertentes distintas, a sério-estética e a coloquial-irônica, a primeira sendo mais estudada até meados do século XX e, orientada pelas ideias de Mallarmé, representa a poesia da sugestão destinada a iniciados. A poesia coloquial-irônica associa-se a Jules Laforgue que trabalha questões cotidianas e ligadas à oralidade. Ele, que quer fazer algo original a qualquer preço, subverte os movimentos literários aos quais faz alusão e trabalha a ironia por meio de símbolos e de alegorias, criando uma maneira própria de fazer poesia, baseada na ruptura e na dissonância. Assim como Jules Laforgue, o poeta brasileiro Carlos Drummond de Andrade (1902-1986), ligado ao Modernismo, utiliza em seus textos recursos desse movimento no Brasil quando ele ironiza os modelos literários vigentes e cria uma nova maneira de fazer poesia. Nesse sentido, adota verso livre, a ausência de rimas, o humor e prefere temas do cotidiano do homem simples para mostrar as várias faces do eu desajustado, gauche no mundo. Ambos os poetas adotaram, nas obras que compõem o corpus deste trabalho, Les Complaintes e Alguma Poesia, um recurso marcante, a ironia, que é o objetivo deste estudo, que analisa, portanto, como essa ferramenta foi empregada nos poemas. Para isso, foram utilizadas obras que estudam os movimentos literários em que se inserem, bem como aquelas voltadas para a crítica sobre os autores; mas, sobretudo, foram abordados autores que se dedicaram à análise da ironia, entre os quais Hutcheon, Muecke e Sant'Anna ganham destaque
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Rimbaud, Laforgue. Une poétique de la folie / Rimbaud, Laforgue. A Poetics of MadnessLejosne-Guigon, Renaud 08 December 2017 (has links)
Cette thèse examine l’œuvre poétique de Rimbaud et de Laforgue du point de vue de la catégorie de « folie ». La notion de folie a très souvent été mobilisée dans la première réception de tout un pan de la poésie écrite dans le dernier tiers du XIXe siècle, pour étiqueter des textes considérés comme illisibles. À tel point qu’avec ses corollaires d’époques (manie, névrose, dégénérescence, hystérie), elle est devenue un véritable paradigme de lecture du texte poétique. La folie est envisagée ici non pas seulement dans sa définition médicale, mais aussi comme objet hybride, construit par une multiplicité de discours et de pratiques. On commence par une archéologie de ce discours médicalisant qui pathologise la poésie, pour montrer ensuite que la « folie » constitue bien une catégorie valide pour l’appréhension de la poésie rimbaldienne et laforguienne, mais qu’elle nécessite pour cela une théorisation nouvelle, indépendante de toute considération biographique ou psychologique. Part essentielle de l’écriture, la folie chez Laforgue, Rimbaud et leurs contemporains n’est plus la folie romantique – qui s’articulait aux catégories du grotesque ou du magisme inspiré. La folie poétique se fait méthode, « raisonné dérèglement » selon la formule paradoxale de Rimbaud, et traverse, en tant qu’expérience-limite, tout le trajet lyrique. En même temps, elle devient immanente aux corps, et au corps du texte. La folie romantique s’est immanentisée et textualisée. Poétique de la folie désigne ici un fait littéral, la manière dont le texte se trouve altéré par la folie, et réciproquement la manière dont en tant que poème ce même texte reconfigure la langue et la lecture, devenant par là un autre nom de la « folie » comme intempestivité, invention de catégories nouvelles, illisible devenant lisible. La folie ne désigne plus alors une pathologie, mais la force d’évènement de l’écriture même. Chez Laforgue et Rimbaud, cette dimension de bouleversement se déploie particulièrement dans trois champs : comme expérience radicale, la folie opère une altération et une aliénation du sujet ; comme effet rhétorique, elle entraîne un trouble généralisé de la syntaxe et du sens ; en tant que contre-discours et résistance à l’ordre établi (hystérie, idiotie, fureur) enfin, elle possède en elle-même une dimension politique, par laquelle elle s’articule à l’histoire comme événementialité. / This dissertation looks at the poetic works of Rimbaud and Laforgue from the point of view of “madness”. The category served as a label that was often applied by contemporary readers, including medics, to a corpus of poetry they considered to be illegible. Madness and its then quasi synonyms – mania, neurosis, degeneracy or hysteria – thus became no less than a general paradigm for reading poetry. We conceive of madness here not as a mere medical concept, but as a hybrid object, one that is constructed through multiple discourses and practices. The thesis first takes an archaeological look at this medicalisation of the reception of poetry. It then moves on to show that the category of “madness” can indeed be valid when it comes to understanding the lyric of Rimbaud and Laforgue, but needs new theorisation as a concept. Madness should no longer be considered as a biographical or even psychological category, but as pertaining to the text itself. A crucial part of the act of writing both for Rimbaud and for Laforgue, madness at the Fin de siècle had moved away from its definition in French romanticism, which saw it primarily as akin to the category of the grotesque or that of transcendent inspiration. Madness became a paradoxical method for poetry, according to the rimbaudian phrase “raisonné dérèglement” (“reasoned derangement”). As a limit-experience, madness proves to be at the core of a new poetic practice, while becoming immanent to the bodies as well as to the body of the text. Talking about a “poetics of madness,” we therefore conceive of madness as being primarily textual or literal. The poetic text is altered and displaced by madness, and conversely the text itself qua poem transforms the language it is written in and the categories of reading that are applied to it. In that sense, the text is necessarily mad in its essential untimeliness, since it invents the categories in which it can become legible. Madness thus no longer refers to a form of pathology, but rather designates poetic writing itself as a force and an event. Such a disruptive force is studied more particularly in three domains. As a radical experience, madness alters and literally alienates the subject. As a rhetorical effect, it brings about a major trouble within syntax and meaning. As a counter-discourse, finally, and a resistance to social order (in the cases of hysteria, idiocy, or fury), madness has an immediate political dimension to it, which connects it to history qua eventiality.
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A relação ironia/oralidade em L'imitation de Notre-Dame la lun, de Jules LaforgueCara, Aline Taís [UNESP] 07 June 2010 (has links) (PDF)
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cara_at_me_arafcl.pdf: 657024 bytes, checksum: 419fdd8af1b1c1ed602ab09f91ab2354 (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / Jules Laforgue (1860-1887) a été um grand décadentiste/symboliste français; les caractéristiques de ses oeuvres touchent ces deux importants mouvements littéraires. Le Décadentisme a été antérieur au Symbolisme, avec um trait plus négativiste et pessimiste; le Symbolisme a été composé de deux tendances: la “sérieux-esthétique”, plus connue et étudiée, et la “prosaïque-ironique”. À partir de celle-ci, moins étudiée que celle-là, les recours utilisés sont développés dans les compositions de Laforgue, même si l‟écrivain dépasse les limites des mouvements littéraires, en écrivant des textes différents et originaux. Il a produit des oeuvres poétiques et en prose, qui révèlent des caractéristiques très particulières. Par rapport à la poétique, la critique actuelle a reconnu l‟importance du poète pour la poésie postérieure à lui, inclusivement celle des modernistes brésiliens comme Carlos Dummond de Andrade et Manuel Bandeira. Laforgue a été, de certe façon, suffoqué par ses contemporains Baudelaire, Verlaine, Mallarmé et Rimbaud; mais il est inséré entre les grands noms de la modernité poétique, dû à son importance littéraire. Ses écrits surprenants et ses caractéristiques innovatrices font de lui l‟inspirateur et maître de personnalités comme Ezra Pound et T. S. Eliot. Il est possible de percevoir quelques constantes dans l‟oeuvre de Laforgue: ironie, parodie, la quête pour des formes orales, la création de mots nouveaux et l‟humour. Il est vrai de dire que son oeuvre est riche en recours stylistiques et en vocabulaire; il y a une forte présence intertextuel des mythes, des légendes, des chansons, de citations de textes d‟autres auteurs et de personnages connus, ce qui rend les compositions du poète encore plus complexes. L‟écrivain crée avec maîtrise un langage propre et, à travers ses néologismes... (Résumé complet accès électronique ci-dessous) / Jules Laforgue (1860-1887) foi um grande decadentista/simbolista francês; as características de suas obras tocam esses dois importantes movimentos literários. O Decadentismo foi anterior ao Simbolismo, com teor mais negativista e pessimista; o Simbolismo foi composto de duas vertentes: a sério-estética, mais conhecida e estudada, e a coloquial- irônica. A partir desta, menos abordada do que aquela, desenvolvem-se os recursos utilizados nas composições de Laforgue, apesar de o escritor ultrapassar os limites de movimentos e tendências literárias, produzindo algo novo e original. Escreveu obras poéticas e em prosa, as quais revelam características bastante particulares. Com relação à poética, a crítica atual tem reconhecido a importância do poeta para a poesia subsequente a ele, inclusive a dos modernistas brasileiros como Carlos Drummond de Andrade e Manuel Bandeira. Laforgue foi, de certa forma, sufocado pelos seus contemporâneos Baudelaire, Verlaine, Mallarmé e Rimbaud; todavia está inserido entre os grandes nomes da modernidade poética, devido à sua importância literária. Seus escritos surpreendentes e suas características inovadoras é que fazem dele o inspirador e mestre de personalidades como Ezra Pound e T. S. Eliot. Podem-se perceber algumas constantes na obra de Laforgue: ironia, paródia, a procura por formas orais, a criação de novas palavras e o humor. É fato dizer que sua obra é rica em recursos estilísticos e em vocabulário; há forte presença intertextual de mitos, lendas, cantigas, citações de outros textos, de autores e de personagens conhecidos, o que torna as composições do poeta ainda mais complexas. O escritor cria, com maestria, uma linguagem própria e, através de seus neologismos, da dissonância e da quebra de expectativa, impressiona os leitores e demonstra sua relevância literária. Analisando poemas do livro L’Imitation...
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